TITRE : Le rêve d'une belle mère réalisé
Catégorie : 
Histoire Extra conjugale

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Je m'appelle Denise, j'ai 58 ans, un mariage raté... depuis le début. J'aurais dû m'enfuir avant de dire "oui». Déjà, sortir avec un mec qu'on ne désire pas dès le départ, ça me paraît maintenant complètement dingue. De quatorze à dix-sept ans, je n'avais eu que très peu d'aventures, et celles-ci furent très ordinaires.

Il fallait pourtant que je le fasse, je l'avais promis à ma famille, un bon mari, un bon père, un mec avec une bonne situation. Jamais je n'aurais pensé que de ne pas désirer l'homme qu'on épouse foutait un mariage en l'air dès le début. On a eu une ou deux bonnes années, un enfant puis 2, 3, 4, mais je m'ennuyais. Il m'ennuyait.

J'aurais aimé sortir, rire, parler souvent, découvrir l'amour, se faire confiance, moi qui étais pudique mais qui ne demandais qu'à l'être un peu moins. Résultat, on faisait l'amour dans le noir, si on peut appeler ça l'amour. Les seules fois où j'ai vraiment eu envie -de lui- c'était au début du mariage, et de faire l'amour tout simplement, c'était quand j'étais enceinte. (Une seule fois). Les hormones sans doute...

Mon mari fermait son livre, éteignait la lumière, je faisais de même et j'attendais qu'il "finisse". Même si il espérait me donner du plaisir. En fait, j'appréciais la pénombre totale pour pouvoir grimacer à mon aise, de dégoût. Nous avions un logement agréable, loin du bruit et de l'agitation de la ville, notre vie intime était réglée, rien d'exceptionnel à 30 ans, après sept ans de mariage. Je voyais la routine s'installer, mon mari aussi, car un jour il me demanda de coucher avec d'autres types.

Sur le coup je dis non ! J'étais contre ce genre de choses. Nous en étions restés là.

Pourtant je ne l'avais jamais trompé, ni même eu l'envie, jusqu'au jour où j'ai fait la connaissance de Michel, footballeur. Ma fille aînée, vingt ans, l'a rencontré. Il était devenu son petit ami, 1m90, 85 kg, baraqué, ce garçon de vingt ans beau et athlétique, avait un complexe. Je peux vous dire le cas, un vrai petit âne. Sa verge de vingt centimètres (gland décalotté énorme compris) était aussi très épaisse, avec une paire de couilles en proportion. Je ne voudrais pas vous paraître menteuse ou fabuliste, mais croyez-moi : prenez une bombe de chantilly par exemple, ajoutez un gros gland et voilà l'engin !!

Son complexe venait du fait que lorsque les filles voyaient ses attributs, elles refusaient l'amour. Chris, ma fille, et moi avons discuté de ce problème. Elle souhaitait aller plus loin que les caresses mutuelles qu'ils se prodiguaient, mais elle avait un peu peur de la suite. Discussions, palabres, mises au point, bref, nos discussions et descriptions me firent ressentir des choses auxquelles je ne pensais pas, ma petite culotte se mouillait et j'éprouvais des envies de ce sexe énorme, mon pauvre mari n'étant équipé quant à lui que d'un sexe de 10 cm en érection et 4 cm en pause.

Le soir même, elle me confia qu'elle avait pris beaucoup de plaisir avec lui et me raconta dans les détails tout ce qu'ils avaient fait. Comment il lui avait caressé les cuisses et les fesses sous sa jupe dans la cuisine et comment il l'avait prise, penchée en avant sur la table de travail. Mon sexe était trempé de désir et je lui demandai de renouveler l'expérience. Elle me regarda, surprise, en me demandant si je ne lui en voulais pas. Je la rassurais en lui faisant promettre de me raconter avec tous les détails chaque rencontre.

Elle hésita un peu, mais accepta. Son amant doté d'un sexe impressionnant faisait mouiller ma petite culotte comme jamais et j'en rêvais même la nuit. À chacune de leur rencontre, elle me racontait précisément leurs ébats. Il était fou d'elle et c'était réciproque, ma fille était comme hypnotisée par ce gros membre, lui en jouait et il était d'accord pour poursuivre ensemble leur route à condition qu'elle ne refuse rien.

Quand elle le voyait, il ne pouvait pas s'empêcher de lui faire l'amour, non sans lui avoir longuement léché le minou. Ça me rendait folle, mon mari ne m'ayant jamais prodigué cette caresse précise.

Un jour, il lui proposa un week-end en Espagne. Elle m'en parla pour avoir ma bénédiction. Évidemment, j'acceptai. Je passai tout le week-end à me masturber en les imaginant. Le dimanche soir, elle me raconta tout. Le samedi, elle lui avait donné sa petite rondelle, il en avait bien profité. Il l'avait sodomisée trois fois entre l'après-midi et le soir. Le lendemain au réveil, encore, et encore trois fois au cours de la journée. Sur l'autoroute du retour, il lui demanda de s'exhiber, chemisier ouvert et jupe enlevée pour le plaisir des routiers. Elle avait un peu hésité, mais comme d'habitude, il avait su trouver les arguments pour la décider. Elle lui avait même fait une pipe en roulant.

Une semaine plus tard, il lui fit la surprise de la recevoir chez lui, en compagnie d'un de ses amis. Ils la prirent à deux, ce qui la fit un peu souffrir, puis à tour de rôle plusieurs fois dans la journée. Le soir, elle rentra crevée et elle se mit à pleurer en me disant qu'elle avait l'impression de devenir une putain.

Elle refusa ensuite de me raconter ses diverses expériences, mais devant le visage ravi de ma fille, je devinais qu'elle était pleinement satisfaite.

Après quelques mois, ils se marièrent et ont eu trois enfants. Les années passèrent, les confidences de ma fille avaient disparues, ils sont partis vivre dans le Nord de la France pour leur travail, puis sont redescendus vivre pas loin de chez nous.

L'été, ils viennent souvent se baigner dans notre piscine. Au cours d'un barbecue, je décidais de déclarer mes envies à mon gendre. Michel est toujours assez franc et il m'a alors dit qu'il ne partageait pas mes sentiments, mais sans vouloir quand même me faire mal... Alors il m'a dit qu'il ne se sentait pas prêt, qu'il avait besoin de temps pour se faire à cette idée, etc. J'ai accepté ce qu'il me disait et je n'ai pas insisté... Mais en me laissant un espoir lointain et en se refusant à moi, cela ne fit qu'augmenter l'amour que j'éprouvais pour lui...! Il m'était inaccessible, et pour cela je l'idolâtrais, je le mettais comme sur un piédestal...

Tout cela, il le comprit vite. Alors, lorsqu'un mois plus tard il revint pour un barbecue chez moi en Provence, je pris la position inverse et tout en conservant la même position côté sentiments, il m'ouvrit cependant son lit... Il se disait qu'en couchant avec moi, cela m'empêcherait de le voir de façon "idéale", inaccessible, rêvée...

Dans la piscine, je jouais souvent à le couler, ce n'était qu'un prétexte pour lui mettre la main sur sa bosse du maillot, provoquant parfois une superbe érection, mais il se dégageait toujours pour sortir et allait se coucher sur le ventre sur sa serviette.

Ce jour-là, alors que ma fille et mes petits-enfants jouaient au ping-pong de l'autre côté, je lui sautais dessus en lui disant que j'allais le couler. Il était debout, se laissait un peu faire, je m'agitais dans tous les sens pour le faire chuter.

Tout d'un coup, j'ai senti sa main se glisser sous mon maillot, me caressant les fesses. Ce geste me fit mouiller comme une folle, j'ai senti son majeur venir titiller mon bouton, puis son pouce prendre possession de ma chatte. Je montais avec les pieds sur son maillot, pour faire semblant de continuer notre jeu, son maillot non attaché descendit sur ses genoux, il me fit pivoter et de ses bras musclés, me fit descendre jusqu'à m'empaler sur son sexe en érection. Il me fit aller et venir sans discontinuer pendant un long moment et je ressentis une décharge électrique comme jamais je n'en avais ressentie : mon gendre me faisait jouir entre ses bras. A la limite de l'évanouissement, je le sentis jouir à son tour et je crus qu'il m'avait explosé le minou.

En partant, il prit mon numéro de téléphone portable, et je souris lorsque ma fille me dit que j'avais l'air fatiguée. Le lendemain, j'ai reçu un SMS avec une demande de rendez-vous, une heure, un lieu. Mes jambes se sont mises à trembler. Qu'est-ce que j'allais faire ?

Je vais accepter, lui fixer son rendez-vous. Ce gendre avec un si gros sexe...C'est un beau mec, style macho italien, mais sa grosse queue m'a fait mouiller, jouir enfin. Coup de chance, il est disponible vers 14 heures.

Je lui donne rendez-vous à l'hôtel du golfe et je réserve une chambre.

Il est à l'heure, Dieu comme il est beau.

Nous montons dans la chambre.

Comme je le lui ai expliqué, je suis à sa disposition pour deux heures.

Il commence par me demander un strip-tease sur une musique douce et je m'exécute devant lui.

Il fait des commentaires grivois sur mon corps, ma façon de bouger, mes seins, mon cul et ça m'excite énormément. J'ai envie d'être chienne avec lui. Une fois nue, il me demande de lui servir un verre de scotch du minibar.

Lorsque je lui apporte son verre, il a sorti sa verge de son pantalon et me dit : "A genoux et suce."

J'obéis tout de suite, j'aime comment il me domine. Sa queue est belle, assez grosse et une grosse veine la parcourt tout le long. Il bande à moitié et je le prends délicatement entre mes lèvres. Je lui titille le gland avec la langue, je remonte jusqu'à son pubis en le léchant, puis je reviens vers le gland. Je le fais pénétrer doucement dans ma bouche, puis plonge pour que le bout de queue caresse le fond de ma gorge. Je gonfle mes joues et les relâche pour créer un mouvement d'aspiration. Il gémit et semble apprécier mon traitement.

Je pense soudain à mon mari en train de bosser comme un dingue pendant que je suce une belle bite. Cette idée m'excite encore plus.

Je relâche sa hampe pour aller sucer ses couilles. Elles sont grosses et j'aime les faire rouler entre mes lèvres. Je le reprends en bouche et commence à le pomper goulûment. Soudain, il m'attrape par les cheveux et se met à me baiser la bouche. Je le laisse utiliser ma bouche de salope.

Il jouit brusquement, enfoncé au fond de ma gorge et j'avale tout son sperme avec plaisir, alors que j'ai toujours refusé de faire ça à mon mari. Je m'aperçois que j'adore découvrir le goût du sperme d'un homme.

Il m'allonge sur le lit et écarte mes cuisses en grand. Ma chatte a été rasée le matin-même. Comme ma fille me l'avait indiqué, il adore ça. Cela semble vraiment lui plaire. Je suis trempée et il me le fait remarquer. Il me lèche la chatte, grignote mon clitoris avec les dents. Je tiens mes jambes écartées au maximum pour lui ouvrir mon intimité.

Il lui reste encore plus d'une heure pour profiter de moi. Je suis son objet et il va m'utiliser pour son plaisir. Cette idée me fait couler encore plus que ses caresses. Il rebande déjà et enfile une capote sur son sexe. Il bande, debout face à moi, écartée, lui offrant mon sexe à pourfendre.

- Je vais te baiser salope.

- Oui vas-y, je suis ta chienne.

Il se positionne en face de ma vulve béante.

- Regarde-moi dans les yeux et demande.

- Baise-moi, défonce-moi, je suis ta pute, lui dis-je les yeux dans les yeux.

Il s'enfonce doucement, prenant possession de mon corps. Il agrippe mes seins et commence à me baiser doucement en me regardant toujours dans les yeux. J'adore ça, je me sens soumise, saillie, disponible, objet. Je suis une femelle offerte au mâle. Il accélère pour bien me pistonner et je jouis sous ses coups de boutoirs. Il s'allonge sur moi et m'embrasse. Sa langue est intrusive, il prend possession de ma bouche. Je lui rends son baiser. Il continue à me labourer le sexe. Il me fait changer de position. Je suis en levrette, cul offert. Il recommence à me baiser en m'insultant.

- Ah oui ! Tu es une bonne salope, tu aimes te faire sauter par ton gendre ?

- Oui, je suis une traînée, mon mari travaille pendant que tu me baises comme une chienne !

Il commence à me claquer le cul, tout en continuant à me prendre.

- Quel cul de salope tu as, ah ! Oui, tu es bonne, je jouis !

Il se crispe sur mes fesses chauffées et je sens les contractions de sa queue pendant qu'il remplit la capote.

Il me demande de lui nettoyer la bite. A quatre pattes sur le lit, je m'exécute. Il flatte mes seins, mon cul, ma chatte, pendant que je m'applique. Au bout d'un moment, sa queue recommence à durcir. Incroyable, mon mari, même au début, ne m'a jamais prise plus de deux fois. Il lui reste quinze minutes pour jouir encore de moi.

Il me fait lever et ouvre les rideaux. Il me positionne face à la vitre, debout, jambes tendues et écartées, cul saillant. Il remet une capote et m'enfile par derrière. Je suis debout, les seins écrasés contre la vitre, dominant le golfe, avec un homme qui me baise. Il est doux, il va et vient délicatement pour me faire jouir.

Il me susurre des mots doux à l'oreille.

- J'espère que tu as été contente de moi, j'ai pris beaucoup de plaisir à rendre ton mari cocu. Tu es une très belle femme et il a de la chance que tu saches l'exciter comme ça. Et moi aussi j'ai eu de la chance que tu veuilles bien m'offrir ton corps. Je veux que tu jouisses maintenant, jolie petite fille.

Nous jouissons en même temps.

Il prend une douche.

Il est parti.

Je l'ai eu, je suis enfin heureuse.

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