Comme chaque samedi, je me travestis pour devenir Sandra.
Après m'être maquillée, je sors ma plus belle lingerie pour séduire
Natacha qui me reçoit chez elle pour le week-end.
C'est une dominatrice expérimentée habitant au nord de Paris.
Sa réputation est telle que je l'ai contactée pour lui dire mes attentes.
Elle s'est montrée si chaleureuse au téléphone que j'ai accepté son
invitation avec enthousiasme.
Toute à la pensée de cette rencontre, je me prépare longuement car je sais
que la première impression doit être la bonne.
J'agrafe ma guêpière et enfile mes bas à couture en les tendant aux quatre
paires de jarretelles.
Je caresse de la main ce fin voile de nylon en sentant l'excitante tension
des fibres synthétiques sur mes cuisses.
Puis, je garnis mes bonnets 105/D de somptueuses prothèses en silicone
avant de remonter sur mes hanches une ravissante culotte ouverte assortie
à ma guêpière.
Pour achever ma transformation, je me coiffe d'une perruque blonde coupée
au carré et me glisse dans une robe en dentelle moulante.
Je fais quelques pas devant le miroir en remarquant avec plaisir que mon
déhanchement est accentué par mes talons aiguilles lorsque je marche.
Par une belle journée ensoleillée, je quitte mon appartement parisien à
bord de ma voiture décapotable.
Sur l'autoroute, je retrousse ma robe en exhibant mes cuisses gainées de
nylon et ma culotte en satin à la vue des routiers.
Je les double lentement pour qu'ils gardent le plus longtemps possible une
vue plongeante sur mes dessous.
Ils me rendent hommage par un concert de klaxons ininterrompu qui
m'accompagne tout le long du trajet.
Mon GPS m'arrête devant une ancienne villa au coeur d'un parc arboré à la
lisière de la forêt de Compiègne.
Le portail d'entrée s'ouvre devant moi et c'est le coeur battant que je
pénètre dans cette propriété.
Natacha m'attend sur le porche et je sais en la voyant que je ne serai pas
déçue.
Perchée sur ses cuissardes rouge et noir, elle me toise avec insistance.
Les bonnets de son corset en cuir maintiennent difficilement sa superbe
poitrine et un string met en valeur ses cuisses fuselées.
Son visage slave à pommettes saillantes dégage une forte sensualité.
Sa chevelure brune en queue de cheval la fait paraître plus jeune que ses
quarante ans.
Cette envoûtante dominatrice qui mesure plus d'un mètre quatre-vingt est
impressionnante.
Sous son allure très féminine, elle me dévoile son corps souple et musclé.
Connaissant déjà tous mes désirs, elle m'observe d'un regard torride.
Je tombe à genoux en remontant lentement mes mains le long de ses jambes
pour caresser les cuissardes, puis ses cuisses gainées de nylon.
Sans perdre un instant, elle me relève et m'entraîne dans son donjon.
Nous descendons un large escalier menant à une pièce aux voûtes de craie
blanche.
Le sol en tomettes de couleur sienne à une surface d'au moins 100 m2.
Mon regard s'attarde avec surprise sur les aménagements de cette salle.
Au fond du donjon se trouve une croix de Saint-André, un lit avec des
barreaux ornés de menottes, une table médicale, un cheval d'arçon, une
cage métallique, un boudoir servant au maquillage et au travestissement..
Au mur est fixée avec précision une collection de fouets, d'accessoires en
tout genre.
Quelques tables basses en forme de sexe de femme sont disposées ici et là.
Natacha s'avance vers moi d'une démarche féline.
- Avec cet équipement, je vais pouvoir te faire découvrir quelques unes de
mes spécialités.
Puis, sa main palpe mon corps allant de mon cou à mes cuisses, caressant
mon ventre, mes seins et mes hanches.
- Remonte ta robe, m'intime-t-elle d'une voix assurée.
J'obéis fébrilement en la relevant contre ma taille.
Son regard est aussitôt attiré par le renflement évocateur de mon sexe.
Au contact de ses doigts, ma queue se gonfle instantanément et jaillit par
l'ouverture de ma culotte en satin.
Mon émotion est forte et ma sensualité plus exacerbée que jamais.
- Je n'aurai pas trop de deux jours pour dresser une petite bourgeoise de
ton espèce. Déshabille-toi et passe cette tenue mieux adaptée pour nos jeux.
En quelques minutes, je me retrouve vêtue d'une guêpière en cuir rouge, de
bas à résille, et de chaussures de drag-queen.
- Surtout, ne mets pas de culotte, me dit-t-elle d'une voix sibylline.
Me faisant m'asseoir devant sa coiffeuse, elle me maquille outrageusement
les yeux et peint mes lèvres d'un rouge écarlate.
Une perruque blonde bouclée, mi-courte, ainsi qu'une bonne couche de fond
de teint achèvent ma transformation.
Je ne me reconnais plus dans le miroir.
La bourgeoise s'est transformée en fille de la rue Saint-Denis.
Natacha m'allonge sur la table médicale.
Elle m'attache les mains et me bâillonne la bouche avec l'une de ses
culottes en soie.
Armée d'une cravache, elle commence à me fouetter doucement, puis de plus
en plus vite.
Elle débute par mes cuisses avant de s'attarder sur mon entrejambe.
Devant la violence des coups, je resserre mes jambes par réflexe en
poussant un gémissement étouffé.
- Ecarte les cuisses, me dit-t-elle en élevant la voix et en m'attachant
les pieds dans les étriers.
Pendant de longues minutes, elle s'acharne sur mon sexe avec une précision
diabolique. Puis, elle change de registre en sévissant avec tendresse.
Les caresses succèdent aux caresses.
De sa bouche aux capacités infinies, elle me suce la queue d'une manière
appliquée et généreuse.
Instinctivement, je me cambre en m'offrant davantage à cette dévoreuse de
sexe.
Alternant douleur et plaisir, Natacha voit ma queue se dresser
outrageusement devant ses yeux.
Je voudrais arrêter le temps pour apprécier ce moment où je me sens plus
vivante que jamais.
- Puisque tu es en forme ma belle, je vais en profiter, me dit-t-elle avec
un rire de gorge évocateur.
Elle saisit sur une étagère une fine tige en acier chirurgical de 30 cm
qu'elle lubrifie abondamment.
D'un geste assuré, elle l'engage dans mon méat en l'enfonçant lentement
dans ma queue.
Sans me quitter des yeux, ses doigts pressent habilement ma hampe pour
guider ce corps étranger dans ma verge.
Après de nombreux va-et-vient, elle fait disparaître entièrement la tige
dans mon sexe en posant son pouce dessus pour l'empêcher de remonter.
Lorsqu'elle l'enlève, la tige ressort spontanément de quinze centimètres.
Avec amusement, elle l'enfonce plusieurs fois de suite pour la voir
rejaillir de mon sexe.
Par la suite, Natacha m'introduit des plugs urétraux de plus en plus gros.
Elle termine avec le sceptre princier jumbo équipé d'une tige de 8 mm de
diamètre qui est ornée à son extrémité d'un anneau d'acier destiné à
recouvrir mon gland.
Je regarde avec étonnement ce plug impressionnant glisser lentement dans
mes chairs sans ressentir la moindre douleur.
La longue tige finit par disparaître totalement et l'anneau métallique
vient coiffer mon gland en m'interdisant tous rapport sexuel.
Puis, elle branche une pince électrique sur l'anneau d'acier qui couronne
mon sexe.
En quelques minutes les vibrations me déclenchent une vague de plaisir qui
me submerge.
Je jouis en arrosant de mon sperme le métal vibrant.
- Je poursuis ton initiation, me dit-t-elle d'une voix enjouée.
Avec habilité, elle m'enfonce une sonde dans l'urètre qu'elle raccorde à
une poche suspendue à une patère.
Un liquide transparent coule lentement du tuyau et m'irradie la verge.
- C'est un puissant aphrodisiaque qui te donnera des érections
permanentes, me dit-t-elle en souriant.
Pendant cet échange, Natacha pose un spéculum dans mon conduit pour
m'examiner la chatte.
Elle l'écarte fortement à plusieurs reprises pour tester la souplesse de
mon anneau.
- Je vais pouvoir essayer mes gros calibres, me dit-t-elle avec un rire de
gorge évocateur qui me laisse présager quelques surprises.
Son auscultation terminée, elle m'adresse un sourire complice en me
retirant la sonde.
- Tu as pris toute la dose ma chérie, me dit-t-elle en me montrant la
poche vide.
Je frissonne quand je la vois s'approcher de moi un rasoir à la main.
- Ne crains rien ma belle, je veux simplement enlever les quelques poils
disgracieux qui ont échappé à ta sagacité.
Je sursaute lorsque la lame glacée glisse le long de ma verge qui se
durcit à vue d'oil.
Puis, Natacha égalise mon triangle de vénus et termine en me rasant
méticuleusement l'anus.
Sa tâche achevée, elle m'invite à la suivre dans son lit.
Elle m'attache les poignets aux barreaux.
- Désormais, je t'interdis de jouir sans mon autorisation, me dit-t-elle
en déroulant un préservatif sur ma queue. Il va me servir de témoin. Si à la fin de nos jeux, je retrouve ton sperme à l'intérieur, je te punirai très sévèrement.
Poursuivant la séance, elle me pose un étrange cockring métallique autour
de la verge.
Il est relié à une tige d'acier qui se termine par une boule en métal
s'enfonçant dans mon anus.
Son diamètre de sept centimètres est supérieur à une boule d'attelage et
Natacha doit forcer mon passage pour la faire rentrer dans mes fesses.
À peine a-t-elle réussi, qu'elle la retire brutalement.
- Doucement, tu me déchires les chairs, lui dis-je en gémissant de
douleur.
Sans prendre la peine de me répondre, Natacha la replonge tout aussi
violemment dans mes entrailles.
- Je vais maintenant te mettre à l'épreuve, me susurre-t-elle à l'oreille.
Retirant son string, elle se met à califourchon sur mon ventre.
- Je te rappelle que tu ne dois pas jouir. Voyons si tu peux me résister.
Initiant de lents va-et-vient, elle frotte sa chatte sur toute la longueur
de ma queue pendant que sa main me caresse les bourses et le périnée.
À d'autres moments, elle me masturbe sur des rythmes différents en
poussant la barre du cockring pour m'enfoncer la boule d'acier dans les
reins.
Je la sens alors presser avec insistance mon point G.
Le sexe dressé, je me retiens de jouir en résistant à Natacha.
Elle s'immobilise enfin tout en m'adressant un sourire pervers.
- J'espère que tu ne m'as pas désobéi, me dit-t-elle en enlevant mon
préservatif et en le retournant dans sa paume.
À ma grande surprise, je vois quelques gouttes de sperme couler dans sa
main.
- Comme promis, je vais m'occuper de toi cette nuit, rajoute-t-elle en me
fixant d'un regard lourd.
Retirant provisoirement mes prothèses en silicone, elle sort mes seins de
ma guêpière.
Avec un coton imprégné d'un produit réfrigérant, elle me glace les tétons
pour les insensibiliser.
Puis, sans que je puisse réagir, elle les perce avec une aiguille.
Je ressens une douleur aiguë qui s'estompe rapidement pendant qu'elle me
pose des anneaux en acier.
- Ces bijoux portent mon prénom et ne pourront plus s'enlever. Désormais, tu m'appartiens, me chuchote-t-elle à l'oreille en me passant autour de la gorge un bandeau de soie. Maintenant, je vais te faire jouir, profites-en bien, me dit-t-elle en s'empalant sur ma queue.
Sa chatte brûlante de désir et avide de sexe devient une véritable pompe à sperme.
Elle roule et ondule du bassin en me donnant un plaisir intense.
Dès que je suis sur le point de défaillir, elle me comprime le cou avec
son foulard pour me calmer.
- Pas si vite, m'ordonne-t-elle en m'étranglant à moitié et en
m'immobilisant par le poids de son corps.
Puis, desserrant le foulard, elle se frotte contre moi pour m'exciter à
nouveau.
Elle poursuit son scénario jusqu'à mon point de non retour.
Quelques instants plus tard, mon corps se met à trembler avant d'être
secoué de spasmes.
De puissants jets de sperme fusent dans la chatte de ma Maîtresse pendant
qu'elle m'étrangle avec son foulard
Mon orgasme est décuplé jusqu'à ce qu'un voile noir me tombe sur les yeux
en me faisant perdre à moitié connaissance.
Peu après, Natacha éponge avec surprise le trop plein de sève qui
ruisselle sur ses cuisses.
- Tu m'as mis la dose, me dit-t-elle admirative.
Elle me laisse récupérer un instant avant de revenir avec un énorme plug à
la main.
- Il est formé de trois anneaux me dit-t-elle. Le premier a un diamètre de sept centimètres qui correspond à la taille d'une bouteille de vin. Le second a un diamètre de huit centimètres qui est celui d'une bouteille de
champagne. Enfin, le dernier a un calibre neuf et il te faudra avoir l'oeillet
suffisamment souple pour l'absorber. Sache que peu de mes soumis y sont arrivés.
Pendant qu'elle lubrifie l'impressionnant mandrin, Natacha me fait mettre
à genoux devant son cheval d'arçon et m'oblige à me coucher sur le ventre.
Puis, elle presse le plug contre ma rosette en le poussant fortement à
deux mains.
Le premier anneau pénètre sans trop de difficultés.
S'agrippant à mes hanches, elle se rue en moi de toutes ses forces pour
m'enfoncer le second.
Je ressens une douleur aigüe lorsqu'il me pénètre en m'écartant les
chairs.
Elle le fait coulisser longuement en moi pour me roder l'oeillet.
Puis, après plusieurs tentatives infructueuses, elle réussit à plonger le
dernier anneau dans ma chatte.
Elle contemple d'un air satisfait l'énorme socle du plug collé contre mes
fesses.
- Eh bien ma chérie, je suis surprise d'y être arrivée, me dit-t-elle en
me libérant les reins. Mais je n'en ai pas terminé avec toi, me dit-t-elle en contemplant
ma rosette grande ouverte.
Je me demande ce que va encore inventer ma vicieuse Maîtresse.
Elle enfile un gant en latex et plonge sa main dans mon ventre pour masser
mon point G avec la pulpe de ses doigts.
Je gémis de plaisir devant le savoir-faire de Natacha qui tourne
habilement son poignet dans mes entrailles.
Dans le miroir mural qui me fait face, je la vois pousser toujours plus
loin son bras qui finit par rentrer jusqu'au coude.
- Je sens battre ton pouls, me murmure-t-elle à l'oreille.
Elle me fouille longuement en explorant les moindres recoins de ma grotte.
- Je vais te faire essayer mon dernier achat, finit-t-elle par me dire au
bout d'un moment.
Je regarde son bras sortir lentement de mon ventre, complètement tétanisé
par ce spectacle.
Puis, Natacha revient un instant plus tard harnachée d'un gode ceinture
XXL s'élargissant progressivement jusqu'à sa base.
Je frissonne quand j'apprends qu'il atteint les dix centimètres de
diamètre à son extrémité.
Natacha n'a pas trop de ses deux mains pour le maintenir à l'horizontal.
- Tu es la première que j'empale avec un tel monstre, me dit-t-elle
cyniquement.
Elle s'allonge sur le dos en maintenant le gode bien droit.
Puis, elle me demande de m'allonger sur elle, le dos collé contre sa
poitrine.
- Maintenant écarte bien les cuisses, me dit-t-elle d'une voix autoritaire
en l'engageant dans mes fesses.
Au bout d'un moment, elle finit par arriver à ses fins.
J'ai vraiment l'impression d'être ouverte en deux par ce pal qui me
pénètre.
Une fois qu'il est totalement rentré, Natacha reste immobile pendant de
longues minutes en maintenant le gode enfoncé jusqu'à la garde.
Elle attend que mon anneau soit suffisamment dilaté pour commencer à aller
et venir en moi.
Puis, enserrant ma queue dans un de ses bas nylon, elle me masturbe en me
pilonnant les reins sans retenue.
Le contact des fibres électriques sur mon gland me fait de l'effet et je
finis par jouir dans sa main en gémissant de plaisir.
Pendant le dîner, elle me transforme en soubrette en me faisant porter un
tablier pour tout vêtement.
Après lui avoir servi les plats, je reste agenouillée entre ses cuisses en
lui léchant la chatte jusqu'à la fin du repas.
Puis, elle se lève de table et m'oblige à la suivre en me disant avec un
certain sadisme :
- Souviens-toi ma chérie que je t'ai promis une nuit inoubliable.
Elle me bâillonne à nouveau et m'attache les mains et les chevilles à la
croix de Saint-André.
Puis, elle m'insère dans la verge un plug urétral dont le diamètre
progressif se termine par une boule.
- La tige en métal est creuse. Tu vas donc pouvoir uriner ou jouir mais uniquement quand je te le
dirais, me dit-t-elle d'une voix autoritaire.
Enfin, elle me plonge dans les fesses un plug de bonne taille qui me fait
ressentir une douloureuse tension dans le ventre.
Ma situation n'est vraiment pas confortable et cela semble l'exciter.
- Tu vas rester attachée ainsi pendant des heures sans dormir.
Allongée sur le lit, Natacha guette l'instant où je vais m'assoupir.
Dès mes premiers signes de sommeil, elle vient me fouetter le sexe en
m'accrochant des poids de plus en plus lourds aux testicules.
À d'autres moments, sans me laisser de répit, elle tire sur mes anneaux de
seins.
Au cours de la nuit, elle me dit :
- Je veux te voir jouir.
Elle me pose alors un vibro sur le gland en le faisant aller et venir le
long de mon frein.
Natacha n'a pas longtemps à attendre pour voir ma sève sous pression fuser
par l'étroite embouchure du plug urétral.
Elle sourit en voyant mon sperme s'écraser en jets puissants contre ses
cuissardes.
Pendant que je me vide, mon corps est pris de tremblements et je me cambre
sous l'intensité de l'orgasme.
Jusqu'à l'aube, ivre de fatigue et toujours attachée à la croix de
Saint-André, je continue à subir les caprices de ma Maîtresse.
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