TITRE :  La séance photo
Catégorie : 
Histoire Extra conjugale

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Août 2003, un été torride. La chaleur était insupportable, à peine si l’on pouvait porter un vêtement. Je me baladais toute la journée en petite tenue dans mon appartement, buvant et rebuvant encore des litres d’eau qui n’arrivaient pas à étancher ma soif. J’avais du mal à respirer, l’air était pesant.

     Mon homme était parti pour quelques jours pour un séminaire du côté de Montpellier, j’enviais sa possibilité de se baigner à la mer….

     Un ami à lui, Marc, devait passer chez nous, récupérer un appareil photo, qu’il avait prêté à mon mari. Il était maintenant 14h45 et il devait arriver d’une minute à l’autre. J’avais revêtu pour l’occasion une jolie petite robe rose, qui faisait ressortir mes yeux bleus et ma blondeur naturelle. Comme le disait souvent mon mari, on aurait pu me confondre avec une certaine poupée….

     J’attendais patiemment sur le canapé. Mais la chaleur fit que je m’assoupis quelques minutes. Je rêvais alors de mon homme, nu, dans toute sa splendeur virile… Il était vraiment beau. Je fus sortie de mon sommeil par une sonnerie stridente… Marc sans doute.

     J’ouvris, et Marc m’offrit son plus beau sourire ainsi qu’un bouquet de fleurs sauvages. Le faisant entrer, je le guidai à l’intérieur de l’appartement, où nous venions d’emménager, David et moi. Marc ne l’avait jamais visité, je ne l’avais pas vu non plus depuis près d’un an. Il était encore plus séduisant que dans mon souvenir et je le savais à nouveau célibataire. J’espère qu’il ne s’en rendit pas compte à ce moment là, mais j’avais ressentit un léger frisson au contact de sa bouche sur mes joues. Sûrement la chaleur…

     Je l’invitai à s’asseoir sur le canapé et à boire un bon verre rafraîchissant. Il ôta sa veste, sa chemise était trempée de sueur. Elle lui collait dessus comme une seconde peau, laissant se dessiner les muscles de son torse. Un nouveau frisson me parcourut et là, plus aucun doute, cet homme me faisait de l’effet… Mais je repris vite contenance, ne voulant rien laisser paraître de mon trouble…

     Voulant être une hôtesse parfaite, je lui proposai de prendre une douche et de lui laver sa chemise, pour la rafraîchir un peu. Après un petit moment d’hésitation, il accepta. Il se dirigea vers la salle d’eau, où je lui donnai une serviette, puis je repris le chemin de la cuisine afin de mettre en route la machine à laver. J’allais siroter ma limonade sur le canapé en l’attendant. Dès que j’entendis le jet d’eau se mettre en route, je fermai les yeux, imaginant l’eau ruisselante sur son torse musclé, nu… Je me secouai un peu, me rappelant à l’ordre.

     Au bout de quelques minutes, je le vis apparaître, seulement vêtu de la serviette de bain, le torse nu. Il était vraiment séduisant cet homme là. Ses muscles jouaient au gré de ses mouvements, et moi j’avais de plus en plus de mal à respirer correctement. C’est à ce moment là que je réalisais qu’il avait compris mon trouble. Effarée, je me levai d’un bon, me dirigeant vers la chambre pour récupérer son appareil photo et me donner une excuse pour disparaître. Amusé, il me suivit du regard. Je restai un long moment dans la chambre, faisant un peu de bruit pour qu’il croit que je cherchais quelque chose…

     Au bout de cinq minutes, je réapparus au salon et là, je tombai sur un spectacle étonnant et charmant. Marc s’était allongé entièrement nu sur le canapé. Je restai paralysée sur place, subjugué par cette image. Il était décidément très beau ! Ma langue passa sur mes lèvres sèches, mon cœur battait de plus en plus vite, ma respiration se fit saccadée…

     Comme un robot, je m’approchai du canapé, et sans que je m’en rende vraiment compte, je commençai à prendre en photo ce mannequin improvisé. J’étais excitée à l’idée de le prendre en photo….

     Il commença alors à jouer avec l’objectif, caressa son torse, descendant le long de son ventre plat et musclé, il arriva à son sexe qui était d’une grosseur assez impressionnante au repos… Bien plus impressionnante que celle de mon mari…

     Je ne m’arrêtais plus, je prenais des clichés à tout va, comme une droguée. Je le vis se caresser le sexe, qui, à ce contact charnel, commença à gonfler… Puis Marc se tourna vers moi, et de la main m’invita à le rejoindre. Non ! Il ne fallait pas… j’étais mariée et fidèle, j’aimais mon mari, je ne voulais pas lui faire de mal… Mais Marc était très convaincant, et comme si mon corps ne voulait plus m’obéir, je m’approchais de plus en plus de lui. Quand ma main entra en contact avec la sienne, je fus comme électrisée. Il se leva lentement, se mit face à moi, puis défit la fermeture éclair de ma robe d’été. La faisant glisser ensuite le long de mon corps…

     J’étais presque entièrement nue devant lui. Il ne me restait que le string rose, assorti à ma robe. Les pointes de mes seins étaient tendues à l’extrême, comme désirant être caressées. Je croisais les yeux les plus sombres que j’ai jamais vus, une flamme dansait dans son regard, que je reconnus comme étant celle d’un désir incroyable. J’étais pétrifiée entre ses bras. Il approcha son visage du mien, embrassa mon front, mes paupières et mon nez. Puis avec une délicatesse délicieuse, il posa ses lèvres sur les miennes. Un baiser léger, électrisant, magique. Je sentis sa langue se perdre sur mes lèvres, ouvrant cette barrière pour découvrir la mienne.

     Je cédai alors à mon désir, je posai mes mains sur sa nuque, faisant en sorte de le rapprocher encore plus de moi. Mes seins étaient plaqués sur son torse, je sentais son désir sur la bas de mon ventre. J’étais très excitée. Il me fit me retourner dos à lui, plaquant ses mains sur mes seins tendus, les massant avec douceur, tout en continuant à m’embrasser. Je gémis doucement. Il pinça entre ses doigts la pointe de mes seins. Pour le rendre fou, je bougeais mes fesses sur son sexe tendu…

     N’en pouvant plus, il me prit dans ses bras, récupéra au passage son appareil photo, puis se dirigea vers la chambre. Il claqua la porte d’un coup de pied, m’allongea ensuite sur le lit… J’étais très surprise et soudain pudique, je cachais mes seins. Un sourire effleura ses lèvres douces, et d’un signe de la tête, me fit comprendre de retirer mes mains. Il pris son appareil, et commença à me photographier à son tour. Je rougis. Voilà les preuves flagrantes de ma faute…

     Et puis soudain, je pris vraiment conscience de mon désir pour lui, et pour lui monter ma soumission, je mis mes bras au-dessus de ma tête, l’invitant du regard à me rejoindre. A nouveau il sourit. Marc déposa l’appareil sur la table de nuit, puis il prit au niveau de mes hanches le haut de mon string et me le retira lentement. J’étais enfin nue…

     Lentement, il vint au-dessus de moi, m’embrassa à nouveau. Nos langues se mêlaient au gré de nos désirs… Il se remit debout, me regardant de son regard de feu, avec son désir pour moi, ce qui m’excita d’autant plus… Je sentais un liquide chaud s’écouler entre mes cuisses…

     Il fit le tour du lit, et je ne sais toujours pas comment, apparue dans ses mains une cordelette blanche. Mes mains furent liées au-dessus de ma tête et trop surprise, je ne pus dire un mot, me laissant faire sagement…

     Il attacha le bout au pied du lit. J’étais sa prisonnière à présent. Il refit le tour du lit, se plaçant en face de moi. Il m’écarta les cuisses. Je réprimai un cri, me sentant à présent trop timide, nue face à lui… Il s’allongea à nouveau sur moi, prit ma bouche d’une manière plus sauvage, mordilla ma lèvre inférieure…

     Je fermais les yeux, me délectant de tant de plaisirs… Jamais ô grand jamais, mon mari ne m’avait fait un tel effet… et pourtant je l’aimais plus que tout. Je me sentais indigne de lui faire ce que j’étais en train de faire…

     Je sentais son sexe gonflé sur mon ventre, il simulait un va-et-vient dessus, m’excitant d’avantage si possible… Je commençais à gémir, me laissant aller, cédant à ses assauts… Il me mordilla le menton, puis le lobe de l’oreille, sa langue traça ensuite un chemin jusqu’à mes seins, dont les pointes étaient tendues à l’extrême… Je gémissais de plus en plus. Je l’entendis étouffer un râle…

     Sa main gauche se mit à masser doucement mon sein droit, pendant que sa langue, chatouilleuse, titillait la pointe de l’autre, l’agaçait… J’étais à bout, je le voulais en moi, mais il me faisait languir…

     J’aimais sa langue, douce, chaude, humide… Ne voulant pas abandonner l’autre sein, il se dirigea vers ce dernier, le mordillant, le tirant doucement entre ses dents. Je criais de surprise.

     Nos corps, à cause de cette canicule, étaient mouillés de sueur… J’écartai un peu plus mes cuisses, l’invitant par cela à me prendre enfin mais il n’en fit rien…
     Il continua ses caresses sur mes seins… Je le suppliai alors de me prendre, parce que je n’en pouvais plus de l’attendre… Mais il me ferma la bouche de la sienne, imprimant son désir impérieux de me posséder quand il le voudrait lui…

     J’étouffais presque… Le poids de son corps se fit plus léger, il se souleva, se mit à genou au sol, me tirant par les jambes pour approcher mon sexe du bord… Il renifla l’odeur de mon sexe, se délectant de son odeur… Puis je sentis ses mains sur mes cuisses, juste à la limite… C’est alors que sa langue vint se poser doucement sur mon clitoris…

     Je reçus une longue décharge dans toute la longueur de mon corps… Et là, il s’approcha d’avantage, plaquant ses lèvres sur les miennes, me léchant à un rythme effréné… Il introduisit sa langue à l’intérieur de ma grotte, me faisant gémir à nouveau. Mon cœur battait la chamade, je suffoquais presque de plaisir… Je l’appelais doucement l’incitant à continuer ce jeu…

     Il mouilla son index qu’il introduisit doucement… Il commença à limer lentement… Mon corps était en ébullition… Il introduit alors un deuxième doigt, me faisant gémir encore de plaisir… Mes hanches suivaient le rythme de ses doigts… Je mouillais abondamment… Il ressortit ses doigts et les lécha, se délectant de mon jus… puis il les remit dans ma grotte…

     Il se remit à me lécher le clitoris, j’étais prête à jouir, mais je sentais qu’il voulait faire durer ce moment… Il retira ses doigts et présenta son index à l’entrée de mon anus, le mouillant de mon jus… Puis lentement, commença à l’introduire dedans… J’eus un cri de surprise… mais il continua…

     Il limait mon anus tout en continuant à me lécher, et je sentis alors mes muscles se contracter… La jouissance vint dans un cri… Il buvait mon jus, ne voulant pas en manquer une seule goutte… Mon corps était secoué de spasmes…
     Cela faisait presque mal, tellement c’était intense…

     Apres quelques secondes, il lécha une dernière fois mon clitoris, puis se souleva. Il refit le tour du lit, se mit à genoux sur le lit à hauteur de mon visage, puis de sa voix rendue rauque par le désir, il me dit que c’était maintenant mon tour de lui donner ce plaisir… Son gland se présenta à mes lèvres, qui s’ouvrirent, accueillant ce membre imposant… Il ne s’enfonça que de quelques millimètre, me laissant apprécier la grosseur… Ma langue fureta sur son gland, le goûtant, le savourant… Lentement il se mit à limer dans ma bouche, mes lèvres emprisonnant son sexe…

     Il gémissait, râlait son plaisir… Mes mains étant toujours attachées, je ne pouvais évidemment pas m’aider pour le caresser, mais il semblait apprécier cette simplicité… Au bout de quelques minutes, il se retira, me présentant alors ses couilles rondes et rasées, j’étais un peu surprise, mais cela m’enchanta d’autant plus, je les gobais à tour de rôle… Lui se masturbait doucement… Puis à nouveau, il remit son gland dans ma bouche, je le léchais ardemment, accompagnant ses mouvements de reins par ceux de ma tête… Puis à nouveau il se retira, et vint se replacer en face de moi, son sexe tendu tel un étendard…

     Il m’aida à m’éloigner du bord, écarta mes cuisses et approcha son gland de mon bouton d’amour qu’il s’amusa à taquiner un petit moment, je lui souriais tendrement, il me répondit de son regard de braise…

     Puis dans un lent mouvement du bassin, il me pénétra. Centimètre, par centimètre, me laissant apprécier à sa juste valeur la grosseur de son sexe.

     J’étais comme déchirée par ce membre viril… Après un instant d’attente, il commença ses mouvements de va-et-vient. J’entourais mes jambes autour de lui, le faisant prisonnier. Mes hanches accompagnaient son mouvement. Il imprimait un mouvement plus ou moins rapide au gré de son humeur, au gré de mon plaisir. Nous étions en communion parfaite. Une symbiose que n’avais jamais ressentie auparavant… Malgré tout mon désir, je n’arrivais à oublier que j’étais mariée, à m’abandonner totalement à cet amant magnifique…

     Puis soudain il me donna un grand coup de rein, comme pour me faire sortir de mes pensées, comme s’il voulait que je ne sois qu’à lui à cet instant magique… Il croisa mon regard et me redonna un autre coup de rein… J’étais en extase tellement ce qu’il me faisait était bon… Et là il entama un nouveau va-et-vient vertigineux, il allait à un train d’enfer, me laissant à peine respirer… Un orgasme arriva sans prévenir, faisant contracter tous les muscles au niveau de mon bas-ventre, enserrant son sexe. Il ne put se retenir d’avantage et jouit en moi par saccades. Le liquide chaud que je sentais à présent dans mon sexe se mêlait au nectar de mon plaisir… Il resta encore en moi un petit moment, continuant à limer doucement… Puis il se retira, et apparut alors un jus laiteux….

     Il détacha mes liens, me laissant à demi inconsciente sur le lit. Il reprit l’appareil photo et me mitrailla. La jouissance se lisait encore sur mon visage. Il gravait ainsi les restes de mon de plaisir. Je passais ma langue sur mes lèvres sèches… Ce qu’il prit aussitôt pour une nouvelle invite. Il s’allongea à nouveau sur moi et …

     
     A suivre

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