Mon prénom est Patricia, je suis mariée depuis 10 ans avec
3 merveilleux enfants et un mari que j'aime. Mon bonheur
est presque parfais, sauf peut être depuis mes 35 ans une
obsession permanente. Cette obsession prend des formes diverses
la première fois que cela m'est arrivé j'étais assise à
la terrasse de ce café. Je regardais passez les gens en
sirotant un perrier. La journée était belle pour une journée
d'automne. Vêtue d'une grande jupe rouge et d'un pull bordeaux
en stretch très décolleté, ma poitrine voluptueuse attirait
un grand nombre de regard. Assis à la table à coté un groupe
de 5 hommes plaisantait tout en tournant des regards avides
vers moi. Je me sentais désirée et troublée. J'avais un
besoin de plaire à tout prix et quel qu'en soit le prix
à payer. L'un d'eux se décida à faire plus ample connaissance
et s'attabla. La conversation fut d'abord assez froide pour
tourner vers le mondain. Très rapidement je me sentis en
confiance et accepta de rejoindre la table.
Ce fut très amicale ces hommes étaient drôle et charmant
et me complimentaient sur ma beauté. Je buvais beaucoup
de champagne et me sentait très bien dans ma peau. Ils m'invitèrent
alors au restaurant. Au restaurant entouré de ses hommes
qui continuait de me flatter. La main de mon voisin de droite
se glissa en dessous de la table et se posa sur mes genoux.
Je tentais de repousser l'audacieux qui recommença de plus
belle. Durant plusieurs minutes nous jouâmes ainsi. A chaque
tentative il devenait plus audacieux. Il réussit enfin à
se glisser la main en dessous de ma jupe qu'il avait fait
remonter jusqu'au haut de mes cuisses. Il me caressa alors
les genoux et remonta sur le haut de mes cuisses en laissant
glisser sa main sur mes bas. Mon souffle était fort sous
la pression de cette main qui me malaxait les cuisses. Mon
voisin de gauche qui n'était pas dupe du manège se hasarda
aussi à ce petit jeu. Je décidais de ne pas résister en
attendant avec impatience la fin du repas afin de pouvoir
échapper à ses deux curieux. Mes fantasmes prenaient formes
et consistance, plus loin que je ne l'imaginait.
Les caresses se faisaient de plus en plus forte. L'homme
de droite décida de monter plus haut. Il découvrit en continuant
à monter sa main que je portais des portes jarretelles ce
qui l'excita encore plus. Il monta jusqu'à la culotte, il
me passa un doigt en dessous de ma culotte de soie rouge.
Je voulus l'en empêcher mais l'autre homme me pris la main
de force et m'empêcha de me défendre. Il glissa son doigt
dans mon sexe en alternant les mouvements forts et lents.
Toute la table avait compris. Un des hommes assis en face
de moi commença à me caresser les jambes avec ces pieds.
J'avais compris que je serais le jouet de ces 5 hommes et
que je pourrais rien faire tant qu'ils n'auraient pas atteint
leurs plaisirs.
A ce moment l'homme de gauche me pris sa main et la dirigea
vers son entre jambe. Il me contraignit à lui malaxer le
sexe que je sentais durcir sous ma main. La peur la surprise
le désir et surtout la présence de ses mâles qui me voulait
m'exciter, ma culotte était trempée bien que toujours occupé
par la main de mon nouvel amant.
Un des hommes dit « Je crois que pour le dessert on a trouvé
ce qu'il nous faut ». La conversation commença à devenir
plus torride.
- Tu crois que c'est une bonne lécheuse
- En tout cas elle est trempée
L'homme qui avait enfoui son doigt dans mes parties les
plus intimes décida de pousser l'expérience. Il prit ma
tête et me pencha de force vers son sexe. « Sort la moi
et suce moi la ».
J'essayais de résister mais l'homme de gauche m'empêchait
de me relever. Je sortis le pénis de cet homme et l'engloutis
tout entier. Il était énorme et je crus étouffer. Je le
suçais tout en alternant avec les coups de langue sur le
gland. L'homme m'arrêta me releva et dit « Payons l'addition
on va la terminer ailleurs ».
Ils payèrent et sortir du restaurant. J'avais un homme de
chaque coté qui me tenait un bras. Ils m'emmenèrent vers
un parking dans lequel un Renault espace nous attendait.
Ils ouvrirent la voiture. 2 hommes montèrent devant les
3 autres se mirent à l'arrière m'entourant. Tout s'accéléra.
Un des 3 se mis à me caresser les seins au travers de mon
pull en stretch L'autre avait à nouveau remonter ma jupe
laissant apparaître mes portes jarretelles bordeaux. Je
vis que un des deux hommes devant avait sorti un caméscope
et qu'il me filmait. Ils écartèrent mon décolleté pour faire
sortir ses deux gros seins (3 accouchements aident à devenir
voluptueuse).
D'un geste violent, ils m'arrachèrent mon soutien gorge
bordeaux. Je poussais un cri mais les hommes me maintenaient.
Ils me malaxaient les seins. Un des hommes passa devant
moi et sorti son sexe. Son sexe était énorme et dressé J'eu
un mouvement de recul. Il se pencha vers moi et le plaça
entre mes deux seins et me dit « malaxe-moi la bitte avec
tes deux miches ma belle » Je lui coinçais son sexe et pétrit
ce bel appareil entre mes seins. Ma poitrine serrée ce sexe
tendu dégoulinant de plaisir.
Sa bitte coulissait entre mes deux grosses miches de plus
en plus rapidement. Ce coulissement s'accélérez « ohhh cochonne
vas y branle moi la pétrit moi la » « t'aime ça salope ».
Pendant ce temps l'autre homme me violait mon intimité me
caressant la chatte à pleine main au travers de ma culotte.
Il jouit très rapidement sur mes seins et m'inonda de traînée
blanche sur mon pull bordeaux. Il me força à le prendre
en bouche afin d'essuyer ce sexe humide. J'avalais les dernières
gouttes et lécha entièrement le membre de bas en haut.
Le second décida de pousser un peu plus loin le jeu il me
retourna me couchant sur ses genoux, les fesses en hauteur.
Après avoir remonté ma jupe il me palpa les fesses à pleines
mains. Afin de les exciter d'avantage, Je voulus crier,
mais l'autre homme me bâillonna avec sa main. Il me coinça
la culotte dans la raie des fesses laissant mes fesses offertes.
Elles étaient bien rondes et appelées au plaisir. Il m'appliqua
une grande claque sur les fesses, je criais essayant de
me débattre ayant constaté que cela augmentaient leurs désirs.
Mais me tenant fermement. Il me fessa avec force les claques
résonnées dans la voiture sous l'oeil envieux du cameraman.
A la fin de la fessée il me repoussa afin que je fusse en
position de prendre sa bitte dans la bouche. J'enfouis ce
sexe à nouveau dans ma bouche qui était gonflait et rempli
de désir. Me tenant fermement par les cheveux je pompais
goulûment le sexe de mon agresseur. Pendant que je le léchais,
il me palpait les nichons débordant de mes vêtements humides
encore du sperme de l'homme précédent. Les coups de langue
combinés avec les caresses s'accéléraient, l'homme gémissait
sous l'impulsion de ma langue. « humm vas y grosse salope
lèche moi, t'es une experte, haaa c'est bon, t'es une bonne
lécheuse », « t'aime que je te pétrisse tes nibards cochonne
» .
Je n'en pouvait plus la bouche envahi par ce sexe énorme,
Je voulu me libérer mais il me tenait toujours la tête par
les cheveux la maintenant sur son sexe « non je vous en
prie laissez moi arrêter je ne veux plus, prenait moi maintenant,
donnez moi vos sexes». « Tais-toi cela ne fait que commencer
salope.». J'absorbais complètement et goulûment ce bâton
de chair. N'en pouvant plus l'homme sorti de ma bouche et
se masturba à hauteur de mon visage. Il m'inonda son sperme
sur le visage m'obligeant à avaler le liquide blanc. J'avalais
tout en lui léchant le gland pour ne rien laisser. Pendant
ce temps le conducteur avait amené la voiture dans un petit
bois à la sortie de la ville. Il stoppa la voiture et ouvrit
la porte arrière qui me présentait entrain de finir d'avaler
la semence de son partenaire.
Le conducteur me demanda de sortir de la voiture, il me
retourna contre la voiture me souleva sa jupe. Mes cuisses
hautes où glissaient des bas soutenus par des portes jarretelles
me rendaient terriblement attirante. Avec force il m'arracha
ma culotte encore coincée dans la raie des fesses. Le bruit
de la soie déchiré provoqua une terrible érection chez l'homme
qui sans précaution enfonça son sexe violemment en moi.
« T'es une bouffeuse de bitte saloperie » Il me martela
de son sexe en me donnant des grandes claques sur ma croupe.
Mes fesses étaient rougissaient. Le bruit retentissait dans
le bois, ainsi que les gémissements. Je criais « Plus vite
pitié ohhh ses bons j'en peu plus joui en moi vite ». Il
accéléra les mouvements de va et vient. Avec sa cravate
il me ligota les bras. Je ne pouvait plus me défendre (si
telle en avait était mon attention). Le cameraman me plaça
ma culotte déchirée dans la bouche afin de me bâillonner.
Il me poussa dans la voiture ou le dernier homme m'attendait
pour me prendre par devant « vient la grosse salope on va
te prendre par tous les trous comme une chienne une cochonne».
Je m'empalais sur le sexe qui commença à me ramoner, les
vas et vient s'accélérer pendant que l'autre homme ouvrait
son chemin par l'autre coté. Je n'avais jamais été sodomisé
et étais très étroite. Il m'écarta les fesses et enfonça
son doigt en écartant l'orifice anal. Il sortit son doigt
pour y introduire son sexe. Ma culotte me servant de bâillon
ne suffisait plus à étouffer mes cris de plaisir. Je fus
alors prise comme une chienne. Mes fesses tendues en avant
coulissant sur le sexe humide excitaient terriblement l'homme
qui enfonça son sexe dans mon anus. Je fus sodomisé d'un
coup sans précaution. « T 'aime cela cochonne qu'on t'encule
c'est bon heinn ».
Pendant plus de 20 minutes ; ils me ramonèrent comme des
bêtes. La douleur avait fait place au plaisir. Ils me palpaient
les seins. « T'as des grosses miches de grosse vache » «
t'es une sacré baiseuse, t'aime cela de te faire limer et
prendre en sandwich cochonne ». Ils se retirent afin de
jouir sur mon visage et mes seins. J'avalais une grosse
quantité de sperme. Se fut pour moi une expérience extraordinaire
que je savais n'être que la première.
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