TITRE : La visite de l'ex.
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Histoire Extra conjugale

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Ma jolie compagne Bénédicte m’a annoncé récemment avoir eu la visite d’un de ses anciens soupirants, resté à ce jour célibataire, et avec lequel elle avait eu, avant de me rencontrer, une courte aventure.


Il la poursuivait de ses assiduités, ce qui expliquait les bouquets que je découvrais de temps en temps chez elle et au sujet desquels je n'avais jamais posé de questions, sachant bien quand même qu'ils n'étaient pas de moi, sauf erreur de composition du fleuriste auquel je m'adressais de temps à autre. Elle m'avait parlé de lui, m’avouant, avec un rien de cynisme, regretter de n’avoir eu avec lui qu’un flirt trop sage tant il était timide et peu sûr de lui à l’époque. Il semblait donc avoir un peu changé avec le temps et devait avoir lui aussi un regret.


Je suis certain que si Philippe avait pu imaginer la véritable petite salope sensuelle, exhibitionniste et libérée qu’elle était devenue avec moi, il aurait sûrement crevé de dépit de n’avoir osé en faire sa maîtresse. Mais aucun homme ne pourrait imaginer, dès le premier abord, que sous ce joli minois sage, et ce malgré la sensualité qu’elle dégage, se cache un véritable volcan. Moi-même j'en suis parfois sidéré ! J’ai proposé à Bénédicte de ne pas l’éconduire lors de sa prochaine visite et, me connaissant bien, elle a tout de suite compris à quel jeu je souhaitais jouer. Je savais le risque que je prenais, mais ce danger m’excitait, et je n’avais jamais testé sa réaction en présence d’un de ses ex.


Elle m’a spontanément avoué que Philippe ne lui était pas indifférent et que je jouais un jeu dangereux. Mais les mots et les situations font partie de notre plaisir et je crois qu’entre nous la complicité à ce niveau est totale. Nous avons un peu déliré sur ce qui pourrait arriver et j’ai bien senti que sous couvert de plaisanterie, elle me mettait en garde et n’était pas vraiment sûre de sa réaction devant une telle situation. Quelques temps plus tard, elle m’a avoué que Philippe l’avait rappelé, toujours hors de ma présence, et qu’elle avait suivi mon désir en se montrant avec lui moins ferme et catégorique dans son refus d’accepter toute invitation de sa part.


Très peu de temps après, elle m’a annoncé, les joues un peu roses et la voix légèrement hésitante, que le garçon se faisait plus pressant et lui avait annoncé sa visite. À cette nouvelle, et devant son air un peu inquiet et interrogateur, mon cœur a bondi et j’ai mis en route le scénario sur lequel je fantasmais. En observant bien sa réaction, je me suis lancé :

-Je voudrais que tu le reçoives gentiment, en tenue plutôt sexy.
-Tu joues avec le feu ! Me dit elle en souriant.
-J’aimerais que tu sois très sexy... Jupe courte, bas, chemisier décolleté, sans slip ni soutien-gorge.
-Non ! Je n’oserai jamais seule avec lui !
-Je veux que tu sois une petite pute très obéissante comme je t’ai appris à l’être et que tu acceptes de te laisser draguer.
-Tu es un vrai salaud mais je t’aime comme ça ! Me dit-elle les yeux légèrement humides.
-Je te donne carte blanche, pourvu que tu me racontes après...
-Tu veux que je couche avec lui ? Tu prends un risque car je ne suis pas sûre de pouvoir lui résister...
-Peut-être n’es-tu pas sûre de vouloir lui résister ! Lui dis-je en souriant.

Elle a rougi un peu et s’est troublée puis a fait semblant de se fâcher...

-Tu es vraiment un fumier ! Tu me jette carrément dans ses bras et tu joues les victimes. Tu me demandes de l’allumer et tu vas te plaindre s’il me saute dessus et si je me laisse faire...
-Je ne me plains pas, puisque je te donne carte blanche. J’ai envie de jouer avec toi mais si tu ne veux pas, tu sais très bien que je ne t’y oblige pas.
-Tu sais très bien que tu as fais de moi une vraie salope et j’aime t’obéir mais je ne peux pas te garantir que je ne coucherai pas avec lui. En tous cas, c’est promis, je te raconterai.


Le jour venu, avant de laisser Béné seule pour recevoir son ami, j’ai vérifié qu’elle ne portait aucun dessous, seulement des bas blancs. Elle était à croquer dans une tenue courte et sexy, le haut des seins dévoilé par un chemisier largement décolleté. Je l’ai allongée sur le canapé et j’ai longuement sucé sa jolie chatte nue, refusant de la prendre alors qu’elle me demandait de la baiser. Je voulais la laisser inassouvie et excitée, au bord de l’orgasme, et la connaissant, je savais que je brisais en elle toute résistance. Le jeu était dangereux mais je voulais le jouer jusqu’au bout.


Du bout de la rue, assis dans ma voiture, je vois Philippe arriver. Le cœur battant, j’entre discrètement par la porte de service de la cuisine dont j'ai les clés, et à ma grande surprise, je la découvre non verrouillée... Sans doute un oubli... À moins que... Je reste en haut de l’escalier, à la porte de cette cuisine, laquelle donne sur le salon et j'écoute. Leurs voix me semblent un peu tendues... J’imagine l’émoi du garçon devant Béné.

Après un échange de banalités, Philippe semble se lancer :

-Tu sais que si je ne me suis pas marié, c’est en partie à cause de toi. Lui dit-il la voix hésitante.
-Ne me dis pas que j’ai gâché ta vie ! Lui répond-elle en riant, mais la voix plutôt chavirée. Tu étais très timide.
-Un autre l’a été moins que moi à l’époque.
-Je préférerais ne pas parler de cet autre. Erreur de jeunesse. Ceci étant, c'est vrai que tu étais beaucoup trop timide...
-Rassures-toi, je n’ai pas vécu en ermite mais sans histoire sérieuse et je suis prêt à attendre que tu me considères autrement que comme un vieux copain en visite...
-Je vis avec Pierre une histoire qui me convient parfaitement, je te l’ai déjà dis, et je ne veux pas que tu t’imagines que je veuille le quitter. Je serais désolée que tu ne le comprennes pas.

Philippe hésite, puis reprend, la voix un peu cassée :

-Il est au courant de ma visite ?
-Bien sûr ! Lui répond-elle innocemment. Je ne lui cache rien.
-Qu’est ce qu’il en dit ? Ça ne l’ennuie pas ?
-Il me fait confiance et de plus il ne me surveille pas, pas plus que je ne le fais ! Ajoute-t-elle perfidement.
-Tu lui dis toujours tout ?
-C’est la base de notre entente et de notre complicité. C’est pour ça que je veux que tu comprennes bien ce qu’il y a entre lui et moi.

Les sous-entendus dans le ton de Bénédicte sont évidents et je sens qu’elle maîtrise très bien la situation, ignorant (ou pas ?) ma présence.

-Ça ne t’ennuie pas que je vienne te voir quand il n'est pas là ?
-Si ça m’ennuyait, je te l’aurais fais comprendre !

Elle est plutôt détendue, coquine et enjouée, lui semble tendu et assez déstabilisé. Je regrette de ne pas les voir.

-Tu es particulièrement ravissante, aujourd’hui !
-C’est gentil de me le dire, répond-elle en riant.
-C’est pour moi ?
-Tu es le seul dont j’attendais la visite !

Un moment de silence, puis j’entends la voix de Philippe, plus basse et tremblante :

-Tu me déstabilises vraiment, tu sais. Tu me parles de ton entente avec lui et pourtant tu acceptes que je vienne te voir alors que tu sais que tu ne m’es pas indifférente du tout.
-Tu préférerais que je ne veuille pas te voir ? Lui demande-t-elle ingénument.
-Bien sûr que non ! Mais il sait vraiment que je suis là ? Tu lui dis absolument tout ?
-Absolument tout ! Mais pour être honnête, je dois te dire qu’il est plutôt coquin et très libéral...

Je suis stupéfait de son audace, moi qui imaginais que c’est lui qui allait la draguer, il semble bien que ce soit elle qui prenne les commandes. Je crois que l’état dans lequel je l’ai laissée après l'avoir si longuement sucé lui donne toutes les audaces.
Elle reprend d’une voix légèrement oppressée :

-Et c’est lui qui m’a tout appris et a fait de moi ce que je suis... Je croyais ma vie tracée et banale. Mais j'ai découvert d'autres horizons dès les premiers instants avec lui.

En aveugle, de ma cachette, j’entends le bruit d’un déplacement, puis le silence seulement bercé par le très faible fond musical. N’y tenant plus, je traverse la cuisine et me glisse jusqu'à l’entrebâillement de la porte. Il l’a rejointe sur le canapé, prise dans ses bras et l’embrasse. Je sens mon cœur cogner. Elle s’abandonne dans les bras de son ex. La main de Philippe se pose sur les seins de Bénédicte et les empaume doucement. Il doit les sentir nus sous le chemisier. Elle lui rend son baiser en lui caressant la nuque. Sous l’impulsion de son partenaire, elle s’affaisse sur le canapé. Il la couvre à moitié, presque étendu, et j’ai sous les yeux les jambes de ma compagne découvertes jusqu’au-dessus de la naissance de ses bas.
Il défait lentement son chemisier sans cesser de l’embrasser et libère ses seins superbes. Ma petite salope a les tétons tendus et se laisse peloter.


Il abandonne ses lèvres et glisse sa bouche sur la poitrine offerte, tète ses nichons tandis que sa main descend le long du ventre de Béné pour finir sa course sur sa cuisse, et remonte vers son sexe. D’elle-même la petite salope écarte les jambes. J’imagine qu’il découvre le haut de ses bas, puis la peau nue et sans aucun rempart, son coquillage rasé que je sais déjà ouvert et humide. Il marque un moment de surprise que me confirme sa voix incrédule :

-C’est pour moi que tu es toute nue sous ta jupe ?
-Oui ! Souffle-t-elle
-Et il sait que tu m’attendais comme ça ?
-Bien sûr ! Répond-elle en ouvrant plus encore les cuisses.

Je suis dans un état d’émotion maximum et sa voix complètement chavirée m’électrise.

-C’est lui qui t’a obligé à me recevoir comme ca ?
-Il ne m’oblige jamais à faire ce que je ne veux pas faire !
-Il a fait de toi une vraie petite pute !
-Oh oui ! Râle-t-elle, secouée d’un spasme.

À la voir se tendre, j’imagine qu’il lui enfonce un doigt dans le vagin. Sa voix à lui devient fébrile :

-Petite salope ! Tu m’excites ! Je vais regretter encore plus de n’avoir pas osé plus tôt.

D’une voix toute timide, elle lui demande :

-Je ne te déçois pas trop ?
-Oh non, puisque tu me laisses profiter de toi. Tu me plais ! Tu fais ça souvent ?
-Caresse-moi doucement et longtemps ! Lui répond-elle.

Je la sens très excitée. Les cuisses ouvertes, troussée jusqu’aux hanches, seins nus, à demi couverte par son amant dont la main lui fouille l’entrejambe, elle est impudique et terriblement bandante. J’ai presque mal de la voir s’abandonner, se croyant seule avec Philippe. Du bout des doigts, je le vois branler le clito tendu, plonger entre les lèvres ouvertes dans son vagin béant dont il ressort avec un bruit de succion obscène pour revenir à son bouton. Ses doigts sont luisants de foutre. Elle gémit et ondule dans ses bras.

Il reprend d’une voix sourde :

-Cest lui qui te rase ta petite chatte ?
-Oui !
-Tu m’excites ! Tu mouilles comme une fontaine !
-Toi aussi tu m’excites ! Répond-elle. C’est bon ce que tu me fais !
-Tu aimes te faire branler ?
-Oh oui, j’aime ça ! Tu sens comme j’aime ça ?
-Salope !
-Oui ! Parle-moi encore ! Le supplie-t-elle.

Je suis au bord de l’éjaculation mais je ne veux rien faire qui briserait cet instant. Je sais qu'elle est parfaitement sincère. Bénédicte déteste cacher ses sentiments et j'ai un peu mal, ce mal qui parfois fait du bien, cette douleur du cœur qui excite l'esprit. Il semble avoir compris l’importance des mots sur Bénédicte. Elle aime dans ces moments là la vulgarité, les ordres crus et obscènes et elle y répond, ce qu’il est en train de découvrir. Je la sens au bord de l’orgasme. Il reprend :

-Tu l’as déjà trompé ?
-Jamais ! C’est la première fois sans lui !
-Tu veux dire que tu t’es déjà fait baiser par un autre mec devant lui ?
-Oui, avec lui !
-Tu fais tout ce qu’il te demande ?
-Oui ! Mets-moi ton doigt.
-C’est ma bite que je vais te fourrer salope !
-Non, attend, pas encore, le supplie-elle d'une voix de petite fille.

Philippe semble hésiter, puis reprend le jeu des mots, plus doucement, plus tendrement me semble-t-il

-Tu t’es déjà fait baiser par plusieurs mecs avec lui ?
-Non jamais ! Un seul...
-Et tu aimes ça ?
-Avec lui, oui...
-Tu t’es fait prendre en sandwich ?
-Oui ! Suce-moi !

Mon sang bat si vite que je suis au bord du malaise, la bouche sèche. Il glisse à ses pieds, s’agenouille entre ses jambes qu’elle relève et écarte au maximum. Il reste un instant en contemplation devant cette cramouille béante et ruisselante de foutre puis avance son visage et la lèche avec frénésie. Il doit la sucer profondément, parce qu’elle se met à haleter et à crier de plaisir, tortillant son cul comme une chienne en chaleur, les mains passées sous ses genoux, s’ouvrant comme une pute.

-Oh oui, c’est bon ! Elle est bonne ta langue. Tu fais ça bien !

Elle se redresse pour regarder la tête de son amant entre ses jambes, comme elle le fait avec moi.

-Ça m’excite de te regarder ! C’est bon ce que tu me fais. Suce-moi bien ! Moi aussi je te sucerai si tu veux !

Je suis sidéré de la voir se laisser aller comme ça, sans aucune retenue.

Il la maintien solidement sous les fesses tant elle s’agite.

-Oui, oui, encore ! Tu vas me faire jouir ! Continue ! Fais-moi jouir avec ta langue !

Elle se déchaîne :

-Oui ! Je viens, je viens, je jouis, c’est bon... Je jouis !

Elle s’arqueboute en hurlant. Elle doit lui décharger son foutre dans la bouche. Longtemps elle frissonne sous les lèvres collées à son sexe puis se redresse et le regarde, les yeux humides et voilés. Il revient s’asseoir à ses côtés et la prend dans ses bras. Elle pose sa tête sur son épaule sans un mot. Je sais que ce petit orgasme, même s’il l’a fait hurler, n’est qu’un hors d’œuvre et en appelle un autre plus consistant. Elle aime, après avoir joui une première fois être prise énergiquement, et là tout est permis. Devant son silence, elle entreprend de défaire le pantalon de son amant en penchant la tête vers son sexe. Il est clair qu’elle veut le sucer, mais il l’arrête.

-Je veux te baiser ! Lui dit-il rudement.
-Pas tout de suite ! Sois patient !
-Pourquoi ?
-Je n’ai jamais fais l’amour sans lui, tu comprends. Je lui ai promis qu’aucun garçon ne me prendrait sans qu’il soit là !
-Vous faites ça souvent ?
-Non, pas souvent, de temps en temps. Je sais que ça n’est pas facile à comprendre, mais je suis bien comme ça avec lui...

Il la prend à nouveau dans ses bras. Visiblement il n’a aucune envie de partir mais semble très troublé. J'imagine son désarroi et le supplice qu'elle lui inflige. Mais il est vrai qu'elle a été honnête avec lui dès le départ.

-Il a fait de toi une vraie petite pute ! Tu crois que j’y serais arrivé moi aussi ?
-Peut être, lui répond-elle d’une voix mouillée. Je te l'ai dit. Je me suis vraiment découverte dès les premiers instants avec lui.

Il lui caresse les cuisses, le ventre, la chatte. Elle ouvre les jambes. Il la branle du bout des doigts et elle soupire

-Tu vas me rendre fou ! Lui dit-il.
-Toi aussi ! J’ai envie de toi ! Reste !
-Tu voudrais faire un ménage à trois ?
-Pourquoi pas... Murmure-t-elle.
-Tu aimerais avoir deux hommes à ta disposition pour te branler et remplir ta petite chatte ?

Elle se cambre dans ses bras, écartant encore les cuisses. Il doit comprendre à quel point les mots ont un pouvoir sur elle, car il semble à nouveau très excité et lui ordonne soudain :

-Lève-toi et déshabille-toi !

Debout, elle achève de défaire son chemisier et fait glisser sa jupe. Vêtue de ses seuls bas blancs, elle est superbe, provocante, et vient se coller à lui, s’asseyant de face sur ses genoux. Il lui embrasse les seins en lui caressant le dos. Elle se cambre pour lui offrir ses nichons et je le vois aspirer les tétons tendus.

-Tu aimes te faire sucer les seins ? Lui dit-il d’une voix rauque.
-Oui ! J’aime ce que tu me fais.

Elle ondule du bassin, frottant sa chatte contre la queue de son amant qui doit bander ferme sous son pantalon. Soudain il se relève, la soutenant sous les fesses. Elle reste accrochée à lui, nouant ses jambes dans le dos du garçon. D’une main, il se défait et libère une belle queue en pleine érection qu’il pointe à l’entrée de la cramouille béante de Bénédicte, puis il la laisse glisser de quelques centimètres et l’empale sur sa verge. Il a dû s’enfoncer en elle d’un seul coup car elle s’arqueboute en criant.

-Salaud ! Oh oui c’est bon ! Elle est bonne ta queue ! Oh oui baise-moi !

Je suis anéanti, au point de tomber à genoux, mais personne ne remarque ma présence. Je fais un effort surhumain pour ne pas me ruer dans la pièce, mais je suis en général suffisamment maître de moi pour qu'en une fraction de seconde, ma tête soit froide, mon esprit lucide. J'ai joué avec le feu. Je suis l'instigateur de cette rencontre. Il est évident que personne ne pouvait résister à ce jeu aussi poussé. Et puis Bénédicte sait que je sais. Elle me connaît et se doute de ma présence. Et cette porte restée ouverte, alors qu'elle est si peureuse d'imaginer seulement l'idée d'une intrusion chez elle. Je suis calme, et mon excitation s'enflamme à nouveau en les voyant. Tous mes désirs de voyeur sont grâce à elle comblés. Il ne peut pas faire grand chose et elle ne bouge presque pas, collée à lui, mais je sais la façon dont elle se sert des muscles de son vagin et j’imagine qu’elle doit lui faire un massage intime auquel il est difficile de résister.


Il a visiblement du mal à se contrôler, mais semble décidé à ne pas craquer. Et soudain c’est elle qui décolle. Je vois son corps parcouru de tremblements. Elle l’enserre de ses bras et de ses jambes comme une pieuvre, la tête niché dans son cou, et se met à délirer :

-Oh oui ! Oui ! Ne bouge plus, je vais jouir ! Je la sens bien ta queue ! Oui... Je jouis... Je jouis !

Il la garde immobile, collée à lui, puis s’agenouille sur la moquette, toujours planté en elle, l’allonge sur le dos et se déchaîne sur elle

-Et là, tu la sens encore bien ma queue ?
-Oui...
-Tu aimes la bitte, hein, salope ?
-Oh oui, j’aime ça !
-Tu es bonne, tu es chaude... Tu t’es déjà fait enculer ?
-Oui ! Souffle-t-elle
-Tu voudrais que lui et moi on te prenne en sandwich ? C’est ça que tu aimes ?
-Oui ! Vous ferez tout ce que vous avez envie de faire de moi ! J’aime ça ! J’aime me faire baiser !
-Ça doit être bon de se faire remplir par deux bites...
-Oui... Tu es aussi dégueulasse que lui et j’aime ça... Ca m’excite...
-Alors je vais rester et on va te baiser toute la nuit comme une pute... On va te mettre par tous les trous !
-Oh oui... Baise-moi fort... Défonce-moi... Je vais jouir...

J’ai déchargé sans même me toucher, au paroxysme de l’excitation et ahuri de la voir se donner comme ça, sans aucune retenue. Je sais que dans ces moments elle est capable de tout, d’accepter n’importe quoi, pourvu qu’elle jouisse. Mais brutalement il se retire d’elle, et la prend par la main pour la relever. Comme un automate, elle le suit.

Il l’a retourne vers le canapé et l’oblige à s’agenouiller et à se courber sur l’accoudoir. D’elle-même elle se penche et écarte ses genoux. Il fléchit les jambes derrière elle, guidant sa queue vers sa raie. J’ai l’impression qu’il va l’enculer, mais elle creuse les reins pour lui présenter son vagin et il l’enfile d’une seule poussée.

-Tu aimes être baisée comme une chienne ?
-Oui, J’aime...
-Tu crois que dans ton cul ça rentrerais aussi bien que dans ta chatte ?
-Non... Pas maintenant... Baise-moi comme ça...

Il se met à la pistonner comme un fou. J’entends son ventre qui claque sur les fesses de Bénédicte et je vois les seins de ma petite pute tressauter à chaque coup de boutoir qu’il lui inflige. Elle glisse de l’accoudoir et se retrouve à quatre pattes, le dos creusé. Il la lime comme un malade et elle s’affaisse, le cul cambré, ouverte de façon obscène. Il a glissé la main sous son ventre et doit lui triturer le clitoris. Elle se met à hurler :

-Oh putain c’est bon ! Casse-moi le cul, salaud... Défonce-moi... Je jouis... Je jouis...

Elle à l’air de prendre un pied fantastique et s’abat sur la moquette, entraînant son cavalier qui ne déconne même pas. À le voir parcouru de spasmes, j’imagine qu’il lui décharge dans le ventre, et elle continue à gémir. J’ai presque mal de la voir s‘abandonner de cette façon. Au bout d’un moment, il roule sur le coté et elle reste immobile, cuisses écartées. Je vois le sperme qui lui suinte de la fente encore ouverte. Puis elle se relève et je rejoins précipitamment ma cachette dans l’escalier.
Elle sort de la pièce et j’entends le bruit de la douche. Je suis incapable de bouger et je veux savoir ce qu’ils vont se dire. Elle revient, enveloppée d'un peignoir et lui propose la salle de bain. Je l’entends se préparer un verre et changer le disque sur la chaîne Lorsqu’il revient, elle lui propose un whisky. Sa voix me semble un peu tendue, et je dois me rapprocher pour les écouter, sans les voir de peur de dévoiler ma présence. C’est elle qui rompt le silence :

-C’était très bon... Dit-elle d’une voix douce. J’espère que tu n’es pas trop choqué...
-J’ai un peu de mal à croire ce qui vient d’arriver, répond-il.
-Moi aussi. Je n’avais encore jamais fais l’amour sans lui. Tu dois me prendre pour une vraie salope ?
-Non mais il y a tellement longtemps que je pense à toi que j’ai du mal à réaliser. Tout ce que tu m’as dit était vrai ?
-Oui. Je suis ce qu’il a fait de moi et ce que j'étais sans le savoir ou sans vouloir l'accepter. Je ne regrette rien mais attention, je ne veux pas que tu tombes amoureux de moi. .Je ne veux pas changer ma vie avec lui.
-Mais je suis déjà amoureux de toi depuis des années...
-Je t’avais prévenu, lui dit-elle d’une voix douce.
-Quand tu m’as dit que tu aimerais que je reste, c’était vrai ?
-Oui, si tu t’en sens capable...
-Tu aimerais un ménage à trois ?
-J’aimerais faire encore l’amour avec toi et avec lui si tu acceptes, mais pas vivre en permanence avec vous deux. J’ai choisi de vivre seule chez moi, et ma vie avec lui.
-Tu accepterais d’être ma maîtresse quand il n’est pas là ?
-Je crois que ce serait dangereux mais s’il est d’accord, peut être... Je ne sais pas...

Je le sens complètement déstabilisé et je le suis aussi car j’ai l’impression que la situation m’échappe totalement. Bénédicte à l’air tout à fait à l’aise et sûre d’elle.

-Je vais partir, dit-il.
-Si tu préfères...
-J’ai besoin de réfléchir... Je peux te rappeler ?
-Bien sûr ! Il vient ce soir.

Sans ajouter un mot, il est parti. J’ai rejoint ma voiture et suis allé en ville m’offrir un whisky dont j’avais grand besoin. Lorsque je suis rentré, une heure plus tard, je l’ai trouvée habillée comme lorsque j’avais feint de quitter l'appartement.
Elle s’est jetée dans mes bras et l’air faussement contrit, mais un peu inquiète tout de même, elle m’a avoué spontanément :

-J’ai craqué ! J’ai fais l’amour avec lui et il est parti ! Tu m’en veux ?
-Non je ne t’en veux pas... Je savais que je jouais un jeu dangereux... Tu as aimé ?

Je me suis assis et l’ai prise sur mes genoux. Elle m’a répondu en riant :

-Oui, j’ai aimé et tu aimerais que je te raconte ?
-Bien sûr mais j’espère que tu n’es pas tombé amoureuse...

Elle s’est lovée dans mes bras.

-Non, je ne suis pas amoureuse, mais lui, je crois que si, depuis longtemps, et le fait d’avoir fait ce que nous avons fait n’a pas arrangé son cas. Pour le consoler, je lui ai dis que j’étais d’accord pour recommencer, mais avec toi...

J’ai ouvert la bouche pour lui avouer ma présence mais je n'en ai pas eu le temps. j’ai eu la surprise de l’entendre me dire :

-J'avais peur que tu n'aies pas sur toi la clé de la porte de la cuisine.
-Tu savais que j’étais là ?
-Oui mon salaud et je suis même sure que tu as vu, bien que tu aies été très discret, mais je sentais ta présence et ça m’excitait autant que de me faire baiser par lui ! Je me suis conduite comme une salope hein ?

J’ai glissé la main entre ses cuisses qu’elle a écartées et j’ai trouvé son coquillage toujours nu, déjà ouvert et légèrement humide. Le téléphone a sonné. Elle s’est levée, a attrapé l’appareil et est revenue s’asseoir sur mes genoux avant de décrocher. Aussitôt elle a mis le haut-parleur et moi la main sur son sexe. C’était Philippe :

-Il est rentré ?
-Oui, il est là ! Répondit-elle
-Tu lui as raconté ?
-Bien sûr ! Dit-elle en riant, alors que je lui massais le clito qui raidissait sous mon doigt.
-J’avais besoin de réfléchir un peu. J’ai adoré faire l’amour avec toi, et si vous êtes d’accord, je préfère te partager que te perdre. Est-ce que je peux revenir ?

En guise d’acquiescement, j’ai glissé un doigt dans son petit con trempé et elle s’est cambrée sur mes genoux en ouvrant grand les jambes, répondant d’une voix mal assurée :

-Bien sûr ! Nous t’attendons.

Il est arrivé vingt minutes plus tard et j’ai libéré Bénédicte que j’avais allongé sur la table de la salle à manger pour lui bouffer confortablement la chatte, afin qu’elle aille l’accueillir. Il nous a fallu presque une bouteille de champagne pour détendre l’atmosphère. Puis nous avons commencé à parler de notre intimité, faisant monter la température. L’ambiance et le soir venant ont achevé de détendre Philippe, assis à coté de Bénédicte, mais n’osant aucun geste. Brusquement, elle s’est levée, annonçant qu’elle allait chercher une nouvelle bouteille, qu’elle nous a ramenée quelques instants plus tard. Et à notre surprise, elle était entièrement nue, les joues roses et les yeux brillants. Elle s’est immobilisée au milieu du salon, en nous disant d’une toute petite voix :

-Je veux mes hommes !

Toutes les barrières sont tombées. Une soirée d’orgie. Dans toutes les positions, nous l’avons caressée, tripotée, léchée, sucée, branlée. Par tous les trous, nous l’avons remplie, baisée, sodomisée. Elle en suçait un, se faisant prendre par l’autre. Elle a voulu nos deux bites en même temps dans la bouche. Elle se conduisait comme une salope, sur le dos, debout, à quatre pattes, accroupie. Nous lui avons même demandé de se branler devant nous. Elle a voulu que nous la prenions en sandwich, alternant l’un devant et l’autre derrière. Elle était aussi déchaînée que nous et a demandé que nous lui introduisions nos deux bites en même temps dans le vagin. Elle voulut même que j’encule Philippe pendant qu’il la baisait, mais c’est la seule chose que nous ayons refusé. Je ne l’avais jamais vue dans cet état. Elle était couverte de sueur, de foutre et de sperme. Nous l’avons prise dans tous les sens jusqu’à ce que nous n’en puisions plus d’épuisement et avons fini par nous endormir, de chaque côté d’elle.

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