TITRE : La surprise
Catégorie : 
Histoire Groupes et Partouze

Accueil Histoire érotique Toutes les histoires

Assise à l'aéroport, je l'attendais. Un long voyage d'affaire l'avait retenu pendant plusieurs semaines à New-York. Je m'ennuyais tant de mon amour, et en plus j'avais une grande faim de l'avoir en moi. J'avais refusé de me masturber en attendant son retour. Nous nous étions promis de ne pas se laisser aller à nos instincts primaires pour jouir dans nos mains. Cela n'avait pas été facile ! Je le voulais. Je mouillais déjà à l'idée de la surprise que je lui avait préparé pour son retour. Je savais qu'il m'aimait éperdument, je ne m'inquiétais pas du fait qu'il ai pus choisir de se laisser tenter pour briser le jeûne. Le voila! Mon coeur criais à son amour et je mouillais encore plus. Heureusement, j'avais une jupe ample noir avec des bas filet noir expressément achetés pour nos jeux. Ses cheveux bruns courts, toujours en bataille, son torse puissant, il était grand, plus que moi, mince et musclé comme un coureur de vitesse. Je rêvais, depuis son départ, à ses grandes mains puissantes qui se glissaient entre mes cuisses. Son visage inquiet regardait de tout les côtés. Il me cherche, je le sentais dans mon cour, dans mon âme. Nos regards se rencontrèrent. Je vis son soulagement et son regard brun me déshabiller. Un éclair vicieux se glissa dans ses yeux. Il me prit dans ses bras et m'embrassa tendrement. Ses lèvres douces posées doucement sur les miennes, sa langue fouilla délicatement ma douche. Ses mains sur mes hanches. Doucement, à l'abri de son long manteau, il effleura mon intimité. Il se rendit compte de mon humidité, il vit aussi l'éclair de plaisir et de désir dans mes yeux qui trouva un éco dans les siens. Nous allâmes chercher son sac et nous partîmes, une main sur mes fesses, vers l'auto parquée dans l'aller.

Nous fîmes un détour par le parc pour faire du «parking». Incapable d'attendre, nous nous jetâmes l'un contre l'autre. Presque un mois d'abstinence, c'est long! Sans même se soucier s'il y avait des voyeurs, il m'enleva mon chandail et mon soutien gorge. Il lécha mes seins, les mordilla, les pinça doucement. Il me regarda dans les yeux, une lueur d'amour et de passion. Ses mains trouvèrent aisément le chemin de ma jupe. Mes mains trouvèrent sans problème comment détacher son pantalon et essayaient de le lui enlever en même temps qu'il essayait de faire la même chose avec ma jupe. Sans avoir eu le temps de réfléchir, nos deux vêtements se retrouvèrent de côté. J'étais en culotte de dentelle rouge avec mes bas filet et lui avait encore son chandail. J'entrepris de le lui retirer. J'admirais son torse puissant, ses muscles saillaient. J'effleurais du bout des ongles ses abdominaux. Mes mains montèrent jusqu'au cou pour descendre sur ses bras. Ses biceps se contractaient à mon contact, impossible de retenir le frisson qui le parcourait. Il se mordait la lèvre inferieure, ses mains se promenaient sur mon corps, s'attardaient sur le haut de mes cuisses, là où mes bas prenaient fin et s'attachaient avec ma culotte de dentelle rouge. Son pénis en érection me faisait envisager certaines possibilités amusantes mais qui nuiraient à la surprise que j'avais prévue pour lui. Néanmoins, je lui fit une fellation comme j'en avis.

Mes lèvres se promenaient autour de son pénis. Je mis une testicule dans ma bouche en le regardant droit dans les yeux. Mon visage expressif ainsi que les gémissements que je produisais lui faisaient envisager que j'aimais ce début de fellation presque autant que lui. Je mis l'autre testicule dans ma bouche et je la suça, doucement en la tournant dans ma bouche. Je lécha derrière ses testicules en les gardant dans ma bouche, je les collaient ensemble avec ma langue et ensuite je les séparais en passant ma langue entre les deux et je recommençais, toujours délicatement, amoureusement. Parce que je l'aime. Il me regardait faire, une main poser sur mon épaule, l'autre près de son pénis. Je pris son pénis dans une main, de l'autre je me massais doucement le sexe par-dessus ma culotte qui devenait rapidement humide. Je me masturbais doucement pendant que j'embrassais son pénis. Je mouilla mes lèvres de salive et ensuite je mis ma bouche sur son pénis très dur. Je serrais mes lèvres en un O parfait et j'entourais son gland de mes lèvres en m'assurant de toujours le regarder dans les yeux. Doucement, ma langue lécha le gland. Je suçais doucement son gland en même temps que mes lèvres se resserraient un peu et que ma langue léchait tout le gland. Je fis un anneau avec mon index et mon pouce juste devant mes lèvres. Je fis plusieurs aller retour très rapides puis je ralentis la cadence, en le regardant toujours. Je mouillais à l'avoir dans ma bouche. Doucement, je changea de position, je voulais me mettre à ses pieds. Sans le lâcher, je bougeais doucement vers la gauche. Voyant mon bassin venir près de lui, il y glissa deux doigts. Je m'éloigna de lui rapidement en me plaça à ses pieds, sous le volant de l'auto. Il retira ses doigts et les lécha en me regardant droit dans les yeux, Ses yeux étaient maintenant que des lanternes où jouissait le plaisir.


-Conduit-nous à la maison, lui demandais-je.


Il me regarda, sourit, et obtempéra. Il conduisit jusqu'à notre maison et moi je continuais à lui faire une pipe dont il se souviendrait. Quand il devait arrêter à une lumière, ou à un stop, je suçais plus vite et plus fort. Quand il roulait sur l'autoroute en essayant de se dépêcher pour arriver chez nous, je ralentissais. Notre maison de campagne apparut ainsi que deux de mes amies qui nous attendaient à l'entrée. Il grogna de rage et de dépit. Je souris devant son regard. Il resta étonné de me voir sortir de l'auto simplement habiller de mes bas filet et de ma culotte de dentelle rouge. Mes deux amies, malgré la chaleur ambiante, portaient un long manteau et étaient nus pieds. Je ne pensais pas qu'il avait compris. J'allais au devant de lui.


-Vous avez tout arrangé ?


Elles me firent signe que oui puis entrèrent dans la maison sans se préoccuper de mon compagnon.


Je me tournais vers lui au moment où il sortait de la voiture son bagage.


-Laisse, on s'en occupera plus tard. Viens.


Je le pris par la main et l'emmena dans les sous bois, à la clairière près du ruisseau. Je le sentais fâché à cause de mes amies. Je m'en réjouissais d'une certaine manière. Arriver à la clairière, les mains de mon amour trouvèrent le chemin de mes hanches. Il se mit à genoux devant moi et fit glisser sa langue dans l'espace entre la culotte de dentelle rouge et mon chandail pendant que ses doigts descendaient lentement le long de mes bas et de ma culotte. Il m'embrassa les cuisses et ma culotte, puis l'enleva. Ma chatte complètement rasée, sauf pour un petit chemin velu, le fit sourire, comme toujours. Il commença par m'embrasser tendrement la chatte. Puis, il m'embrassa le clitoris en passant délicatement sa langue dessus. Doucement, il y mit un peu plus de pression en roulant sa langue autour de mon clitoris. Ma respiration s'accélérait, mes mains étaient posé sur sa tête et ma tête était rejetée en arrière. Mes jambes écartées démontraient l'avidité que j'avais à le sentir continuer. Il se releva et me pris dans ses bras. Doucement, il me couchait dans l'herbe. Il se remit entre mes jambes et sa langue repris sa douce besogne. Puis, son doigt remplaça sa langue. Son doigt faisait des ronds sur mon clitoris et l'agitait en tout sens. Puis, soudainement, il me pénétra avec son doigt, juste pour dire qu'il était entré. Je bougeai le bassin afin de le faire entrer plus profond, mais il retira son doigt en souriant et recommença à jouer avec mon clitoris. Mon plaisir monta en flèche. Il continua comme cela jusqu'à ce que je lui hurle de me pénétrer. Il s'en donna à coeur joie. Il commença doucement, en me pénétrant lentement en me regardant droit dans les yeux. Puis, il fini par accepter ce que je lui demandais, ce que mon corps hurlait. Le bruit que faisait sa main en heurtant ma chair me faisait gémir. Je gémissais, je criais au plaisir et à la jouissance.

Pendant environ une dizaine de minutes, il fit tout ce qu'il pouvait avec ses doigts pour me faire venir, pour que je hurle, pour que j'ai un orgasme. Il sentait mon corps se durcir et demander plus, plus de force, plus de vitesse. Il alla de plus en plus rapidement, de plus en plus fort jusqu'à ce que j'ai l'orgasme à l'intensité qu'il souhaitait me faire avoir. Je hurlais, je criais son nom aussi fort que me le permettais ma voix. Je savais qu'il allait bientôt me pénétrer avec son pénis et venir en moi, mais je ne le laissais pas faire. Je lui pris la main et couru jusqu'à la maison.

À l'intérieur, mes amies se préparaient dans la chambre d'ami. Il ne savait pas que mes amies étaient à l'intérieur alors je l'entrainais vers la chambre d'ami. Lorsqu'il y pénétrait, il vit mes deux amies en long manteaux et en talons hauts d'une dizaine de centimètres. Partout dans la chambre il y avait de petites chandelles parfumées qui dégageaient un savant parfum. Mes deux amies s'approchaient de lui et le prirent par la main. Il s'installait sur le lit pendant que mes deux amies se déshabillaient devant lui. Je m'assis à côté de lui et le regardait. Son visage exprimait le bonheur. J'étais contente que ma surprise lui faisait plaisir. Doucement, je me penchais sur son bas-ventre et je suçais juste le gland, juste le bout de son pénis. Il gémissait à mesure que les filles finissaient par se déshabiller l'une l'autre et que je le suçais à peine. Je savais qu'après qu'il soit venu une fois, cela prendrait beaucoup plus de temps avant qu'il ne vienne une seconde fois. Il vient enfin en moi quand les deux filles commencèrent à se masturber l'une et l'autre, ensemble. Il poussa un gémissement de plaisir intense et de désir. Quand il est venu dans ma bouche, il me regardait dans les yeux, une main sur mes cheveux. J'avalais avec un gémissement de délice.

Je me relevais doucement et il se jeta sur moi en m'embrassant et en me masturbant. Je le repoussais en riant et je me levais pour aller voir mes deux amies, assise par terre. Je me joignis à elles. Ma langue traçais des cercle de feu autour de la poitrine parfaite de Suzie et mes doigts pénétraient Annie. Annie était couchée sur moi et me mangeait pendant que je la pénétrais. Suzie s'approchait de mon chum. Il souriait et lui toucha d'abord le ventre ensuite ses mains montèrent plus haut. Je les perdis de vue quand Annie se retourna pour me faire face et m'embrassa avec fougue. La douceur du sexe avec une femme est impressionnante mais ce qui m'impressionne le plus, c'est avec quelle dureté elle était douce. Elle me pénétrait avec force avec ses doigts alors qu'elle m'embrassait doucement mais avec passion. Nous nous levâmes pour rejoindre Suzie qui le suçait. Annie se plaça sur son visage afin de se faire manger et moi je plaçai ses doigts dans mon vagin. J'entendais les autres filles gémir et crier, j'entendais les bruits de succions. Les doigts de mon chum qui faisaient exactement ce qu'il fallait, rapide et fort. J'aimais entendre le bruit que cela faisait lorsque sa peau se cognait sur la mienne. J'entendais Annie venir et se lever. Elle se leva et alla dans la pièce d'à côté.

Elle revient après quelque temps remplacer mon chum. Elle mit sa bouche sur ma chatte et suça le jus. Sa langue passait autour de mon clitoris gonflé, ses doigts se promenaient sur mon corps. Suzie faisait l'amour à mon chum et je les entendais, j'entendais leur peau se cogner l'une à l'autre et je sentis mon plaisir augmenté. Un autre homme fit son entré dans la pièce. Adam, un ami de la fac. Annie m'avouait qu'elle l'avait appelé en se souvenant qu'il avait été mon premier. Elle se leva et le pris par le bras et le présenta à tous. Adam se jeta dans la mêler. Déjà en érection, il vient me voir et m'embrassa, un peu maladroit et gêné. Je le fit assoir sur la chaise et je lui enlevai son pantalon et sa chemise d'un coup de rage. J'embarquai sur lui et le chevauchais doucement jusqu'à ce qu'il ferme les yeux de bonheur et de plaisir. Ensuite, je le chevauchais sauvagement. Je le grafignais, le mordais je m'empalais sur lui le plus rapidement possible et plus fort possible. Il criait en même temps que moi. J'éprouvais le besoin ardent de le mordre, de sentir ses doigts me grafigner le dos, le besoin de sentir ses dents sur mon cou, sa langue autour de mes seins.



(pour la suite, attendez)


Kim

 

Accueil Histoire érotique Toutes les histoires

Les couples en ligne :




Partenaire de communication avec logiciel fax internet
Nom de domaine et hebergement internet