TITRE : L'ennemi du bien
Catégorie : 
Histoire Exhibition et voyeur

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Cela fait maintenant un bon quart d’heure que je suis prêt à partir. Nous sommes en effet invités à dîner chez des amis mais ma femme n’est toujours pas rentrée d’un après midi shopping où sa carte bancaire a dû être chauffée au rouge. [Désolé Mesdames pour ces 2 références misogynes mais je ne relate ici que la stricte vérité] Nous sommes déjà virtuellement en retard et je commence à être un peu tendu car j’exècre par-dessus tout de ne pas être ponctuel. Chacun a ses manies, n’est-ce pas ? Morgane arrive enfin et se précipite dans la salle de bain après m’avoir lancé un « tu as passé une bonne après-midi ? » depuis l’escalier. Je trépigne d’impatience en l’entendant s’agiter dans un concert de robinets qu’on ouvre et ferme et de flacons déplacés puis remis en place.

     
     - Louis, viens m’aider s’il te plait,
     - Qu’est ce qu’il y a encore ? dis-je en râlant et en traînant des pieds pour monter à l’étage,
     - Ce serait trop de te demander de me mettre de la mousse à raser sur les jambes pendant que je finis de me vernir les ongles ? me glissa t-elle avec un sourire exagéré destiné à me montrer que ma mauvaise humeur était fort peu appréciée,
     - Tu ne vas tout de même pas t’épiler maintenant ! On va être hyper à la bourre !
     - Bon écoute, j’en n’ai pas pour plus de 5 minutes, 10 minutes tout au plus pour que je sois habillée et prête à monter dans la voiture ! Tu peux bien m’attendre encore un peu et si tu ne m’aides pas, je ne risque pas d’avancer bien vite.
     - T’es gonflée ! Alexandra est ta copine… Assez perdu de temps, finis-je par dire en attrapant la bombe de gel à raser dans l’armoire de toilette et en recouvrant les jambes de ma femme d’une couche épaisse.

     Quelques minutes plus tard alors que j’étais redescendu…

     - Louis !
     - Quoi encore ?
     - Le vernis n’est pas sec, viens commencer me raser car ça pique…
     - OK, dis-je pensant que cela allait accélérer le mouvement

     Et me voici, armé d’un rasoir jetable, en train de raser les jambes de ma moitié en prenant bien soin de ne pas la blesser. Elle est assise sur un tabouret, la jambe objet de mes soins posée sur le rebord de la baignoire. Elle est quasiment nue, elle a seulement gardé une culotte que je n’aime pas. En rasant le haut de ses cuisses, j’ai la figure à quelques centimètres de son sexe et la tentation est grande de le découvrir en écartant cette barrière de tissu horrible et d’y plonger la langue pour me repaître de ses sucs mais j’arrive à me raisonner. Mes efforts ne sont pas vains car ma femme est maintenant quasiment prête à partir.

     Je redescends confiant au rez-de-chaussée quand…

     - Louis !
     - Mais, c’est pas vrai ! Qu’est ce qu’il y a encore ?
     - Je ne suis pas prête, remonte s’il te plait,
     - …
     - Tu peux m’enlever ça ? dit-elle en me montrant quelques poils de sa toison pubienne, s’échappant à l'entrejambe de sa culotte toujours aussi laide.
     - On ne va pas à la plage et a priori tu ne vas pas te montrer en petite tenue que je sache ! Tu verras cela demain ! Magne toi plutôt de passer ta robe et de monter dans la voiture
     - Non ! dit-elle d’un ton que je lui connais bien et qui ne souffre d’aucune contradiction.

     « Mais qu’elle ce qu’elle a ce soir ? » me dis-je en mon fors intérieur et en me gardant bien de partager mes pensée. Elle quitte sa lingerie pendant que je prépare mes outils et commence à se maquiller debout, un pied posé sur le rebord de la baignoire. Elle s’est un peu penchée vers le miroir et sa cambrure met ses fesses en valeur et tandis que je coupe, taille, progresse à grand peine dans la jungle extrêmement dense des poils volages. Je ne peux m’empêcher de penser que je suis à l’orée de la forêt qui renferme la grotte miraculeuse et mon sexe commence à réagir franchement à ces idées coquines. Et si je laissais traîner un peu mes doigts entre ses lèvres intimes, qu’adviendrait-il ? Le plus gros du travail est maintenant derrière moi lorsque j’empoigne la bombe de mousse à raser qui va me permettre de parfaire mon œuvre et j’en étale une mince bande sur ses aines, lorsqu’elle m’arrache le rasoir des mains en me reprochant de traîner ! Je quitte la salle de bain furieux et l’attends dans la voiture.

     Plus la moindre pensée érotique, rien d’autre qu’une colère noire m’habite. Le trajet est avalé à vitesse grand V et, sans échanger la moindre parole (en d’autres termes, je boude furieusement), nous arrivons chez notre hôte d’un soir avec près d’une heure de retard. Comble d’ironie, je suis placé loin de Morgane pendant le dîner et je passe ma soirée à vider mon verre et à jeter des coups d’œil intéressés dans le décolleté plongeant de ma voisine de gauche dont les seins se tiennent bien malgré ses 40 ans bien sonnés et l’absence de tout soutien gorge. La soirée passe sans que je puisse vraiment dire ce qui s’y est dit et passablement éméché, je laisse le soin à Morgane de nous ramener à la maison.

     - Tu boudes ? dit-elle pour détendre l’atmosphère lourde qui règne dans la voiture
     - ….
     - Bon Ok, je n’ai pas été très cool ce soir mais ce n’est pas une raison pour qu’on se fasse la gueule pendant des lustres
     - T’as gagné, on fait la paix mais la prochaine fois essaie de regarder ta montre !
     - Tu ne vas pas recommencer ?!
     - T’as raison excuse-moi
     - J’ai trop mangé, on pourrait marcher un peu, propose-t-elle en désignant un panneau indiquant la sortie d’autoroute prochaine qui va vers une zone verte de l’est lyonnais
     - Cela ne peut pas me faire de mal, acquiesce-je

     Après avoir garé la voiture, nous nous engageons sur un chemin qui longe une vaste étendue d’eau et pour la première fois de la soirée, je regarde ma compagne. Elle est ravissante dans sa robe longue bleu foncé. J’aurais préféré finalement rentrer à la maison tout de suite pour la déshabiller, la caresser, lui lécher le corps, le posséder et la faire jouir. Ou peut être de lui faire prendre appui sur la balustrade de notre terrasse, de soulever sa robe et de la prendre sans préliminaire. Juste mon sexe coulissant dans le sien, mon pubis buttant contre ses fesses pour un plaisir crescendo. J’ai envie d’elle.

     Quelques couples se promènent également mais nous ne tardons pas à nous en éloigner pour enfin se retrouver seuls. Nous marchons silencieusement chacun perdu dans ses pensées, côte à côte sans nous toucher un bon moment avant que Morgane ne rompe le silence :

     - On fait une pause ? j’ai un caillou dans ma chaussure.
     - Pas de problème, on n’a qu’à s’asseoir quelques minutes avant de faire demi tour

     Pendant que Morgane s’assoit pour enlever ce qui la gène, je m’approche de l’eau et y trempe la main pour en apprécier la température.

     - Elle est vachement bonne, dis-je, je crois que je vais piquer une tête
     - Si tu veux, moi je t'attends là, dit-elle en s'asseyant sur la pelouse.

     Ni une ni deux, me voilà en caleçon prêt à plonger lorsque, pris d’une inspiration subite, je l’enlève pour me retrouver nu comme un vers. Même si je ne suis pas un adepte systématique du nudisme, j’ai toujours apprécié la sensation de l’eau sur mon corps nu, en particulier au niveau des fesses et j’aime le fait que mon sexe ne soit pas engoncé dans un maillot de bain. Je nage pendant quelques temps et me dirige à nouveau vers Morgane toujours sagement assise…

     - Tu as tort de ne pas venir te tremper, elle est vraiment bonne,
     - Je te connais ! Avec toi elle est toujours bonne! Je préfère voir par moi-même si elle est aussi bonne que tu ne le dis et n’en profite pas pour m’arroser au passage !
     - …
     - C’est vrai qu’elle est chaude!
     - Ben qu'est-ce que t’attends alors?
     - J'ai pas de maillot et on n'a rien pour s'essuyer avant de remonter dans la voiture. On va toute la trempée !
     - Pour le maillot, je ne peux rien pour toi mais tu n'auras qu'à utiliser mon tee-shirt pour t'essuyer.

     Je la vois hésiter quelques instants avant de retourner auprès de ses chaussures qu’elle avait laissées et enlever sa robe. Elle porte un ensemble de lingerie blanche toute simple, à peine plus seyant que ce qu’elle portait dans l’après midi alors que je dépense des fortunes dans les boutiques de lingerie et je la vois méditer quelques instants avant d’enlever son soutien gorge qui rejoint sa robe par terre. Elle me rejoint dans l’eau rapidement et s’approche de moi en riant.

     - Qu’est-ce qui te fait rire ?
     - Ce qui est sympa avec toi, c’est que je te fais de l’effet même si je n’ai pas mis de sous vêtements sexy, dit-elle en désignant l’érection manifeste de mon sexe.

     Arrivée à quelques centimètres de moi, elle s’accroche à mon cou et m’enserre la taille de ses jambes avant de plaquer ses lèvres sur les miennes. Nos langues se mêlent dans un baiser effréné. Mon sexe tendu s’est lové dans son sillon fessier par-dessus le tissu de sa culotte et je m’amuse à prolonger mon excitation par des frottements légers sur le tissu de son slip. J’ai glissé mes mains par l’élastique de sa culotte et les aie posées sur la peau blanche de ses fesses. Je caresse doucement les deux globes de chairs et ma femme répond à ces prémisses en se collant encore plus étroitement à moi. Je sens les bouts érigés de ses seins contre mon thorax et je sors de l’eau, ma femme toujours dans mes bras, pour nous allonger sur la zone herbeuse toute proche. Je la sais très excitée. J’ôte sa culotte trempée qui dessinait si bien la fente de son sexe pour lui faire l’amour. Et là, surprise !

     Son sexe est complètement rasé, plus un poil de la toison dans laquelle je me perdais lorsque je la faisais jouir avec ma langue.

     - Tu aimes ? me demande t-elle un peu inquiète
     - Euh, oui…. enfin je suis plus surpris qu’enthousiasmé.

     Je me positionne entre ses jambes et ce qui n’était jamais arrivé arriva : la panne. Mon sexe pendait lamentablement entre mes jambes et j’avais beau essayé de me persuader que cette fente offerte était celle de ma femme, je n’arrivais pas à effacer l’image horrible d’une fillette. Un vrai cauchemar !

     - Je suis désolé chérie, je n’y arrive pas, j’ai l’impression que je vais faire l’amour à une gamine !
     - …
     - Laisse-moi te faire jouir avec mes mains.
     - Oui ! caresse-moi !

     Deux doigts se posèrent sur son bouton d’amour et entreprirent de le masser concentriquement. Je savais que son orgasme était proche et je décidais de remplir sa grotte du majeur de mon autre main. Dès que mon doigt fut à l’orée de son vagin, ce dernier s’ouvrit littéralement pour l’accueillir et quelques mouvements suffirent pour déclencher des ondes de plaisir. Mon sexe avait retrouvé de sa vigueur et Morgane l’attrapa pour le diriger vers sa bouche. Elle joua quelques minutes de sa langue sur mon gland, léchant les perles de liquide intime qui pointaient du méat, puis suivit une à une les veines remplies qui courraient le long de ma hampe. Elle finit son exploration en happant délicatement les boules de chair et en lissant leurs poils de sa langue experte. Ses mains n’étaient pas restées inactives et pendant qu’elle me caressait les fesses en insistant pour mon plus grand plaisir, sur la vallée qui les séparait, elle avait posé sa main gauche sur son sexe et entreprit de refaire monter son plaisir.

     J’allais jouir d’autant plus que mon œillet plissé avait été investi par un doigt inquisiteur lorsqu’elle cessa ses caresses, se retourna et se mit en position pour que je la prenne par derrière. J’eus un moment peur de reperdre mon érection mais la vision de son postérieur tendu vers mon dard eut raison de mes dernières réticences et je me plaçais à genoux derrière elle pour la pénétrer.

     Elle écarta ses lèvres intimes pour faciliter la pénétration et mon phallus n’eut aucun mal à pénétrer entièrement la gaine humide et chaude. Je ne bougeais pas, je sentais ses muscles intimes se contracter sporadiquement et mon sexe répondre à ces sollicitations par des palpitations incontrôlées. Morgane commença à onduler du bassin et mon sexe coulissait au grès de ses mouvements lorsqu’elle décida d’accélérer l’arrivée de son orgasme par des caresses centrées sur son bouton. J’empoignais alors ses seins et les caressais aussi adroitement que possible alors que j’avais des difficultés à rester ancrer en elle à cause de ses mouvements quelques fois trop amplifiés. Je plaquais mes mains sur ses hanches et me plantais au plus profond de ma femme pour jouir longuement tandis que son propre orgasme survenait.

     Depuis cette fameuse soirée, ma femme m’a laissé l’entière responsabilité du rasage de son sexe et j’alterne les coupes sages qui préservent la toison et les moins sages, qui dévoilent entièrement les nymphes et qui en limitent l’étendue à une zone située au-dessus du sourire vertical, objet de tant de désirs.

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