Tout
a commencé il y a quelques mois lorsque nos anciens
voisins de palier ont déménagé. Je
suis étudiant et j'habite avec un ami étudiant
lui aussi. Nous n'avions que peu de rapport avec nos anciens
voisins et le jour de leur déménagement (un
dimanche) nous nous trouvions dans nos familles, ce n'est
que quelques jours après lorsque nos nouveaux voisins
frappèrent à la porte pour se présenter
que nous réalisâmes le changement intervenu
à notre étage.
Nos
nouveaux voisins étaient un couple d'une trentaine
d'années et dès la première rencontre,
le courrant passa bien entre nous. Lui s'appelle Florent
et travaille dans la Pub et elle, Sabine, termine une thèse
en géographie. Sympas, ouverts, serviable sans être
envahissant, en un mot, les voisins parfaits. Nous avons
appris à nous connaître lors de d'apéros-repas
organisés chez les uns et les autres. Jusqu'au mois
dernier, nos relations n'avaient rien de spéciales,
je les regardais comme un couple de futurs amis. Mais tout
a changé lors d'un apéro organisé chez
eux. Jusqu'à ce soir là, je n'avais jamais
regardé réellement Sabine ou, si je l'avais
regardé, je ne l'avais pas vu. D'une part, j'ai une
petite amie très mignonne et d'autre part j'évite
de regarder de trop près les filles en couple depuis
longtemps surtout si j'apprécie leur copain ! Mais
ce soir là tout a changé....
L'apéro
avait débuté normalement, il y avait pas mal
de monde l'atmosphère était enfumée
et l'ambiance très détendue. Je discutais
avec une connaissance lorsque Sabine passa entre mon interlocuteur
et moi, comme j'étais assis, j'avais les yeux au
niveau de ses fesses. Elle portait un corsaire blanc et
lorsque ses fesses passèrent à ma hauteur
je vis qu'elle portait un string noir ! Cela n'a rien d'extraordinaire
me direz vous, et j'en conviendrai bien volontiers, je ne
suis pas né d'hier, j'ai déjà vu des
strings, des filles en strings devant moi ... Mais je ne
peux vous dire l'effet que cela m'a fait de voir que Sabine
portait un string... Ma respiration s'est véritablement
bloquée et j'ai eu une érection immédiate
et tellement forte que j'ai très vite eu mal. Je
ne m'explique toujours pas aujourd'hui les raisons d'une
telle excitation.
Toujours
est-il que brusquement, j'ai regardé Sabine autrement
si bien que j'ai réussi à voir qu'elle était
sinon belle du moins jolie. Brune, les cheveux longs, 1.70m
environ un cul superbe et une jolie poitrine que ce soir
là moulait un bustier noir. Après, ce qu'il
est convenu d'appeler une vision, j'avais vraiment des difficultés
à retrouver la plénitude de mes moyens d'ailleurs,
la personne avec qui je conversais s'en est rendue compte
et masquant mon trouble (en croyant qu'outre mon érection,
mon corps tout entier trahissait mes pensées), je
prétextais un mal de tête et fonçais
dans leur cuisine à la recherche d'une aspirine.
Mauvais choix !
A
peine étais-je arrivais dans la cuisine que Sabine
y entrait à son tour pour préparer je ne sais
quelle boisson. Evidemment, le fait qu'elle porte un string
l'émouvait bien moins que moi ! Elle me demanda ce
que j'avais, je lui ressortais le mal de tête et elle
me répondis qu'effectivement j'étais un peu
rouge (à peine !), elle me prépara gentiment
une aspirine. Je n'osais pas la regarder dans les yeux et
je fus soulager qu'elle continua à vaquer à
la préparation de sa boisson. Sauf que, elle n'arrêtait
pas de me tourner le dos, de se pencher dans les placards,
en un mot de m'exhiber son cul et son string. Je suis persuadé
qu'elle ne faisait pas cela intentionnellement, elle était
juste dans sa cuisine en train de préparer une boisson
! Je n'arrivais pas à ne pas regarder, que dis-je,
dévorer des yeux son cul dès qu'elle me tournait
le dos. Evidemment, cela ne fit qu'augmenter mon trouble,
si tant est que cela soit possible et je vous confirme que
l'aspirine ne calme pas ce type de douleurs. J'allais commettre
l'irréparable, me jeter les mains en avant vers cette
femme callipyge. Et en pensant à Travolta dans Pulp
Fiction, je me murmurais, "tu rentres chez toi et tu
te branles deux fois et ça ira mieux". C'est
ce que je fis en disant que la fumée n'allait pas
arranger mon mal de tête et que je rentrais chez moi
me reposer. Elle était sincèrement désolée,
je ne m'attardais pas et saluais juste Florent avant de
fuir vers mon antre pour me soulager.
Cependant,
la masturbation ne soulage qu'un temps et surtout elle entretien
le désir et il faut bien dire que je n'avais qu'une
envie : la baiser. Je suis désolé d'utiliser
ce vocable peu reluisant mais c'est la vérité,
je rêvais de la baiser. Jamais je n'avais fantasmé
aussi rapidement et aussi intensément. Toutes mes
pensées n'avaient qu'un objet, trouver le moyen d'arriver
à mes fins. Peu m'importait ma copine, Florent etc.
Je la voulais à moi en string !
Le
week-end passé, j'en étais encore à
me demander quelle stratégie adopter quand Sabine,
elle-même, me donna l'occasion de tenter ma chance
: C'était un lundi après-midi, je me trouvais
seul chez moi, je n'avais pas cours quand Sabine frappa
à ma porte. Florent et elle venait d'acheter un Modem
mais bien que Florent lui ait montré la marche à
suivre, elle n'arrivait pas à se connecter. Comme
je suis rompu à ce mode de communication, elle venait
chercher un coup de main....
Je
la suivis chez elle en me demandant si, encore aujourd'hui,
elle portait un string ! Elle était vêtue d'un
chemisier blanc, d'une jupe assez courte et ses jambes étaient
gainées par des collants ou des bas mais rien ne
pouvait me laisser deviner la présence ou l'absence
de string. Je m'installais sur le siège en face de
l'ordinateur et Sabine se positionna debout derrière
moi pour suivre les manipulations que je lui indiquais.
Je me connectais sans difficulté mais j'étais
allé trop rapidement pour elle. Je renouvelais donc
l'opération lentement et Sabine se pencha sur mon
épaule de façon à mieux suivre la marche
à suivre. Sa tête était au niveau de
la mienne bien que légèrement surélevée
et en se penchant en avant, sa poitrine se posa sur mon
épaule. Ce contact imprévu m'électrisa
et j'eus un mouvement de recul assez brusque. Interloquée,
Sabine me demanda ce qu'il se passait mais lorsqu'elle vit
ma tête je compris qu'elle avait saisi mon trouble
et elle me dit fort naturelle qu'elle espérait que
j'étais un peu moins tendu avec ma copine.
Profitant
d'une situation qui risquait de ne jamais se représenter,
je lui affirmais que j'avais fait de mon mieux pour dissimuler
l'attirance qu'elle provoquait en moi. Sans lui laisser
le temps de ne rien dire et en gardant la tête face
à l'écran de l'ordinateur, je lui rappelais
mon état du vendredi précédent et lui
avouais que je n'avais absolument pas mal à la tête
et qu'elle était la raison de mon trouble. Je ne
lui parlais pas immédiatement du string. Elle ne
dit pas un mot, mais elle avait repris sa position précédente,
sa poitrine sur mon épaule, et faisait comme si je
n'avais rien dit et elle me posait des questions sur le
mot de passe du modem....
Je
ne savais plus que penser, lui avouer mon attirance avait
été difficile et voilà qu'elle ne s'intéressait
qu'à Internet ! Cependant, elle s'appuyait avec de
plus en plus d'insistance sur mon épaule et je devinais
un léger mouvement de son buste. Sabine se frottait
contre moi en parlant connexion et provider !!!
Retrouvant
un minimum de sérénité, j'entrais dans
son jeu et lui demandais de s'installer à ma place
et afin que je voie si elle avait suivi mes explications.
Elle s'exécuta docilement et je me retrouvais derrière
elle. A peine était-elle assise que je posais mes
mains sur ses épaules en l'encourageant. Très
vite, profitant de mon avantage, mes doigts glissèrent
sur son chemisier, frôlant par intermittence sa poitrine
tout en continuant mes explications. Devant son absence
de réaction, mes caresses se firent plus précises,
je déboutonnais les premiers boutons de son chemisier
et ma main gauche s'immisça entre son soutien-gorge
et sa peau. Ses seins étaient doux et ses pointes
se dressaient sous mes caresses, je lui pinçais légèrement
le bout des seins tout en lui expliquant comment faire une
recherche sur le web !
Je
poussais mon avantage encore plus avant en enlevant complètement
son chemisier et en me débarrassant d'un soutien-gorge
devenu superflu. Autant vous dire que la conversation anodine
sur Internet n'était plus d'actualité ! Sabine
s'était levée et me fit face pour m'embrasser.
Nos langues se mêlèrent avec ferveur.... De
ce premier baiser, je garderais à jamais le souvenir
d'une intense excitation mutuelle. Je me dégageais
lentement pour pouvoir admirer sa poitrine, la flatter avec
mes mains puis mes lèvres. Sabine poussait des soupirs
d'aise, lorsque mes dents mordillaient la pointe de ses
seins. Je me rassis sur le fauteuil et entrepris de lui
enlever sa jupe. Il était temps que je vérifie
si elle portait un string. En baissant sa jupe j'eus une
bonne et une mauvaise surprise, elle ne portait pas de string
mais une culotte en satin rouge, par contre, elle n'avait
pas eut la mauvaise idée de mettre des collants,
elle portait des bas maintenus par un joli porte-jarretelles
rouge.
Je
demandais à Sabine de se retourner pour que je puisse
savourer à loisir la vision de son joli cul. La tête
au niveau de ses fesses, je lui enlevais son slip et commençais
à lui embrasser les fesses. Mes doigts allaient alternativement
de ses seins à son sexe trempé de désir.
Ma langue relayait mes doigts, et devant ses soupirs d'encouragement,
je laissais ma langue jouer avec son petit trou. En moins
de 10 minutes Sabine jouis avec une intensité non
feinte ; Je me levais et la laissais s'asseoir à
ma place. Elle avait les joues rosies par le plaisir. Après
quelques instants passés à nous embrasser,
les mains de Sabine se dirigèrent vers la bosse qui
déformait mon jean. Elle sortit mon sexe qui affichait
une jolie santé.
Après
quelques mouvements de va et vient qui me firent grogner
d'aise, Sabine approcha ses lèvres de mon sexe et
s'en saisit. Elle avait une façon particulière
de prodiguer ce type de caresse. Ses lèvres et sa
langue ne s'occupaient que de mon gland qu'elle tétait
littéralement. Adepte de la fellation, j'étais
aux anges de découvrir la technique consommée
avec laquelle elle s'occupait de moi. Je gémissais
de plus en plus fort, me concentrant au maximum pour ne
pas jouir immédiatement. Je ne pus cependant pas
résister longtemps, surtout lorsque Sabine se mit
à légèrement me griffer le sexe et
les testicules. Je lui annonçais que je ne pouvais
plus me retenir, elle stoppa sa délicieuse tétée
et j'éjaculais sur ses seins en râlant bruyamment.
Elle me nettoya le sexe rapidement avec un kleenex puis
repris mon gland dans sa bouche. Je retrouvais plus rapidement
que d'habitude la plénitude de mes moyens et je sortais
un préservatif de ma poche. J'insistais pour que
ce soit elle qui me le mette et n'y tenant plus, je la retournais
pour la prendre en levrette.
Elle
était encore trempée et je n'eux aucun mal
à la pénétrer. Mon sexe allait et venait
en elle, mes mains passaient de ses seins à son sexe.
Je lui titillais légèrement le clitoris ce
qui sembla lui plaire puisque presque instantanément,
elle jouit. Continuant mon labeur, je laissais mes doigts
courir sur ses fesses, puis progressivement s'insérer
dans son anus. Elle m'encouragea en me disant qu'elle raffolait
de la sodomie. C'est donc pour lui faire plaisir ( !) que
je postais mon sexe à l'entrée de son anus.
Je poussais lentement en m'assurant que je ne lui faisais
pas mal, une fois totalement en elle je ne bougeais plus
pendant quelques secondes, puis mon bassin entrepris de
légers mouvements. Je ne sais lequel des deux manifestait
le plus bruyamment son plaisir. N'y tenant plus, j'accélérais
la cadence et je m'effondrais sur elle dans un ultime va
et vient libérateur. Je n'avais jamais jouis avec
autant d'intensité. Comme il était assez tard,
je ne m'attardais pas trop car Florent pouvait débarquer
d'une minute à l'autre. Je l'embrassais langoureusement
avant de la quitter ne sachant pas trop quoi dire. Sabine
me poussa vers la sortie en me disant qu'elle n'avait pas
totalement compris la marche à suivre pour Internet.
Je lui rétorquais avec un large sourire que j'étais
à son service dans la limite de mes capacités.
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