Episode 1.
Une de mes amies est responsable pédagogique dans un lycée de province.
Son appartement est une superbe villa qui jouxte l'établissement. Âgée
d'une trentaine d'années, toujours célibataire, elle est restée très
proche de ses parents qui viennent souvent passer quelques jours chez elle.
Sa mère est une femme qui frise la soixantaine, mais que les années ont
malgré tout laissée encore très désirable. Elle est bronzée toute l'année.
Ses cheveux sont méchés et effilés et elle sait divinement se mettre en
valeur. Ce jour là, elle portait une chemise orange ouverte sur un petit
haut coquin en toile noire, qui laissait voir et deviner des morceaux de sa
peau et le haut de sa poitrine qui dépassait d'un soutien-gorge noir lui
aussi. Nous étions assis tous les quatre (son mari était présent lui aussi),
lorsque le concierge a téléphoné pour annoncer qu'une fuite d'eau était à
déplorer dans une des annexes du gymnase. Mon amie devait s'y rendre
aussitôt et son père, bricoleur, s'est proposé de l'accompagner. J'ai
annoncé que j'allais partir, mais sa mère m'a dit de rester encore un peu
afin qu'elle puisse me montrer les aquarelles qu'elle avait peintes.
Alors que son mari et sa fille partaient, nous nous sommes levés pour
faire le tour de l'appartement et découvrir les quelques aquarelles
accrochées aux murs qu'elle voulait me commenter. Elles étaient fines et
jolies, mais je dois avouer que je n'apprécie pas plus que ça les
aquarelles et que je préférais à ce moment là baisser mes yeux dans son
décolleté. Une fois le tour de l'appartement effectué, nous sommes revenus
dans le salon où elle m'a montré des aquarelles non encore accrochées.
L'eau me montait à la bouche. Je n'arrivais plus à écouter ses
explications tellement elle m'excitait.
Elle a du sentir que je semblais préférer ses rondeurs aux teintes de ses
aquarelles. Sans rien dire elle m'a souri, a passé son index sur ma bouche
et m'a pris par la taille pour m'adosser au mur. Lorsque, gêné, je lui
demandai ce qu'elle faisait, elle m'a demandé de me taire en posant à
nouveau son index sur ma bouche.
Elle a immédiatement sorti la langue de sa bouche pour la passer sur ma
bouche et ensuite me lécher le cou d'une manière agile et je dois l'avouer
très agréable. Me caressant le sexe de son bassin, elle a ouvert l'un après
l'autre les boutons de ma chemise, tout en me caressant la poitrine avec la
paume de sa main. Elle a ensuite mordillé mon torse nu et titillé le bout de
mes tétons avec le bout de sa langue. Sa main caressait mon entrejambe,
lorsqu'elle s'est baissée pour s'agenouiller devant moi. Elle mordait mon
sexe en travers la toile de mon short et commençait à le masturber à la
seule force de ses mâchoires au travers l'étoffe. Je lui caressai les
cheveux, mais elle m'a demandé de ne pas la décoiffer, ce qui était normal
étant donné la situation.
Délicatement elle s'est mise à baisser mon short et mon slip à moitié,
afin de pouvoir aspirer délicatement le bout de mon gland. N'y tenant
plus, j'ai baissé complètement mon short afin qu'elle me prenne
entièrement dans sa bouche. Après avoir craché sur mon sexe, elle m'a pris
entièrement dans sa bouche pour une fellation qui devait durer une dizaine
de minutes. J'avais envie de la déshabiller, mais je savais que nous
n'aurions pas le temps. Je me suis alors laissé faire, de peur d'être
surpris par sa famille.
J'ai éjaculé dans sa bouche et c'est là qu'elle s'est mise à rire et à
tout recracher. Elle a du se nettoyer rapidement, puis nous avons rejoint
les fauteuils pour prendre un thé, comme si de rien n'était.
Épisode 2.
Après la première expérience avec la mère de mon amie, je ne me sentais
pas très bien. Pendant plusieurs mois, je traînais honte et remords, je
n'osais plus regarder mon amie en face. Vous rendez-vous compte, me faire
sucer par sa mère... Je m'en voulais aussi beaucoup à l'égard du mari qui
est un homme très sympathique et que j'estime beaucoup. Ce n'était
pourtant pas ma faute, si sa femme avait des envies extraconjugales. Mais je
n'allais pas non plus me poser en victime. Cette femme m'excitait depuis
plusieurs années et ce qu'elle m'avait fait avait été divin. Ma fiancée a
beau être très sensuelle et très chaude, bien souvent je repensais avec
envie à ma sexagénaire.
Il est une tradition avec mon amie : elle m'invite depuis presque dix ans
chaque année au festival de la ville de ses parents. Ils habitent une
charmante petite villa, un peu à l'écart de la ville, dans une zone
résidentielle très huppée. Cette année là, j'étais à nouveau invité. J'ai
l'habitude de venir le samedi soir, de dormir dans la chambre d'amis après
un très bon repas bien arrosé et d'aller au festival le dimanche.
J' y allai donc comme d'habitude, pourtant je savais que cette année les
choses allaient être quelque peu différentes après ce qui s'était passé
quelques mois auparavant. Comment allait elle réagir ? Allais- je encore
oser regarder mon amie et son père dans les yeux ? Allaient- ils soupçonner
quelque chose ? Capter un regard ? Allais-je pouvoir garder mon sang-froid
et éviter les erreurs, alors que j'étais si excité à l'idée de la revoir ?
C'est sa fille et elle qui m'ont accueilli lorsque je suis arrivé. Je
les ai embrassées comme si de rien n'était et elle m'a souri gentiment.
Quel flash pour moi pourtant ! Elle était en train de jardiner au moment où
je suis arrivé, elle portait un jean transformé en short, ses jambes
bronzées étaient sublimes. Sous son T-shirt, elle portait un maillot de bain
qui laissait bien voir la forme de ses seins, voluptueux, un rien pendants
mais quand même bandants, je dois l'avouer. A ses pieds, elle portait des
chaussures en plastique à semelle compensée qui mettaient bien son bassin et
sa croupe en valeur lorsqu'elle marchait. Quel régal ! Et son parfum ...
Comme j'avais voyagé et beaucoup transpiré, elle me proposa de prendre
une douche, ce que j'acceptais avec plaisir. Quel plaisir, cette douche
froide, et puis je vous avoue que je n'ai pas oublié de me caresser
doucement en pensant à elle...
Une fois sorti de la douche, en cherchant une serviette, j'ai ouvert
quelques tiroirs. Dans celui du bas, je suis tombé sur une nuisette rouge en
satin ; ce n'est pas le genre de ma vieille fille de copine de porter cela.
C'était la nuisette de sa mère, j'en étais sûr. J'avais envie de la
frotter contre ma peau, mais j'avais peur de la froisser et surtout de trop
m'exciter...
J'ai fini de m'habiller et avant de descendre les rejoindre, j'ai voulu
regarder par la fenêtre car la vue est sublime... et ce fut vraiment le cas
: ma sexagénaire, la croupe en l'air était en train de cueillir du persil
dans son potager, là, à quelques mètres de moi. Je pouvais admirer ses
fesses sublimes tendues vers moi, ses jambes brûlées par le soleil, ses
hanches, tout, tout me rendait fou....et je ne résistai pas à la tentation
de me caresser en la regardant s'activer dans son potager. J'avais envie
d'elle plus que jamais, une deuxième douche froide m'aurait fait du bien,
mais je devais descendre maintenant.
Une fois dans le salon, j'ai eu droit aux traditionnels commentaires
politiques poujadistes du mari que je n'écoutais que d'une oreille
d'ailleurs, puisque j'entendais ma sexagénaire qui s'activait dans la
cuisine et que j'essayai de l'entr'apercevoir dans la glace de la
vitrine.
Quelques minutes après, elle rentra dans le salon pour nous servir un
apéritif, champagne SVP, et nous annoncer que nous pourrions manger dès
qu'elle se serait douchée elle aussi. Humm, elle sous la douche et moi en
bas à discuter avec son mari et sa fille, quel gâchis, pensai-je en mon for
intérieur...
Lorsqu'elle redescendit, elle était maquillée discrètement si ce n'est
son rouge à lèvres un peu trop rouge, mais excitant. Elle portait un petit
débardeur noir décolleté, bien que pas assez à mon goût, un corsaire noir et
des babouches. Nous nous sommes installés à table pendant qu'elle sortait
les verres à vin de la vitrine. J'en ai profité pour jeter un regard à sa
croupe, ce qu'elle n'a pas manqué de noter, puisqu'elle croisa mon regard
dans la vitrine. Je n'en pouvais plus. J'avais envie de sa bouche. Le
repas a commencé. J'avais envie de lui faire du pied, mais étais bien trop
timide et peureux pour le faire. Nous avons parlé de choses et d'autres et
en particulier, du maire de la ville. Le chef de maison a trouvé gracieux de
se moquer de lui, du fait des infidélités de sa femme. Le sujet des femmes
volages et des maris cocus étant lancé, je me sentais rougir de plus en
plus. Et il en rajoutait le monsieur. Je ne savais plus où me mettre et quoi
dire. J'avais l'impression de perdre tous mes moyens. Ma sexagénaire me
regardait parfois dans les yeux sans rien dire; je me demande bien ce
qu'elle devait penser à ce moment-là. Regrettait-elle ce qu'elle m'avait
fait la dernière fois ou bien n'avait-elle qu'une seule envie :
recommencer ?
Le repas fut excellent et bien arrosé. Nous nous sommes tous levés de
table vers minuit pour aller nous coucher. Ma chambre était au bout du
couloir, à deux portes de celle de ma sexagénaire. Nous nous sommes tous
souhaités une bonne nuit et sommes allés nous coucher. Je n'en pouvais plus
de désir et je n'avais eu aucune occasion, je ne savais même pas si elle
avait autant envie que moi de remettre ça. J'étais frustré ...et bourré. À
peine dans mon lit, je n'ai pu résister à l'envie de me masturber qui
était bien plus forte que moi. Tant d'images me hantaient.
Au milieu de la nuit je fus réveillé à plusieurs reprises par des bruits
de pas dans le couloir. Je n'osais aller voir de peur de tomber sur le mari
ou peut être bien de peur de tomber sur ma sexagénaire en rut... Quel
courage !
J'ai très mal dormi cette nuit-là. Réveillé dès 5h30 par les oiseaux, je
mourrais de soif du fait de mon abus d'alcool de la veille. Je suis allé
dans la cuisine pour boire de l'eau, puis me suis habillé pour aller
acheter des brioches en ville. Lorsque je suis revenu, elle était là, dans
la cuisine, en train de lire le journal en robe de chambre, avec la petite
nuisette en satin que j'avais aperçue la veille. Je voyais son décolleté
généreux. Elle m'a demandé de ne rien dire et s'est levée. Elle a fait
tomber sa robe de chambre et s'est approchée de moi. Elle m'a caressé
l'entrejambe de manière très douce, puis en serrant de plus en plus. Je
l'ai serré contre moi, je pouvais sentir ses seins contre mon torse, et je
l'ai embrassée à pleine bouche. Nos langues se mêlaient à un rythme
effréné, nous bavions tellement nous nous embrassions fort. Elle léchait mon
visage, ma bouche, elle mordait mes lèvres, mon nez, elle serrait mon sexe
dans sa main, elle essayait de le branler à travers mon pantalon en lin.
Elle léchait mon cou, le mordait, elle me tirait les cheveux de rage. Elle
caressait mon dos avec sa main. Je mordillais ses seins au travers de sa
nuisette et cela la rendait folle. Je malaxais ses fesses tout en frottant
mon sexe contre le sien. Je crois que j'aurais pu la pénétrer ainsi, sans
enlever ni sa nuisette ni mon pantalon tant elle s'ouvrait à moi.
Agenouillé devant elle j'ai plaqué mon visage contre sa chatte; elle a
appuyé ma tête contre son sexe, tout en bougeant son bassin d'une manière
impudique, la bouche grande ouverte. Tout en enlevant sa nuisette,
j'enfonçai ma langue dans son sexe, je mordis son clito, je l'aspirai, je
le suçai, j'enfonçai mon doigt dans sa chatte ; je la retournai, pour lui
lécher les fesses, pour y entrer la pointe de ma langue coquine, pour lui
lécher l'anus tout en caressant son clito avec mes doigts. Elle se mordait
la main pour ne pas gémir, pour ne pas crier. Elle bougeait comme une folle.
J'ai enlevé mon pantalon vite fait. Elle m'a branlé comme une folle, des
deux mains, puis a dirigé mon sexe qui n'avait jamais été aussi beau, dans
sa chatte humide à souhait. En la portant par les cuisses, son derrière
reposant contre la table, en lui roulant des pelles bien baveuses, j'allais
en elle, au plus profond d'elle, par des allers-retours réguliers. Je
mordais sa bouche, passais ma langue entre ses seins, elle mordait mon cou
de plaisir et pour ne pas crier. Je me retenais afin que cet instant volé et
suspendu dure le plus longtemps. Tout en allant et venant entre ses reins,
je caressai ses fesses, et introduisis un doigt dans son anus. Elle souriait
tout en haletant, elle tremblait. Elle secoua la tête dans tous les sens,
puis elle poussa un petit cri étouffé contre ma poitrine. Elle a joui
pendant deux minutes, puis a éclaté de rire en disant tout bas que c'était
bon. Je n'attendais que ce moment-là pour pouvoir me lâcher en elle et ce
fut exquis et très fort. Une fois que je me fus délicatement retiré d'elle,
elle s'est agenouillée devant moi pour prendre mon sexe mollissant dans sa
bouche et goûter mes dernières gouttes avant de le mâcher délicatement ; je
sentis que je recommençais à bander, mais nous savions tous les deux que
nous devions nous arrêter là au risque d'être surpris. Il n'était pas loin
de 8 heures en ce dimanche matin. Je l'embrassai une dernière fois, elle me
caressa les fesses une dernière fois, puis je montai doucement prendre une
douche bien méritée. Tout le rez-de-chaussée sentait le sexe et son parfum
capiteux.
Jiaife.
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