TITRE : La voix de l'amour
Catégorie : 
Histoire au bureau
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Victoria était standardiste dans une société multinationale. Jeune femme brune, aux formes voluptueuses, une bouche sensuelle, un regard de braise, telle était Victoria. Elle ne laissait pas les hommes indifférents, ni les femmes d'ailleurs. Il se dégageait d'elle une sensualité à fleur de peau, presque palpable lorsqu'on était à ses côtés. Des cheveux ondulés, bruns, tombaient en cascade sur ses épaules. Elle pianotait avec agilité, de ses doigts fins aux ongles délicatement manucurés, sur le clavier de son PC.

Balou pensait à cette femme en descendant l'escalier menant au standard. Il imaginait bien la main de Victoria aller et venir sur son membre dressé. Mais il dut chasser de son esprit cette pensée pour réprimer l'érection qui pointait entre ses jambes, son rendez-vous d'affaires l'attendait dans le petit salon attenant au standard.

- Salut, Victoria.

- Bonjour, Balou, ton rendez-vous t'attend, dit-elle dans un grand sourire.

« Quel beau mec, je ne comprends pas qu'il n'ait pas de copine, ou alors serait-il gay ? Non, tout de même pas », s'interrogea Victoria. Elle n'avait jamais vu Balou en compagnie de femmes, et pourtant ils habitaient dans la même petite ville. Il restait une énigme pour elle.

Victoria avait repris son job après la naissance de son deuxième enfant. Elle adorait son métier de standardiste. De plus, elle aimait reluquer les hommes en costumes cravate. Un jour, Balou lui avait dit « tu as une voix sexuelle qui vient du ventre, et j'aime ça ». Elle en fut estomaquée, ne sachant quoi répondre. Souvent elle repensait à cette anecdote, elle souriait intérieurement. Parfois Balou la raccompagnait en voiture lorsqu'il y avait la grève des trains, ils apprenaient ainsi à mieux se connaître. Victoria avait des horaires fixes, contrairement à Balou qui dirigeait une plate-forme de télévendeuses.

Victoria se sentait redevenir de jour en jour davantage femme. Ses deux grossesses passées, elle avait consacré son temps à élever ses enfants. Son mari dirigeait une entreprise de travaux publics, mais elle ne souhaitait pas travailler avec lui.

Dix ans de mariage déjà, mais elle en était toujours follement amoureuse, leur vie de couple était harmonieuse à souhait. Cependant, une petite voix intérieure la poussait à changer progressivement. D'abord, elle avait refait sa garde-robe, ensuite elle s'était intéressée à la sensualité, aux plaisirs des sens, elle naviguait sur des forums érotiques, et ce pour le plus grand bonheur de son mari.

Cette métamorphose enclenchait invariablement des envies de plaire, de se sentir regardée, désirée. Les hommes avaient vite remarqué ces changements, et Balou le premier. Il pensait constamment à Vic. Il se caressait plusieurs fois par jour dans les toilettes du bureau, imaginant la bouche de Victoria sur sa hampe. Il la voyait également prise en levrette, son pubis claquant contre ses splendides fesses. La jouissance le submergeait ensuite par vagues entières. Il n'osait pas déclarer sa flamme à sa bien-aimée. « Comment le prendrait-elle ? Elle se moquerait de moi, j'en suis sûr ». « Je vais l'inviter à déjeuner » se promit-il.

Victoria vit Balou venir vers elle. Habillé d'un superbe costume anthracite d'un célèbre couturier allemand, il s'approcha fébrilement du comptoir. Il n'y avait personne alentour. Victoria planta son regard dans le sien lorsqu'il annonça :

- Puis-je t'inviter à déjeuner ce midi ?

Il rougissait légèrement.

- Oh, c'est sympa, oui cela me ferait plaisir, gloussa Victoria.

Balou était captivé par ses yeux, quasiment hypnotisé. Il ne disait rien, là devant elle.

- Allô, ici la Terre qui parle à la Lune, vous me recevez ?

- Hein, quoi ? Bafouilla Balou.

- Rien, gros bêta, on se retrouve à 12 h 30, ok ?

- Oui, oui, j'en suis ravi. Merci, Vic, d'accepter mon invitation.

- Confidence pour confidence, je suis très heureuse moi aussi, minauda-t-elle en lui lançant une œillade appuyée.

Le repas s'était déroulé de la meilleure manière qui soit. Victoria portait un tailleur bleu foncé, un chemisier blanc, ses escarpins claquaient sur le bitume. Ils revenaient du restaurant en marchant et bavardaient avec entrain. Balou avait perdu sa timidité, car Victoria l'avait vite mis à l'aise. Assis en face l'un de l'autre, ils s'étaient regardés, observés. Ils avaient chuchoté, pour ensuite pouffer de rire comme deux chenapans. Plusieurs fois leurs doigts s'étaient effleurés, de délicieux frissons parcouraient alors leur corps, comme de douces décharges électriques.

Balou parla beaucoup de lui, de son job, de sa vie. Vic apprit que son soupirant laissait derrière lui un gros chagrin d'amour, il s'était fait plaquer après cinq ans de vie commune, ce qui expliquait son manque d'assurance et sa timidité envers les femmes. Cela faisait maintenant deux ans qu'il était seul. Victoria, elle, raconta sa vie, quelques anecdotes. Elle lui parla de ses deux filles qu'elle adorait, de son mari accaparé par son entreprise.

-Tes filles doivent être aussi belles que toi, j'imagine, glissa Balou.

- Que tu es mignon, c'est gentil de ta part. Mais, tu sais, tu n'es pas mal non plus.

- Euh, euh, tu trouves ?

- Mais oui, si tu savais le nombre de filles qui me parlent de toi au standard. Elles te trouvent craquant. Et je peux te dire que même certaines femmes mariées se laisseraient bien tenter par une aventure avec toi.

- Eh bien, dis donc, tu en sais des choses...

- Mon poste me permet de connaître tout cela, mon cher, tu devrais t'en souvenir.

- Oh oui, je m'en rends très bien compte, tu sais.

- Allons, allons, ne prends pas cet air de chien battu. Je n'aime pas les mecs qui se laissent aller, renchérit Victoria en lui adressant un sourire ravageur.

Elle le regarda bien droit dans les yeux, puis continua :

- T'es vraiment un garçon charmant, merci encore pour ton invitation.

Balou se remémorait ce dialogue en marchant aux côtés de Victoria. Elle était plus petite que lui, il la dépassait de plus d'une tête. Il se demandait comment elle pouvait être au lit, lui qui n'avait connu que des grandes femmes.

« Fichtre, qu'il est grand ! Je n'avais pas remarqué sa taille », pensa Victoria à son tour.

Soudain, elle perçut un frôlement sur sa nuque. Balou la caressait doucement. Tous deux s'arrêtèrent de marcher. Balou continua de laisser sa main chaude dans ses cheveux soyeux plusieurs secondes encore. Victoria prit la main dans la sienne, elle déposa un doux baiser au creux de la paume de Balou. Elle sentait son cœur battre la chamade, il lui souriait, elle se rapprocha doucement. Puis elle enserra la poitrine de Balou et le serra fort dans ses bras. Il lui caressa à nouveau les cheveux puis se baissa pour déposer à son tour un baiser dans son cou. Victoria frémit. Elle sentit les mains masculines caresser sa taille, elle redressa son visage vers lui, leurs bouches allaient se toucher, leurs souffles déjà se mêlaient...

Au dernier moment, Victoria détourna son visage. Les lèvres de Balou se posèrent sur sa joue.

- Pardonne-moi, mais c'est trop tôt, je ne peux pas.

Un peu décontenancé, Balou répondit :

- Ce n'est pas grave, je te comprends et je respecte ton choix.

- J'apprécie ta courtoisie, j'aime discuter avec toi, Balou, mais laisse-moi le temps, s'il te plaît. Tu m'as fait découvrir de nouvelles sensations que je croyais perdues et enfouies au plus profond de moi.

Balou déposa une seconde bise sur la joue chaude de Victoria. Elle le serra à nouveau dans ses bras, sans dire un mot.

*****

La nuit, seule dans son lit puisque son mari était en déplacement, Victoria se remémorait les évènements de la pause de midi. Elle aurait aimé poursuivre... D'ailleurs, à cette simple évocation elle sentait son orchidée s'humidifier et s'ouvrir doucement. Elle soupira en plaquant une main contre son entrecuisse imberbe. Nue sous les draps, elle pensa fortement à Balou. Elle l'imaginait se caressant pour elle, au même moment, ce soir. Il devait certainement se masturber souvent depuis sa séparation d'il y a deux ans. Elle haletait maintenant. Sans s'en rendre compte elle avait inséré deux doigts en elle, couchée sur le dos, elle rejeta de ses pieds les draps qui la couvraient. Elle écarta ses jambes pour recevoir ce mâle en elle. Elle pouvait sentir le poids de Balou sur son ventre. Victoria caressait la poitrine velue de son amant, pendant qu'il allait et venait en elle.

Dans un appartement de célibataire, un homme se masturbait dans la salle de bains. Nu, il se regardait dans le miroir, imaginant Victoria qui le regardait. Il la voyait ensuite agenouillée devant lui, sa bouche engloutissait sa verge dressée. Balou gémit. Il rejeta la tête en arrière, accéléra les mouvements amples de son poignet.

- Vicky, ouiiiiiiiiiiii je t'aime, hurla-t-il en éjaculant puissamment à longs jets, chauds et gras.

Victoria sentit les vagues de bonheur arriver. Elles déferlèrent en elle à l'instant où elle ressentit les jets de semence sur son ventre... Elle resta de longues minutes recroquevillée dans ses draps. Mon Dieu, mais que lui arrivait-il ? Elle se caressait frénétiquement comme à son adolescence. Cette constatation la fit sourire. « Je revis, je redeviens si femme, si aimante. J'ai envie d'aimer, mais surtout de me faire désirer ».

Elle s'endormit sur ces belles pensées.

La journée du lendemain débuta joyeusement. Victoria se tortillait sur son fauteuil au comptoir du standard. Elle était en train de lire un mail de Balou. Ce message lui enflammait les sens. « Il est accro à moi, c'est dingue », se dit-elle. Victoria lui retourna un petit mot doux qui, elle l'espérait, tempérerait ses ardeurs. « Je ne peux pas en faire plus pour l'instant, j'ai trop peur du scandale », cette pensée la taraudait depuis hier. Mais en même temps elle désirait ce garçon. Son ventre criait famine, elle se liquéfiait lorsqu'elle se rappelait leur léger flirt après le déjeuner.

Les journées s'écoulèrent ainsi jusqu'à la l'inauguration du nouveau centre logistique de l'entreprise. La fête battait son plein. Les salariés étaient conviés à une sorte de buffet, qui faisait suite à toute une série d'allocutions de la direction générale. Naturellement, Victoria et Balou s'étaient vite retrouvés dans la cohue générale. En ce vendredi soir, tous les locaux administratifs étaient forcément vides. Tous deux s'esquivèrent lors du repas. Balou prit la main de Victoria, et lui dit :

- Allons dans mon bureau, nous serons mieux.

- Vite alors, il ne faut pas qu'on remarque notre absence, renchérit-elle.

Ils se faufilèrent dans les coursives et escaliers de secours. Mais en grimpant les marches, tous deux se rendirent compte qu'il ne servait à rien de se presser, le bâtiment administratif leur appartenait. Au premier niveau, Balou se retourna vers Victoria. La lumière verte de la veilleuse les éclairait. Il attira Victoria à lui en lui murmurant au creux de l'oreille :

- Vicky, j'ai envie de toi, là de suite.

Elle le regarda intensément, se mit sur la pointe des pieds, puis colla sa bouche à ses lèvres. Leurs langues jouaient, se taquinaient, enfin ils allaient fusionner complètement. Balou laissa immédiatement ses doigts partir à la découverte du corps de sa Déesse. Ses mains soulevèrent sa robe du soir, puis sa bouche embrassa les épaules nues. Ensuite il ôta les fines bretelles, la robe tomba aux pieds de Victoria. En escarpins et en string, elle entama une danse lascive devant lui. Il admirait sa ronde poitrine qui tressautait, ses cuisses musclées, ses fesses callipyges. Ensuite, il s'agenouilla devant elle, sa bouche se colla sur son ventre chaud. Elle appuya la tête de Balou contre son intimité.

- Allonge-toi, ma chérie, je vais te boire.

Victoria gémit, elle laissa son bien-aimé arracher le mince tissu avec ses dents.

- Oui, mon lion, fais-moi jouir, geignit-elle.

Nue, couchée cuisses écartées sur la moquette des coursives, Victoria se laissait butiner par son amoureux. Elle sentait la langue chaude et longue fouiller loin, très loin en elle. Les lèvres de son amant suçaient son bourgeon. Son abricot imberbe lui envoyait des frissons de bonheur. Ensuite, deux puis trois doigts coulissèrent dans son ventre. Victoria sentit les prémices d'un orgasme ravageur se déverser dans son antre mielleux et remonter dans ses cuisses et ses reins. Pendant que les doigts de Balou allaient et venaient en elle, il lui suçait sa poitrine. Les bouts des seins durs et pointus étaient pour lui comme une provocation. Sa langue titilla les tétons, ses dents les mordillèrent délicatement, ce qui provoqua un feulement de joie à Victoria. Elle se tordait maintenant sous les doigts et la bouche de Balou.

- Ouiii, ouii mon chéri, ouiii ooohh ouiiiiii, mon Boss ouiiii, cria Victoria sous les assauts aussi caressants de son amant.

La jouissance l'emporta, elle hurla encore. Sa voix résonnait dans les étages, c'était la voix de l'amour.

Balou se débraguetta. Il n'en pouvait plus. Sa hampe raide le faisait souffrir, son gland violet voulait délivrer sa sève. Il se rapprocha de Victoria en tenant sa verge d'une main.

- Chérie, j'ai envie de ton ventre.

- Viens, mon sweet boss.

Elle se jeta littéralement sur son pubis. Agenouillée devant Balou, elle suçait comme une assoiffée la hampe du bonheur.

- Mais j'ai envie d'être en toi, gémit Balou.

Entre deux succions, Vicky lâcha :

- Pas encore, Darling, c'est trop tôt.

Balou rejeta la tête en arrière en gémissant.

Le couloir résonnait de bruits de succion, de halètements. Une jeune femme brune prodiguait une fellation à un jeune cadre dynamique. L'intensité lumineuse verte des veilleuses donnait à la scène un air surréaliste. On voyait le dos nu de Victoria, sa brune chevelure aller et venir vers le bas-ventre de Balou. Celui-ci s'agrippait à la rampe pour ne pas chuter sous la bouche divine de la jeune femme agenouillée devant lui. Victoria maintenait le suspense. Elle adorait faire monter Balou jusqu'au dernier niveau avant l'éjaculation libératrice. Mais à l'ultime moment, sous les soubresauts annonciateurs, elle stoppait toute caresse. La pression retombait ensuite de plusieurs paliers, et la bouche reprenait sa mission, pour le plus grand bonheur d'un Balou complètement hagard.

Cette verge, elle en avait rêvé, ce gland violacé ravissait son palais. Elle le dégustait comme une friandise chaude et douce. Ses doigts caressèrent également les lourdes bourses, pour ensuite masturber le tronc où de grosses veines violettes couraient sous la peau fine. Elle devait s'avouer que ce surprenant quadra avait de beaux restes, sa vigueur l'avait immédiatement émerveillée. À force de penser à tout cela, elle ne remarqua pas de suite le frémissement de la hampe. Il était trop tard pour reculer. Elle attrapa la base à deux mains, et maintint fermement sa bouche soudée à la verge qui ne tarderait pas à lâcher la chaude et puissante éruption de lave.

Un rugissement de lion.

Balou sentit tout son être exploser dans la bouche de Victoria. Il voyait qu'elle s'accrochait à lui, mais elle ne put se maintenir longtemps à la verge, car le déluge de sève noyait sa bouche. Elle avala goulûment le nectar tout en recevant sur ses joues et son menton le reliquat de laitance chaude et crémeuse.

- Oh, Sweet Darling, tu m'as inondé, petit coquin, haleta Victoria.

Balou ne dit rien, il reprenait son souffle, adossé au mur, son pantalon tirebouchonné à ses pieds, sa cravate gisant à terre.

- Nous devrions retrouver les autres, ma Déesse.

Ils se refirent rapidement une beauté aux toilettes, puis descendirent les escaliers vers la sortie.

Balou avait quelques gouttes de sueur qui perlaient à son front. Il tenta vainement d'ouvrir la porte.

Fermée ! Elle avait été verrouillée de l'extérieur !

Un long week-end s'annonçait...

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