Aujourd'hui, c'est à mon tour de venir confesser mes penchants
sexuels sur ce site que j'apprécie particulièrement. Je m'appelle
Jean, j'ai trente-huit ans et je suis cadre dans la banque.
Je vis avec une jolie jeune femme divorcée de trente-deux
ans, Clotilde. Notre relation amoureuse s'est bâtie sur une
très forte attirance physique réciproque et un goût commun
pour les choses du sexe. Cela ne s'est jamais démenti depuis
bientôt quatre ans que nous nous fréquentons. Clotilde a deux
charmants enfants issus de son mariage, que j'élève avec elle
comme si c'était les miens. Nous formons une famille unie.
Le week-end, les garçons sont le plus souvent chez leur père,
tout comme durant les vacances scolaires. Ces jours là nous
pouvons aisément laisser libre cours à nos pulsions les plus
intimes et nous ne nous en privons pas. D'ailleurs, le dimanche,
c'est mon jour, celui où je deviens la petite femme de la
maison.
Ca commence généralement dès le réveil par une
séance d'habillage qui m'excite déjà beaucoup. Après
ma douche, je dois enfiler la lingerie fine que Clotilde m'a préparée
la veille au soir. Tout y est, je suis même obligé de passer des
collants ou, de temps en temps, des bas avec porte-jarretelles. Je dois bien
sûr me vêtir devant Clotilde qui ne perd pas une miette du spectacle.
Elle reste allongée sur le lit et me regarde faire. D'abord, j'enfile
la petite culotte qu'elle a prévue pour moi. Avec ma grosse bite, le
string ficelle m'est bien sur interdit. Ma compagne a choisi un slip confortable
qui me moule bien la pine et les couilles. Mes fesses sont bien serrées,
à l'aise dans le sous-vêtement. Je glisse le pied dans le collant
ou le bas, puis, je remonte délicatement le nylon sur mes longues jambes,
préalablement rasées. Je fais du vélo et ça me fournit
une excellente excuse pour avoir des jambes toujours parfaitement nues. Il ne
me reste plus qu'à passer les bras dans les bretelles du soutien-gorge
que Clotilde m'a offert. Elle a veillé à en rembourrer les bonnets
avec du coton bien compacté. Ainsi, j'arbore une magnifique paire de
seins qui ne me quitte pas de la journée. Avec perversité, mon
amie a décidé d'installer un miroir face au lit. Ca me permet
de me regarder dans la glace tout en m'habillant et d'ajuster au mieux mes atours.
Pour terminer, je place sur ma tête l'une des perruques de ma panoplie,
blonde ou rousse. Je suis alors prêt à enfiler les vêtements
prévus pour moi par Clotilde.
Souvent, pendant cette séance d'habillage, ma compagne se touche. Elle
est sur le lit, les jambes écartées et se passe un doigt en m'observant.
Elle se contente de douces caresses et ne va jamais bien loin dans son plaisir,
préférant se réserver pour les moments plus intenses qui
ne manquent pas de survenir dans la journée. Parfois, tout de même,
un léger tressaillement la trahit et je sais alors qu'elle a joui, mais
c'est assez rare. Quand j'ai fini d'enfiler mes vêtements féminins,
je suis à la disposition de Clotilde pour la journée.
La semaine dernière, j'ai du lui servir le petit déjeuner en
tenue de soubrette. Ce jour là, je portais des bas noirs attachés
à un porte-jarretelles. Je devais marcher avec des escarpins, sur des
talons de trois centimètres. Ce n'était pas la première
fois et je commence à avoir l'habitude de me trouver haut perché.
Ma fausse chevelure blonde, coupée au carré me donnait un air
de salope. C'est ce que Clotilde apprécie par-dessus tout. On voyait
mes cuisses sous la courte jupe et le petit tablier blanc. Je portais un chemisier
blanc qui moulait parfaitement ma grosse poitrine. J'ai déjeuné
seul, dans la cuisine, comme une bonne domestique et ensuite j'ai fait le ménage,
toujours dans ma tenue de bonniche.
De temps en temps, Ma compagne passait derrière moi pour me toucher
le cul sous ma jupe. Elle me caressait les fesses à travers le nylon
de ma petite culotte puis glissait les doigts entre mes cuisses pour venir,
par derrière, me tâter les couilles ou la bite. J'aime ces attouchements
furtifs et elle le sait. Dès qu'elle pose sa main sur moi, je reste immobile
et je creuse les reins pour bien lui donner ma croupe. J'écarte un peu
les jambes pour faciliter le passage de ses doigts et leur ouvrir le chemin
de ma queue. Mais elle ne va jamais plus loin. Son but, à ce moment là,
n'est pas de me faire jouir mais d'augmenter ma tension sexuelle pour mieux
la faire culminer plus tard.
Le repas de midi s'est déroulé à peu près comme
celui du matin. J'ai fait le service pour satisfaire ma " patronne ".
Après le dessert, elle en a eu assez de ce petit jeu. Elle m'a traîné
dans la chambre pour me changer. J'ai du enfiler une vraie tenue de pute : des
bas résilles, un petit short à carreaux et un top très
échancré qui laissait apparaître mon soutien-gorge. Pour
finir, j'ai mis des bottes hautes qui couvraient mes jambes jusqu'au genoux.
Ensuite, nous sommes allés devant la coiffeuse. Là, elle m'a maquillé
outrageusement, les yeux et les lèvres. J'avais vraiment une touche de
salope. Quand elle a eu fini de me travestir, elle m'a admiré et un nouveau
jeu a commencé :
- Vous prenez aussi les femmes ? C'est combien pour un broutage de minou ?
Elle voulait jouer à la cliente qui se paie une pute. En fait, quand
elle me déguise, je crois que c'est surtout pour pouvoir étancher
son besoin d'amours lesbiennes. Je la soupçonne d'être un peu bisexuelle
et qu'au fond, elle use de cet artifice plus pour se donner l'impression de
jouir avec une femme que pour réellement dominer un homme.
J'ai joué le jeu et nous sommes tombés d'accord sur le tarif.
J'essayais d'être aussi vulgaire qu'elle le souhaitait. Quand elle me
demanda mon nom, je lui répondis :
- Je m'appelle Candy Sex et je vais bien vous sucer la chatte.
Je la poussai sur le lit, face au miroir. Ainsi, elle pourrait voir toute la
scène au fur et à mesure de son déroulement. Je sais que
ça augmente son plaisir dans des proportions inouïes.
Je l'ai léchée longuement. J'ai lapé sa moule avec ma
langue, en surface et dans les moindres recoins. J'ai cherché son petit
bourgeon que j'ai bien mangé avec mes lèvres barbouillées
de rouge. J'avais vraiment l'impression d'être une gouine. Ca a duré
une bonne partie de l'après-midi. Clotilde apprécie la manière
dont je pratique le cunnilingus. Ca la fait beaucoup jouir. Ce qu'elle aime
aussi beaucoup, c'est quand je lui enfile un ou deux doigts dans la chatte pendant
que je lui tète le bouton. De toute manière, sur une longue durée,
il faut que je varie les plaisirs, autant pour moi que pour elle. Au début,
elle était redressée sur ses avants-bras et me regardait dans
le miroir. Elle ne se privait pas pour me relancer quand je faiblissais :
- Vas-y sale gouine, bouffe-moi le chat, fourre ta langue dans mon con ! Je
vois ton cul de salope qui remue derrière toi. Ca t'excite de me manger
la vulve ? Tu peux te toucher le minou si tu veux, mais ne compte pas sur moi
pour te tripoter. C'est toi la pute !
Elle n'avait pas besoin de le préciser. Je savais bien qu'elle ne me
toucherait pas durant cette phase de notre jeu de rôle. C'était
une clause non-écrite de notre contrat. Tout ce que je pouvais espérer,
c'était une petite branlette rapide, ce soir, quand les enfants seraient
rentrés et que nous aurions retrouvé chacun notre place respective
dans la famille. Mais cela m'importait peu en fin de compte, car je voulais
lui donner du plaisir et je savais me contenter de mes propres caresses sur
ma queue. J'étais moi-même très excité de me voir
habillé en pute, en train de lui sucer le sexe.
Je laissai donc aller ma main droite sous mon petit short. Au passage, je me
caressai les cuisses. Je passai les doigts sur le côté de la culotte
de satin et sortis ma queue toute raide et bien dure. Tout en continuant de
lui sucer la chatte, je me masturbai, le rythme de ma main sur ma tige se calant
sur celui des deux doigts qui lui fouillaient la vulve.
- Ca y est, tu te touches la chagasse, vieille lesbienne ! Tu te fais du bien
en buvant mon jus ! Continue, rince-toi le gosier avec ma mouille !
Ses paroles m'excitaient. Elle était animée de soubresauts et
gigotait de plus en plus, soulevant son bassin pour mieux venir s'empaler sur
mes doigts. Cet après-midi, elle a joui plusieurs fois sous mes coups
de langue. Moi aussi, j'ai juté dans ma main, deux ou trois fois. J'étais
heureux de pouvoir lui donner tant de plaisir et c'est à regret que j'ai
du m'interrompre après qu'elle ce soit évanouie à la deuxième
reprise.
Le soir, j'ai retrouvé ma vraie personnalité et, comme je l'espérais,
j'ai été récompensé de mes efforts par une bonne
masturbation. Pour le week-end prochain, Clotilde m'a déjà annoncé
qu'elle prévoit une surprise. J'ai hâte d'y être et je viendrai
sûrement vous raconter ce qui se sera passé.
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