TITRE : Les Deux Magots
Catégorie : 
Histoire avec un e inconnu e

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En cette belle après midi de mai, je m'installe à la terrasse des Deux Magots, l'une des plus belles et des plus chics de Saint-Germain-des-Prés. Je réside dans le quartier et j'ai mes habitudes à cette terrasse ensoleillée et bien fréquentée.

Je commande un verre, ouvre mon journal et, levant les yeux entre deux articles, je découvre à ma droite une femme d'une beauté bouleversante : la quarantaine, cheveux châtains relevés sur une nuque fine, les membres délicats, de grands yeux noisettes et une bouche sensuelle marquée par une légère moue dédaigneuse. Elle est vêtue d'une robe de soie avec des motifs de camouflage, sur laquelle elle porte un gilet, car le vent est frais et d'admirables sandales à talons dont les minces lacets de cuir enserrent ses fines chevilles. Sa robe, très échancrée, découvre de longues cuisses bronzées et soigneusement croisées. Je reste subjugué : cette femme est la féminité incarnée. A la fois très sexy et d'une grande élégance de gestes. Très classe, malgré la simplicité de sa tenue. Tout ce que j'aime !

Elle me renvoie un sourire discret et poli, puis regarde au loin sans sembler prêter attention à moi. Je remarque son alliance. J'essaie de l'oublier et me replonge dans mon journal. Mais je ne peux m'empêcher de l'admirer à la dérobée pendant qu'elle boit une flûte de champagne. Elle le sait et elle a manifestement l'habitude de plaire. Un autre homme s'intéresse à elle : la cinquantaine, à moitié chauve, un pantalon de cuir noir, la peau abîmée par le tabac et l'alcool et un air pas net.

Je souris : elle a vu que j'ai vu qu'il l'a vue. A 39 ans, grand brun mince et solide, la bouche sensuelle et le regard pénétrant, je n'ai pas besoin d'être rassuré sur ma capacité de séduction. Nous sommes de la même espèce, et elle le sait. Nouveau petit sourire. En reposant sa flûte, elle laisse s'entrouvrir son gilet et apparaître un profond décolleté entre deux seins galbés. La vision provoque un fourmillement immédiat entre mes cuisses. Je sens ma queue se raidir dans mon jean trop serré. Cette belle bourgeoise aime plaire : elle n'a visiblement pas de soutien gorge sous cette robe de soie très décolletée. J'ai la bite qui palpite de plus belle, obsédée par cette vision.

La belle élégante referme son gilet, se lève et quitte la terrasse d'une démarche majestueuse, semblant ignorer l'affolement qui règne parmi les hommes présents. Je me lève à mon tour, suivi par le type un peu glauque. Au premier feu rouge, j'ai le droit à un petit sourire qui m'encourage.

- Madame? Attention ! Vous êtes suivie par un homme tout habillé de cuir noir ! Puis-je vous aider ?

- Oh oui, répond elle en riant, accompagnez moi pour le décourager s'il vous plaît.

Nous marchons un peu : elle est à Paris pour affaires et son hôtel est à deux pas. Arrivés devant le hall, un sourire, un clin d'oeil et une très légère pression de ses longs doigts sur mon bras m'invitent à rentrer.

Mon cœur s'affole, ma bite souffre, enfermée dans mon jean. Je calme ma respiration, essaie de retrouver le contrôle de mes réactions pour mieux profiter de cette invite. Elle prend ses clés. Je plonge mon regard dans le sien, pénétrant, ironique, sûr de moi... Elle soutient un peu mon regard dans un instant d'une grande intensité érotique, puis baisse les yeux, vaincue. Je la suis, la laisse ouvrir la porte et entre avec elle dans sa chambre parfumée d'une enivrante odeur de femme...

Elle me fait face et me sourit, je la prends par la taille... Une taille souple, fine... J'ai envie de la prendre brutalement tellement elle m'excite mais je ne veux gâcher aucun plaisir par excès de précipitation. Nos lèvres jouent, nos langues se mêlent dans une belle danse sensuelle, tandis que je la tiens par la nuque. Son ventre se plaque contre le mien pour mieux sentir la queue raide qui déforme mon jean.

Ouvrant son gilet, j'écarte les pans de la robe de soie de chaque côté de ses deux gros seins bronzés qui apparaissent dans toute leur splendeur. Peau veloutée sous mes doigts, pointes durcies de désir entre mes lèvres, elle se livre totalement en gémissant... Elle murmure dans un souffle “Vas-y... Continue, c'est si bon...” Cet aveu finit de m'exciter. Je lui malaxe les seins, les maltraite un peu et l'entends gémir de plus belle pendant qu'elle se cambre.

Une main sûre flatte le galbe de ses fesses à travers la soie et je me rends à l'évidence : cette belle bourgeoise mariée n'a pas de string ! Elle est descendue boire une flûte de champagne nue sous sa robe, cette salope ! Je comprends que j'ai été choisi pour satisfaire ses envies de sexe, qu'elle savait parfaitement ce qu'elle faisait...

- Salope ! Tu me rends fou, tu vas voir ce que tu vas prendre !

Le ton change, une lueur d'excitation traverse ses grands yeux de biche et je la repousse dans un fauteuil.

J'ouvre lentement mon jean devant elle et sors ma queue fièrement dressée, le gland mouillé d'envie.

- Remonte ta robe !

Elle s'exécute, laissant apparaître une chatte épilée surmontée d'un petit triangle de poils parfaitement taillé, pendant que je me branle lentement à un mètre d'elle , profitant du spectacle... Je décide de l'humilier encore, puisqu'elle veut de la bite et qu'elle semble y prendre plaisir.

- Ouvre les cuisses ! Mieux que cela, petite garce, poses les sur les accoudoirs !!

Je peux voir sa petite chatte rose qui s'entrouvre, perlée d'excitation, et je devine son petit œillet plissé entre ses fesses. Je m'approche lentement d'elle, mon pieu palpitant entre mes doigts et l'attrape brusquement par les cheveux. J'ai envie de la provoquer, de l'humilier, c'est plus fort que moi tellement je suis excité :

- Regarde salope ! Elle t'excite ma grosse bite, avoue ! C'est ça que tu veux ?

Elle ne répond pas, mais se caresse à présent devant moi, d'un doigt long et parfaitement manucuré et m'observe les yeux mi-clos.

La tenant toujours par les cheveux, je cogne mon gland durci contre ses joues et caresse son visage avec.

- Tu sens comme elle est dure ? Tu as besoin d'une queue raide, avoue petite garce !!

Elle répond par un gémissement et entrouvre la bouche. Fou de désir, je m'y enfonce lentement et la laisse s'habituer à cette intrusion.

- Vas-y suce, salope, et mouille-la bien ! Tu vas en avoir besoin...

Ses doigts attrapent délicatement mes couilles lourdes de jus, les caressent et les malaxent pendant que sa langue lèche mon gland. Elle gobe ma tige durcie en arrondissant les lèvres et se l'enfile profondément, puis commence de doux va-et-vient. Sa bouche est douce, tiède... Je vois son bassin onduler pendant qu'elle me pompe goulûment. Lui maintenant la tête d'une main ferme, je donne quelques coups de reins, de plus en plus puissants, propulsant ma queue raide dans cette bouche docile. Je lui baise la bouche sans ménagement pendant qu'elle répond par des gémissements à chaque provocation.

- Ça t'excite de te faire baiser la bouche par un inconnu dans un hôtel, avoue ! Tu sais comment ça s'appelle, ce genre de femme ? une pute ! Une belle petite pute ! Elle te remplit bien ma grosse bite ? Tu es en train de penser à ce qu'elle va te faire dans la chatte et dans le cul, avoue salope !

Prenant ma queue entre ses doigts fins, elle lève sur moi ses grands yeux noisette et me lance un regard approbateur.

Cet aveu m'achève ! Je glisse mes couilles entre ses seins voluptueux et sens les palpitations annonciatrices du plaisir. Lui malaxant les seins sur mon pieu, je fais jaillir de puissants jets de foutre épais et tiède... La belle gémit toujours, arrosée de jus qui coule sur son visage, ses cheveux, son cou...

Elle ne dit toujours rien. Je la contemple, alanguie, souillée de foutre, le corps secoué de spasmes et les seins gonflés de désir. Je me jette à genoux entre ses jambes ouvertes et lèche la peau velouté de l'intérieur des cuisses, tournant autour de la chatte sans la toucher encore. Je l'ouvre très délicatement entre mes doigts et je constate à quel point elle dégouline d'envie. Huuummm ! Son odeur de femelle excitée m'enivre. Ma langue glisse le long de sa chatte, titille son clito, frôle ses lèvres, glisse sur son anus brun, remonte au clito. Cette odeur et cette pose obscène m'excitent. Je sens ma queue gonfler de nouveau, palpiter entre mes cuisses. J'ai envie de la saisir entre mes doigts, mais je me consacre au plaisir de la belle, qui à présent râle sans retenue. Je lèche puis enfonce lentement mon pouce entre les lèvres roses de sa chatte gluante. Mon index frôle son anus qui frémit. Elle se cabre brusquement, enfonçant elle-même la première phalange. Tout en lapant son clitoris gonflé, je lime ses deux trous de mes doigts mouillés, je la regarde s'ouvrir et l'entends émettre un petit feulement de femelle en rut. Soudain son corps est secoué de spasmes, je sens sa chatte et son cul se contracter sur mes doigts fureteurs. Elle hurle son plaisir en battant des cuisses, en poussant son bassin vers ma langue et mes doigts, totalement déchaînée....

Elle s'apaise lentement, mes doigts toujours fichés en elle, ouverte, la mouille coulant entre ses cuisses... Je retire mes doigts lentement.

- Tourne-toi !!!

Elle me lance un regard provocateur et se place à genoux sur le large fauteuil, le buste reposant sur le dossier. Je m'installe derrière elle, bien calé, la queue dure à la main et jouis du spectacle.

- Tu sais que tu vas te faire mettre jusqu'aux couilles ? Ouvre-toi avec tes doigts, montre-moi que tu en veux, petite chienne !

Toujours sans un mot et avec un geste ravissant, elle ouvre ses jolies fesses devant moi, écartant les lèvres de sa chatte avec ses doigts, dévoilant son petit trou encore palpitant. Je pose ma queue entre ces globes affolants et me branle lentement. Elle ondule, profitant de la présence de ce pieu vibrant dans sa raie gluante. Je l'excite un peu avec mon gland, massant son anus, frôlant ses lèvres intimes... N'y tenant plus, je prends alors ma queue entre le pouce et l'index, place mon gland devant sa chatte béante et m'enfonce lentement alors qu'elle pousse un long râle. Je ressors, pour lui faire prendre conscience du vide, puis je m'enfonce brutalement jusqu'aux couilles. Je la défonce alors à puissants coups de reins.

- Tiens, prends ça ma salope ! C'est ce que tu voulais, avoue ! Te faire défoncer, prendre une grosse bite bien au fond de ta chatte ! Traînée !

Je la saisis par les hanches et me déchaîne en elle malgré ses hurlements. Elle pousse, se cambre, me provoque de tout son corps. Je ressors de sa chatte et pose mon gland sur sa rosette trempée de mouille. D'une poussée ferme et décidée, je m'enfonce entre ses fesses alors qu'elle gémit un “noooonn” peu convainquant. Bien calé au fond de son cul, je la laisse s'habituer à cette présence dure dans ses entrailles. Puis je la sens bouger lentement, pousser encore, remuer de la croupe pour mieux sentir ma bite plantée en elle.

Je l'attrape alors par les seins qui ballottent sous son corps, en pince les pointes et m'enfonce d'un puissant coup de reins. Très excité je m'acharne sur elle, n'écoutant plus que mon plaisir, déchaîné par la docilité de son cul offert.

- Tu aimes cela, t'en prendre une grosse dans le cul, hein salope ! Ce n'est pas ton mari qui ose te traiter comme tu aimes ! Tu as besoin de te sentir tringlée, pas de faire l'amour ! Prends ça dans ton cul de putain !

Et alors elle oublie enfin sa réserve et gémit en remuant la croupe :

- Ouiiiii... Je suis une chienne, une salope, vas-y défoule-toi, défonce-moi le cul, c'est tout ce que je mérite !

Je m'enfonce de plus en plus violemment, sortant de ses fesses pour admirer son trou béant, replongeant au fond, l'enculant brutalement de toutes mes forces, en geignant de plaisir.

- Ouuiiiii... encule-moi !! Vas-y... C'est boooon... Profite de mon trou de belle salope !

De nouveau, elle a hurlé son plaisir en haletant et en se contractant sur ma queue. Et là, j'ai craqué, vaincu par tant de grossièreté dans une bouche si délicate. Je me suis vidé en elle à grands jets épais, pendant qu'elle levait le cul et le remuait dans tous les sens, comme pour me vider les couilles jusqu'à la dernière goutte....


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