Où en étais je resté ? Ah oui, le patron m'avait dit de
le recontacter le lendemain sur le net, pour me recevoir
à son bureau. Il était très moche mais si bien monté !!
sa grosse bite bien épaisse m'avait fait salivée toute la
nuit dans mon lit, et j'y pensais toute la journée, à la
recevoir dans mon petit cul.
Alors évidemment me suis connecté à l'heure dite, vers 19h30,
et évidemment Il était là à m'attendre. Il m'indiqua où
était sa boîte, m'enjoignant de venir en homme, Il ne voulait
pas qu'on voit une pouff trav débarquée à son bureau, je
m'habillerai en salope là bas. Et je devais me garer à 100mètres
pour être sûr de pas se faire repérer.
Me voilà donc partie un peu inquiète et excitée en même
temps à l'idée de me faire violer le trou par son gros zob.
J'arrive devant la porte, d'une petite boîte, son 4*4 devant
l'entrée, il avaiat changer encore de grosse bagnole par
rapport à la veille.
Je frappe, Il m'ouvre, Il était toujours aussi moche beurk,
j'entre, Il me montre une espèce de petite salle de toilette
pour me changer. J'entre dans les toilettes, y'avait des
chiottes et une douche, et une grande glace.
J'enfile vite un body string noir transparent qui s'ouvre
facilement à l'entrejambe, des bas resilles autofixants,
une minijupe (vraiment très mini) rouge bien provocante,
un petit haut aux manches longues transparentes et au dos
ouvert avec des lacets en cuir, des sandales compensées
style loana avec des lanières qui se lacent sur les jambes,
vite un petit coup de rouge à lèvres et de mascara pour
faire plus prostituée du Boss,vite la perruque, tout ça
en 15 minutes a peu près. Je sais pas ce qu'il faisait pendant
ce temps là, mais quand je sortis, Il était tranquille sur
un fauteuil en cuir noir à roulette, sa chemise déboutonnée
laissant voir son ventre bedonnant.
"C'est la salle de la secrétaire ici, approche toi, tourne
toi que je vois ton cul." Je vins vers lui, Il se mit à
me caresser le cul "t'es vraiment une bonne petite salope
toi". Je me cambrai dans un signe d'acquiescement, en relevant
ma minijupe sur les reins pour bien lui montrer mon string
body.
J'entendis le zap de sa braguette s'ouvrir, je tournai ma
tête pour voir son zob deja bien bandant
"T'en a envie de ma queue hein ? j'ai vu hier qu'elle te
plaisait, viens te mettre à genoux petite pouf".
Et me voilà à genoux à passe ma langue le long de sa verge
et autour de ses grosses couilles de taureau, le nez contre
sa bite qu'il me frappa sur la langue et sur ma petite gueule
bien ouverte.
"Suce moi salope prends ma queue".
C'est le genre d'invitation que je voulais pas refuser,
elle était tellement énorme sa queue ! je le pris donc en
bouche, sa main me faisait aller de plus en plus vite le
long de sa verge pendant que je massais ses boules.
"arrete maintenant, tu vas me faire jouir toi, mets toi
debout"
Lui aussi se releva, sa queue bandante en l'air, et Il
se mit à m'enlever ma minijupe et mon petit haut pour me
voir en body et resille, avec mes sandales j'arrivais presque
à sa hauteur, et j'eus encore droit à une séance de langue
dans ma bouche, alors que je detestais sa tronche pas belle.
Puis il se rassit dans le fauteuil et me força à m'asseoir
sur ses genoux, nouvelles séance de langues, mais cette
fois ci ponctuée par d'énormes fessées sur mon petit cul,
je criai à chaque fois pendant que ce salaud s'était mis
à saliver dans ma bouche, sa bave coulait sur mon cou.
Pour le chauffer je continuais à le branler. L'effet fut
assez efficace, puisqu'il me releva. JE m'attendais à me
faire prendre à 4 pattes toujours inquiète pour mon petit
trou, mais il me fit allonger sur le dos sur le bureau de
la secretaire, et d'un coup, il releva mes cuisses et commençait
à diriger sa bite vers mon cul. Il était tellement excité
que j'ai eu juste le temps de lui dire de mettre une capote.
Pendant qu'il l'enfilait, j'en profitais pour me mouiller
le cul avec un peu de ma salive, un doigt dans mes fesses.
UNe fois son zob encapuchoné, Il revint vers moi, me mit
une jambe sur ses epaules, écarta mon autre cuisse, et commenca
à presser son gland contre mon cul. D'un coup de rein, je
sentis sa bite me déchirer le cul, je poussa un cri très
aigu, lui demandant d'arreter, mais visiblement Il avait
pas envie d'arrêter, et Il se mit à me labourer l'anus de
grands coups de bite "Ah j'aime ton cul salope, t'aime la
bite toi, je vais te défoncer, gueule salope gueule !!"
Il avait pas besoin de me le demander, je gueulais de toutes
façons, heureusement que mon cul se mit à mouiller, ça glissait
mieux dans mes fesses en feu. Mon string se détacha à l'entrejambe
pendant qu'il continuait de me baiser, le bord du bureau
me rentrait dans le dos, je commençais à prendre franchement
mon pied. IL accelera encore le mouvement, et quelques minutes
après, je sentis sa queue sortir d'un coup de mon cul douloureux,
il enleva la capote pour me jouir sur le body en grognant.
Moi après m'être fait ramoner comme ça par cette enorme
verge, je restais scotchée au bureau, les jambes dans le
vide, essayant de reprendre mes esprits.
"Lève toi et va te laver, tu peux te casser"
En titubant et en me frottant l'anus, j'allais aux toilettes
éponger son sperme de mon body. Après un coup d'eau sur
mon front, je ressortais, prêt à me deshabiller pour partir.
Mais Il devait avoir changer d'avis, parce qu'il s'approcha
de moi et dit
" j'ai bien envie de te garder un peu toi, tu m'as bien
fait jouir", je baissais les yeux sans un mot en rougissant.
Il s'était rhabillé, mais se mit à coller son ventre contre
mon cul, je sentis que sa bosse se mettais à regonfler.
"Suce moi" lança t il, je comprenais que je n'étais pas
encore tirée d'affaire, je sortis donc sa bite de son pantalon,
pour recommencer une nouvelle pipe. Cette fois ci il me
viola la bouche comme il m'avait violer le cul, je toussais
ça m'empechait de respirer, je devais être toute rouge,
mais ses mains bloquaient ma gueule de femelle sur son zob
toujours aussi épais. Il me prit ensuite par les epaules,
et cette fois me mit le ventre contre le bureau, le cul
bien cambré et les jambes écartées, me lécha un peu le cul,
et remit sa bite dans mon anus. Comme j'étais plus ouverte
et plus libre de mes mouvements, je mena un peu plus la
danse, tortillant mon cul et serrant sa bite, je la faisais
tourner dans mes fesses. "AAAAAh salope, t'es vraiment une
pute toi, continue, bouge ton cul". Puis il se mit a faire
entrer et sortir sa verge rapidement de mes fesses, et après
quelques minutes de ce traitement, jouit sur mon cul à grosse
gouttes, pendant que je prenais mon pied comme un bonne
cochonne.
Cette fois ci il avait les couilles vides et me laissa
partir, arrvée chez moi, je me foutus à poil, et après m'être
branlée, je m'endormis heureuse d'avoir été la call girl
du boss.
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