TITRE : Lèche culotte 7
Catégorie : 
Histoire Sado Maso

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Le lendemain matin, nous sommes tous à table pour déjeuner. Enfin pas tous, non, Denise et Sonia attendent bras sur la tête, jambes écartées.

- Denise, demande Carole, tes lèvres ne te manquent pas trop j'espère ? Et toi Sonia, ton clito ne te fait pas trop souffrir ? Haha haha, avant de déjeuner mes chéries vous allez vous caresser jusqu'à jouissance pendant que je suce ton mari Denise. J'espère que cela ne te dérange pas trop ha haha.

Carole me demande de me lever, baisse mon short et prend mon pénis dans sa main pour le faire grossir et le porte à sa bouche. Sonia grimace car son clitoris lui fait mal, une idée de génie me passe par la tête. Sonia caresse Denise et Denise fait de même à Sonia, elles se donneront des souffrances entre elles. La journée se passa normalement, nous sommes tous repartis chacun chez soi.

Pendant deux semaines tout se passa bien sans faire allusion à quoi que se soit. La seule chose est que Denise s'y prenait de mieux en mieux et elle voulait faire l'amour en pleine après midi dans son bureau, je ne pouvais lui refuser. Je la caresse du bout des doigts, comme elle ne porte plus de sous vêtement sous ses jupes j'avais un accès assez facile. Tout était guéri je passais ma langue partout. Dès que touche son clito elle jouit presque instantanément, je la regarde dans les yeux :

- Qui t'a autorisée à jouir ?

- Pardon mais j'en avais tellement envie.

- Tu seras punie pour ça.

Je pris le téléphone et appellai Sonia.

- Viens dans le bureau de Denise tout de suite.

- Sonia, Denise a joui sans y être autorisée, elle mérite une punition sauf que je ne veux pas que cela soit trop dur physiquement car pour le weekend suivant j'ai de bonnes idées... pour vous deux bien sur. Je vous expliquerai vendredi mais pour l'instant tu vas te déshabiller. Pendant que je t'enculerai elle te mangera la chatte et lorsque j'aurai joui tu donnera ton cul à sa bouche pour qu'elle lèche mon foutre sortant de ton cul. Par la suite elle nettoiera mon pénis.

- S'il te plaît, ne m'encule pas.

- Assez parlé, à poil et tout suite !

Lorsqu'elle fut nue, je pris une pince noire à feuilles et lui plaçai sur le seul mamelon qui lui restait.

- Ça c'est pour m'avoir dit non.

Elle se place à quatre pattes, la tête de Denise entre ses jambes et je l'encule à fond. Au bout de 10 minutes, Sonia me supplie de jouir elle n'en peut plus. J'éjacule au plus profond de son cul bien ouvert, aussitôt que je me retire elle se place au dessus de Denise qui ouvre la bouche. Tout coule dans sa bouche, Sonia demande à aller au petit coin.

- Pourquoi ?

- J'ai des crampes, je dois y aller.

- Non, Denise est là alors laisse-toi aller.

Une coulée brune sortit de son cul en abondance. Denise eut un haut le coeur et ça coulait sur le tapis. Je suis furieux.

- À quatre pattes toutes les deux et nettoyez ces saletés !

Après 15 minutes tout était propre. La semaine se passa très bien comme pour tout bon couple.


Vendredi matin Denise ouvrit son courriel. Une surprise l'attendait : "ce matin tu recevras un paquet, tu devras faire ce que la lettre te dictera de faire sinon gare à toi". Au même moment j'entre dans son bureau.

- Tu as l'air tourmentée mon amour.

Elle me regarde et me dit :

- C'est de toi cet email ?

Je regarde. "Et bien non ce n'est pas moi."

- Donc c'est Sonia.

Je l'appelle et lui demande si elle a envoyé cet email, elle me jure que non.

- Alors qui est-ce ?

- Attendons, nous verrons bien.

Vers le milieu de l'après-midi, Fedex arrive pour un colis en privé pour Denise, elle signe le reçu et m'appelle aussitôt. Je la vois devant le paquet, elle est très nerveuse. Une lettre accompagne le colis, elle commence à lire à voix haute : "Pour la salope que tu es, ce soir en quittant le bureau tu apporteras ce colis à ton auto, tu te déshabilleras complètement, tu placeras sur ta tête la cagoule noir. Ton visage doit être complètement caché. Ouvre la porte arrière, tu placeras les menottes à tes poignets, tu les fermeras et tu iras t'assoir dans l'auto, à l'arrière bien sur. Si par contre tu refuses les ordres il t'en coûtera très cher, crois moi. Un autre point, soit seule. Alors salope à toi de jouer."

Elle me regarde et me demande :

- Dois-je vraiment faire ca ?

- As-tu vraiment le choix ?

- Non.

- Alors vas-y.

Pour une fois elle se met à trembler. Je la serre fortement dans mes bras et me retire dans mon bureau, j'ouvre mon ordi, je viens de recevoir un email : "Ne t'en fais pas pour ta femme, Carole nous prête son chalet pour le week-end, c'est à notre tour de nous amuser ce soir. Clique sur ce lien et tu verras en direct ce que nous lui avons réservé, seul son visage sera épargné, tu devrais inviter Sonia et lui faire subir le même traitement mais c'est à toi de décider. Viens chercher ta femme dimanche soir à 9 heures, bon week-end."

C'était les deux gars du chalet qui étaient avec Carole, je me demande vraiment ce qu'ils feront avec Denise et pourquoi ils me demandent de faire venir Sonia, mais le jeu m'intéresse beaucoup. J'appelle Sonia et lui ordonne d'être chez moi à 8 heures, complètement nue sous son manteau. Elle me dit :

- Ok mais puis-je emmener ma cousine ? Elle est comme moi une maso, nous avions préparé une soirée entre filles.

- Qu'elle vienne, je la veux nue comme toi sous son manteau. Soyez à l'heure, sinon...

- C'est bien, j'ai compris nous serons à l'heure.

Je me dirige vers mon ordi à l'adresse que l'on m'a donné, je vois Denise étendue sur une table, bras et jambes attachés et écartés. Je vois son vagin très ouvert, plus de lèvres avec un clito annelé. Quelle belle vue, sexe tout épilé, je ne vois qu'elle et personne d'autre. Tout à coup j'entend un des gars dire "c'est l'heure de s'amuser". Ils savent que je suis là et que je regarde. Je vois un gars avec un gros cierge, il dit à Denise "je vais couvrir ton sexe de cire chaude, prépare toi à crier ça ne fait que commencer". Il laisse couler lentement la cire sur son clito, un cri inhumain se fait entendre, elle essaie de bouger pour éviter mais attachée comme elle est c'est inutile. Son sexe est maintenant tout recouvert, il est maintenant 8 heures 5, pas de nouvelles de Sonia et de sa cousine. Elles vont en cuire de ne pas être à l'heure. J'entend une voix dire "maintenant je m'attaque à tes grosses mamelles qui pendent de chaque coté de toi, on va les redresser". Je les vois, un de chaque coté d'elle avec un hameçon accroché à du fil. Sans dire un mot ils transpercent le mamelon de Denise, elle crie au meurtre, moi je bande comme un taureau. Je vois le sang couler de ses seins.

8 heures 20, on sonne à la porte. J'ouvre, c'est Sonia et sa cousine. Je les regardent d'un air sévère, sa cousine se met à genoux et dit :

- C'est de ma faute, si une de nous doit être punie ce sera moi.

- Qui t'a autorisée à parler ? Enlevez votre manteau.

- Pas sur le palier tout de même, dit Sonia, il y a des passants.

Elle reçu une gifle comme réponse. Elles enlevèrent leur manteau, je les fis entrer.

- Quel âge as-tu, toi ?

- J'ai eu 18 ans la semaine passée.

Elle paraissait en avoir 15, sexe rasé, mamelons gonflés, elle avait un beau corps.

- Comme ça, tu aimes souffrir ?

- Oui maître.

- Oh, elle apprend vite cette petite. Qui t'a initiée au maso ?

- Sonia.

- À quel âge as-tu commencé ?

- 14 ans.

- Dans quelles circonstances ?

Elle regarde Sonia.

- Elle m'avait surpris en train de me caresser et elle m'a donné la fessée pendant 15 minutes. Et par la suite, si je ne faisais pas ce qu'elle voulait, elle raconterait tout à mes parents qui sont très pudiques. S'ils avaient su ils m'auraient envoyé dans un couvent pour filles.

- Autrement dit, elle a profité de toi.

- Oui mais j'étais d'accord.

- Elle t'a obligée à quoi au juste ?

- À lui lécher les pieds, le con, le cul, elle aimait me voir marcher à quatre pattes, nue avec un vibromasseur dans le cul, elle s'amusait à mordiller mes seins, elle disait "un jour je vais les mordre jusqu'au sang et je vais leur placer de beaux anneaux ainsi qu'à ton clitoris".

- Elle a agi avec toi comme si tu étais son esclave ?

- Oui.

- A-t-elle été ton esclave à toi ?

- Non jamais.

- As-tu déjà rêvé de vengeance?

- Oui souvent, mais j'avais trop peur qu'elle parle à mes parents.

- Très intéressant, dis-je en regardant Sonia qui baissa les yeux. Tu te rappelles Sonia, il y a un gage déjà que je n'ai pas pu faire, tu te rappelles le soir où tu as coupé ton mamelon ?

- Oui je me rappelle.

Je regarde la cousine.

-À propos, quel est ton nom ?

- Maryse.

- Et bien ce sera peut-être une soirée vengeance pour toi, on verra bien. À genoux toutes les deux et suivez-moi au salon. Regardez l'écran de l'ordi.

Sonia reconnut très bien les deux types, Denise était attachée à une croix, bras et jambes écartés. Ils sont en train de jouer au dard avec les seins de Denise, mais je ferme l'écran.

- Que vais-je faire de vous deux ?

- Maître, puis-je aller au petit coin ?

- Pourquoi ?

Elle me regarde toute gênée.

- Pour aller uriner, maître.

- Pourquoi aller si loin quand nous avons une toilette à portée de la main, dis-je en regardant Sonia.

Maryse dit :

- Je ne peux pas lui faire ça, elle se vengera. Vous savez je la connais, elle peut être très sadique.

- Sonia couche-toi par terre tout de suite et toi va au dessus de sa bouche et urine dans sa bouche. Tu verras elle aime ça. Exécution !

Maryse se place une jambe de chaque coté du visage de Sonia et se baisse. Aussitôt je vois un jet d'urine sortir et Sonia boit. Lorsqu'elle a terminé, elle se lève, je lui dit "non baisse toi, elle va t'essuyer avec sa langue, elle va arrêter quand je vais lui dire". Maryse s'assied sur le visage de Sonia qui lui essuie la chatte et va même passer sa langue sur l'anus de Maryse qui fait à chaque fois des soubresauts. Je me place devant et lui ordonne de me sucer, elle me regarde avec ses grands yeux.

- Maître, je n'ai jamais fait ça.

- Tu n'a jamais fait l'amour à un homme ?

- Non.

- Donc tu es vierge.

- Non.

- Explique moi : tu n'as jamais fait l'amour avec un homme et tu n'es plus vierge... qui a pris ta virginité ?

- Sonia, avec un gros vibromasseur pour ma chatte et un petit pour mon cul.

Au même moment elle se relève du visage de Sonia.

- Pourquoi te lèves-tu?

- Je vais jouir.

- Mais c'est le but ma belle, je veux te voir jouir et voir couler ta cyprine dans la bouche de cette salope qui va payer très cher ce qu'elle t'a fait.

Quelques minutes plus tard, elle jouit. Elle s'assied carrément sur le visage de Sonia qui étouffe presque.

- Maintenant lève-toi, assied-toi là et regarde bien ce qui va suivre. Toi, à genoux, tu vas montrer à Maryse comment on suce un homme. Et applique-toi.

Elle prend mon sexe et elle le porte à sa bouche.

- Pour une lesbienne tu suces bien.

Juste au moment où je suis prêt à jouir, je sors mon pénis de sa bouche.

- Pas tout de suite... Tu vois, Maryse, les punaises sur cette table. Place-les côte à côte et fais un rond avec.

Aussitôt fait, j'ordonne à Sonia de placer ses seins dessus.

- Quant à toi Maryse, tu vas venir t'assoir sur le haut de ses épaules de façon à me regarder.

Les punaises entraient dans les seins de Sonia et moi je me préparait à lui pénétrer le cul. Maryse regardait à chaque coup de rein les punaises pénétrer les seins de Sonia de plus en plus. J'ordonne à Maryse de se caresser d'une main les seins et l'autre le clitoris qu'elle avait assez gros. On aurait dit un petit pénis entre ses petites lèvres. J'ai joui en même temps que Maryse qui sautillait sur le dos de Sonia.

- Maître, puis-je vous sucer à mon tour ?

- Pourquoi pas ? Tu vas me nettoyer le pénis, et bien car il va y avoir de la merde de Sonia.

- Cela ne fait rien maître, j'y suis habituée.

- Explique moi.

- Oui, Sonia m'obligeait à l'essuyer avec ma langue lorsqu'elle allait au petit coin.

- Eh bien on en apprend tous les jours. Sonia, je crois que tu vas payer très cher, qu'en penses-tu Maryse ?

- Je ne sais pas trop, vous savez je n'ai pas d'expérience en ce domaine, mais j'aimerais bien l'humilier et lui faire subir ce qu'elle m'a fait.

- Je vais arranger ça. Sonia lève-toi, mains sur la tête.

Certaines punaises sont restées dans ses seins et elle saigne, pour notre plus grand plaisir.

- Tu fais moins la fière, hein ? Maryse, prend ce fouet et fouette-la sur les seins pour faire tomber les punaises, et frappe de toutes tes forces. Si ce n'est pas à mon gout ce sera Sonia qui te fouettera. Et crois-moi je sais qu'elle t'en veux d'avoir dit tout ça sur elle et elle ne se gênera pas, alors à toi de décider.

Elle prend le fouet avec de la rage dans les yeux et donne un premier coup sur le sein qui n'a plus de mamelon. Presque toutes les punaises tombent par terre, elle me regarde.

- Continue mais plus fort cette fois.

Un deuxième coup sur l'autre sein, plus de punaises, elles sont toutes par terre.

- Continue.

Elle donne un coup sur le premier sein avec une force si terrible que le sein de Sonia fend, par chance elle n'avait plus de mamelon car je pense qu'elle l'aurait coupé en deux.

- Arrête maintenant.

Je saute sur le téléphone pour appeler Carole afin qu'elle vienne faire des points à Sonia. Pour le moment, break pour tout le monde. J'ouvre mon ordi, je vois Denyse, elle se fait sodomiser par un noir et elle en suce un autre. Elle a les seins et les fesses en sang, je constate qu'elle a un tube qui sort de son sexe. Pas croyable, elle est cousue. Ils empoignent ses seins, les tirent, les maltraitent, les deux jouissent en même temps. Denise est laissée seule pleine de sperme, elle ne bouge plus, la camera se ferme, je ferme a mon tour.

Dès que Carole arrive, elle fixe des points de rapprochement à Sonia et me dit "laisse-la tranquille un peu au moins une bonne semaine, le temps qu'elle récupère un peu". Je lui raconte la soirée, je lui dit "va voir dans la chambre d'ami, il y a une surprise sur le lit". Elle ouvre la porte et voit Maryse étendue sur le lit, nue, les yeux mi-clos. Elle referme la porte.

- C'est qui ça, la cousine de Sonia ? C'est elle que Sonia humiliait ?

- Oui.

- Beau brin de fille, que vas-tu faire avec ?

- J'ai une petite idée, mais je vais en parler avec Denise. À propos, ils ne l'ont pas manquée ce soir.

- Je sais, j'y étais quand tu m'a appellée, je regardais en me caressant. Je te laisse j'y retourne. À demain soir 8 heures, j'y serai pour te remettre Denise. Elle aussi il faudra la laisser tranquille, je t'expliquerai demain, bonne nuit.

Elle m'embrasse et me quitte. Je vais au dodo, je suis exténué.

Suite et fin à venir.



Maître alias lèche culotte



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