Ce vendredi soir, ma copine et moi avions décidés
d'aller passer-la soirée dans une boîte de nuit. Elle était
très sexy avec une minijupe fendue noire, des bas de même
couleur, des bottes à talons hauts, un string et un soutien-gorge
rouge et un haut moulant très décolleté. Nous circulions
sur une route de campagne peu fréquentée quand j'entendis
un bruit étrange provenant du moteur. Je décidai alors de
m'arrêter sur le bas-côté, je coupai le moteur puis essayai
de redémarrer, en vain.
Nous n'avions pas pris nos téléphones portables ce soir
là et nous étions en panne au beau milieu de nulle part.
Nous attendions dans la voiture lorsque j'aperçus des phares.
Nous descendîmes alors pour demander de l'aide. Le véhicule
ralentit et s'arrêta. C'était la camionnette d'une entreprise
de peinture. A l'intérieur, trois hommes d'une trentaine
d'années. L'un d'eux ouvrit sa fenêtre et je lui demandai:
- "Excusez moi nous sommes en panne, pouurriez vous nous
déposer à la prochaine ville ?" - "Bien sûr mais nous n'avons
qu'une plaace assise à l'avant et l'arrière du véhicule
est sale, il faudrait que la demoiselle monte devant pour
éviter qu'elle se salisse. Quant à vous, vous pouvez monter
à l'arrière avec la peinture".
Ne pouvant pas refuser cette aide précieuse, nous acceptions.
Je montais à l'arrière d'où je pouvais voir la cabine des
passagers par une grande vitre. Je remarquais qu'il n'y
avait que trois places à l'avant, celle du conducteur et
deux sièges sur sa droite. Ma copine était donc à cheval
sur les deux sièges, serrée entre les deux ouvriers. La
camionnette roulait et je ne quittais pas des yeux les peintres
qui parlaient. Je réussis à comprendre en les écoutant qu'ils
revenaient d'un long déplacement sur un chantier et qu'ils
rentraient seulement chez eux.
Je remarquais au fil des kilomètres que le chauffeur était
plus concentré sur les cuisses et les seins de ma copine
que sur la route. Au même moment, je vis la large main calleuse
de l'homme qui était à sa droite se poser sur sa cuisse.
Elle la retira aussitôt mais il la posa à nouveau et je
criais alors en demandant au mec d'arrêter ou de nous laisser
ici.
Le mec à gauche de ma copine sortit alors un couteau assez
impressionnant et me cria: - "Écoute, on veut pas faire
de mal à taa pute, on veut juste s'amuser un peu alors laisse-nous,
de toutes façons, tu es enfermé et on est armé alors contente-toi
de mater et de la fermer!"
Ne sachant que répondre, j'essayai de briser la vitre
ou d'agir de quelque façon mais c'était peine perdue. Les
mecs m'ont regardé en se marrant, celui de droite embrassa
ma meuf à pleine bouche en lui pelotant sa généreuse poitrine
de ses grosses mains tandis que l'autre avait glissé une
main sous sa jupe.
Lorsqu'il vit qu'elle portait des bas, il dit : - "T'es
vraiment une belle pute! On va bbien s'amuser avec toi!"
- "Oh oui !" Renchérit le chauffeur
Le mec qui l'embrassait enleva son haut et arracha son
soutien-gorge. Il la complimenta sur ses seins en lui serrant
si fort les tétons qu'elle ne put réprimer une plainte de
douleur. Il se pencha et suça les pointes durcit par la
souffrance. Son compère ne restait pas inactif, il retirait
le string que j'avais offert aujourd'hui même à mon amour.
Ils lui ordonnèrent de poser ses pieds sur le tableau de
bord en écartant les jambes, ce qu'elle fit immédiatement.
Le mec de gauche tenait toujours le couteau dans sa main
et de l'autre fouillait la chatte de ma douce.
J'observais alors que le véhicule ralentissait, nous nous
arrêtions sur une aire de repos où il n'y avait évidemment
personne à cette heure. Je remarquais une épave de voiture.
Le chauffeur coupait le moteur en laissant les pleins phares
allumés. Tout ce joli petit monde quitte le véhicule, sauf
moi qui me rend compte que je suis enfermé dans la caisse
arrière.
Ils se postèrent dans les faisceaux lumineux et obligèrent
Stéphanie à se mettre à genoux en la tirant par les cheveux.
D'où je suis, j'entends à peine les cris et les rires. Les
mecs autour d'elles sortaient leurs queues et s'approchaient
de sa bouche. Elle les suça tour à tour en branlant les
autres, toujours sous la menace du couteau. Les mecs sont
très excités, j'ai peur pour la suite.
Au bout d'environ cinq minutes, ils lui demandent de se
lever et d'aller se pencher en avant sur le capot de l'épave.
D'une profonde perversité, ils la placèrent de façon à ce
que j'aie la vue la plus parfaite possible sur son derrière.
Une fois dans cette position, le chauffeur se place derrière
elle et remonte sa jupe sur ses hanches. Soudain, je m'apercevais
que je bandais moi aussi à la vue de ma copine, seins à
l'air, en bas, bottes à talons hauts et jupe relevée. C'est
vrai qu'elle avait vraiment l'air d'une pute, surtout dans
un endroit comme celui-ci. Curieux état, ma copine va se
faire violer et moi j'en suis excité.
L'un des mecs se positionna derrière, lui écarta les jambes
et la pénétra brutalement en arrachant des cris à ma copine.
Les deux autres approchent à nouveau leurs queues pour remplir
sa bouche et le silence se fit. Ils la contraignaient à
de véritables prouesses contorsionniste pour que je la voie
à la fois en train des les sucer et de se faire baiser.
Je comprenais bien qu'ils lui parlent mais je n'entendais
rien depuis le camion. Je vis alors des giclées blanches
arroser le visage de mon amour et une bonne partie entrer
dans sa bouche et ne pas en ressortir.
Le mec revient alors vers la camionnette et me dit : -
"Qu'est-ce qu'elle est bonne ta salopee de meuf, elle m'a
tout avalé, elle suce trop bien!! Maintenant je veux que
tu te branles en regardant ta pute se faire baiser par mes
potes, sinon on la frappe".
Je m'exécutais alors. Le chauffeur se retira de ma copine,
il s'allongea dans l'herbe, sur le dos et ordonna à ma chérie
de lui faire une branlette espagnole. Elle s'agenouilla,
contrainte par le troisième larron, puis elle serra sa grosse
poitrine autour du sexe de l'homme. Pour accélérer la cadence
qui ne devait pas être à son goût, il tira sur les tétons
pour imposer son rythme. Pendant ce temps, l'autre mec prit
position et la prit en levrette à son tour. Il la bourrait
longuement avec violence. Puis le chauffeur ordonna à Stéphanie
de se mettre sur lui. Elle s'empala sur le sexe qui me paraissait
maintenant énorme. L'autre les regardait en se branlant
et lui dit : - "Vas-y ! Bouge plus vie sinon on bute ton
mec".
- "Regarde c'est une vraie pute, elle aiime ça cette salope!!
Me dit celui qui était prés de moi". Ma seule réponse fut
mon éjaculation et même temps que celui qui se vidait en
Stéphanie. Il me poussa violemment pour que je remonte dans
le camion, il était bien plus fort que moi.
Il rejoignit ses collègues en riant et se fit sucer par
ma chérie quelques minutes. Ils la placèrent en levrette
toujours face aux phares. L'un la baisa, l'autre se faisait
sucer et le troisième se branlait en regardant. Ils échangèrent
plusieurs fois les rôles.
Un mec se pencha sur son cul et lui lécha la rondelle.
J'appréhendais déjà la suite, en effet, Stéphanie était
vierge par-là. Il commença par mettre un doigt et à l'agiter
rapidement dans son anus. Je criais : - "Non ! Pas ça !"
Mais seul leurs rires faisaient échos à mes suppliques.
Celui qui lui doigtait le cul se redressa. Les deux autres
bloquaient ma copine le visage plaqué contre le sol. Je
voyais le sexe de la brute s'approché du petit trou plissé.
Il posa le gland dessus et, en jetant un œil vers moi, il
déflora le petit anus de ma tendre aimé. Il fit entrer tout
d'un coup. Stéphanie essayait de se débattre mais les ouvriers
la tenaient fermement. Il lui pilonna brutalement le cul
jusqu'à l'éjaculation. Ils passèrent chacun leur tour dans
son cul. Ils l'enculèrent pendant près d'une heure. Ils
se gaussaient en regardant son trou du cul dilaté. Après
l'avoir souillé une dernière fois, les trois peintres lui
ont ensuite rendu son haut, mais ont gardé son soutien-gorge
déchiré et son string.
Ils m'ont libéré et nous ont abandonnés à cet endroit.
Une voiture est passée une heure plus tard et le jeune homme
a bien voulu nous ramener à la maison.
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