Ils s'étaient rencontrés à un autre dîner, quelques mois
plus tôt. En croisant son regard parmi les convives de ce
soir, elle s'était souvenue du désir qu'il lui avait inspiré
alors. Elle se rappelait les conversations délicieusement
scabreuses qui n'avaient pas été suivies d'avances, et elle
regrettait de n'avoir pas pris les devants. Elle se glisse
sur la banquette face à lui et sent son regard sur elle,
quand elle s'assied. Elle porte une combinaison en soie
violet foncé bordée de dentelle beige sous un petit cardigan
noir, et des sandales noires à talons hauts. Il fixe presque
ses seins, elle s'aperçoit que ses tétons sont durs et elle
se redresse en plantant ses yeux dans les siens. L'espace
d'une seconde, elle se voit la poitrine dénudée, plaquant
ses seins sur son torse, le premier contact des peaux. Il
porte un pull-over à même la peau, elle voit la base du
cou et l'os de la clavicule, elle pense qu'il ne doit pas
porter de sous-vêtements sous son jean et cette image la
frappe au plexus, irradie vers son ventre.
Au milieu du repas, il glisse son pied déchaussé entre
ses genoux. Elle ouvre les jambes et sent le pied remonter
sur l'intérieur de sa cuisse. Il la regarde fixement, l'ombre
d'un sourire flotte sur son visage. Elle s'adosse à la banquette
pour s'ouvrir un peu plus, elle attend le contact. Le string
noir qu'elle porte est mouillé. Il repose son pied et se
penche vers elle au-dessus de la table.
- Pas ici, dit-il, allons nous promener.
Il se lève, fouille dans sa poche, laisse distraitement
un billet sur la table et l'invite du regard à se lever
pour le suivre. Elle attrape son manteau, du daim souple
et ajusté, passe la porte devant lui et effleure son érection.
Son sexe à elle est moite, elle sent déjà ses lèvres gonflées
frotter l'une contre l'autre, quand elle lui emboîte le
pas. En silence, sans se toucher, ils font quelques centaines
de mètres. Il s'arrête, se tourne vers elle :
- Je sens ton odeur. Viens.
Il pousse la porte cochère d'un immeuble, l'entraîne doucement
par le coude à l'intérieur, sous un porche sombre qui donne
sur une cour. Il s'adosse au mur et l'attire à lui. Elle
sent sa queue dressée dans son jean, elle sent sa main sur
la soie qui couvre ses fesses. Il prend toute la fesse dans
sa main, le bout de ses doigts dans la raie. Elle laisse
tomber son visage dans l'échancrure du pull-over qui l'a
attirée pendant le dîner, elle respire une bouffée chaude
de savon au santal mêlé de transpiration fraîche qui lui
coupe les jambes. Il garde une main autour de sa taille
et glisse l'autre entre leurs deux corps, ses doigts sur
l'intérieur de la cuisse font remonter le tissu jusqu'à
atteindre la peau, et sa main se plaque sur son sexe. Il
sourit en sentant le string humide et chaud, retire sa main
et la pose sur son sein, sous le cardigan. Il froisse la
dentelle des petits triangles de soie et trace du majeur
le mamelon dressé. Sans sa main entre eux, elle sent à nouveau
son érection. Elle pense et s'aperçoit qu'elle a dit :
- Je veux ta queue.
Elle déboutonne le jean en le regardant droit dans les
yeux, et sa bite lui saute dans la main, chaude, vivante,
dure. Il ne porte rien dessous. Le pantalon déboutonné est
retenu par les os de ses hanches, mais il est descendu assez
pour libérer les couilles qui se contractent doucement lorsqu'elle
les caresse. Il passe la main sous la combinaison et encercle
une fesse, force la jambe à monter et à s'accrocher autour
de sa taille, puis il glisse sa queue contre la soie noire
du string. Il la tient par les hanches et la fait aller
et venir doucement le long de sa bite. Elle sent son entrejambe
entièrement mouillée, jusqu'en haut des cuisses, elle respire
l'odeur de son propre sexe qui se déploie entre eux comme
un nuage de gaz. Avant de sortir, elle a déposé une goutte
de musc sur son ventre, et l'odeur se mêle à celle de son
con, l'excitant encore plus. Elle se branle sur la bite
de l'homme et la mince couche de soie entre sa fente et
lui décuple la friction. La minuterie de l'escalier sur
cour se met en marche, et il se détache d'elle en accompagnant
des doigts la robe qui retombe. Souffle coupé, elle le regarde
rajuster sa queue gonflée dans son pantalon. Ils sortent
de l'immeuble et reprennent leur marche.
Ils parviennent à un square, elle pousse la petite barrière
en métal et le conduit à un banc, abrité par les haies.
Elle le fait asseoir et le regarde. Ses mains reposent sur
le banc de chaque côté de son corps, ses longues jambes
sont légèrement écartées. Elle s'approche de lui, écarte
les pans de son manteau et remonte lentement sa combinaison.
Il dit :
- Arrête-toi. Retire d'abord ton string.
Il passe les mains sous la robe, sur ses hanches et fait
descendre la soie noire. Elle lève une jambe et le string
retombe sur l'autre cheville, couvrant la fine sandale plantée
dans le gravier. Il défait les boutons de son jean et d'un
geste, soulevant juste les hanches, fait délicatement sortir
sa queue toujours en érection et ses testicules. Elle est
belle, longue et épaisse, circoncise, droite et lisse et
de couleur bronzée, comme elle en a vu parfois dans les
films pornos. La main droite de l'homme fait un aller et
retour le long du membre, il ferme à demi les yeux. Sa main
gauche prend la main de la fille et, sans cesser de soutenir
son regard, la guide au-dessus de lui, une jambe de chaque
côté. Il voit sa chatte, épilée en triangle étroit ; son
clitoris est si gonflé qu'il se montre entre les lèvres,
il ferme les yeux et se branle doucement. Il dit :
- Ton odeur. Tu sens si fort...
Elle s'assoit lentement, son cul sur les cuisses de l'homme,
et son sexe se plaque contre la queue dressée. Son clitoris
s'écrase sur cette bite brûlante, plus ferme encore que
sous la porte cochère. Elle prend appui sur ses pieds, les
muscles de ses cuisses se tendent et elle fait monter et
descendre ses hanches, son sexe le long du sien. Quand son
clitoris passe sur le rebord de chair du bout de la queue,
elle frémit et sent tout son sexe se dilater, s'ouvrir et
mouiller. Elle sent son cul presser les couilles à chaque
mouvement vers le bas, et son rectum se détend, elle s'ouvre
toujours plus. Il lui tient les seins, un dans chaque main,
juste la bonne taille, et les caresse en mouvements concentriques.
Puis, tenant sa bite dans un cercle fait du pouce et de
l'index, il la fait passer sous elle. Il se fraie un chemin
au milieu de la chatte, écartant les lèvres duveteuses,
se frotte contre l'entrée du vagin qui laisse toujours couler
un jus odorant, le bout de la queue atteint presque le trou
du cul de la fille. Elle le tient par la taille, et imprime
un mouvement de va-et-vient, parfois si fort que les os
de leurs pubis se heurtent. Il glisse sa main entre eux
deux, paume en avant sur le ventre de la fille, et son pouce
trouve le capuchon de son clitoris, le retrousse et le caresse
en petits cercles. Elle s'est rejetée en arrière et le regarde
la regarder.
- Tout à l'heure, je te sucerai là, juste là, dit-il.
Cette seule évocation va la faire jouir tout de suite,
il s'en aperçoit et ôte sa main, la repousse. Il lui dit
:
- Je vais te prendre comme ça, mais tu ne dois pas jouir.
Viens sur moi.
Il a de nouveau pris sa queue dans la main, plus fermement.
Il la tient dressée à la verticale. Son autre main est sur
la hanche de la fille, il la fait descendre jusqu'à toucher
du bout de la queue la fente gonflée et humide. Il fait
glisser un peu, se frotte sur le clitoris qu'il voit se
contracter pour se déployer encore plus, il niche sa queue
juste à l'ouverture du con. Elle a l'impression d'attirer
cette bite, de la sucer vers l'intérieur d'elle-même, aucun
des deux ne semble plus bouger et pourtant il est déjà en
elle. Il gémit, bouche fermée, et s'immobilise. Sa queue
a pénétré d'un tiers. Elle ouvre les yeux et contracte son
con et gémit elle aussi. Il tient maintenant les hanches
de la fille des deux mains. Elle dit :
- Elle est si dure, si chaude...
Il la fait descendre un peu plus. Elle sent son con s'ouvrir
encore, ou plutôt elle s'ouvre toute entière. Toutes ses
sensations se concentrent dans son bas-ventre et cette bite
qui la pénètre, et chauffent son corps entier. Deux tiers.
Elle croise son regard, et elle sent sa queue palpiter à
l'intérieur d'elle, elle sent l'afflux de sang qui durcit
et chauffe encore plus cette colonne de chair. Il sent son
besoin.
- Plante-toi sur moi.
Il accompagne en poussant de ses mains sur les hanches
de la fille le mouvement qui la fait descendre et engloutir
tout le membre. Le plaisir de sentir cette queue buter au
fond d'elle lui fait ouvrir grand les yeux vers le ciel,
puis elle les ferme et savoure cette incroyable sensation
: un homme tout au fond d'elle, vivant, bandant, voulant
la remplir si fort qu'ils ne sentent plus où finit l'un
et où commence l'autre. Ils restent quelques secondes sans
bouger, puis elle sent qu'elle sourit, largement, bouche
ouverte, et elle commence à monter, monter doucement jusqu'à
presque le laisser sortir. Tout aussi doucement, elle redescend,
savourant chaque millimètre de chair qui entre en elle,
jusqu'à s'asseoir pour sentir ses couilles lui chatouiller
les fesses. Il les prend à pleines mains, les écarte tandis
qu'elle remonte, glisse le bout de ses doigts vers l'anus.
Quand elle redescend encore, elle sent les couilles contre
son trou du cul, et deux doigts y pénètrent légèrement.
Elle mouille toujours autant et lui aussi est trempé, sa
queue lubrifiée, les poils de son pubis collés par le jus.
Elle ne pensait pas qu'elle pouvait être plus ouverte, mais
elle sent encore une porte tomber, quelque chose se libère
et l'épuise. Sa tête retombe vers sa poitrine et elle murmure
:
- Ça monte, oh ça monte.
Maintenant, il accompagne le mouvement en soulevant les
hanches, il vient à sa rencontre, il ne la sort presque
plus du con de la fille. Ils baisent sans presque bouger,
par une succion interne plus forte que tous les coups de
boutoir, un plaisir intense que renforce le mélange de leurs
odeurs : santal et musc, sueur et sécrétions du con, le
cocktail aphrodisiaque que le sperme complétera parfaitement.
Elle contracte son sexe autour de la bite de l'homme, elle
la sent qui palpite en elle. Il lui caresse rudement les
seins, puis écarte le tissu de la robe. Il se soulève vers
elle et prend le sein dans sa bouche, suce le téton, le
mordille, puis le lèche lentement. Il dit :
- Il faut arrêter. Tu ne dois pas jouir. Pas encore.
Il se retire d'elle. Elle se relève, les muscles des jambes
douloureux et la chatte en feu et, le voyant assis sur le
banc, la bite dressée et le visage mis à nu par le désir,
elle veut s'agenouiller et le sucer ; elle ne veut rien
d'autre que la prendre dans sa bouche, sentir dessus l'odeur
de son propre sexe. D'abord le bout, puis le sortir comme
un eskimo et le lécher en rond ; descendre le long de sa
queue avec la langue pointée, mais légère, et remonter en
léchant à pleine langue la veine gonflée. Puis la prendre
complètement, la sucer jusqu'à fourrer son nez dans le buisson
des poils. Il a le ventre plat et musclé, et le pubis bien
délimité par des poils châtain foncé qui brillent du jus
qu'elle a laissé. Elle esquisse le mouvement vers lui, mais
il la redresse, fait tomber le string de la cheville où
il était resté accroché. Il se lève et se rajuste, et ils
sortent du square les genoux tremblants, intoxiqués par
la crudité de leurs sensations et de leurs audaces, attendant
la prochaine dose.
Ils reprennent leurs esprits dans la brise de la marche.
Les rues sont désertes et calmes. Il regarde les pieds de
la fille dans ses sandales à talons hauts, il sort de sa
poche le string roulé en boule et le porte à son visage.
Elle le regarde respirer la soie noire encore mouillée,
il lève les yeux vers elle et elle dit :
- Je ne peux plus marcher, je pourrais jouir en mettant
seulement une jambe devant l'autre.
Ils poussent la porte d'un immeuble ; dans la cour, des
voitures dans des boxes. Ils se dirigent vers le plus éloigné,
et il enlace la taille de la fille, la fait pivoter et lui
pose les mains sur le capot de la voiture. Il écarte légèrement
les jambes de la fille avec son genou, elle se cambre et
se frotte sur sa jambe. Il se met à genoux derrière elle
et place ses mains sur ses chevilles. Ses mains remontent
lentement, vers l'intérieur des cuisses, repoussant la soie,
puis sur les fesses, les hanches, puis la taille. Il dit
:
- Penche-toi.
Elle reprend appui sur le capot. Elle aime être là, le
corps à angle droit, fesses en arrière, jambes ouvertes,
mouillée et odorante. Il remonte sur la taille de la fille
son manteau léger et sa robe, et l'odeur le frappe au visage,
si fort qu'il en ferme les yeux et laisse échapper un gémissement
en approchant son visage du cul exposé. Il pose ses mains
sur les fesses, pouces vers le sexe, et elle sent son souffle
chaud sur sa fente. Il la tient fermement, la regarde et
dit :
- Une raie sans poils...
Son doigt part du milieu du dos et descend, légèrement,
entre les fesses jusqu'à l'anus, s'arrête et fait mine de
la pénétrer. Sa raie aussi est mouillée, comme lubrifiée
par la transpiration légère qui couvre tout son corps et
par le miel qui coule de son con. Il voit le trou du cul,
violacé et imberbe, et juste au-dessous la vulve, couverte
d'un duvet léger soigneusement entretenu. Il place un doigt
à l'entrée du vagin, à l'endroit doux et glissant, et trace
des cercles ; et elle sent qu'elle s'ouvre encore d'un cran.
Il dit encore :
- Tout à l'heure, je te sucerai là, juste là.
Il se redresse, défait les boutons de son jean et sort
sa queue et ses couilles, de ce mouvement félin, totalement
naturel qu'il a eu à déjà deux reprises. Il bande, sa bite
se dresse vers le haut. Une main sur la hanche de la fille,
de l'autre il encercle sa queue avec le pouce et l'index
et en place le bout dans la raie de la fille. Sans bouger,
sans aucun autre contact que son sexe, en s'aidant de la
main, il frotte le bout de sa bite de haut en bas, jusqu'au
con dont il étale le jus avec sa queue. Puis il se plaque
contre elle, elle le sent sur toute sa longueur, le bout
entre le haut de ses fesses et les couilles nichées de chaque
côté de sa chatte. Sa main cherche les seins de la fille,
il passe la main dans l'échancrure de la combinaison et
fait jaillir un sein qu'il caresse en se frottant contre
elle. Puis il reprend possession de ses hanches, des deux
mains, et place sa queue le long de la fente, il sent son
con mouillé et chaud, les lèvres ouvertes et glissantes,
le repli du clitoris et son petit noyau dur sur sa bite.
Il la branle de toute la longueur de sa queue, et les seins
de la fille libérés de la robe se posent sur la tôle métallisée,
le métal froid fait durcir les tétons tandis que son con
la brûle. Il va plus vite, de plus en plus vite. C'est elle
qui dit :
- Pas maintenant.
Alors, il s'immobilise, la chatte de la fille toujours
écrasée sur sa queue, et il introduit son majeur dans son
rectum, doucement, régulièrement, sans s'arrêter, et d'ailleurs
il ne rencontre aucune résistance. Elle se plaque contre
cette main, et de l'index il touche le clitoris : il est
si gonflé qu'il se rend compte qu'elle va jouir. Il retire
sa main et rabat la robe sur le cul de la fille qui se retourne
vers lui. Elle est tellement excitée que les jambes lui
manquent. Il se rajuste en lui lançant un regard de noyé
puis sourit. Il lui enlace la taille et elle s'appuie sur
lui en titubant légèrement sur ses hauts talons. Il dit
:
- Je sais où je veux t'emmener.
Il l'entraîne dans la rue. Cette fois, la marche se fait
rapide. Ils ont tous deux le souffle court, elle sent tout
son sexe palpiter, la pulsation de son coeur dans son clitoris,
le jus brûlant qui coule de son con. Ils arrivent devant
le Jardin du Luxembourg, entrent et longent les grilles
jusqu'à un coin assombri par les arbres. Il adosse la fille
au muret, lui prend la taille des deux mains et la hisse
sur le rebord. Pressé, sans la regarder, il libère sa queue
du pantalon avec un soupir de soulagement, il la regarde
et la serre dans sa main. Puis il lève les yeux vers la
fille, son visage est à la hauteur de son con. Ses mains
montent vers les seins de la fille, écartent le fin lainage
et, du bout des doigts, font sortir les seins durcis de
la combinaison en soie. Elle est appuyée contre la grille,
la peau dénudée de la gorge, des seins et des jambes en
taches claires dans la nuit. Il pose les mains à plat sur
les genoux de la fille et remonte, repoussant la soie et
lui écartant les jambes, et dénude son sexe. Les mains de
l'homme passent sur les hanches et enserrent les fesses
qu'elle soulève un peu pour lui assurer une meilleure prise.
Son visage s'approche du con de la fille, elle sent son
souffle sur elle, ses hanches partent automatiquement à
la rencontre de la bouche de l'homme. Mais il la tient bien,
et l'empêche de bouger. Il prend son temps, respire, les
yeux mi-clos, l'odeur qui émane d'elle et pointe sa langue
très bas, à l'ouverture du con. Puis il remonte en léchant
à pleine langue, sans trop appuyer : les petites lèvres
puis le clitoris, que la caresse décapuchonne pour offrir
un bouton rose et brûlant. Il sent distinctement sur sa
langue la contraction. Il se détache d'elle et murmure :
- Juste là. Je vais te sucer juste là.
Puis il se déplace légèrement sur le côté, écartant encore
un peu plus la fille en lui faisant passer une jambe par-dessus
son épaule. Il sent le talon aiguille contre son dos. Il
penche la tête jusqu'à ce que sa bouche soit parallèle à
la fente de la fille. S'aidant de ses doigts, il ouvre la
chatte et, délicatement, prend tout le clitoris et les petites
lèvres dans sa bouche. Elle pousse un gémissement étouffé
et il commence à sucer, doucement, comme on suce une orange
juteuse. Il boit le jus qui s'écoule d'elle, elle sent sa
langue aller et venir, la bouche de l'homme ne la lâche
pas. Elle a posé sa main sur la nuque de l'homme, et elle
sent son clitoris aspiré dans cette bouche vorace. Il a
glissé deux doigts dans son con, et leur imprime un petit
mouvement circulaire. Elle sent qu'elle s'ouvre plus encore,
que la dernière porte est tombée. De quelque part au fond
d'elle-même le spasme naît, s'amplifie jusqu'à irradier
du plexus au trou du cul, et l'orgasme monte. Il sent à
sa main inondée qu'elle va jouir et retire aussitôt sa main,
sa bouche. Elle est pétrifiée et dit :
- S'il te plaît.
Il prend sa taille et la fait descendre du rebord. Elle
est debout face à lui, il est magnifique avec ses cheveux
emmêlés, le menton brillant de jus, la queue sortie et bandant,
lisse et tendue. Les mains de l'homme remontent sur les
côtes de la fille et ses pouces caressent les mamelons dressés.
Il dit :
- Maintenant.
Puis, tout doucement, son visage se tend vers elle, elle
voit les lèvres gonflées d'avoir sucé son con, elles se
posent sur les siennes et la langue de l'homme la pénètre.
Elle sent la dureté de son érection contre son sexe à travers
le tissu. Elle sent l'odeur et le goût de son con dans le
baiser, et toutes ses sensations et les images accumulées
pendant cette promenade au clair de lune refluent vers sa
bouche, et elle jouit comme ça, debout contre lui, presque
sans le toucher, presque sans un son, pendant qu'il mouille
la combinaison en soie en gémissant dans le baiser qui n'en
finit pas.
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