J'ai toujours été un mateur dans l'ame. Et ici, en bord
de mer, les occasions de se rincer l'oeil ne manquent pas,
surtout avec les beaux jours.
Ce jour-là, j'ai été dans un coin tranquille de la plage,
niché entre les dunes et la lisière des arbustes. J'adore
me balader dans ce coin sauvage, calme et où on fait souvent
de si belles découvertes. Là ma surprise a été de voir,
couchées sur leurs serviettes, deux belles filles, nues
et à l'abrit des regards indiscrets, sauf du mien pour ma
plus grande joie.
Elles avaient l'air de somnoler sous le soleil des 15 h,
heure où les autochtones ne se risquent pas au soleil. J'étais
gâté car, aimant les rousses, j'en avais un superbe spécimen
et, comme me le montrait sa toison, une vraie de vraie.
Elle avait les cheveux légèrement ondulés et une poitrine
tendre, aux mamelons roses clairs, ce que j'ai toujours
apprécié chez les femmes. Son amie était une brune de brune,
cheveux lisses et très noirs, bronzage digne des plus belles
métisses et un corps qui n'avait rien à envier à son amie.
Comme elles ne m'avaient pas vue, je jouais à mon jeu favoris,
celui de mater et d'attendre la suite des événements.
Cette suite ne se fit pas attendre car la brunette se leva
d'un bon et réveilla son amie pour aller se baigner "tant
qu'elle s'en sentais la force". Je me suis dit que je devais
les rejoindre dans l'eau et lier connaissance mais mon instinct
me hurla de rester où j'étais et d'attendre. Leurs jeux
dans l'eau avaient l'air très anodins mais plus le temps
passait, plus elles étaient proches et plus elles se touchaient.
Quand elles sont revenues aux serviettes, je me suis dit
qu'elles allaient en rester là. Mais en se séchant, elles
se caressèrent mutuellement et leurs langues se mirent à
danser dans leurs bouches. elles frottaient leurs seins
, leurs fesses et plus elles "se séchaient" plus les serviettes
étaient absentes et leurs doigts passaient sur la peau nue.
Ma petite rousse fut la premiàre à plonger entre les cuisses
de son amie et de ma position, je pouvais tout voir. Sa
langue écartait les lèvres salées de son amie, léchait ses
fesses, l'intérieur de ses cuisses. je n'en pouvais plus
et je sorti ma queue, belle par son érection, et je me mis
à me branler doucement en regardant les ébats.
Elles se mirent à califourchon l'une sur l'autre et je
matais la petite fente rose pale qui suintait abondamment.
Comme j'adorais cela, comme elles se faisaient du bien,
comme elles étaient belles. La brune commença à passer ses
doigts sur les fesses de son amie, s'attardant sur la petite
rondelle plus sombre, puis plongeait dans un puit de désir
jamais tarit. Je compris vite son intention et au même moment,
la brune se dégagea et se mit en face du dos cambré de l'autre
beauté. A la manière dont elles dansaient un ballet sexuel,
je me disais que ce n'était pas la première fois que leurs
jeux saphiques étaient ainsi pratiqués. La brune vint lécher
l'anus de son amie tandis qu'elle se branlait le clito d'une
main rapide comme l'éclair. Le voici, le doigt de la brunette
était dans l'anus de l'autre et allait et venait à un rythme
calqué sur celui du clito. Quand un, puis deux autres doigts
sont venus avec le premier, je me suis dit qu'elle devait
être habituée à la sodomie et mon érection devint en marbre,
dure et douloureuse. Mais je n'étais pas au bout de mes
surprises, deux autres doigts sont venus dilater ce si petit
anus, la main frappant l'entrée pour se frayer un passage.
Ca y est, elle est à l'intérieur, je ne pensais pas que
ça entrait si facilement, malgré que la dite main fut petite.
L'autre hurlait de plaisir et moi, je me branlais comme
un fou furieux. Son râle fut à son paroxysme et puis, plop,
la main était sortie.
Je voyais un anus ou au moins deux bites auraient pu entrer
sans problèmes ! Je jouis fort, ne pouvant me retenir et
là, elles m'ont vue...
Mais cela est pour une prochaine fois
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