Quand tu m'as dit que nous partions en promenade,
tu n'as pas dû me dicter ma tenue, je savais très bien ce
que tu désirais.
J'ai pris un bain, je me suis soigneusement rasée partout,
je me suis copieusement enduite d'huile parfumée, je me
suis peint les ongles en rouge vif, je me suis maquillée
comme une putain, j'ai enfilé mes mules noires à talons
aiguilles et un ultra-mini string, j'ai jeté mon imper noir
sur mes épaules et je suis montée dans la voiture dans laquelle
tu m'attendais déjà.
Arrivée dans la campagne, deux autres voitures étaient déjà
garées à l'endroit où tu t'arrêtas, mais elles étaient vides.
A l'extérieur, le froid piquant contrastait très fort avec
la chaleur de la voiture. Le bout de mes seins durcissait
déjà sous l'effet du froid.
Le chemin par lequel tu m'emmenas était détrempé et, dans
la boue, je me tordais les pieds à chaque pas.
Nous pénétrâmes dans un bois. Ma marche y était encore plus
pénible à cause des ronces et maintenant le froid me pénétrait
partout et je commençais à grelotter, nue sous mon Imper.
Les hommes auxquels tu allais me livrer étaient là ! Au
milieu du bois, devant nous et regardaient arriver leur
proie, manifestement très excités par ma tenue de pute.
Il y en avait trois d'une cinquantaine d'année et quatre
jeunes qui ne devaient pas avoir plus de vingt ans.
Arrivés près du groupe, tu m'ordonnes d'ouvrir largement
mon imper.
Je m'exécute immédiatement face à eux, découvrant impudiquement
mes formes pulpeuses.
Ils me commandent et tu m'as ordonné de leur obéir et de
faire tous leurs caprices.
" Accroupi-toi et pisse " m'ordonne l'un d'entre eux .
Je m'adosse à un gros arbre, je m'accroupi, j'écarte les
cuisses et je pisse.
Je dois me caresser en pissant.
Je caresse pour eux ma grosse moule pisseuse et mon trou
de cul entre mes fesses, par derrière, imper toujours largement
ouvert.
" A poil ! " s'écrie l'un d'eux.
Tu t'approches, je retire mon imper, je me redresse et fais
quelques pas vers une très grande flaque de boue dans laquelle
je le laisse tomber nonchalamment en les fixant droit dans
les yeux, me dénudant ainsi complètement.
Et, en signe de soumission totale, je l'écrase de mes pieds
dans la boue afin qu'il devienne inutilisable et qu'ils
comprennent que je m'abandonne totalement à eux.
Mon string subissant ensuite le même traitement.
Tu me ligotes les mains à l'arrière, autour de l'arbre,
me présentant ainsi à eux de face.
Je suis toujours accroupie, les jambes largement écartées,
complètement nue au milieu du bois, offerte à ces hommes.
Ils se rapprochent et déjà ils me caressent, me malaxent
les seins, les pinçant, les titillant... puis leurs mains
se séparent.
Certaines montent vers mon visage pour venir s'engouffrer
dans ma bouche qui est maintenant pleine de leurs doigts...d'autres
restent autour de mes seins en les pinçant délicatement,
d'autres encore descendent vers mon intimité grande ouverte.
Mes yeux croisent ton regard et je te sens terriblement
excité par le spectacle, ce qui augmente encore mes sensations
sous toutes ces mains qui me fouillent.
Tu débouches une bouteille de champagne, ils ôtent leurs
doigts qui encombrent ma bouche, tu t'approches et tu portes
le goulot à mes lèvres.
Tu sais que j'adore çà et je bois goulûment le précieux
liquide sans m'arrêter.
J'en ingurgite la majeure partie, mais le surplus me coule
par la commissure des lèvres, dégouline sur mon buste, mon
ventre et s'insinue dans mon sexe qui frétille.
Le contenu de la bouteille avalé, je me sens beaucoup mieux
et j'ai déjà un peu plus chaud.
à suivre
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