La semaine qui a suivi notre première en club a été pleine
d'interrogation. Nous avons longuement discuté de notre
expérience et de son aboutissement imprévu. Nous avions
peur d'avoir été trop loin et d'avoir endommagé notre couple.
Voir sa femme se faire prendre par deux inconnus, en public,
n'est pas anodin.
Autant avant cette soirée nos rapports intimes s'étaient
espacés et avaient perdu de l'ardeur ; autant après, nous
avons fait l'amour avec passion et force. Les couchers où
chacun se met de son côté avec un livre avant de s'endormir
ont disparu. Caroline et moi avions très envie de sexe tous
les soirs, et les réminiscences de notre aventure nous excitaient
terriblement. Je n'en voulais pas à Caroline, et elle ne
m'en voulait pas, nous avions très envie de recommencer
une expérience différente mais en même temps, la pudeur
et la gène nous freinait beaucoup.
Tous les dimanches soir, Caroline allait nager à la piscine
pour se détendre et faire du sport. Encore une fois, elle
m'a laissé les enfants et elle est partie pour la piscine.
Elle profitait toujours de la fermeture du dimanche soir,
c'était le moment de la semaine où il y avait le moins de
monde.
Le dimanche soir, la piscine fermait vers 18h00 et Caroline
rentrait une demi-heure plus tard. Ce dimanche là, j'étais
inquiet, Caroline ne rentrait pas, elle n'est revenue de
la piscine que vers 20h00.
Toute penaude, la larme à l'oeil, elle m'a avoué m'avoir
trompé avec un maître nageur de la piscine, mais elle ne
voulait pas trop en parler, elle avait honte d'elle. Je
l'ai réconforté en la serrant fort dans mes bras. Paradoxalement,
je n'étais pas en colère, l'idée que Caroline s'était faite
prendre par un autre rendait mon sexe dur. Elle a consenti
à me raconter ce qu'il s'était passé quand nous nous sommes
couchés. Voici son récit.
Je suis arrivée comme d'habitude à la piscine vers 16h30,
après un petit passage dans les cabines pour me changer,
je suis allée directement dans l'eau.
Passant devant un des maître nageur, il m'a fait un grand
sourire en me disant bonjour. Je lui ai répondu avec un
sourire courtois.
J'ai tranquillement profité de la piscine et j'ai commencé
à faire mes longueurs. J'avais l'impression d'être observée,
épiée. À chaque fois que je m'arrêtais, je voyais que le
maître nageur me regardait. Un dragueur pensais je, rien
de plus...
Un quart d'heure avant la fermeture, il n'y avait plus
que deux nageurs et moi dans l'eau, quand retentit l'annonce
de fermeture des bassin. J'ai récupéré mon drap de bain
et je me suis dirigée vers les douches des femmes.
J'ai commencé par me shampouiner les cheveux puis j'ai
enlevé le haut de mon bikini pour me savonner le corps.
Une bonne douche est indispensable pour se débarrasser du
chlore. À un moment je me suis tournée vers l'entrée des
douches et le maître nageur était là, adossé contre l'embrasure
de la porte, les bras croisés à me regarder. Instinctivement,
mes bras sont venus cacher mes seins nus.
En colère, je l'ai apostrophé violemment :
- Dites donc ne vous gênez pas !
Le maître nageur sourit et me demanda s'il y avait un problème.
- Ça ne vous dérange pas de me mater ainsi ?
Il s'approcha de moi en souriant et me demanda quel était
le problème.
- Je suis un minimum pudique, je n'ai pas envie de m'exhiber
devant n'importe qui.
- Pourtant samedi dernier, au club, vous ne sembliez pas
très pudique.
Sa réponse me liquéfia, je ne m'attendais pas à cela, j'étais
comme un boxeur sonné.
Sans me laisser le temps de reprendre mes esprit, il enchaîna
:
- Je vous ai vue vous faire prendre comme une salope et
vous me faites une scène pour un bout de sein qui dépasse
?
Je n'osais plus soutenir son regard, mes yeux cherchaient
un impossible secours dans cette douche.
- Je sais où vous travaillez, imaginez que vos collègues
soient au courant...
C'était le coup de trop, le coup de grâce, il a dû sentir
que j'étais vaincue, humiliée et soumise.
Quand ses mains sont venues écarter mes bras pour découvrir
mes seins, je n'ai opposé aucune résistance. Il a profité
de mon abandon pour me caresser les seins et le ventre.
J'étais une poupée désarticulée avec laquelle il faisait
ce qu'il voulait. Les images de la soirée en club se bousculaient
dans ma tête. Je revoyais cette petite pute de Caroline
se faire prendre, je me revoyais à quatre pattes au-dessus
de mon mari, suçant une bite et prenant une autre dans ma
fente.
Les mains du maître nageur exploraient mon corps, de mon
ventre à mon dos en passant par mes seins ou mes cuisses.
Quand ses doigts passaient sur ma bouche, mes lèvres s'ouvraient
pour lui sucer les doigts. Je m'offrais à lui sans retenue.
Le maître nageur m'a laissée dos contre le carrelage de
douche, il s'est reculé de deux mètres. Son sexe dressé
déformait son maillot.
- Enlève le bas de ton maillot.
Sans volonté, mes mains ont tiré sur les ficelles de ma
culotte de bain, les nœud défaits, le tissu est tombé
au sol, découvrant mon sexe épilé.
-Tourne-toi face au mur et cambre tes reins pour bien me
montrer ton cul et ta chatte.
En appui, les avant bras sur le carrelage du mur, j'ai
cambré au maximum mes reins en écartant les jambes. Je n'avais
qu'une envie, me faire prendre.
- Caresse-toi, ouvre ta chatte avec tes doigts, je veux
voir ton petit trou d'amour.
Tournant le dos au maître nageur, le regard vers le sol,
ma main droite est descendue sur mon sexe. Mes doigts ont
commencé par écarter les lèvres de ma chatte, j'étais trempée,
une vrai fontaine. Emportée par mon excitation, mes doigts
jouaient avec ma fente, roulaient mon clitoris, je me caressais
sans vergogne devant cet homme.
Voyant que le désir me rongeait, il s'est approché de moi,
sa bouche s'est rapprochée de mon oreille.
- Tu aimes ça petite chienne ? Tu aimes te montrer ? ...
Tu aimes être traitée comme une petite pute ?
À chaque fois, je répondais dans un murmure un petit oui
de soumission. Le maître nageur me caressait le dos en me
parlant, ses mains glissaient sur mes fesses et mon sexe.
Il mouillait ses doigts dans ma fente trempée puis il me
doigtait les fesses. À chaque fois qu'un de ses doigts me
fouillait le petit trou, je soupirais de plaisir.
- Ton mari sait qu'il est cocu ? Tu vas lui dire ce que
tu as fait ?
Il n'avait pas fini sa question que deux de ses doigts
m'élargissaient les fesses. Je n'ai pas répondu à sa question,
ses doigts m'ont arraché un petit cri de plaisir.
Le maître nageur s'est mis nu, il m'a fait mettre à genoux
et sa bite est venue se ficher dans ma bouche. Je l'ai sucé,
léché comme si ma vie en dépendait. Elle n'était pas très
grand mais très épaisse, je m'étouffais à moitié en la prenant
en bouche.
Il ne m'a pas laissé le sucer très longtemps, vite je me
suis retrouvée à quatre pattes et il s'est fiché dans ma
fente d'amour. Il était gros, son sexe écartait et remplissait
bien ma fente, il m'a rapidement fait jouir une première
fois. Je me suis écroulée sur le carrelage, repue de plaisir
et de jouissance.
Il m'a dit qu'il n'avait pas fini lui et il a collé son
sexe sur mon oeillet. J'ai voulu protester et me dégager
mais il s'est couché complètement sur moi, le poids de son
corps m 'empêchait de me dégager. J'ai senti mon sexe appuyer
de plus en plus fort sur mon oeillet. Excitée comme j'étais,
mon cul s'est ouvert et a laissé sa queue entrer. J'ai cru
qu'il allait me déchirer, ses coups de reins étaient très
forts, il voulait lui aussi jouir et se vider. Mes fesses
serrant bien sa bite, il n'a pas tenu longtemps, il s'est
retiré de mes fesses et s'est replanté dans ma fente pour
jouir et vider toute sa semence. Il n'avait pas dû baiser
depuis longtemps pour se vider d'une telle quantité de sperme.
Après quelques secondes immobile sur moi, il s'est retiré
de mon sexe et m'a demandé de lui nettoyer le sexe avec
la bouche. Je me suis appliquée à effacer toute trace de
nos rapports avec mes lèvres et ma langue.
Avec un grand sourire, il m'a demandé si j'avais apprécié
notre petit moment de douceur. J'ai baissé les yeux et j'ai
répondu que oui. Le maître nageur m'a interdit de me laver
le corps ou le sexe, il voulait que je garde ses odeurs
et son sperme sur moi et dans ma fente. Je me suis rhabillée
et je suis rentrée avec beaucoup de retard.
Après avoir fini mon récit, Thomas bandait fort, couchés
dans le lit, il s'est collé contre mon dos.
- Je suis désolée ! ! je suis désolée ! !
Les larmes coulaient sur mes joues. J'ai senti le sexe
dur de Thomas chercher l'entrée du mien.
- Attends, je vais me laver....
Je n'avais pas fini ma phrase que le sexe de Thomas avait
entièrement glissé dans ma fente. Le sperme de mon amant
avait facilité l'introduction du sexe de mon mari. Thomas
était très excité, il ne voulait pas que je parle, il voulait
juste me prendre et me baiser. Il a rapidement éjaculé en
moi en me disant qu'il m'aimait plus que tout. Je lui ai
léché sa queue mêlée de sa semence et de celle de mon amant.
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