TITRE :  Le compromis
Catégorie : 
Histoire Extra conjugale

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En rentrant plus tôt du travail, je découvris une voiture garée dans l'allée. Ce n'était pas une voiture habituelle dans le lotissement. Je rentrai à pas feutrés pour faire une surprise à ma femme. Mais très vite, je fus troublé par un bruit venant de la chambre. Je m'approchai et découvris l'incroyable. Ma femme était en train de se faire baiser par un collègue de travail. Que se passait-il dans ma tête ? Je voulais profiter du spectacle. D'ailleurs, le mal était fait. Ma femme se donnait totalement :

- Oh oui, enfonce-la ta grosse queue, je te sens bien.

- Salope, tu es toute mouillée, lui répondit-il, avant d'enchaîner des coups de bite de plus en plus violents. Tiens prends ça. Tu aimes te faire baiser dans le lit de ton mari ?

- Oh oui, c'est bon. J'aime ta queue. Elle me fait du bien. Viens donne-moi tout ton foutre.

- Tu vas en avoir du foutre. Salope. Tu es chaude. Dis-moi que ton mari ne te tringle pas comme ça.

- Oh non, dit-elle, il est plus doux, il me respecte, il ne baise pas comme un salopard. Mais je préfère ta bite, elle est plus grosse, elle me remplit bien ! Je la suce tout le temps au bureau, mais c'est mieux comme ça.

- Salope, lui répondit-il, dans un râle qui annonçait la fin de ses coups de piston. Dis-moi que tu as envie de te faire prendre le cul !

- Non chéri, pas maintenant, tu es trop gros, il faut plus de temps. Plus tard, je te le promets.

- Non, non, je veux t'enfiler le cul. Laisse-toi faire. Tu vas aimer.

- Va doucement, chéri, ça fait trop mal...

Il ne se fit pas prier, il sortit de la chatte toute rougie de ma femme et pointa son dard dans le petit trou. Il la sodomisa sans préparation, arrachant un cri de stupeur de ma femme :

- Non, ça fait mal... Mais tu es fou, tu me déchires. Salaud ! Ne me remplis pas le cul. Recule ! Ne me rentre pas tout ! Elle est trop longue ! Je t'en prie !

- Je vais t'en mettre de partout, ma petite pute. Tous tes trous recevront du sperme chaud. Tu veux !

- Oh oui, lâche tout ton foutre ! Se résigna ma femme épuisée.

Il se contracta, sortit du cul béant et lâcha un jet qui atteignit l'entrée de son trou élargi, il pointa sa bite et s'enfonça dans la chatte pour lâcher un ou deux jets supplémentaires, puis il se retira et vint devant le visage de ma femme :

- Tiens, suce-moi salope pour prendre le dernier jet. Prends mes couilles et caresse-les pour faire sortir les dernières gouttes.

Ma femme engloutit le dard tendu et mouillé et suça avec des glapissements. Elle avala le reste avec délectation.

- Tu sens la bite qui t'a troué le cul, ma chérie. Elle sent ta mouille et tout le reste. Lèche bien pour me nettoyer.

Ma femme se passait la bite sur la joue, sous son nez et admirait une grosse pine qui l'avait fait jouir, même si la fin avait été plutôt brutale. Mais elle ne lui en voulait pas, bien au contraire.

- Comme c'est bon, oh, je n'ai pas envie de me donner ce soir à mon mari. Tu m'as épuisée. Je me garde pour toi. On ira aux toilettes. La dernière fois, tu m'as fait jouir en 5 minutes, en me tenant par les hanches. C'est bon de se faire enfiler comme ça, par derrière.

Il l'interrompit :

- Je n'ai pas le temps de prendre une douche, il faut que je m'en aille.

Ils échangèrent un baiser plein de saveurs suspectes.

J'en profitai pour m'éclipser. Il fallait bien protéger ma fuite. Lorsque je revins à l'heure habituelle, ma femme m'attendait nonchalamment devant la télé. Je fis mine de ne rien savoir, bien entendu, et je l'embrassai dans le cou. Elle sentait le parfum et avait gommé toute trace de ses turpitudes. Le soir, au lit, je me demandai si elle allait accepter que je la touche. Je commençai à lui caresser les fesses, pensant avec excitation au sperme qu'elle avait pris dans son cul. Mes doigts se rapprochaient de plus en plus de sa raie, puis de son oeillet. Je me baissai pour aller lui lécher la raie. Mais je la sentis se contracter. La petite lumière d'ambiance me laissa voir dans sa posture une certaine gêne. Je descendis en insistant un peu pour arriver à mes fins. Je caressai ses fesses et les ouvris, faisant apparaître son petit trou encore rougi par les assauts de son amant. J'approchai ma langue et l'enfonçai un peu pour adoucir le mal qu'il lui avait fait. Ce salopard ne l'avait pas préparé, il l'avait enfilée brutalement. Elle gardait d'ailleurs certaines rougeurs que je faisais ressortir en écartant ses fesses. Je l'enduisis de salive. Ma femme s'inquiéta de mon entreprise, car elle n'aurait pas supporté une autre bite dans son cul. Elle se tourna brusquement, puis descendit vers ma bite tendue pour la sucer avidement. Elle préférait se débarrasser de son devoir conjugal de cette manière.

- Tu as envie que je te lâche mon jus dans la bouche ? Lui demandai-je.

- Oui, chéri, je suis fatiguée de la journée, je préfère te sucer ce soir. Tu veux bien ?

Un peu frustré, mais compréhensif, je l'encourageai à pomper mon dard :

- Vas-y salope, suce et lèche mes couilles. Tu vas prendre tout mon foutre. Je vais t'en mettre plein dans la bouche !

Elle laissa un moment ma queue tendue pour descendre et gober une à une mes couilles. C'était bon de la sentir prête à prendre encore du sperme. Elle le méritait sans doute. Pour activer ma décharge, elle m'excita en me parlant de fantasmes ou d'expériences anciennes :

- J'aime les grosses bites. Tu veux que je me fasse prendre par un Noir...

Mais ça fait mal. Il a une grosse bite, chéri et il veut me la mettre comme toi dans la bouche. Mais elle est trop grosse, je peux pas la prendre même en ouvrant tout grand ma bouche.

Elle me branlait tout en me racontant que le Noir l'avait pris par derrière et qu'il s'activait pour lâcher tout son foutre dans sa chatte écartelée. Elle ajouta, pour m'exciter encore plus, qu'il avait eu une énorme décharge et que son sperme dégoulinait le long de sa cuisse. Elle vit à mes mouvements que je ne tenais plus. Elle enfourna ma bite et pompa de plus en plus vite. Je coinçai sa bouche pour me déverser et je lâchai plusieurs jets au fond de sa gorge, excité par les insanités qu'elle m'avait racontées. La nuit, je me mis à penser à ce Noir qui voulait lui fourrer son dard dans la bouche !

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