Lorsque je me rendis à ce premier rendez-vous lancé par
défi par mon chef d'atelier, je ne pensais pas aller trop
loin, juste de quoi allumer ses désirs. Mais l'homme savait
y faire. Il m'emmena dans la campagne angevine et m'invita
à m'asseoir dans un coin retiré pour me reposer. Je me méfiais
un peu, mais j'acceptai. Il me parlait de choses et d'autres,
de sa vie, de son divorce ; puis il me demanda de parler
de ma vie, de mes occupations en dehors du boulot. La discussion
banale allait se terminer lorsque je sentis un bras plus
entreprenant le long de ma jambe. Je reculai un peu et le
regardai avec insistance :
- On devrait rentrer, il se fait tard ; il vaut mieux ne
pas affoler tout le monde !
- Laisse-toi faire, répondit-il précipitamment, j'ai envie
de t'embrasser.
Mon recul ne l'avait pas rassuré ; il avança doucement
ses lèvres et là, sans rien comprendre à ma réaction, je
le laissai s'emparer de ma bouche. Il introduisit passionnément
sa langue et je la suçai avec délice. Je sentis une main
remonter le long de ma jupe et atteindre ma culotte. Il
renouvela son baiser, après m'avoir regardée avec douceur
et là, je sentis sa main plus entreprenante se poser sur
mes poils puis descendre jusqu'à ma chatte. Je ne voulais
pas desserrer mes jambes. Alors, il avança doucement son
genou et libéra le passage. Je sentis un doigt conquérant
inverstir ma chatte mouillée malgré moi.
- J'ai envie de toi, laissa-t-il échapper dans un souffle
câlin près de mon oreille.
- Non, pas maintenant. Il faut que je réfléchisse. Je n'ai
pas envie de tromper mon mari.
- Alors apaise mon désir par une caresse. Je ne tiens plus.
Il approcha ma main de son sexe gonflé. Le tissu qui me
séparait de sa bite fut très vite enlevé. Ses yeux brillaient.
J'étais dans un état second et je me disais que c'était
une solution pour éviter le pire.
Je passai alors ma main le long de sa queue, je descendis
jusqu'aux couilles, les soupesai. Elles étaient grosses,
pleines de sperme. Il s'était laissé aller et je hasardai
un doigt le long de sa raie jusqu'à son cul. Il paraissait
aux anges. Je savais que je pouvais ainsi le calmer sans
passer à l'acte. Je saisis sa queue à pleine main et fis
quelques mouvements pour le branler. Il me caressait les
cheveux et avec les pressions qu'il exerçait sur ma nuque,
je compris qu'il voulait plutôt ma bouche.
- Laisse-toi branler cette fois-ci, ça te calmera et on
fera d'autres choses plus tard.
- Alors demain, on se donne rendez-vous aux toilettes et
tu me donneras ta bouche.
- Oui, je te sucerai dans les toilettes.
Je savais qu'en lui parlant de toutes ces cochonneries,
son excitation serait à son comble et qu'il éjaculerait.
Alors, le regardant dans les yeux, je poursuivis mon entreprise
en serrant la tige qui allait exploser ; j'ajoutai avec
perversité :
- Tu veux que je te fasse sortir tout ton jus. Ne me salis
pas la robe. Dis-moi quand tu es prêt à lâcher ton foutre.
Je continuai mes mouvements de plus en plus vite, mais
ce salaud se retenait. Alors je fis quelque chose que je
ne faisais même pas à mon mari. De mon autre main, j'écartai
ses fesses et j'introduisis un doigt dans son cul en lui
disant :
- Tiens, tu sens ce que je te fais, salaud, tu me le feras
lorsque tu me baiseras. Je sens que ton foutre monte. Déverse
tout dans mes mains, je les lècherai ensuite.
Mon doigt figé dans son cul fut brutalement enserré par
les contractions de mon amant et au même moment une giclée
monta dans les airs et retomba lourdement sur mes doigts.
Une seconde giclée arriva, encore plus puissante . Elle
se perdit dans l'herbe. Je ralentis mes mouvements et je
vis se déverser goutte à goutte une quantité inimaginable
de sperme. Mon mari n'éjaculait jamais comme ça. Je me disais
que j'aurais du mal à tout prendre dans la bouche. Il faudrait
qu'il soit compréhensif.
J'avais les mains gluantes et caressai son ventre avant
de porter mes doigts à la bouche. Je les suçai un par un,
puis les lui donnai à lécher pour me débarasser des dernières
gouttes.
Lorsqu'il s'empara du doigt qui avait visité son anus,
il le suça avec délectation et je sentis qu'il commençait
à s'exciter à nouveau. J'étais à nouveau aux prises avec
une pulsion qu'il fallait bien évacuer pour ne pas avoir
d'ennuis. Il m'attira à lui et m'embrassa. Des odeurs se
mêlaient et révélaient l'amour. Sa bite reprenait ses proportions.
Il fallait que je parte :
- Je t'en prie. Calme-toi. Demain c'est promis, je te sucerai
dans les toilettes.
- Non, non. Fais-le maintenant.
Il s'empara de sa queue à nouveau durcie et la présenta
devant mes lèvres. Il était debout et moi à genoux. Il passa
sa queue dans mes cheveux. C'était dangereux de laisser
ces odeurs. Alors je me résignai. J'entrouvis les lèvres
et sentis son gros membre me forcer le passage. j'écartai
les mâchoires et j'enfournai son gros chibre. C'est vrai
qu'il était plus gros que celui de mon mari. pourtant il
me suffisait, celui de mon mari ; alors pourquoi ce trouble
avec cet amant de fortune ?
- Tu as une grosse queue, chéri. Alors va doucement. Ne
me l'enfonce pas au fond de la gorge.
Il me maintenait la tête et faisait des mouvements comme
s'il me baisait la bouche. Des larmes vinrent à mes yeux,
parce qu'il fallait que j'ouvre encore plus ma bouche. Je
me disais que par chance, il ne dégagerait pas autant de
foutre que tout à l'heure. Alors je me mis à lui caresser
les couilles un peu par vice et un peu pour me rassurer
: en fait, elles étaient toujours aussi grosses.
- Tu veux sentir mon foutre couler dans ta bouche ?
Je ne pus répondre. Il prit ce silence pour un accord avec
les mots crus qu'il voulait m'adresser :
- Tiens, salope, suce une autre bite que celle de ton mari.
Ce soir, tu vas peut-être le sucer aussi. Hein ? Tu aimes
sucer des queues. Tu suceras à tour de rôle celle de ton
mari et la mienne. Tu vas prendre plein de foutre.
En effet, je m'attendais à tout prendre lorsque je vis
que dans la précipitation de sa décharge, il voulait déposer
toute sa semence sur ma figure. Il retira sa bite de ma
bouche et agita sa queue sous mon nez.
- Non, non, viens dans ma bouche pour ne pas laisser de
traces. Je t'en prie, tu vas m'en mettre dans les cheveux,
ça va se voir.
Mais il était trop tard. le premier jet vint atteindre
mes narines, le second alla dans les cheveux et le reste
se dispersa autour de ma bouche. Je l'ouvris bien grande
pour recueillir son foutre qui ne cessait de se déverser.
- Tu as une sacrée dose pour une deuxième fois. J'espère
que tu t'es calmé. On est allé assez loin. Essuie-moi les
traces dans les cheveux, je t'en prie.
Sur la route du retour, je me dis que j'étais sur la voie
de l'adultère mais j'avais encore un peu de temps devant
moi pour réfléchir. Il était peut-être encore temps. Si
je refusais de baiser, je n'aurais trompé mon mari qu'à
moitié !
Auteur
|