TITRE : Le goût du sperme
Catégorie : 
Histoire érotique
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Ce que j'aime, moi, c'est sucer ! Je sais que ça peut paraitre bizarre, mais je préfère de loin faire une bonne fellation, en y mettant tout mon coeur, que n'importe quoi d'autre, y compris le coït. Je ressens des sensations beaucoup plus fortes et il m'arrive souvent, pour ne pas dire à chaque fois, de ressentir des orgasmes intenses au moment où la semence de mon homme se déverse au fond de ma gorge ou sur mon visage ou sur mes seins, ou partout en fait. C'est fou ce que je ressens à ces moments là, mais je suis alors incontrôlable et je ne veux plus rien d'autre que du sperme, du sperme, du sperme... Je m'en délecte, m'en badigeonne le corps, et ne perd jamais une goutte de ce précieux liquide.


Je ne sais pas d'où vient ce goût pour la semence mâle. Peut-être de mon initiation par mon cousin, l'été de mes 18 ans ? Lui en avait 19 et il venait souvent à la maison, officiellement pour me donner des cours de soutien en maths, mais mes parents ne se sont jamais posés la question de savoir pourquoi Olivier était si heureux de venir donner des cours à sa cousine. Ça a commencé un jour où ma mère était partie faire une course (mon père était au travail). Ce jour là, j'avais eu la flemme de m'habiller (il venait à 10h, et 10h, en vacances, c'est un peu tôt...). J'avais juste enfilé une robe de chambre par dessus ma culotte, mais celle-ci avait la fâcheuse manie de s'entrouvrir. Je remarquai à plusieurs reprises les yeux de mon cousin braqués sur mes cuisses, alors que j'étais en train de me battre avec je ne sais quel équation et je ne faisais, à vrai dire, pas grand chose pour l'en dissuader. Au bout d'un moment, je ne me sentis plus du tout concentré par les maths et je ne pensais qu'à une chose : assouvir cette envie qui me pressait de plus en plus et me faisait tremper ma petite culotte. Je prétextai une envie soudaine d'aller aux toilettes, mais, gagnée par l'émotion sans doute, je trébuchai et me rattrapai, tant bien que mal, sur les genoux d'Olivier, et même plus haut que ses genoux. Je sentis alors sous ma main quelque chose d'extrémement gros et d'extrêmement dur. Cela me fit piquer un fard gigantesque. Je n'osai plus bouger et je devais être rouge pivoine. Mon cousin éclata de rire (heureusement qu'il était moins coincé que moi) et me demanda si je voulais voir sur quoi était ma main. Tu m'étonnes que je le voulais, mais je ne pouvais pas décemment le lui dire.


Pourtant, j'ai pris tout mon courage à deux mains et je lui ait dit, d'une toute petite voix : "oui". Il a alors guidé ma main vers sa braguette et m'a tout naturellement demandé de la lui ouvrir. Je me suis éxécutée, transie d'un mélange de peur et de désir et j'ai enfin découvert ce qui était le sujet de tous mes fantasmes, depuis quelques mois. C'était chaud, c'était doux, ce n'était pas du tout comme je m'imaginais, mais qu'est-ce que c'était bon !!! Je l'ai caressé un moment, puis Olivier prit ma main en imprimant un mouvement de va-et-vient, de plus en plus rapide. J'étais comme hypnotisée. Lorsque le flot de son sperme surgit de son sexe, j'eus un mouvement de recul, de panique aussi, mais je me ressaisis vite et remarquai cette odeur tenace et forte qui agitait tout mes sens.

- Goûte, si tu veux...

Me proposa mon cousin après s'être un peu remis. Je portai ma main à ma bouche et goûtai du bout des lèvres la semence. Je sentis soudain des spasmes de plus en plus forts et j'eus l'envie de me frotter le visage avec son sperme, mais c'était sans doute trop pour une première fois, je me contentai de lui sourire. Après ça, les cours de maths du matin avaient une toute autre saveur. J'attendais avec impatience le cours et je pense que mes parents n'ont rien compris à tant de soif d'apprendre. J'avais réellement soif d'apprendre, mais pas vraiment de maths. Le lendemain, mon cousin me proposa de le prendre dans ma bouche et j'entamai (avec entrain) ma première fellation. Son sexe était un peu gros, je ne pouvais pas le mettre entièrement dans ma bouche, mais je ne m'étais jamais sentie aussi excitée. J'y mettais les deux mains, le léchais sur toute la longueur de sa verge, jusqu'à son énorme gland que j'arrivais à peine à introduire en entier entre mes lèvres. Vint enfin le moment où je sentis son penis grossir encore un peu et s'agiter convulsivement. Mon cousin se mit à gémir et me dit de ne surtout pas arrêter (ce que je n'aurais fait pour rien au monde). Je sentis soudain un jet puissant qui vint jusqu'au fond de ma gorge. Je toussai un peu et ne pu m'empêcher de retirer son gland de ma bouche. Mais c'était pour mieux recevoir les jets suivants sur mon visage, sur mes cheveux. Il m'en avait mis partout, mais je n'étais pas du tout dégoûtée, au contraire..Spontanément, je me mis à lui nettoyer le sexe avec ma langue et j'adorais ça. Mon pauvre cousin était un peu subjugué : sa cousine qui lui nettoyait le sexe après lui avoir administré une fellation digne d'une star du X, il devait être un peu étonné.


Tout le mois de juillet se passa comme ça. Tous les jours de la semaine ou presque, je prodiguai à mon cousin sa petite fellation du jour, en échange de ses cours de maths. Je pense qu'il n'a jamais été aussi bien payé pour ce travail. Il m'a bien sur proposé 2 ou 3 fois de me caresser un peu en retour, mais je m'y suis toujours refusé, un peu par peur de lui montrer mon corps, et aussi parce que je préférais calmer moi-même le feu qui brûlait en moi, après qu'il soit parti. J'avais pris mes petites habitudes : mes parents n'étaient quasiment jamais là le matin, alors il me donnait mon cours et, à la fin, je le suçais jusqu'à ce qu'il jouisse sur moi (je prétextais que je n'aimais pas trop le goût du sperme alors qu'en fait j'adorais ça) et lui demandait de jouir sur mon visage ou sur mes petits seins. Il s'en allait alors, après un bref remerciement et c'est à ce moment là que j'assouvissais mes envies : je m'enfermais dans la salle de bain et je passais le reste de la matinée à me caresser tout en buvant petit à petit son sperme. Je commencais par l'étaler sur mon corps, en particulier sur mes seins dressés, avant de me lécher un à un les doigts.


À ce moment là, il suffisait que je frôle mon petit bouton pour que j'explose. Ces jouissances me laissaient littéralement anéantie et je retournais souvent me coucher juqu'au retour de mes parents. Un jour pourtant, Olivier, ayant oublié son sac, est revenu à la maison et m'a surprise dans mes petits jeux. Je vous laisse imaginer la tête qu'il a fait. Il a de nouveau sorti son sexe, déjà dans un état d'érection et m'a fait à nouveau le sucer, moi, sa petite salope. J'ai bien sûr été d'accord, vu l'état d'excitation dans lequel je me trouvais et je l'ai pompé de toutes mes forces, tout en continuant mes caresses sur mon corps. Il n'a pas tardé à exploser de nouveau, mais je n'ai pas eu le loisir de retirer sa bite de ma bouche : il me maintenait la tête. J'ai eu alors le plus grand orgasme de ma vie, à sentir ainsi tout son sperme jaillir sur mon palais, couler dans ma gorge (j'ai eu l'impression qu'il y en avait des litres et j'avais du mal à tout à tout avaler, au fur et à mesure de son éjaculation, mais je n'étais pas en état de penser que je pouvais recracher ou quoi que ce soit... Et puis, c'était tellement bon !!! Bien sûr, depuis ce jour, je ne pouvais plus trop refuser d'avaler la semence de mon cousin (je n'étais plus trop crédible), et c'est ce que je fis, jusqu'à la fin de l'été, avec toujours plus de plaisir.


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