TITRE :  La nana de mon fils
Catégorie : 
Histoire Extra conjugale

Accueil Histoire érotique Histoires Extra conjugale

Je m'appelle François Leroy, marié depuis 25 ans et père de deux enfants. Je devrais donner l'image d'un respectable père de famille. Angèle, mon épouse, et moi avons toujours coulé des jours paisibles dans notre maison de Villeneuve d'Ascq. Un de nos fils fait ses études à Grenoble tandis que l'aîné, Thomas, termine les siennes à Lille.


C'est l'an dernier que cette image paisible a été troublée. En effet, c'est à ce moment que Thomas nous a présenté la jeune fille avec qui il sortait régulièrement. Nathalie nous est apparue comme une jeune personne charmante. Elle terminait alors sa formation d'infirmière et cette relation nous réjouissait, ma femme et moi. Bien sûr, je ne pouvais pas ne pas remarquer le charme particulier d'une fille d'une vingtaine d'années. Mes regards, que je faisais le plus discrets possibles, s'attardaient presque malgré moi sur l'encolure de son corsage ou sur ses jambes. La tension de ses chemisiers au niveau de la poitrine, révélant deux pointes fermes, me mettait parfois mal à l'aise. Souvent le souvenir de son rire cristallin m'accompagnait jusque dans le lit conjugal où Angèle bénéficiait, sans s'en douter, de la stimulation de mes instincts masculins par la jeune amie de notre fils. Petit à petit, je me rendis compte que mon attention n'avait pas échappé à celle qui en était l'objet. Parfois un regard de sa part ou un sourire me prenaient sur le fait et je me sentais à la fois gêné et excité par cet instant de complicité. Il me semblait d'ailleurs qu'elle ne se dérobait pas à mes investigations. Elle semblait même parfois s'en amuser, rajustant son soutien-gorge ou caressant ses jambes lorsque personne d'autre que moi ne pouvait la voir. Le pire (le meilleur ?) était de la voir se pencher alors qu'elle portait une jupe courte ou d'apercevoir le geste si féminin consistant à tirer sur son bas, dévoilant toute sa jambe fine et parfaitement galbée.


Avec ses courts cheveux blonds, ses yeux bleus malicieux et sa silhouette de nymphette, elle prenait de plus en plus de place dans mon imaginaire et j'en concevais un plaisir teinté de culpabilité. Néanmoins ce dernier scrupule se fit de plus en plus évanescent à la suite de ce repas où nos pieds se frôlèrent sous la table, de manière trop fréquente et trop prolongée pour avoir été simplement fortuite. Après tout, me disais-je, si ça l'amuse, pourquoi laisser passer une telle occasion ? De fait, l'occasion se présenta, sans que je fasse rien pour la provoquer. Nous étions en mai et le printemps faisait remonter la sève dans nos membres engourdis par l'hiver. Les enfants étaient chacun en stage. Thomas à Paris et Nathalie à la clinique de la Louvière, à Lille. Un soir la jeune fille téléphona à la maison. Sa voiture était en panne et elle demanda si je pouvais l'emmener à la clinique le lendemain matin. En mon absence, ma femme avait pris la communication. Elle lui répondit que cela ne devrait poser aucun problème. Lorsque je l'appris le soir en rentrant, je ne montrais aucune émotion particulière, mais en moi-même j'avais quelque idée des problèmes qui pourraient survenir.


Le lendemain, je partis un peu plus tôt pour passer la prendre à son studio. Je sonnai à la porte et elle m'ouvrit... Juste vêtue d'une nuisette semi-transparente qui ne cachait pas les rondeurs de ses seins menus ni la culotte de dentelle blanche qu'elle portait.

- Oh bonjour monsieur Leroy, c'est gentil de passer me prendre. Entrez je n'en ai que pour une minute.

Je fus incapable de lui répondre quoi que ce soit et ma bouche entrouverte la fit sourire tandis qu'elle me précédait dans son studio. Tout d'un coup, je sentis ma virilité se réveiller devant cette jolie blondinette en train de se changer devant moi. Elle s'était assise sur son lit et commença à enfiler lentement des bas blancs opaques, prenant tout son temps pour ajuster les bandes de fixations sur le haut de ses cuisses. Une bouffée de chaleur envahit mon corps. Je n'avais ressenti un tel désir depuis des années ! Mes doigts se crispaient nerveusement sur ma clef de voiture comme je luttais contre la pulsion animale qui s'était emparé de moi.

- Vous trouvez que ça me va, monsieur Leroy ? Me dit elle d'un air faussement innocent, tendant alternativement ses jambes parfaites.
- Heu... Oui Nathalie, c'est... C'est très... Je trouve ça très joli !

J'avais du mal à avaler ma salive et à mettre un mot après l'autre. Elle se leva puis fit glisser les bretelles de sa nuisette qui tomba en fourreau le long de son corps pour former une boule d'étoffe à ses pieds. Elle était presque nue devant moi ! Ses seins! Ses seins aux mamelons pointus étaient à un pas de moi.

- Alors... Si vous aimez ça, prouvez-le moi François ! Ajouta-t-elle d'un air boudeur.

D'un coup, toutes les digues se rompirent et je me jetai littéralement sur elle. L'enlaçant, je l'embrassai à pleine bouche.

- Oh Nathalie, Nathalie, tu es... Si belle !

Je touchais enfin ce corps fin, doux et parfumé. Mes mains glissaient sur sa peau de jeune fille. Pourtant un reste de scrupule remonta à la surface :

- Mais... Nathalie, c'est impossible, on ne peut pas... Tu es...
- J'ai envie François, répliqua-t-elle avec des yeux presque suppliants.

Cette déclaration impudique emporta mes dernières hésitations et je la couchai sur le lit, tombant sur elle, la couvrant de baisers. Elle commença à haleter, gémissant à chacun de mes assauts. Ma veste, ma cravate tombèrent. Je la déculottai fébrilement, pour découvrir son pubis aux poils fins dont elle avait parfaitement dégagé les abords de sa vulve, laissée nue aux regards. J'avançai la main et caressai le jeune abricot qui s'offrait à moi. Son bassin ondulant et les gémissements indécents qu'elle émettait en disait long sur ses dispositions. En effet, lorsque mes doigts s'enfoncèrent entre ses lèvres tendres, une humidité abondante les accueillit qui facilita le doigtage de son intimité. De la main, elle dégrafa ma braguette et y plongea pour en sortir ma virilité, toute raidie par ces préliminaires et la perspective de posséder cette adorable blonde de plus de 25 ans ma cadette. La vue de ses doigts fins se refermant sur ma verge tendue provoqua un spasme de plaisir dans mes reins.


Je basculai entre ses jambes qu'elle tint relevées et écartées, offrant impudiquement libre accès à sa féminité. Je guidai mon dur outil de plaisir, frottai mon gland dans sa chair tendre et rose, luisante de désir et poussai sur l'entrée de sa grotte, brisant l'interdit dont notre relation était empreinte. Elle poussa un long râle lorsque ma verge progressa dans son fourreau humide. Je la tenais aux hanches et je lui imposai un lent va-et-vient, arrachant de sa bouche ouverte des gémissements qu'elle ne cherchait nullement à étouffer. Je sentais le contact de ses cuisses gainées de blanc sur mes flancs comme je limais en profondeur le jeune sexe que je n'aurais jamais imaginé posséder. La vue de son visage d'ange torturé par le plaisir, de ses seins menus balançant au rythme de mes intromissions puissantes, me remplit peu à peu de la passion presque animale que ressent le mâle dominant qui soumet à sa loi la jeune femelle qui s'est offerte à lui.


Accélérant les mouvements de mes hanches, je la vis lentement partir en se mordant les lèvres. Elle n'était plus que gémissements et petits cris, son vocabulaire se limitant à des : "Aaah, Ahhh" ou des : "Ooohhh ouiiii ouiiii". Elle aimait ça la petite cochonne, elle aimait ma bite bien dure en elle. Ça devait l'exciter de se faire baiser par le père de son copain ! La garce ! Ahhh, comme ce fut bon de se répandre en elle ! De voir son petit corps se tendre en recevant mes jets tendus de semence brûlante ! Nous sommes restés quelques instants dans cette position où je l'avais prise. Baisant mutuellement nos lèvres. Elle me remercia en m'avouant que son orgasme avait été génial. La candeur et l'innocence avec laquelle elle parlait des ébats lubriques auxquels nous nous étions livrés, ravivait ma flamme et me la rendait encore plus précieuse.


Nous nous sommes ensuite rhabillés puis, alors que je lui proposais de l'emmener à son lieu de stage, elle m'avoua qu'elle n'était pas de service ce matin là ! Après un dernier baiser, je la quittai pour me rendre au travail. J'eus un peu de mal à me concentrer sur mes dossiers ce jour-là, repassant dans ma tête ce qui venait de m'arriver. La copine de mon fils ! Une gamine de 23 ans ! C'était une folie, une grosse bêtise ! Mais je savais aussi que je ne pourrais pas m'empêcher de chercher à nouveau de tels instants.


Elle s'employa par la suite à rendre ces rencontres possibles. Elle m'avoua qu'avant de rencontrer Thomas, sa vie sexuelle était plutôt active. Les soirées entre copains et copines étudiants finissant souvent en parties fines. Thomas s'était avéré un compagnon idéal mais un peu conventionnel au lit. Comme la masturbation ne la satisfaisait pas, elle en était arrivée à envisager d'avoir des expériences en dehors de son couple. Je lui apparus alors comme un partenaire possible et même privilégié. Comment suspecter une liaison aussi scandaleuse ? J'avais, selon elle, passé brillamment le test en la baisant comme un fou dans sa propre chambre.


Nous nous sommes donc revus, en cachette de nos partenaires respectifs. Parfois elle venait me rejoindre au travail, à l'heure de la fermeture. Je la prenais en levrette, jupe troussée, sur mon bureau. Parfois un tour en voiture s'agrémentait d'une fellation pour moi et d'un doigtage pour elle. Quel plaisir de voir son joli minois se couvrir de sécrétions blanches, ses yeux bleus rivés aux miens ! Je la pris également à la maison, en l'absence de ma femme. Elle voulait essayer notre lit conjugal ! Ce fut à ce moment que j'égarai mes doigts entre ses fesses, puis la voyant consentante, j'y perdis mon membre viril. Comme elle cria ce jour là ! Elle aimait se donner toute et je profitai largement de telles dispositions.


Puis nos tourtereaux choisirent un appartement pour y débuter leur vie commune. Nathalie avait trouvé un emploi au CHR et Thomas poursuivait une formation en thèse. Comme je m'y attendais, la jeune coquine m'invita souvent chez elle. Il n'y a pas une pièce de la maison qui ne servit de lieu pour nos débauches extra-conjugales. Elle aimait se rendre sexy, parée de lingerie fine, portant des talons hauts, comme si sa jeunesse et sa fraîcheur n'étaient pas déjà suffisants pour aiguiser mon désir ! Une fois je vins la voir au CHR. Elle s'arrangea pour nous isoler dans la buanderie où elle me montra ce qu'elle portait sous sa blouse. Sa bouche se remplit de mon plaisir puis je lui rendis la caresse buccale en m'attardant dans la fourche de ses jambes, usant de mes doigts aussi bien que de ma langue. Lorsque nous sommes en public ou en famille elle s'amuse à me titiller comme elle sait si bien le faire. Me volant des baisers à la sauvette. Elle est même allée jusqu'à me faire une fellation, à genoux dans la cuisine où je découpais un rôti tandis qu'on mettait la table dans le salon.


Aujourd'hui nous ne pourrions plus nous passer l'un de l'autre et nos rencontres se font au rythme de 3 à 4 fois par semaine. Thomas et elle ont décidé de se marier. Ça doit se passer l'été prochain et elle m'a promis que ce jour là, son jeune époux ne sera pas le seul à consommer la mariée !


Auteur

 

Accueil Histoire érotique Histoires Extra conjugale




Partenaire de communication avec logiciel fax internet
Nom de domaine et hebergement internet