TITRE : Les concièrges
Catégorie : 
Histoire Groupes et Partouze

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Martine et Luc, les deux concierges de l’immeuble, m’avaient donné rendez-vous vers 20 heures à leur appartement. À peine deux jours après ma baise avec Martine, son mari désirait me rencontrer et le couple voulait déjà passer à l’acte mais cette fois-ci en trio. Je n'y voyais aucune objection. Sexuellement et physiquement, Martine répondait parfaitement à tous mes fantasmes les plus pervers. Son corps idéal, son caractère si direct et son impudeur, me comblaient plus que tout autre désir. Puis, l’idée de la baiser en présence de son mari, pleinement consentant, représentait un nouvel attrait dans l’affaire. J’étais curieux de savoir jusqu’où elle pouvait aller.


Je m’étais préparé, physiquement et mentalement, pour ne pas les décevoir. C’est donc bien douché, fraîchement rasé et la libido en pleine ébullition que je me présentai à leur appartement à l’heure voulue. C’est Luc qui vint me répondre. En entrant, je remarquai tout de suite l’attirail installé dans le salon ; deux lampes d’éclairage et une caméra sur trépied.

- Excellent, tu es à l’heure ! Entre et installe-toi... Martine va bientôt sortir de la douche, me dit-il en m’indiquant le sofa. Tu veux quelque chose à boire ? Une bière, du vin ? Me demanda-t-il, pendant qu’il se dirigeait dans l’autre pièce.
- Heu, oui... Une bière, me contentai-je de répondre tout en regardant autour.

Devant moi, sur la table basse, il y avait une boîte de carton. Je l’ouvris, pour y découvrir un tube de lubrifiant, des menottes, un bandeau et un vibro double fonctions. Puis, Luc revint avec deux bières et un verre de vin.

- C’est pour Martine, elle préfère le vin, m’avoua-t-il. Tu vois un inconvénient à ce que j'ouvre le canapé-lit ?
- On va faire ça ici, j’imagine… Avec tout cet attirail, vous avez l’intention de filmer ? Questionnai-je bêtement, connaissant déjà la réponse.
- Heu oui… T’as pas d’objection ? S’enquérit-il.
- Non, non… Du moment que vous me fassiez une copie, répondis-je en souriant.
- No prob. Je peux même te faire une compilation de nos meilleurs moments si tu veux, enchaîna Luc, me rendant mon sourire en coin.

Au même moment, Martine arriva dans le salon, simplement vêtue d’un peignoir blanc en ratine, les cheveux mouillés, ramenés en chignons au-dessus de la tête.

- Salut les mecs ! Vous êtes déjà prêts ? Souligna-t-elle pendant que nous installions le canapé-lit.

Elle embrassa son mec tout en glissant une main entre ses cuisses pour entreprendre de lui caresser le sexe par dessus le pantalon.

- Robert, mets en route la caméra, m’ordonna-t-il.

J’allai donc m’installer derrière le trépied pour actionner le mécanisme tout en me penchant pour ajuster l’objectif. Dans le viseur, je pouvais la voir s’agenouiller devant lui, dégrafer son jean, extirper son pénis déjà dur pour, d’abord y donner quelques coups de langue sur le gland (il était circoncis comme moi) avant de le faire glisser langoureusement entre ses lèvres, jusqu’au fond de sa gorge. Pendant qu’elle le suçait avidement, elle détourna les yeux vers la caméra et me fit signe de venir les rejoindre. Satisfait du plan que la caméra prenait, je ne me fis pas prier plus longtemps et j’allai m’installer à sa gauche. Je défis rapidement ma braguette, me sortis la queue et lui présentai. Délaissant celle de Luc, elle s’y jeta comme une ogresse. Alors qu’elle entreprenait de me faire une fellation en règle, son mari lui empoignait les seins à pleines mains, sans ménagement, tout en l’encourageant de paroles crues. Il la traitait désormais comme notre esclave sexuelle et elle semblait apprécier au plus haut point, gémissant déjà de plaisir, même la bouche pleine.

- Allez ma belle salope, suces-le comme une cochonne. Lèches-lui les couilles, ordonnait-il.

Pendant qu’elle s’exécutait avec un réel plaisir, Luc en profita pour se déshabiller. Dès qu’il fut à poil, il revint à la charge. Pendant que Martine s’acharnait sur ma bite, l’empoignant à deux mains pour la pousser bien profondément dans sa gorge, Luc se plia derrière elle pour atteindre ses fesses. Par derrière, il glissa une main entre ses cuisses et il lui enfonça deux doigts dans la chatte, puis les fit aller et venir en gestes saccadés. Puis, il retira ses doigts qu’il lécha goulûment et prit le vibro dans la boîte. Après l’avoir enduit de lubrifiant, il recommença sa manœuvre mais cette fois avec l’objet. En m’étirant le cou, je pouvais voir ce qu’il lui faisait. Tout en continuant de me sucer, elle s’arquait le bassin, le relevant légèrement pour lui donner un meilleur accès. Luc lui enfonçait le vibro dans la chatte tandis que la petite branche entrait et ressortait de son anus à chaque mouvement, le dilatant chaque fois de plus en plus. Martine semblait éprouver beaucoup de plaisir à sentir l’objet glisser en elle par les deux trous ; elle gémissait de plus en plus fort.

- Allez, il est temps de passer aux choses sérieuses. Robert, mets-toi à poil… Toi, ma cochonne branles-toi sur le lit, ordonna-t-il.
- Ohhhhh oui… Dépêchez-vous mes deux salauds… J’en peux plus d’attendre, fit-elle en se jetant sur le lit avec le vibro bien enfoncé dans sa chatte.

Elle l’attrapa à deux mains et força son sexe, les jambes indécemment écartées. Pendant que Luc s’astiquait le poireau en reluquant sa femme qui se masturbait frénétiquement, comme si nous n’étions plus là, je retirai mes vêtements aussi vite que je pus. Nous étions maintenant tous les deux, nus comme des vers, devant cette femme qui semblait prise d’une hystérie libidineuse hors contrôle, prête à tout pour atteindre des orgasmes à répétition.

Luc s’agenouilla devant elle et lui retira le vibro pour se plonger la face entre ses deux jambes et la lécher. Je me dirigeai alors vers son visage. Rendu à sa hauteur, elle prit mon sexe dans sa main et entreprit de le lécher sur toute la longueur, glissant sa langue sur mes couilles, cherchant à aller encore plus loin. Je levai alors la jambe droite, posai le pied sur le lit improvisé et elle poussa plus loin entre mes fesses, entreprenant de me lécher l’anus à grands coups de langue. Pendant ce temps, son mari s’était redressé sur ses genoux, attrapant Martine par le bassin pour l’attirer à lui et, d’un coup sec, enfonça son pied dans son sexe tout mouillé. Martine ne gémissait plus, elle râlait ! Prenant ma queue d’une main et sa nuque de l’autre, je lui enfonçai dans la bouche. Je voulais venir une première fois dans sa bouche. Mais, elle ne l’entendait pas de la sorte. Après quelques coups dans le fond de sa gorge, elle me repoussa.

- Je veux que vous me baisiez tous les deux en même temps… Je veux être votre salope, lança-t-elle avant de se mettre à quatre pattes. Viens t’étendre, toi, je te veux dans ma chatte, m’ordonna-t-elle
- Vas-y, tu ne le regretteras pas vicelard ! Ajouta Luc

Comment refuser une telle invitation ? Je m’étendis donc sur le dos et Martine me chevaucha en attrapant ma bite toute dure pour se la glisser dans la chatte, pendant que Luc s’installait derrière elle, à genoux, pour faire coulisser son gland contre son anus tout en lui écartant les fesses d’une main décidée. Alors qu’elle s’empalait sur mon pénis, Luc la pénétrait par le petit trou. Je ressentais sa bite dure lui ramoner le cul tandis que la mienne cognait contre le fond de son vagin. Martine, secouée par les ondes de jouissances, se raidissait. La sentant sur le bord de l’orgasme, je tendis les deux mains vers ses seins que j’attrapai solidement, tout en pinçant les deux mamelons. Les yeux renversés, les bras levés vers le plafond, Martine se mit à trembler, comme si elle était tout à coup traversée de chocs électriques. Puis, elle émit un profond râle qui annonçait un premier orgasme, puis un second, puis un troisième. En l’espace de quelques secondes à peine, elle venait de connaître trois secousses orgasmiques de suite. Je ne fus pas long avant d’éjaculer à mon tour, l’emplissant de foutre chaud. Luc m’imita quelques instants après et finit de se déverser sur ses reins. Exténuée, Martine s’affala sur le matelas à côté de moi, tout en continuant de se tordre de jouissance.

- Hummmm ma salope, t’aimes ça hein ? Lui lança Luc, tandis qu’elle poussait un gémissement prolongé qui en disait long sur son plaisir. Mais, t’as pas fini ma belle, poursuivit-il en ricanant.
- T’as vraiment le feu au ventre toi, ajoutai-je.
- Laissez-moi reprendre mon souffle deux minutes, puis je m’occupe de vous deux, répondit-elle, les yeux toujours mi-clos, tout en affichant un sourire presque pervers.
- Je me demandais à quoi servaient les menottes et le bandeau, questionnai-je, en me doutant bien de la réponse.
- C’est pour la suite, se contenta de répondre Luc.

Tout à coup, Martine ouvrit grand les yeux, tout en souriant à belles dents, elle se redressa. Elle venait de comprendre les plans que Luc avait en tête. J’osais à peine m’imaginer la suite, mais je m’en délectais déjà. Je n’en revenais tout simplement pas de toute cette veine. Mes fantasmes les plus fous se réalisaient les uns après les autres.

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