TITRE : Le métro parisien
Catégorie : 
Histoire dans des lieux insolites

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Ah le métro parisien. lorsqu'on vient de province, je dois avouer que c'est vraiment une attraction. A plusieurs, c'est comique. Mais la seule fois ou je l'ai prise toute seule c'était plutôt. torride.

Je devais rejoindre l'auberge de jeunesse, il été presque midi, je préférais prendre le métro, plutôt que de rentrer à pied.
La sortie des bureaux. une heure de pointe. les gens qui se collent les uns aux autres, la chaleur étouffante. Surtout en plein été. on se demande souvent ou est passé la clim..Ce jour là, j'avais pas prévu de prendre le métro. j'étais juste en robe d'été assez courte sans être vulgaire.
Le métro arrive, blindé. J'arrive à monter dedans et à me glisser dans un coin. Je sais que j'en ai pour un moment, autant de pas rester devant les portes. Au même moment je vois monter un homme, qui vient se coller juste devant moi.

Il fait vraiment chaud dans ce truc ! Je sors dans bien que mal ma bouteille d'eau et j'arrive à boire quelques gorgées, un peu d'eau me tombe dessus. J'essaye de reboucher la bouteille pour la ranger quand je suis surprise par l'arrêt et j'inonde mon voisin d'en face, le jeune homme de toute l'heure.
Il a les fesses vraiment trempée.
Dans un geste de réflexe j'essaie d'essayer tant bien que mal, mais je m'aperçois que ce n'était pas là meilleure solution. Il me regarde et :
- Ne vous sentez pas obligé de vus excuser, j'ai bien vu que vous aviez envie de me caresser, ne vous inquiétez pas, c'était réciproque

J'ai beau essayer de lui expliquer que c'est un malentendu il se colle contre moi. Pourquoi personne ne dit rien. ?
Déjà un de ces doigts ramasse une goutte d'eau qui est tombé dans le décolleté, mon corps réagit. j'ai envie qu'il ne s'arrête pas.. la promiscuité, la chaleur, le risque.
- Je crois qu'il va falloir que vous excusiez mademoiselle. Vous avez une idée ? Sa tête bascule vers mon épaule qu'il commence à mordiller.
- Euh.. Je ne sais pas. je sais pas comment..
- Je suis sur que vous en avez une idée.

Son regard descend vers son pantalon.
Un nouvel arrêt nous bouscule, il en profite pour faire mine de tomber dans mon décolleté, sa langue me caresse. il ne se décale pas. De sa main libre, il fait descendre une bretelle de ma robe et attrape mon sein, il joue avec le téton, le mordille, le taquine, le fait rouler sous langue. J'ai fermé les yeux. en les rouvrant je m'aperçois qu'on nous observe. Dans un mouvement de recul, il ( on l'appellera X), lâche mon sein pour voir ce qui m'a fait peur. Il le voit. L'homme semble chercher quelque chose dans sa poche. Il nous tend un billet de 50 ?. Je ne comprends plus rien jusqu'à ce que j'entende X me dire » Donnons en pour son argent. Le mec se décale pour mieux voir la scène, juste assez pour nous voir et être dos aux autres voyageurs. e là où il est, il a une vu plongeante sur ma poitrine qui semble débordée du décolleté tellement ils sont tendus.
Déjà, je sens une bouche s'activer sur mon sein qui réclamait cette attention, une main englobe mon autre sein, le pétri, taquine le bourgeon.
Premier gémissement que je tente d'étouffer, je peux voir à côté que notre spectateur n'en perd pas une miette, son regard lubrique, je vois une bosse énorme se former et une main la rejoindre. Le salaud, il va se branler devant nous.. En fait je crois que cela accroît ma jouissance. Et X le ressentent. sa main quitte mon sein, sa bouche aussi, après un rapide regard sur moi et notre spectateur il commence à laisser sa main courir sur ma cuisse.
Un nouvel arrêt, le métro s'emplit encore plus. Et déjà je sens des doigts jouer avec mon clito, il le torture, me met au supplice, il le presse, le remonte, descend, le fait rouler. Un premier spasme me prend, pour étouffer un râle je cale ma tête sur le torse de mon délicieux tortionnaire. un second gémissement me prend alors que ces s'activent imitant ce va et vient. Pour étouffer un cri, je lui mordille l'épaule.
Un coup d'oil vers notre spectateur me montre qu'il en veut plus. il se retourne et sort son sexe de son pantalon et continue de l'astiquer.
Mon tortionnaire souhaite faire la même chose. je le vois. mais déjà ma main se faufile d'elle-même dans son caleçon à la recherche de l'objet de mon plaisir. Je sens quelque chose de dur, chaud, puissant dans ma main. du bout du pouce j'excite le prépuce, puis ma main imprime un moment rapide, témoin de mon désir, le métro passe sur de mauvais rails, le métro soubresaute. augmentant notre jouissance. Un nouvel arrêt nous colle l'un à l'autre, mais notre spectateur nous sépare pour pouvoir continuer à profiter du spectacle. Il me fait signe de m'agenouille devant mon tortionnaire. Il n'y a aucun doute sur ce qu'il veut.
Je m'exécute, Je passe ma langue sur son sexe, sur ses testicules en même temps que ma main continue de le branler langoureusement. Puis ma main caresse ses testicules et enfin son sexe se retrouve dans ma bouche, je le gobe, je l'aspire, je sens son plaisir monter, j'enfonce cette queue le plus loin possible dans ma bouche. Il pose ses mains sur ma tête pour imprimer son rythme. ma main continue de taquiner ses bourses. De temps en temps je donne de grand coup de langue le long de sa superbe verge. Une première goutte de sperme m'annonce qu'il va bientôt exploser dans ma bouche. Alors j'aspire de plus en vite, j'exerce un pression le long de son pénis, je le caresse de plus en vite, enfin il jouit dans ma bouche.

« Terminus Tout le monde descend »

Gwladyss

 

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