Ce premier jour de printemps, tout allait mal.
Il pleuvait et pour tout arranger, ma femme était plus acariâtre
que jamais. Je décidai d'aller acheter des fortifiants dans
une pharmacie. La porte s'ouvrit automatiquement sans faire
de bruit. Devant moi, une femme était juchée sur un escabeau
en train de ranger des médicaments sur des rayons élevés.
Elle me tournait le dos, ce qui me permit d'admirer son
superbe fessier. Il était comme je les aime : très large,
les jambes un peu courtes étaient en proportion, cuisses
très dodues, mollets très marqués, chevilles assez fines.
Mon regard devait être très lourd car elle se retourna tout
de suite et me dit :"bonjour monsieur". Je lui répondis
les politesses d'usage pendant qu'elle descendait de son
escabeau. Sa jupe, un peu trop serrée, remonta assez haut,
suffisamment pour m'apercevoir qu'elle portait des bas et
non les horribles collants habituels. Je me déplaçai légèrement
pour la voir de profil, elle avait du ventre mais cela était
compensé par une cambrure exceptionnelle et des fesses très
proéminentes. Elle portait des escarpins avec des talons
assez hauts.
Pendant que je lui expliquai ce que je souhaitais, je regardai
son visage. Elle n'était pas des plus jolies : une chevelure
châtain très clair, des lunettes à travers lesquelles de
petits yeux vifs m'examinaient des pieds à la tête. Une
bouche très large avec des lèvres fines, une peau blanche
avec un peu de fard. Elle accusait la cinquantaine, ce qui
n'était pas pour me déplaire car j'ai toujours aimé les
femmes mûres, d'autant plus lorsqu'elles ont un cul superbe
comme cela semblait être le cas.
Je ne sais pas pourquoi un climat de confiance s'installa
tout de suite entre nous. Elle me proposa plusieurs produits
qu'elle mit sur le comptoir et malgré tout, nos mains n'arrêtaient
pas de se frôler. J'ai de petites mains pour un homme. Cela
ne déplait pas aux femmes jusqu'ici, car cela me permettait
d'accéder à des endroits très sensibles de l'anatomie féminine.
Par contre, elle avait de grandes mains soignées. Quand
ma main se posa par mégarde sur la sienne, elle ne la retira
pas, au contraire. Des clients entrèrent dans l'officine
et le charme fut rompu. Elle me demanda si je pouvais passer
le matin avant 8 heures car à cette heure la boutique était
calme.
J'attendis deux jours bien que le temps me sembla long.
Il faut dire que son cul énorme me donnait des érections
rien qu'à y penser. Donc, deux jours plus tard, j'arrivai
devant la pharmacie. Tout était éteint. Je regardai ma montre,
il était 7 h 30. Par acquis de conscience, je cognai à la
devanture. Une porte s'ouvrit au fond de la pharmacie et
elle me fit signe de passer par l'entrée de l'immeuble,
située à côté de l'officine. Je pénétrai dans l'immeuble,
une porte au rez-de chaussée était entrouverte, laissant
passer un flot de lumière. Nous étions très contents de
nous voir et sans le faire exprès nous nous embrassâmes
très naturellement sur la joue. La pièce dans laquelle nous
nous trouvions était sans doute la réserve. Après quelques
mots, une atmosphère bizarre s'installa entre nous. Elle
me dit :
-"Voici vos fortifiants, j'en ai rajouté deux autres que
j'ai fait moi-même. Vous verrez, ce sont les gélules vertes,
8 par jour pendant une semaine.
Comme je voulus la payer, elle sourit malicieusement et
dit que l'on verrait plus tard. Elle me proposa une prise
de sang en ajoutant que cela lui ferait plaisir. J'acceptai
donc. Plus tard je sus pourquoi. Elle me mit à la porte
gentiment en me disant qu'elle avait beaucoup de travail
de paperasserie à faire pour la sécurité Sociale. Elle me
dit de ne pas oublier de prendre les gélules vertes. Je
passai souvent devant la pharmacie, toujours bondée de monde.
Elle avait comme adjointe une superbe jeune femme, style
mannequin.
Une semaine passa : ma femme était toujours aussi acariâtre
et la pharmacienne au gros cul et à la grande bouche me
donnait des érections comme j'en avais rarement eu. J'ai
un sexe d'une longueur normale mais d'une grosseur très
largement supérieure à la moyenne. Ma femme s'en était toujours
plaint. Mais je sais par expérience que beaucoup de femmes
aiment les grosses bites. Mais en ce moment, ma queue était
toujours à moitié gonflée et quand je bandais, je ne la
reconnaissais plus : très épaisse avec un gland violet,
énorme.
Ce jour là, je passai à 14 heurs devant la pharmacie, elle
était vide, à part un homme qui se tenait près, très près
de mon amie pharmacienne. Intrigué, je rentrai dans la boutique.
L'homme détala aussitôt. Je ne suis pas particulièrement
courageux mais je tendis le pied et il trébucha. Je lui
sautai dessus et le plaquai au sol. Il ne remua plus, assommé
sur le coup. Le reste se déroula très vite : la police,
l'arrestation. L'assistante de la pharmacienne était rentrée
de déjeuner. Aussi Elisabeth, c'était son nom, me proposa
de venir chez elle pour qu'elle me soigne. Elle habitait
au-dessus de l'officine un appartement très confortable.
Elle me fit entrer dans le salon. Elle amena un drap qu'elle
mit sur le canapé et me dit de m'allonger et de me mettre
à l'aise.
Je me déshabillai, gardant seulement mon slip et m'allongeai
sur le canapé. Elle revint au bout de quelques minutes avec
un plateau sur lequel il y avait des fioles et diverses
choses. Les volets étaient fermés. Elle alluma une lampe
d'ambiance et se tint devant elle, faisant semblant d'ignorer
le spectacle qu'elle offrait. Elle avait mis une blouse
en nylon complètement transparente. Elle portait des sous-vêtement
transparents ainsi que des bas et un porte-jarretelles noir.
Elle avait chaussé des escarpins vernis avec des talons
aiguilles très hauts. De profil, cela faisait ressortir
la cambrure exagérée de ses hanches et donnait du galbe
à ses jambes un peu courtes. Ma verge était dure à faire
mal. Elle s'avança vers moi avec le plateau et se mit à
genoux devant le canapé. Je voyais de près ses seins qui
en fait n'étaient pas si petits que cela. Ils étaient très
particuliers et à mes yeux d'autant plus excitants. Fixés
très haut sur le torse, leurs auréoles faisaient plus de
la moitié du sein, les pointes brunes étaient très longues
et grosses. Je n'avais jamais vu de pointes de seins pareilles.
Elisabeth s'occupa de mes écorchures aux genoux en silence
puis me dit :
-"Alors cela ne va pas avec ta femme ?"
Je lui répondis que non. Ses yeux étaient fixés sur mon
slip, trop petit, duquel dépassait à la taille le gland
entier, violet d'excitation. Elle m'aida à baisser le slip
et à l'enlever complètement.
-"J'aime bien ta verge me dit-elle, c'est important, tu
sais. Moi je les aime pas trop longues et bien grosses."
Elle prit une fiole et en vida un peu sur la paume des mains,
ensuite elle en enduisit la totalité de mon sexe. Elle se
mit à le masser doucement et lentement. En même temps, elle
me demanda :
-"Tu veux voir un film ? Je suis sûre que cela va te plaire.
D'ailleurs, j'avais tout préparé car je savais que tôt ou
tard on serait ensemble dans cette pièce."
Elle se leva et alla au fond de la pièce et mit en marche
un vieux projecteur. Elle éteignit la lumière et revint
près de moi. C'était un fil muet en Noir et blanc qui datait
des années 60.
LE FILM : Une femme bien en chair entrait dans une cuisine.
Elle ressemblait étrangement à Elisabeth.
-"Je te présente ma mère, me dit Elisabeth."
Elle caressait délicatement l'extrémité de mon gland. Un
jeune homme entra aussi dans la cuisine. "Mon frère, dit-elle".
La mère et le fils se disputèrent et la mère lui mit une
claque. Le jeune homme se mit à pleurer. Sa mère le prit
dans ses bras. Il lui dit quelque chose à l'oreille. La
mère offusquée, mais pas trop, secoua la tête négativement.
Le jeune homme insista, menaçant. Elle acquiesça et déboutonna
lentement sa jupe qui tomba à terre. Elle portait des bas,
soutenus par un porte- jarretelles et un slip qui bâillait.
Le jeune homme avait ouvert sa braguette et sorti une grosse
queue qu'il branlait tout doucement. La mère faisait semblant
de pleurnicher en baissant sa culotte à mi-cuisses. À la
demande de son fils, elle écarta les lèvres imposantes de
son sexe et fit apparaître un gros clitoris Le jeune homme
s'était approché de sa mère et, lui prenant la main, la
posa sur son sexe.
Faussement hésitante, elle commença à masturber son fils.
Puis ce dernier, reprenant son sexe en main, en dirigea
le bout vers le sexe béant de la mère. Face à elle, il frottait
son gland contre la toison épaisse de la femme excitée,
puis sur le gros clitoris qui pointait. La mère gigotait
de plaisir à cette caresse insolite. Le fils ne put se retenir
longtemps. Des giclées de sperme jaillirent de la pine et
s'écrasèrent sur le large ventre bombé de la mère, striant
les longs poils noirs et les grosses lèvres bâillantes de
trainées blanches d'un foutre abondant. La verge était encore
dure et le jeune homme demanda quelque chose à sa mère qui
obéit. Elle se tourna, présentant au fils son gros cul.
Le jeune homme s'approcha et, prenant son temps, essuya
l'extrémité de son sexe encore baveuse sur les grosses fesses
blanches. La mère reprit la direction des opérations.
Elle fit s'allonger son fils sur le dos, sur la table de
la cuisine. Elle prit une chaise et monta elle-même sur
la table. Elle s'accroupit au-dessus de la bouche du jeune
homme et, face à la caméra, se masturba avec un plaisir
et une excitation évidentes. Soudain son ventre se contracta
et une puissante giclée d'un liquide clair et épais sortit
de son sexe et frappa violemment la langue du garçon qui
branlait sans retenue son sexe redevenu dur. Une seconde
giclée, puis une troisième aboutirent dans la bouche grande
ouverte du fils qui, d'excitation, éjacula lui aussi avec
tant de violence que le premier jet de sperme aboutit aussi
dans sa bouche. La mère descendit de la table et, debout
devant son fils, se pencha avec avidité sur ce corps qui
tremblait encore d'excitation. Elle lapa avec délectation
les trainées de sperme. Le fils pendant ce temps avalait
le jus copieux de sa mère. FIN DU FILM
Elisabeth se leva, éteignit le projecteur et ralluma la
lampe. Elle était rouge d'excitation. Elle se remit à genoux
devant moi et continua sa délicate caresse. Pendant ce temps
là, je caressai à travers la blouse les énormes pointes
de ses seins qui étaient dures comme du bois. Elle me demanda
comment j'avais trouvé l'extrait de film que nous venions
de voir. Je lui répondis que je trouvais cela très excitant.
Elle sourit et me demanda si je la trouvais vicieuse. Je
lui affirmai que tout cela, et en particulier elle, était
très excitant. J'ajoutai qu'elle allait me rendre fou si
elle continuait ses caresses sur mon gland. Il faut dire
que c'était une des plus grandes expertes que j'ai connues
à ce jour dans ce domaine. Avec le pulpe de l'index, elle
effleurait les zones sensibles de l'extrémité de ma queue,
juste ce qu'il fallait pour provoquer un maximum de plaisir
et s'arrêtait juste avant l'éjaculation. Elle enleva son
slip. Celui-ci était trempé de mouille. Elle le plia, mettant
à l'extérieur l'entrejambe dégoulinant de son foutre et
effleura mon sexe avec.
C'en était trop. La chaleur bien connue m'envahit les reins
et j'éjaculai en de longues giclées un sperme épais et gras,
de longues traînées dont la plus puissante atteignit aussi
mon visage. Elisabeth prit en bouche mon sexe tressautant
et aspira les dernières gouttes qui restaient dans mes couilles.
Ensuite elle lapa les traînées blanches, dégustant avec
un plaisir non dissimulé mon jus. Elle remonta du bas ventre
au thorax et vint chercher les dernières traces sur mon
visage. Elle lécha mes lèvres et enfin nous nous embrassâmes
longuement. Un baiser au goût de foutre prononcé.
-"Tu jouis beaucoup me, dit-elle. J'aime beaucoup regarder
mon amant avoir du plaisir, le regarder se vider de son
foutre. Mais ce que je préfère, c'est le sentir jouir dans
ma bouche et ensuite déguster lentement son jus tiède. Je
lui signalai que j'aimerais bien aussi la caresser partout.
Elle se leva, je déboutonnai sa blouse transparente qui
glissa à terre. Je dégrafai le soutien gorg, libérant les
énormes bouts qui bandaient. Je les pris tour à tour dans
ma bouche et les suçai longuement. Elle s'assit sur le canapé,
les cuisses ouvertes au maximum . Elle avait une chatte
comme je les aimais. Dans la forêt de poils châtains clairs
et blancs, un gros clitoris pointait, de grosses lèvres
épaisses étaient entrouvertes sur un con rose et luisant.
Agenouillé devant elle je commençai un long cunnilingus
comme j'aime les faire. Tour à tour aspirant, caressant
avec ma langue, toute cette chair féminine En même temps
un index curieux explorait l'anus qui s'ouvrit sans peine
et accueillit aussi le médium. Les doigts jouaient avec
la corolle élastique à souhait. Ce petit jeu dura assez
longtemps. Les grognements de plaisir d'Elisabeth montraient
à quel point elle aimait la caresse. Je la fis se retourner
et elle me montra son superbe fessier. J'écartai les fesses,
dévoilant sa raie du cul et son anus brun. Ma langue remplaça
mes doigts en un long baiser profond qui la fit se pâmer
d'aise. Elle aimait beaucoup que l'on s'occupe de ses fesses
plantureuses et de son anus accueillant. Ma bite était à
nouveau dure, je me levai et l'enculai d'un coup sec, la
pénétrant profondément. Ses grognements se firent plus fort
pendant que je la ramonai à bonne allure. Je la tenais par
les hanches et m'enfonçai au ras des couilles. Je sortis
du cul pour entrer dans la chatte visqueuse. Je fus littéralement
absorbé. Longtemps, je la ramonai et nous jouîmes ensemble.
Aussitôt après, j'allai dans la salle de bain. Quand je
revins de ma petite toilette, je trouvai Elisabeth assise
dans un fauteuil, les cuisses très écartées en train de
se caresser les yeux mi-clos. Elle avait remis le projecteur
en marche.
LE FILM : La scène se passait encore dans la cuisine. Une
jeune fille entra, c'était Elisabeth qui à cette époque
devait avoir 20 ans. Elle portait des escarpins à hauts
talons. Voulant prendre un pot haut perché, elle prit une
chaise et essaya d'attraper l'objet. À cette occasion sa
jupe monta très haut dévoilant ses jambes gainées de bas
et son gros cul blanc qu'une petite culotte noire rendait
encore plus indécent. Un homme entra dans la pièce. L'homme
très intéressé par le spectacle s'approcha, les yeux rivés
sur le cul qui remuait. En même temps il ouvrait sa braguette
et sortait son sexe qu'il caressait lentement. La jeune
fille faillit tomber en descendant de la chaise et fut rattrapée
par l'homme. Elle le remercia en souriant quand soudain,
elle aperçut le gros engin. Son père la fit mettre à genoux
devant lui et lui prit la tête à deux mains, approcha la
bouche de sa fille de la grosse verge raide. Elle se débattit
un peu et ouvrit grand la bouche pour absorber le gros dard.
Elle suçait avec application et soudain l'homme jouit, la
jeune fille se recula et reçut les giclées grasses sur le
visage et les cheveux.
Elisabeth se leva et alla couper le projecteur. Elle revint
vers moi et soudain me dit :
-"Tu as vu tout à l'heure ma mère éjaculer dans la bouche
de mon frère ?"
Je lui répondis que oui. Elle ajouta que dans sa famille,
les femmes éjaculaient de mère en fille et cela depuis plusieurs
générations. Je ne pus répondre car elle m'attira vers elle
et me fit allonger par terre sur le dos. Elle vint au-dessus
de moi et nous nous trouvâmes étroitement imbriqués dans
un parfait 69. Sa grosse chatte mouillée se trouvait devant
mes lèvres et je commençai à la lécher et à la mordiller
pendant qu'elle avalait littéralement mon sexe. Dans la
pièce, le silence était tel qu'on n'entendait que des bruits
chuintants, entrecoupés de grognements de satisfaction.
Soudain je la sentis se contracter et j'ouvris la bouche
en grand.
Une puissante coulée de liqueur épaisse sortit de son sexe,
suivie de deux autres moins importantes. Ma bouche était
complètement pleine de cette crème odorante. J'étais tellement
excité que je me mis à trembler de tous mes membres et éjaculai
violemment entre les lèvres tièdes d'Elisabeth. Je dégustai
lentement son foutre, gorgée par gorgée et trouvai le goût
un peu trop parfumé mais délicieux. Nous restâmes longtemps
dans cette position et je me mis à rêver à la première fois
où, très excité, j'eus un tel tremblement. Une sonnerie
de téléphone me tira de ma rêverie. Je revins sur terre.
Elisabeth se leva en maugréant lâchant mon sexe quelle avait
conservé en bouche. C'était sa pin-up d'adjointe qui l'appelait
pour lui dire que la pharmacie était pleine de clients et
qu'elle avait besoin d'aide. Elisabeth s'habilla rapidement.
Elle avait les yeux cernés mais portait avec élégance un
tailleur gris qui faisait ressortir ses superbes fesses.
Elle me tendit un gros dossier :
-"C'est le journal intime de ma famille. Tu dois le lire
avant notre prochaine rencontre."
Elle m 'embrassa longuement et me donna les clefs de l'appartement.
La nuit même, pendant que ma femme dormait, je lus d'une
traite le journal intime de la famille d'Elisabeth. Il y
avait toutes les écritures de la famille et je dois dire
que c'était gratiné. Il y en avait pour tous les goûts :
de l'érotisme de bon goût à une obscénité délirante. Le
moins que je puisse dire, c'est que toute la famille ne
semblait vivre que pour le sexe. Certaines pages étaient
illustrées de photos ou de dessins d'un très grand réalisme.
Mon sexe fut raide pendant la toute la lecture. J'étais
tellement excité qu'à un certain moment, je partis tout
seul. Je relus le livre plusieurs fois et c'est très excité
qu'un matin à 7 h 30 précises, je grattai à la porte de
la réserve de la pharmacie. La porte s'ouvrit et je me trouvai
tout bête, le livre à la main devant une Solange plus snob
que jamais qui me toisait avec sa morgue habituelle. Je
m'excusai et voulut me retirer quand elle aperçut le livre.
C'est pour la patronne me demanda-t-elle ? Surpris je répondis
que oui. Elle voulut le prendre et comme je refusai, elle
insista et me l'arracha des mains. Quel empoté celui-la
dit-elle !Madame Elisabeth est chez une amie malade et elle
me claqua la porte au nez.
Je rentrai chez moi très ennuyé. Deux jours passèrent. Elisabeth
devait être rentrée. N'arrivant pas à dormir, je me levai
de bonne heure et me trouvai à 7 heures devant la porte
de la réserve. Je frappai et ce fut Solange qui m'ouvrit.
Elle n'est pas rentrée, me dit–elle et comme je voulais
m'éclipser, elle me prit par le bras et me fit entrer dans
la remise. Elle referma la porte à clef et me balança une
gifle. Ses yeux brillaient de colère. Vous n'avez pas honte,
me dit-elle, de lire des horreurs pareilles. C'est déguelasse.
J'accrus sa colère en lui disant qu'elle n'avait qu'à pas
le lire. Elle ajouta : j'ai tout relu plusieurs fois et
depuis je n'arrive plus à dormir, tout cela me trotte dans
la tête et mon mari est en déplacement professionnel.
Soudain je m'aperçus que ses seins pointaient comme jamais
à travers son pull collant. Les points apparaissent nettement.
La glace qui était derrière elle me renvoya l'image de son
dos. Sa jupe claire était toute mouillée sur les fesses
et l'on voyait nettement la couleur du slip. Cette salope
était excitée comme une chatte en chaleur. Je m'avançai
et relevai sa jupe sur le devant et avant qu'elle put protester,
je pris son entrejambe entre mes doigts. Elle se figea,
me laissant faire. Je dégrafai la jupe qui tomba à terre
et lui baissai rapidement collants et slip. Sa chatte rose
luisait de jus. Je la renversai sur la table, lui écartai
les jambes et collai mes lèvres contre son sexe dégoulinant.
Pendant que je la suçais, elle se trémoussait dans tous
les sens. Ma bouche collée contre l'orifice gluant et odorant,
je déboutonnai mon pantalon et le baissai ainsi que le slip.
Elle se releva pour voir mon sexe. Ses yeux s'ouvrirent
en grand. Je pris sa main manucurée et pleine de bagues
et lui demandai de me branler. Elle se leva et, face à moi,
commença à me masturber avec beaucoup de science. Pendant
ce temps, je lui écartai les fesses et explorai son cul.
À ma grande surprise elle me dit :
-"Le cul c'est bon !"
Et posant ses lèvres sur les miennes, elle enfonça profondément
sa langue dans ma bouche. Elle me fit allonger sur le dos
et venant sur moi, elle prit mon sexe et l'enfila dans sa
chatte. Elle remua dans tous les sens. À un certain moment
je la fis relever un peu et posai mon gland contre son œillet.
Surprise elle s'enfila elle-même sur mon pieu. Elle hoqueta.
Elle se cambra en arrière et eut un orgasme très fort. Je
la fis se mettre à quatre pattes et me plaçant derrière,
je l'enculai à nouveau. Elle gémissait pendant que je la
ramonais. Je la fis mettre à genoux devant moi et lui demandai
de me sucer. Elle était tellement excitée qu'elle m'obéit
tout de suite. Elle suçait pas mal en fait. Elle se branlait
en même temps. Je me retirai de sa bouche. Je lui ôtai son
pull et son soutif et je l'allongeai par terre. Je m'accroupis
au-dessus d'elle et lui dit de me sucer le cul. Elle était
tellement parti qu'elle s'exécuta. Elle écarta mes fesses
et me lécha la raie. Sans que je lui demande elle m'enfonça
sa langue dans le cul. C'était très bon. Quand je me levai,
je m'aperçus qu'elle recommançait à se masturber. Cela m'excita
et debout, au-dessus de son visage, je me finis à la main.
Je jouis comme un porc, l'inondant en de longues giclées
qui lui maculèrent le visage. Je me rhabillai en vitesse
et prenant le fameux livre, je me sauvai sans demander mon
reste. Et depuis je cherche une amie pour dialoguer...
Auteur
|