06 h00 du matin, le téléphone sonne. Mais qui ça peut-il
être à cette heure ? Quelle nuit ! Ça faisait longtemps
qu’Anne n’avait pas baisé comme ça ! Péniblement, elle émerge
de son sommeil et des bras de son amant en balbutiant un
: "hello" pâteux. Aussitôt un curieux dialogue s’engage.
- Bonjour chérie, c’est moi !
- Toi ? Mais tu sais quelle heure il est ici ?
- Ben oui chérie, il est la même heure qu’ici puisque je
suis à Paris moi aussi.
- Comment ça t’es à Paris ? Mais tu ne devais pas rentrer
avant 8 jours !
- Ben oui chérie mais la coulée du béton a posé bien moins
de problèmes que prévu ; les piles du pont ont parfaitement
refroidi, aucune fissure, les vérifications ultrasonores
ont été faites, on est en avance de 15 jours sur les travaux.
En attente des poutres maîtresses pour les arches, je me
suis accordé 10 jours de vacances à Paris, d’autant plus
que l’agence SSAS m’avait envoyé un mail il y a de cela
quelques jours...
- Qu’est-ce que c’est cette histoire, qu’est-ce que c’est
cette agence SSAS ?
- Ah oui, tu n’étais pas au courant. SSAS, c’est l’agence
Search, Survey and Secure. C’est une agence de détectives
privés spécialisée dans la télé-surveillance. Par exemple,
là maintenant, de ma chambre d’hôtel, je peux te voir dans
ton lit, je peux même faire un plan plus large et je peux
constater que, comme il me l’avait promis, Charles-Henry
ne t’as pas laissée toute seule, et s'est bien occupé de
toi...
Anne maintenant est tout à fait réveillée.
- Chéri, je t’en prie, je peux tout t’expliquer...
- Ben ça tombe bien parce que justement, si je te téléphonais
si tôt, c’est qu’il faudra aller voir cette après-midi notre
avocat pour le divorce.
- Comment ça le divorce ?
- Ben oui, avec les photos que j’ai eues par mail, plus
la vidéo de ce matin, je crois que je vais avoir le divorce
sans peine et sans pension alimentaire. Tiens, salue Charles
Henry de ma part, je vois qu’il vient de se réveiller. Bonjour
à sa femme aussi !
Anne est maintenant en pleine panique. Son mari n’est pas
un plaisantin et s'il ne s’énerve pas, c’est que précisément
il est dans une colère terrible. Que va-t-il lui arriver
? Le divorce et après... Elle vivra de quoi ? Et en faisant
quoi ? Elle ne sait rien faire, c’est une potiche, une très
belle potiche, mais rien qu’une potiche.
- Écoute, on pourrait peut-être discuter avant ?
- Oui sans aucun problème. Viens à mon hôtel, je suis en
bas de la rue à l’hôtel des Ternes. Je préfère ça, je n’ai
aucun goût pour le théatre de boulevard... Le mari, l’amant,
la femme, la maîtresse, tout ça c’est d’un vulgaire ! Bon
alors t’es d’accord ? Hôtel des Ternes, chambre 312, 10
h 00.
Et il raccroche. Bordel de bordel, quel réveil !!! Comment
se sortir de cette affaire ? Avant toute chose, il faut
garder son calme. André a toujours été un homme de dialogue
et de négociations. Il y aura peut-être, non il y aura sûrement,
se dit- elle, un moyen de s’arrenger. Elle ne voyait pas
très bien comment mais elle pouvait faire confiance à André.
Il avait l’imagination fertile.
10 h 00. Anne est là, devant la porte de la chambre 312,
apparement forte et digne mais en réalité prête à tout pour
s’en sortir. Charles-Henry ne divorcera jamais, sa femme
n’en à rien à foutre de ses incartades, elle n’a pas de
travail et elle dépend entièrement de son mari pour s’assurer
son train de vie, un train de vie assez dispendieux. Son
mari lui ouvre la porte d’un air enjoué ; tout ça n’annonce
rien de bon, se dit-elle.
- Alors chérie, t’as réfléchi à la situation ? T’as discuté
avec Charles-Henry, il va t’épouser ?
- Bon écoute, on va pas jouer au chat et à la souris. Tu
connais exactement la situation, je suis tombée sur une
des micro-caméras, je suppose qu’il devait y en avoir d’autres,
donc t’es au courant de tout. Qu’est-ce que tu proposes
?
- Anne, ma chérie, je ne m’attendais pas à une discussion
de marchands de tapis de la sorte. J’avais connu une femme
distinguée, raffinée, je m’attendais à un : "Ciel mon mari
!" de circonstance, mais certainement pas à un :"Qu’est-ce
que tu proposes ?" Enfin, là n’est pas l’important. Puisque
tu veux jouer franc jeu, jouons franc jeu... Puisque tu
aimes appeler un chat, un chat, appelons un chat, un chat.
André subitement prend une voix de théatre
- Voilà, Madame, en un mot comme en cent, vous m’avez fait
cocu, archi-cocu, plusieurs fois et par tous les trous.
Qui plus est avec mon meilleur ami. Un ami de 20 ans...
Femme, ces preuves, je les mets ici sous vos yeux ébahis,
qu’avez vous à dire pour laver votre honneur et vous protéger
de mon courroux ?
Reprenant ensuite sa voix normale, André enchaîne en prenant
en main la pile des clichés et sans lui avoir laissé le
temps à Anne de s’exprimer, commente :
- Des photos pareilles. On voit pas ça tout les jours...
Prenant cette fois une voix de conférencier, André commente
les photos :
- Photo 1 : Une superbe bourge de 40 ans, et qui ne fait
pas du tout son âge, en robe du soir et talons aiguilles,
pénètre dans sa chambre. À voir sa tête de grosse vicieuse,
elle ne doit pas être seule... Photo 2 : Effectivement,
elle n’est pas seule. Toute habillée encore, elle se met
tout de suite à genoux pour une superbe fellation. Comment
est-elle sous sa robe du soir ? À poil ? Non ce serait trop
vulgaire pour une femme de sa condition ! Photo 3 : Bien
deviné ! Effectivement, elle n’était pas à poil, mais en
soutif et porte-jarretelles, en train d’expliquer avec forces
détails et devant la glace au monsieur avec qui elle s’est
déjà montrée si généreuse qu’elle sait aussi s’occuper toute
seule quand il le faut. Mais le comportement du monsieur
semble indiquer que ce soir, il ne le faudra pas sauf pour
le fun, bien sûr.
- Bon ça va, ça va comme ça, ça suffit ! Tu ne m’as pas
fait venir ici pour me montrer ces photos, je te connais
assez. Qu’est-ce que tu as derrière la tête ?
- Ben effectivement, faut bien reconnaître que tu t’es comportée
comme une vraie pute. Je ne m’attendais pas à ça de toi,
toi une De Boisselec, désargentée peut-être mais noble quand
même, comme ta famille me l’a fait si souvent remarquer.
- Où veux tu en venir ?
- Bon, et bien voilà, c’est pas compliqué : si t’es pute,
t’es pute, y a rien à y faire à çà, alors autant en profiter
; depuis le temps que j’attendais quelques piments dans
notre vie conjugale...
- Bon, on y est ! Sois plus précis !
- Et bien d’abord et avant toute chose, une petite pénitence
s’impose. Pendant toute une soirée, tu feras exactement
ce qu’on te demandera, sans la moindre hésitation et sans
poser la moindre question. J’avais épousé une femme du monde
que tout le monde complimentait, je veux maintenant savoir
si j’ai épousé une pute tout aussi remarquable. D’accord
?
Anne n’avait pas le choix et c’est d’une voix vaincue et
résignée qu’elle lui répondit :
- D’accord.
- Bon, alors, voilà le scénario : ce soir 19 h 00, un taxi
viendra te chercher. Je l’ai reservé à ton nom et j’ai,
à tout hasard, laissé notre de téléphonne en cas d’empêchement
de dernière minute. Tu t’assoieras à côté du chauffeur.
Tu répondras à toutes les questions qu’il te pose, sans
tergiverser. L’adresse c’est : Allée des Platanes, 129 à
Evry. Ne t’étonne pas, c’est une cité en construction, tu
verras une lumière, tu seras attendue. N’oublies pas l’argent
pour le taxi. Ah oui, n’oublies pas aussi ton tailleur blanc,
ton chapeau blanc à voilette, porte-jarretelles et soutien
blanc, pas de slip, bas fumé à coutures, escarpins vernis,
gants et pochette. N’oublies-pas ; tu feras tout ce qu’on
te demande. J’avais cru épouser une femme honnête, intelligente,
cultivée et salope, je vois déjà que pour l’honnêteté, je
me suis fait avoir. Tu comprends que maintenant je vérifie.
S'il y a d’autres problèmes, je te vire. Bonne soirée !
C’est comme ça que se passaient toutes leurs engueulades
; sur le ton de la plus aimable conversation. Jamais un
mot plus haut que l’autre, jamais uns insulte. On était
largement au dessus de ce genre de banalités mais la menace
en était encore plus redoutable. Anne était sur un nuage,
elle s’attendait à beaucoup de choses mais pas à ça. Décidément,
André n’était pas à court d’imagination.
Bon, ce serait un mauvais moment à passeret puis, qui dit
que ce serait un mauvais moment ? 19 h 00, le taxi sonne
à la porte. Anne était fin prête et avait suivi les instructions
à la lettre.
Elle s’attendait à ce qu’André soit là mais non. Le taxi
était vide. Curieux, qu’avait-il encore imaginé ; avec lui
on pouvait s’attendre à tout et quand il était en colère,
c'était pire que tout ! Le chauffeur, un "Pied Noir" d’une
quarantaine d’années, lui ouvre la porte arrière.
- Non, dit-elle, je préfère aller à l’avant.
Assez étonné, le chauffeur ne réagit pas, il se dit qu’il
pourra ainsi reluquer tout à loisir ses longues jambes galbées,
parfaitement mises en valeur par ses bas fumés. Qui sait,
se dit-il, il pourra peut-être engager une conversation
agréable mais il ne fallait pas trop y croire. Une bourge
pareille, c’était visiblement pas dans ses possibilités.
Enfin, c’est ainsi que va la vie !
- Quelle adresse Madame ?
- Evry,allée des Platanes 129 !
- Evry ? Evry ? Vous êtes bien sûre Madame ?
- Oui, oui, on m’y attend à 20 h 00.
- Ah bon !
Et le taxi tente sa chance dans la circulation, particulièrement
dense à cette heure, sans poser la moindre question mais
dans le véhicule, l’athmosphère est tendue ; il est clair
pour lui comme pour elle, que quelque chose ne va pas. Mais
qu’est-ce qui ne va pas ? Ça c’est autre chose. Anne ne
peut pas s’empêcher de penser que le taxi, c’est son mari
qui le lui a envoyé. Quand à Abdel, lui, il n’aime pas du
tout ce coin d’Evry. Pour l’un comme pour l’autre, c’est
pas clair du tout cette course. La conversation malgré tout
s’engage mais chacun interprète les paroles de l’autre à
sa manière. Pour elle, il est de plus en plus certain que
le taxi, c’est l’envoyé de son mari et que c’est donc lui
son épreuve. Il faudra lui obéir en tout et elle aura la
paix. Bon, c’est pas trop cher payé et puis le chauffeur
aurait pu être pire. Pour lui, c’est de plus en plus clair
aussi ; c’est une bourge un peu dingue qui veut sérieusement
se faire tringler : C'est inespéré !!!!
- Où allez-vous comme ça, Madame ? C’est un curieux endroit
pour une femme de votre condition...
- J’ai eu de petits problèmes avec mon mari et je me suis
engagée à répondre à tous ses désirs ce soir. Et d’abord,
je crois que ça a déjà commencé non ?
- Euh... C’est possible, dit Abdel, sans trop vouloir s’avancer.
Et en quoi consistent exactement vos ennuis ?
- Et bien disons... Disons que je l’ai un peu trompé et
qu’il n’a pas fort apprécié...
- Ah ! Je vois...
- Non, vous ne voyez sûrement pas, parce que mon mari c’est
du genre sérieux vicieux et la punition qu’il a choisie
pour moi va sûrement être adaptée à mon cas. Sinon, je ne
vois pas pourquoi il m’aurait envoyée à Evry, à moins que
ma destination finale ne soit pas Evry... Qu’en pensez-vous
?
- C’est possible Madame, c’est possible, dit Abdel, comprenant
qu’il devait y avoir un sérieux quiproquos. Il s’efforçait
de marcher sur des oeufs.
- Bon alors, ne tournez plus autour du pot, arrêtez-vous
où vous voulez puis vous ferez de moi ce que vous voulez,
on ne va pas y passer la nuit.
Ça c’est encore plus fort que ce à quoi il s’attendait.
Nom de Dieu ! Une occasion comme ça, ça ne se présentait
pas tous les jours. La route longeait à ce moment une très
longue haie, Abdel connaissait bien l’endroit. À 500 mètres,
il y a un trou dans la haie et derrière, un vieux parking
abandonné. C’est pas terrible mais c’est le plus près et
il ne faut surtout pas qu’elle change d’avis. Con promis,
chose due, comme disait Coluche ! Un brutal coup de volant
et les voilà de l’autre côté de la haie.
Abdel ne s’attarde pas dans les préliminaires. Il se penche
vers elle, s’empare de sa bouche et, dans la foulée, lui
bascule son siège en position auto-stoppeuse. Il a tôt fait
de remonter sa jupe, et c’est stupéfait qu’il tombe sur
un porte-jarretelles sans slip et une vulve déjà bien humide.
Bordel de bordel ! Mais qu’est-ce qui lui arrive ? Une histoire
pareille en 20 ans de métier, ça ne lui est jamais arrivé.
Surtout rester calme se dit-il, une affaire comme ça, ça
se déguste et sans doute à plusieurs mais pour l’instant
ça se déguste surtout tout seul.
Après lui avoir roulé une sacré pelle et lui avoir copieusement
peloté son 90C et l’avoir de façon incroyable fait déjà
sérieusement jouir à main nue, une idée lui traverse l’esprit
: il faut continuer la conversation mais dehors.
- Viens, on s'est pas baisé correctement ici, dit-il, je
vais sortir le tapis de sol du coffre et on va baiser dehors,
discute pas !
Au grand étonnement d’Anne, Abdel en profite pour sortir
une chaise pliante de son coffre. Elle n’a pas le temps
de réfléchir que déjà Abdel a déroulé le tapis de sol devant
sa voiture et s’est confortablement installé dans son fauteuil.
- Désappe-toi, lui dit-il, sur un ton sans équivoque mais
avec grâce et sensibilité, on a tout notre temps.
Anne n’a plus qu’à s’exécuter. Elle veut commencer par enlever
son chapeau à voilette mais Abdel, d’un ton sec, lui ordonne
de le garder ; rien ne vaut une bonne pipe tirée par une
belle bourge avec un chapeau à voilette.
- À poil salope ! Du sexe et de l’ambiance bordel !
Anne sait ce qui lui reste à faire. Tout en faisant magnifiquement
onduler son corps, elle fixe intensément Abdel dans les
yeux. Elle déboutonne ensuite lentement la veste de son
tailleur, laissant apparaître son chemisier transparent.
- Bordel, ça s’annonce bien !!! Et cette conne n’a toujours
rien compris à l’astuce, se dit-il.
Au tour de sa jupe maintenant, elle ne tarde pas de glisser
à terre, laissant apparaître Anne, toujours coiffée de sa
voilette, en chemisier transparent et en porte-jarretelles.
- Enlève ton chemisier salope !
Anne s’exécute, le tableau est vraiment charmant : le soutien
à balconnets mettant brillamment le 90C en évidence.
- Masturbes-toi maintenant. Et n’oublies pas, je veux tout
voir !
Anne entamme sa dance, tout en ondulant de la croupe, elle
prend à pleines mains ses deux seins, les malaxe, en fait
ressortir les pointes, tout en affichant une moue provocante.
Ses mains se glissent maintenant entre ses jambes, malgré
la honte de la situation, son sexe est trempé. Il faut dire
qu’elle ne ménage ni ses lèvres, ni son clitoris. Anne sent
monter en elle un puissant orgasme et c’est à ce moment
qu’un formidable "Tooootttt " se fait entendre, bloquant
net Anne dans son élan. Elle se retourne brutalement et
comprend tout de suite la situation ; la haie qui les habrite
de la nationale n’a que 2 mètres de haut ; pour les automobilistes,
ils sont parfaitement invisibles mais pas pour les camions.
Ce salaud de taxi l’avait fait exprès, l’air innocent et
confortablement assis dans son fauteuil, Abdel la voyait
complaisamment se donner en spectacle à des dizaines de
camionneurs. Mais elle se rappelle les consignes d’André
: tout, absolument tout, sans remarque, sans discussion.
Abdel affiche maintenant un superbe sourire et lui présente
bien fièrement un sexe de taille fort raisonnable.
- Mets-toi à genoux salope et suce-moi bien. T'as tout ton
temps et comme tu as pu le voir, les camionneurs apprécient
fort ton spectacle, d’autant plus que les embouteillages
sérieux ne font que commencer.
Morte de honte, Anne s’exécute. Du coin de l’oeil, elle
peut en effet observer la circulation qui ralentit sérieusement
et les camionneurs qui n’en perdent pas une. André ! Salaud
de salaud, humilier ainsi une De Boisselec, se dit-elle.
Bon le spectacle est terminé maintenant, dit Abdel, arborant
un sexe au bord de la congestion.
- Couche-toi sur le capot, replie tes jambes et écarte-les
biens avec tes deux mains. La fête va pouvoir commencer...
Abdel adore cette position car mine de rien, en accentuant
un peu la cambrure, les choses se présentent fort différemment.
Abdel introduit alors d’un seul coup son sexe dans le vagin
trempé, sous les acclamations d’un camionneur tout à fait
ravi d’être bloqué par l’embouteillage. Il la besogne avec
force, lui autorisant malgré les circonstances un orgasme
bien mérité et bien bruyant, déclenchant un tonnerre de
klaxons du camionneur hilare. Puis, Abdel l’encule sans
problème. Elle est bien coopérante, elle va avoir droit
à la totale.
D’un camion, un conducteur leurs lance une poignée de cacahuètes
tout en arborant un sourire complice à Abdel qui rayonnait
de bonheur. Quelle humiliation pour une De Boiselec ! Anne
demande alors au chauffeur de taxi :
- Mon mari sera content ?
- Ben, euh... Écoutez Madame, vous avez été charmante avec
moi mais je crois qu’il y a un gros malentendu depuis le
début. Je ne le connais pas du tout, moi, votre mari.
- Comment ça ? Dit Anne, folle d’inquiétude.
- Ben non, la seule chose que je sais, c’est que je dois
vous conduire comme vous me l’avez demandé, Avenue des Platanes...
Anne fond en larmes. Le salaud, le salaud !!!!! Tout ça,
toute cette humiliation pour rien ! Et ce salaud d’André
avait prévu tout ce qui allait arriver. La vraie soirée
ne commence qu’Avenue des Platanes !
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