TITRE : Les ouvriers d'en bas
Catégorie : 
Histoire Groupes et Partouze

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Depuis deux semaines il y a un chantier à coté de chez moi ; tous les matins et tous les soirs je passe devant les ouvriers qui me saluent et s'écartent pour me laisser le passage.
Je sens bien qu'ils me reluquent dans le dos et je lis sur leur visage un peu de lubricité lorsque je les croise sur le trottoir ; mon jeune corps -j'ai 22 ans- tout en formes ne les laisse pas indifférents. En ce moment je suis excitée pour un rien, et je me suis prise à me masturber violemment en les imaginant autour de moi.
Mais aujourd'hui, tout va basculer. Il est assez tard -dans les 19 heures- lorsque je remonte la rue en rentrant de la fac jusque chez moi. Il fait bon et je porte une jupe portefeuille qui dévoile mes cuisses avec le vent, et mon petit chemisier échancré laisse une bonne vue sur mes seins rebondis.
Les ouvriers sont presque tous partis, il n'en reste que trois, deux jeunes et un vieux à casquette qui fument une clope avant de rassembler leurs affaires sous l'échafaud. Un des jeunes m'avise et lance un sifflement ; le vieux lui donne une calotte sur la tête.
« Laisse passer la demoiselle au lieu de penser à des cochonneries ! » Emoustillée, je réponds en souriant :
« Ce n'est rien, c'est plutot flatteur... » Le vieux me propose alors de boire une bière avec eux. Nous parlons de leur chantier, je m'assied sur un parpaing sous l'échafaud et allume une cigarette. Je me sens très bien, la température est très agréable et le coin est calme.
« Alors, ça fait longtemps que vous habitez ici ! » lance un des deux jeunes. Je réponds que ça fait presque deux ans, que j'ai un très bel appart et que je me sens bien dans ce quartier. L'autre hoche la tête en souriant.
« Les gars du garage en face de chez vous apprécient également croyez-moi. » Pendant une seconde je le fixe interloquée. Il me regarde fixement, et ses yeux glissent sur ma poitrine.
« Ils nous ont beaucoup parlé de ton... anatomie. » Je rougis, sans relever le tutoiement, toute à ma confusion ; il m'arrive très souvent de vaquer à mes occupations en soutien gorge et culotte et les mecs du garage en face de mon salon n'en perdent pas une miette, je le sais et j'en joue même, cela m'excite de savoir qu'ils me matent mais je ne pensais pas qu'ils en parlaient aux étrangers -naïve. Je ne dis toujours rien, je sens ma respiration s'accélérer sous les regards insistants des trois larrons.
« Ils t'ont meme vue te branler petite cochonne... » Je suis surprise : le plus souvent je ferme mes volets avant de me masturber, mais il est vrai que j'oublie parfois, mais je ne pensais pas avoir été vue. J'avale ma gorgée de bière et me lève pour partir ; soudain je réalise que si je reste je vais perdre le contrôle sur ce qui peut se passer. Mais un jeune profite du fait que je me sois levée pour mettre sa main sous ma jupe et me caresse la fesse. Un frisson me parcourt tout le corps : je ne bouge plus.
« Ecoutez, je...
- T'en fais pas ma poulette, t'es bien en manque mais on va te remplir assez pour que tu tiennes une semaine sans te toucher... » L'homme derrière moi me caresse les fesses des deux mains à présent et je gémis, m'appuyant à un poteau. Le deuxième jeune arrache plus qu'il ne déboutonne mon chemisier et empoigne mes deux gros seins à pleines mains en les malaxant. Les caresses du premier se font plus insistantes aussi et se rapprochent de ma vuvle et de mon anus. Mon coeur s'emballe le plaisir monte avec mon désir, chassant la peur. Le vieux pendant ce temps a baissé son froc; il bande déjà dur apparemment, il s'approche de moi et pose une grosse patte sur ma gorge :
« Dis donc toi t'es vraiment une salope sous tes airs de ptite fille sage, montre moi comment tu suces ! » Il me met à genoux et me présente sa queue, que j'ai maintenant très envie de lécher, je prends le gland entre mes lèvres et lèche cette belle queue bien dure effectivement avec ma langue, appliquée à bien le sucer je vais et viens en aspirant et ça a l'air de lui plaire.
« Ho oui cochonne tu fais ça bien ça se sent hein... Tu as envie de te faire mettre par trois mecs ben tu vas être servie hmmm bouffe la... » Sa main aggrippe mes cheveux, ses mots crus m'ont excitée et je le laisse se servir de moi sans aucune résistance en faisant de mon mieux pour bien le pomper. Pendant ce temps un des jeunes s'est mis à me sucer les deux seins en modillant assez fort mes tétons pendant que l'autre me doigte alternativement dans la chatte et l'anus, utilisant ma mouille abondante pour me lubrifier mon petit trou qui ne demande qu'à être pénétré. J'ai léché mes doigts et je branle celui qui me caresse les seins avec cette main lubrifiée en jouant avec son méat. Je gémis tandis que le vieux accélère la cadence, il a posé sa main sur sa queue et de l'autre me tient la tête et il me baise la bouche, je suis à quatre pattes et sur le point de jouir quand soudain je sens un gland contre mon vagin. Voilà le troisième et je suis tellement excitée qu'il n'a aucune difficulté à m'enfiler d'un seul coup en grognant :
« T'es bonne ma salope tu vas voir ce que je vais te mettre! »
A cet instant le vieux se retire de ma bouche pour m'éjaculer au visage en m'insultant : « Toutes les mêmes ces cochonnes, tu leur titilles les nibards et elles sont comme des chiennes en chaleur, tiens prends ça haaannn ça t'excite saloperie avale donc ça tiens.... » Et je jouis sous l'effet de ce sperme chaud sur mon visage et des coups de butoir de mon baiseur ; mon esprit disjoncte et je suis comme ailleurs, en train de me faire défoncer en plein air par de parfaits inconnus.
Mais celui qui se trouvait entre mes seins les a lachés pour me présenter sa bite à lécher, elle est beaucoup plus grosse que celle de ses partenaires, et plus longue aussi, je l'avale avec envie, le visage encore barbouillé de sperme et gémissante. L'autre m'agrippe la croupe comme pour m'empêcher d'échapper à la violence de ses assauts et j'ai du mal à sucer le troisième correctement tellement sa queue est grosse. Le vieux a pris une gorgée de bière ; il allume une clope et nonchalemment glisse une main sur mon clito pour se mettre à le branler vigoureusement, m'arrachant un deuxième orgasme.
« Tu aimes ça allez donne toi fais ta pute...
- Haann oui je suis votre pute défoncez moi par tous les trous bien profond les mecs ! » Il sourit, et presque aussitôt je sens la verge de celui qui me ramonait la chatte se présenter à mon anus, appuyant fortement pour m'ouvrir en deux, je pousse un hurlement mais aussitôt celui que je léchais me plaque violemment la main sur la bouche.
« Ta gueule petite pute ! Tu vas rameuter du monde! » Je lui mords la main tandis que l'autre, bien calé au fond de mon cul, commence à me ramoner à grands coups -mais comment fait-il pour ne pas avoir joui encore?!
Le vieux, qui décidément est en forme pour son age, me présente alors son sexe à sucer de nouveau:
« Bouffe plutot ça salope et applique toi. T'es bonne de partout et on va se faire ton cul tous les trois alors autant coopérer et nous laisser le temps à tous d'en profiter. » Je tente au mieux de lui tailler une bonne pipe mais ce n'est pas évident à cause des coups de l'autre. Et soudain, je sens le troisième se glisser sous moi en me pinçant violemment les tétons au passage; cette douleur m'arrache un râle de plaisir mais el vieux me reprend fermement les cheveux.
« Contente toi de sucer baiseuse ! »
Le troisième présente sa grosse queue à l'entrée de mon vagin et attend que son compère ressorte complètement avant de me renculer, et lui m'enfile son sexe d'un seul coup jusqu'à arriver en butée; les deux se mettent à me défoncer en cadence, et je jouis encore une fois. Le vieux m'assène une claque et m'intime encore une fois de garder le silence.
« Pompe moi saloperie! »
L'homme qui m'enculait jouit enfin dans un râle en me claquant les fesses ; il se retire et l'autre en dessous s'empresse de prendre sa place dans mon anus dilaté. Mais il me met sa main sur la gorge et m'oblige à me redresser. Son autre main est plaquée sur mes seins et les malaxe ; le vieux s'est écarté en se branlant tantdis que le troisième finit sa bière avec une clope.
L'homme se retire de mes fesses, me fait pivoter mes le mur de briques froides, debout et dos à lui. Il appuie mon visage et mes seins contre les briques et s'approche de mon oreille.
« Tu es à moi. » Je retiens mon souffle, incapable de bouger.
Me maintenant écrasée contre le mur d'une main il écarte mes fesses de l'autre et m'encule aussi sec de sa queue lubrifiée par ma mouille et le sperme de l'autre, il me déchire en deux de son gros membre d'un seul coup sans précaution, et se met pas très rapidement mais puissamment à me pilonner, je ne peux laisser échapper qu'un râle et certainement pas crier plaquée au mur comme je le suis mais cela m'aide aussi à tenir debout sous la jouissance qui me parcourt alors que son rythme s'accélère. Lui qui ne disait jusque là pas grand chose éclate :
« Tiens ma grosse salope, tu m'excites depuis le premier jour où je t'ai vue passer avec tes gros nichons et ton cul qui me faisait bander, prends ça tu le sens hein quand je te baise comme tu le mérites ! » Peu à peu il appuie sur mon dos pour que je me penche, me laissant recluer du mur pour lui offrir mes fesses, mes seins pendant sous moi que l'autre jeune vient malaxer et pincer en me sussurant que je suis bonne à baiser. Je me sens transpercée et transporter par les va et viens de son copain et je gémis.
« Oh oui défonce moi baise moi, encule moi fort ! »
Mon enculeur finit par jouir bruyamment, mais presque aussitôt le vieux vigoureux le remplace. Brutalement il me retourne contre le mur et m'écrase contre en pressant sa queue sur mon ventre, où je la sens dégouliner. Il me fouille la chatte de deux gros doigts burtaux.
« Ca te fait bien mouiller de te faire enculer profond cochonne, tu aimes ça hein trois queues pour te le mettre partout avoue...
- Ho oui j'aime que vous me baisiez avec vos belles queues les mecs... » toute retenue m'a échappée désormais. Le vieux me roule une pelle agressive à sa manière et m'appuie sur les épaules pour me faire descendre, il attrappe mes seins par les tétons en les pinçant et me lançant par là une décharge électrique, et place sa queue entre mes deux mamelles.
« Branle moi avec des grosses loches! » me fait-il d'un ton sec.
Je m'exécute un peu déçue de ne pouvoir la lécher mais l'autre jeune arrive à point pour me faire sucer son membre regonflé que je me mets à sucer avec enthousiasme : je n'en ai pas eu assez, il m'en faut encore.
Après quelques minutes de ce traitement le vieux me présente aussi son sexe à sucer et je les suce alternativement, parfois les deux en meme temps. Sans meme que j'y pense ma main a trouvé le chemin de mon clitoris et le frotte furieusement tellement cette situation et le plaisir que j'ai pris m'excitent.
« T'es vraiment une chienne en manque toi » rigole le vieux en le faisant remarquer à ses camarades qui acquiescent. «Mets toi à quatre pattes ! » m'odonne-t-il ensuite. Obéissante, je lui présente ma croupe, il vient se positionner derrière et l'autre jeune me redonne sa queue à lécher.
« Et maintenant montre moi à quel point tu la veux ma pine dans ton cul, montre moi comment ton cul la cherche... » Il pose ses deux mains sur les hanches et colle mon anus à son érection ; j'en ai terriblement envie alors j'ondule du bassin en frottant ma raie pleine de sperme et de cyprine et ma vulve détrempée contre son braquemart. Il a l'air d'apprécier ça et il marmonne:
« Petite allumeuse tu la veux ma bite dans ton cul hein t'en as envie de te faire ramonner dis le que tu veux ma bite dans ton cul et comment tu la veux.
- Je veux ta bite dans mon cul, je la veux profond, je veux que tu me défonces à fond, je veux que tu me déchires l'anus avec ta grosse queue mets la moi fort.... »
Apparemment émoustillé il m'enfile d'un coup sans prévenir en me collant les fesses contre lui, je sens ses couilles plaquée contre mon vagin et son membre palpiter en moi, et il se met à me baiser comme jamais, tandis que je suce l'autre avec une telle vigueur qu'il ne tarde pas à jouir sur mes seins, et le vieux me baise toujours plus fort en me claquant les fesses de temps en temps et en grognant.
« Tiens tu vas tout prendre tu l'as voulue hannnnn grosse cochonne t'aimes ça te faire mettre par un gros membre d'un inconnu, t'es vraiment une salope toi et ton cul me fait bander haaaaaaa vasy je te donne tout tu me vides les couilles. » Il m'agrippe les cheveux et me tire la tete en arrière pour me regarder dans les yeux.
« T'aimes ça te faire défoncer comme une vulgaire pute dis le !
- J'aime ça défoncez moi encore, baisez moi comme une pute haaan j'en peux plus ouiiii... Remplis moi vide tes couilles dans mon cul ! »
Il jouit en râlant très fort, je sens de longs jets de sperme dans mon anus et je jouis pour la énième fois avant de m'effondrer.
« Super baise » commente le vieux en reprenant ses esprits et en s'allumant une clope, « faudra qu'on vienne te voir un de ces soirs... » ajoute-t-il en montrant mon logement d'un coup de tete. Je sens bien que je n'ai pas le choix et que ça arrivera, j'en suis déjà toute excitée, je viens d'ouvrir de ouveaux horizons à ma vie sexuelle, je le sais.
Je rentre chez moi et je prends un long bain pour me nettoyer en pensant à la prochaine histoire à raconter...

 

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