J'étais arrivée à Saint-Domingue pour une semaine de vacances.
Une copine m'avait dit : tu verras, là bas, au Club Nautique
il y a un Maître Nageur qui est pas mal.pas jeune.mais pas
mal. Il a du charme, un je ne sais quoi dans le regard de
légèrement salace et rigolard.avec une réputation de bonne
queue, mais alors. bonne de chez bonne !
La connaissant comme une bonne tireuse, si elle disait que
le type avait une réputation de bonne queue c'est qu'elle
se l'était mise dans la chatte, plutôt deux fois qu'une.
De toute façon je partais à Saint-Domingue pour voir du
pays, mais aussi avec une boite de préservatifs. et j'avais
bien l'intention de pas la ramener pleine.
Avec un peu d'imagination je me voyais sur le ponton en
train de me faire prendre par derrière, en levrette, par
ce type dont j'avais vu le visage sur les photos des copines.
Il fumait un petit cigare et avait effectivement un drôle
de regard, du genre : attends que je t'attrape.En regardant
mieux il m'a semblé que je le connaissais.on aurait dit
un ancien directeur de l'hôpital où je bosse.mais alors
il serait parti bien loin. A les entendre en parler à l'hosto
elles avaient du se le taper, ces salopes.Bref me disais-je,
aller si loin pour pas se faire sauter ce serait dommage.
Pas de voisins, les minots au « Club enfants », pas de cuisine,
pas de ménage. le soleil qui chauffe la peau et réveille
la libido.quoique de ce coté là, merci, je suis pas mal
en chaleur depuis que « petite queue molle » est allé se
faire voir ailleurs. Non pas que « petite queue molle »
me sautait beaucoup, mais la fourette devenait plus prégnante
à mon esprit depuis que je sentais les sollicitations des
mecs qui me trouvaient baisable, sautable, fourrable, suçable...je
me mettais à penser à la queue, à la baise, je me masturbais
comme une folle, dans mon lit le soir, en attendant les
visites de mon amant, qui parfois me faisait jouir comme
une malade au téléphone. Quel salaud celui là.baiser au
téléphone.mais quel pied !!!
(Il faut savoir que le soleil déclenche, chez les humains,
une excitation de la partie lombaire, qui vient innerver
la zone du désir, d'où cette chose naturelle l'été de voir
les gens n'avoir qu'une envie : la baise.)
Installée dans le bungalow j'avais envoyé mon fils voir
ailleurs si j'y étais, car je voulais vérifier si le mec
c'était bien cet ancien directeur de l'hosto. Ce type avait
une réputation pas possible. Mes copines en avaient toutes
plus ou moins « tâté ». C'est ce que leurs conversations
laissaient entendre et moi ça m'avait énervée.pourquoi elles
et pas moi ! C'était pas un cavaleur.non, mais, l'occasion,
le bureau pour s'asseoir dessus les cuisses écartées, la
moquette pour se laisser aller, le fauteuil pour se faire
caresser la poitrine par derrière, ou par devant avec sa
queue qui giclait sur les nibards.Et elles s'envoyaient
en l'air, revenant ravies, le ventre plein, la blouse mal
refermée car il fallait montrer que le Boss avait juté son
sperme sur la dame en question.
Je me rendis au Club Nautique et là j'eu un choc.en effet,
ce mec était bien mon ancien patron dont j'étais sans nouvelle
depuis plusieurs années. Me voyant il eut l'air ravi car,
me dit-il, il avait vu mon nom sur la liste des arrivants.Il
me demanda ou était mon bungalow et me dit qu'après le boulot
il viendrait me voir.
Envoyant au diable toutes les résolutions de prudence je
me vêtis d'une mini blanche, ras la motte, qui dégageait
bien mes belles cuisses rondes et d'un débardeur dont je
vis qu'il laissait voir mes pointes de seins bien tendues.
A 17 heures piles, un petit coup tapé à la porte et le voici
qui entre.sans ménagement ni fioriture il me pousse contre
le mur et commence à me rouler un patin d'enfer, me prenant
les nichons à pleine main et puis, descendant plus bas me
malaxant les fesses comme un malade.
Il faut dire que ce fut rapide comme résultat et je ne me
reconnue pas dans la femelle en chasse qui lui rendit baisers
pour baisers et caresses pour caresses.
Ce queutard me mettait le feu au cul et justement j'en avais
envie depuis longtemps : qu'il me baise !!!
Ses mains avaient remonté la mini et un doigt agile venait
de s'introduire dans ma chatte, déjà trempée et dégoulinante,
en écartant juste l'élastique de mon petit string.quel salaud
ce mec, il aurait pu me dire bonjour avant, oui, mais avec
le risque que parlant, l'envie passe.
Je ne savais plus ce que je faisais, mes jambes tremblaient
comme pendant mes nombreuses séances de masturbation, je
sentais mes nichons devenir encore plus durs et ma chatte
semblait douée d'une vie propre puisqu'elle ruisselait de
désir et d'envie d'être pénétrée.
Me retournant il lèche le bas de mon dos et me tient les
hanches, pour venir baiser le string et commencer à me caresser
la raie des fesses en partant de mon sexe. Je suis en gésine,
je gémis, je souffle.envoyant les mains en arrière je lui
défais son short pour empoigner son sexe lourd à pleine
main, me mettre à le branler et le sucer. Putain, quel pied
d'être là, à tenir cette bite fabuleuse dont parlait mes
copines de l'hôpital. Il m'allonge à même le sol et se met
à positionner son gros gland à l'entrée de mon vagin, puis
me regarde droit dans les yeux.je n'en peux plus de tant
de lucre et j'ai un orgasme muet, qu'il sent néanmoins,
car sa grosse pine est au contact des lèvres de ma chatte.
Aussi sec il pousse en avant et, d'un coup, son gros membre
dur et long me rentre dans le ventre. Là je peux gueuler
mon plaisir et mes envies, il n'y a pas de voisins. Je jouis
encore sous la pression de cette masse de chair qui m'ouvre
en deux.je suis investie par une pine de salaud, je me fais
tirer à peine arrivée comme une petite salope en manque,
je gémis que c'est bon. Je suis une femelle en chaleur.
Il sort de mon ventre et je reprends son sexe lourd à pleine
main, je le branle et le suce goulûment. Il aime ça. Il
aime visiblement que je le suce et moi j'aime le sucer.
Je fais aller et venir mes lèvres sur la hampe, descend
lui sucer les couilles, remonte engouler la tête de ce gros
noeud vibrant sentant le liquide suinter et venir le lubrifier
pour préparer une bonne intromission. Oui, maintenant j'aime
sucer une bonne queue, avant de me la faire enfoncer dans
la motte.
Il me prend à nouveau, se remettant à pistonner ma vulve
pour bien me la faire gonfler, me pinçant le clitoris. Je
veux être sur lui, alors, dans un mouvement on roule pour
que nous changions de position. Je me retrouve sur son sexe,
il voit mes seins qui sautent, il les caresse, les malaxe,
les tête, les suce ; il tire les pointes à me faire mal
et cela déclenche de l'électricité dans mon ventre .Je jouiiiiiis,
je jouiiiiiiiiiiiis, je jouiiiiiiiiiiiiiiis en continu,
c'est trop bon. Je gueule en plus, sans retenue aucune,
je gronde que c'est le pied, je me bourre moi-même la chatte
en montant et descendant sur cette queutasse qui m'a tant
fait fantasmer quand j'étais plus jeune. Je caresse mon
clitoris sur lui, je sens cette bite énorme dans mon vagin,
elle me pénètre entièrement et j'aime ça. J'aime la baise
avec lui. J'aurais du le provoquer à l'hôpital, pour qu'il
me prenne comme ça, contre le mur de son bureau ou sur la
moquette. D'un coup, me sentant encore en train de jouir,
il lâche tout dans mon ventre en poussant une sorte de rugissement
qui me fait me trémousser pour m'enfoncer son gros membre
encore plus profond. Après un moment de repos, il me dit
de revenir cette nuit dans son bungalow, qu'il me finira,
qu'il me bouffera la chatte, qu'il me défoncera encore car
il avait aussi pensé à me sauter en France mais que.
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