Il est onze heures quand Jean, cinquante ans, très
présentable, divorcé depuis deux ans, s'approche
de sa belle fille Agnès, très jolie brune de vingt
quatre ans, occupée à le cuisine.
Il l'a prend par la taille, et glisse une main sous
la jupe, pour lui caresser la chatte, dépourvue de
culotte, comme le demande Jean.
-Oh, mais c'est bien mouillé çà, remarque-t-il, çà
mérite un coup de queue.
-Déconne pas, répond-elle, tu m'as tirée toute la
matinée. Un jour, ton fils va nous surprendre.
En effet, Jean et Agnès sont amants depuis deux
mois. Depuis le mariage de son fils Antony avec
Agnès. Ce soir là, Antony était tellement ivre qu'il n'a pas pu assurer sa nuit de noce. C'est
Agnès, aidée de Jean, qui l'avait couché.
-C'est dommage, avait dit Jean, une si belle
femme. Si je pouvais le remplacer.
Jean ne laissait pas Agnès indifférente, malgré
que ce soit son beau père. En plus, en cette période, elle était en
chaleur.
-Chiche, avait-elle répondu ironiquement.
Jean lui avait fait passer une nuit d'enfer, la
prenant dans toute les positions, par tout les
trous, la faisant crier de jouissance.
Agnès fut surprise par tant d'énergie. Elle ne
regrettait pas sa nuit de noce.
-Ton fils ne m'a jamais fait jouir comme çà lui,
il ne m'a jamais enculée. Faudra lui faire voir ce que tu
as fais avec mon corps, avoue Agnès.
Les caresses sur le clitoris d'Agnès, sont de plus
en plus précises, les lèvres sont de plus en plus
humides. Instinctivement, les jambes s'écartent.
Agnès succombe aux avances de son beau père.
-Salaud, souffle-t-elle, tu sais ce que j'aime.
Allez, donne-le moi ce coup de queue. Je vais me
pencher sur la fenêtre pour surveiller, on sait
jamais.
Jean baisse son pantalon, et pénètre sa belle fille, lui arrachant des
cris de plaisir.
-Tu me niques, sale mâle, gémit Agnès, je suis
déjà au bout, oh putain, tu me fais jouir, oui..
Antony me baise pas comme çà.
-Et moi, tu sens comme je me vide dans ta petite
chatte, salope, ha..ha..tu me régales.
Comme les autres fois, Agnès simule avec son mari.
Elle a rendez-vous avec Jean, demain.
Le lendemain, Agnès rend visite à son beau père.
Elle a pris soin de quitter son string dans la
voiture, pour avoir sa minette à l'air sous la
minijupe.
Mais Jean n'est pas seul. Sa soeur Georgette est
passée lui dire un petit bonjour.
-Bonjour, dit Agnès en les embrassant, çà va?
-Bonjour, répond Georgette, toujours aussi belle.
Les coups de queues forment le corps des femmes,
n'est-ce pas ma chérie.
Sourire aux lèvres, Jean passe derrière Agnès, et
la prend par la taille.
-Mais, beau papa, que faites-vous? demande-t-elle.
-T'inquiète pas, la rassure Jean, elle sait tout.
Il lui remonte le minijupe sur le ventre, et la
force à s'avancer vers sa soeur.
Georgette envoie une main entre les cuisses de sa
nièce. Ses doigts caressent les endroits érogènes
du corps d'Agnès. Elle lance un soupir de plaisir,
et écarte ses jambes au maximum.
-Ta petite chatte est toute mouillée, remarque
Georgette. Et ton clitoris, ce polisson, tu veux
que je le décalotte ma chérie.
-Oh oui, gémit Agnes, sortez mon petit bouton,
vous me branlerez après, hein tata? Mon petit
trou aussi.
Jean a quitté le pull de sa belle fille, et joue
avec le bout des seins. Agnès glisse une main entre les jambes de son beau
père entièrement nu et lui caresse le sexe.
-Vous avez vu vôtre frère comme il est bien monté,
dit Agnès, mieux que son fils.
-Approche frérot, dit Georgette, je vais te faire
une turlutte pendant que je la doigte. Je vais
vous faire jouir tout les deux.
Dans un cri unanime, les deux amants se prennent
à pleine bouche.
-Vous voulez pas qu'on aille au lit, dit Georgette.
Et voilà le trio dans la chambre.
Georgette et Jean vont jouer avec Agnès, une bonne
partie de l'après midi.
Mais Agnès est en forme aujourd'hui.
-Petite pute, gronde Georgette, tu en veux encore,
laisse-la moi Jean, je vais m'occuper d'elle.
Georgette est une femme assez forte, elle fait
tourner Agnès dans tout les sens. Agnès est
complètement soumise, écartée à cent quatre vingt
degrés.
-Viens voir ce que je lui fais, dit-elle à Jean.
Georgette enfonce deux doigts dans la chatte d'Agnès, puis trois, quatre,
puis c'est la main
entière qui disparait.
La tête d'Agnès va dans tout les sens. Elle se
caresse les seins, avant d'avoir un orgasme
terrible.
-Assez, assez, supplie Agnès, j'en peux plus,
pitié tata.
-Arrête, dit Jean, et toi Georgette, tu veux pas
une bonne bite dans ta chatte, petite gouine.
-Si, répond-elle, c'est toi maintenant qui va me
supplier, Viens ici salaud.
Certes, Georgette se fait prendre par son frère,
mais c'est lui, au bout d'une heure qui jette
l'éponge, épuisé, vidé.
Une fois Georgette parti, Jean prend Agnès.
-Viens dans mes bras, ma chérie.
-Oui, mon amour, reposons nous un peu
Frankie
|