TITRE : Le somnifère
Catégorie : Histoire Extra conjugale

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Je m'appelle Pascal et je suis marié avec Marie-Luce. Je suis un obsédé par les femmes mais je me tiens correct et toujours avec de la douceur.
J'ai des fantasmes plein la tête, que je partage avec mon épouse sans les vivre pour autant.

Un jour, la meilleure amie de ma femme vint passer une semaine chez nous à Paris pour chercher un travail. C'est à cette époque que j'ai essayé d'endormir ma femme et sa copine pour abuser d'elles.
Pour le côté respect de la personne, j'avais tout faux mais voilà, j'avais envie de sexe et ma femme avait tendance à en avoir envie que très rarement.
Ma femme est chatain clair avec une belle poitrine de 90B et un corps légérement en surpoids tout en gardant de très beaux atouts.
Sa meilleure amie, Isabelle, est brune, fine avec une petite poitrine. Elle est complètement coincée et pourtant, j'étais sûr qu'elle pourrait être bien dans sa peau si elle se laissait vivre.
L'aventure qui suit s'est passée lors de la troisième journée de sa visite.
Marie-Luce dort à coté de moi pendant que Isabelle dort dans la chambre d'amis. Durant le repas, j'ai glissé deux somnifères dans l'apéro des filles. La fin du repas avait été dur et elles sont partie dormir très rapidement.
Je laissais mon esprit de tordu faire ses fantasmes pendant une petite demi-heure en allant voir de temps en temps dans les chambres si elles dormaient complètement. A entendre leurs respirations, elles écrasaient vraiment à fond.
Je prenais ma lampe électrique et j'allais dans ma chambre . Je débordais les draps et regardais le corps de ma femme dans son pyjama. Elle dormait sur le coté. Je déboutonnais le pyjama pour l'ouvrir complètement et regarder ses seins pendouiller de leurs propre poids. J'embrassais le téton et le léchais pour voir si elle réagissait aux caresses. N'ayant aucune réaction, je décidais de baisser son short, puis sa culotte. Je finis par la mettre sur le ventre avec les jambes écartées pour voir sa chatte.
J'allais chercher la caméra pour la mettre en fonction posée sur le drap avec le spot. Je m'amusais à ouvrir la chatte et à montrer la chair rosé du vagin.
Le corps avait une réaction car le sexe devenait un peu plus humide. J'enfonçais deux doigts en prenant le jus et allais poser mes doigts sur la bouche. Je recommençais plusieurs fois en faisant glisser mes doigts à l'intérieur de la bouche si bien que la bouche de Marie-Luce avait le même gout que son sexe. Tellement j'étais excité que je me mis sur Marie-Luce et dirigeait mon sexe dans sa fente pour la pénétrer. La respiration était un peu moins calme et un mouvement du corps pour bouger son bassin me fit croire qu'elle se réveillait.
Je lui demandais si elle dormait mais aucune réponse ne me parvint.
Mon sexe entra dans sa chatte humide et j'entra en elle devant l'optique de la caméra. Marie-Luce bougea son bassin en gémissant doucement et je me cambra pour allez au fond d'elle.
La chaleur de son corps autour de mon sexe fit le reste et mon sperme jailli d'un coup. Je m'aperçu que mes allez et venu étaient un peu vif car Marie Luce bougeait beaucoup sur le lit à chaque coup dans sa croupe. Malgré ça, elle fini par cesser de gémir et sa respiration redevint calme.
Je sorti de sa chatte en laissant une fine trainée de sperme le long de sa fente. Je me mis devant son visage et ouvrit sa bouche pour poser dedans mon sexe encore baveux de la pénétration. Il n'y eu aucune succion mais je passais mon sexe dans sa bouche pour qu'elle avale quand même le mélange de sperme et de sa m ouillure. Très satisfait de moi, je me rendis compte que je pouvais faire beaucoup de chose et qu'elle avait un corps qui en voulait.
J'habilla Marie-Luce en mettant la culotte, puis le short et enfin le haut de pyjama. Au passage, je lui happais les seins pour les lécher et les sucer mais sans réaction aucune.
Je partis dans la chambre d'amis et regarda Isabelle dormir. Elle était avec la même respiration calme mais j'avais l'appréhension qu'elle se réveille car ce n'était plus ma femme et cela devenait un viol.
Avec beaucoup de précaution, j'ouvris les draps et découvris Isabelle dans une longue chemise de nuit. Je voyais un nounours entre ses jambes et la peau d'une de ses cuisses. Elle était allongée sur le côté. J'ouvrais le décolleté et je regardais dedans pour voir ses seins.
N'y voyant pas grand chose, je mis Isabelle sur le dos et commença à relever sa chemise de nuit pour découvrir ses cuisses et sa culotte. Sa culotte me surpris car c'était une culotte satin avec une belle dentelle.
Je passais la chemise de nuit sous les fesses avec quelques difficultés mais Isabelle dormait toujours avec le rythme respiratoire toujours aussi calme. En remontant la chemise de nuit, je découvrais son ventre, puis ses seins. Je laissais la chemise de nuit juste au dessus de sa poitrine et je commençais à lui lécher les tétons avec délectation.
Après un moment à prendre ses seins en bouche, je descendis vers sa culotte que je retiras. Elle avait une petite chatte brune et la caméra n'en perdait pas un centimètre carré. J'écartais ses jambes pour bien voir sa chatte. Je posais mes doigts sur sa toison en descendant vers la fente. Au bout d'une dizaine de frottement le long des lèvres, un mouvement de la peau du sexe me permit de comprendre que les caresses avaient éveillées le corps pour un câlin. J'ouvrais le sexe avec deux doigts et regardais le rosé de la chair. Je me penchais pour renifler l'odeur de cette chatte et j'avais une envie folle de la lécher. Je posais mes doigts sur l'emplacement du clito et commençais une caresse douce sur le bouton de cette jeune femme.
La lampe torche dirigée vers la chatte ouverte, je déposa un baiser sur les chairs. De doux baiser, cela devint un passage de langue.
Petit à petit, l'odeur de sa chatte avait envahi ma bouche et je me délectais de ce goût.
Le clito avait gonflé et mes pressions sur le bouton avait activé la ruée du plaisir dans le bas ventre de cette mignonne. La mouillure devenait de plus en plus abondante et la respiration de Isabelle devint un peu plus rapide.
Je pris le clito en bouche pour le sucer et je pris peur quand la main d'Isabelle vint entre ses jambes pour s'enfoncer deux doigts en elle tout en gémissant. Je relachais le clito et regardais ses doigts écraser elle même son clito.
Osant le tout pour le tout, je m'approcha d'elle et posa mon sexe durci sur le bord des lèvres ouvertes. Je caressais de mon sexe ma main qui écrasait le clito en essayant de glisser mon sexe entre la main et le clito.
D'un coup, je réussi et je vis aussitôt le bassin d'Isabelle onduler pendant que sa main prenait mon sexe pour écraser son bouton.
Isabelle releva d'elle même ses jambes pour ouvrir en grand sa vulve.
Elle utilisait mon sexe comme un baton pour écraser son bouton. Le frottement de mon gland sur son clito par des mains expertes me donnait des frissons qui allait me faire exploser.
D'un coup, elle glissa mon sexe en elle en gémissant. Je commençais mes allez et venu en elle pendant qu'elle continuait à s'écraser le clito. Ses seins rebondissaient à chaque coup au fond de son ventre et Isabelle me laissait la pénétrer sans problème. Mon sperme arrosa le fond de son ventre dans un jet puissant qui la fit crier avant de geindre doucement en continuant d'agiter son bassin pour en voir plus.
Petit à petit, elle se reposa et son visage redevint calme. Je n'osais bouger toujours avec mon sexe en elle.
Sentant une crampe arriver, je me retira de la chatte que je regardais à la lueur de la lampe torche. Le mélange de sperme et de mouillure collait quelques poils mais le corps s'était recontracté enfermant dans un fourreau poilu le vagin d'Isabelle.
J'embrassais les seins et la bouche d'Isabelle avant de l'habiller et de remettre son lit comme il était avant ma visite.
Une différence pourtant eu lieu pendant cette nuit. J'avais échangé la culotte de Marie-Luce avec celle d'Isabelle.
Pour moi, j'avais passé une bonne nuit avec deux chattes remplies, un mystère que les filles allaient résoudre elle-même. Je n'avais qu'a attendre le matin après avoir bu un coup.
Je dormis nu en laissant mon sexe recouvert de la mouillure séchée d'Isabelle.

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