TITRE : Là mon vieux, tu rêves !!!
Catégorie : 
Histoire avec un e inconnu e
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C'était une belle journée du mois de juin. Un soleil chaud brillait, haut dans le ciel, ce qui incitait les demoiselles à se découvrir un peu plus qu'à l'habitude. Je rentrais chez moi après une journée de travail plutôt calme, en goûtant avec joie la chaleur du soleil sur ma peau et la vue assez agréable qui s'offrait à moi. En chemin, je me retrouvai juste derrière deux charmantes filles, et je ralentissai l'allure pour éviter de les dépasser. Toutes deux de types hispaniques, mais de styles différents, je n'arrivais à me décider laquelle des deux était la plus à mon goût. La première était assez petite, mais avec de longs cheveux noirs légèrement ondulés, et surtout une paire de fesses remplissant agréablement son pantalon moulant. La deuxième était plus grande, aussi avec des longs cheveux noirs, quoique plus plats. Elle portait une mini-jupe qui laissait voir de longues jambes magnifiques. Je regardais leurs bassins se balancer langoureusement au gré de leur marche. Au bout d'un certain moment, ayant certainement découvert qu'elles étaient suivis, elles se retournèrent un bref instant en souriant, et j'eus l'occasion de remarquer que la nature les avait autant gâtées devant que derrière. J'apréciais cette petite promenade fort agréable, et une certaine rigidité commençait à s'emparer de mon entre-jambes.

Au bout de quelques minutes, la rue tournait brusquement ce qui fit que je les perdis de vue. Au sortir du tournant, je m'étonnai de ne plus les voir, lorsque je reçus un coup violent sur la tête qui me fit perdre connaissance...

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J'émergeais doucement de la torpeur dans laquelle j'avais été plongé. Ma tête était douloureuse, et c'est en voulant me masser le crâne, où j'imaginais qu'une belle bosse avait poussé, que je me rendis compte que je ne pouvais plus bouger les mains. Je terminai de me réveiller brutalement et vis que j'étais attaché par les mains et les pieds aux barreaux d'un lit. J'entendis alors une porte s'ouvrir et je vis apparaître les deux demoiselles, encore plus désirables que jamais, malgré la situation assez étrange dans laquelle je me trouvais. La plus petite -- j'appris par la suite qu'elle s'appelait María -- s'approcha en disant :
- Je pense que notre invité vient de se réveiller.
C'était la première fois que je l'entendais parler, et je tombais directement amoureux de sa manière de parler, de son accent espagnol marqué, de sa façon de prononcer « réveiller » qui devenait dans sa bouche « rébéyerr ». Le fait qu'elle ait parlé en français me fit immédiatement comprendre que sa phrase m'était destiné. - Que me voulez-vous?, répondis-je alors.
La deuxième fille -- qui, appris-je par la suite, s'appelait Carmen -- s'approcha alors à son tour et dit :
- Nous? Rien. C'est toi qui nous suivait.
- Je ne vous suivez pas. Enfin pas vraiment, vous avez simplement pris le même chemin que moi, mais avec quelques mètres d'avance.
- Vraiment?, répondit María.
Elles continuaient de s'approcher toutes les deux, très lentement, et je sentais la gêne s'installer à nouveau dans mon pantalon. Elles s'assirent chacune sur une des bords du lit, et María s'appuya délicatement précisement sur l'endroit qui me génait légèrement. La réaction ne se fit pas attendre et, soudainement, la place se mit cruellement à manquer dans mes sous-vêtements. Elles feignirent de ne pas s'en apercevoir.
- Tu es vraiment sûr que tu ne nous suivez pas?, demanda Carmen.
- Euh, oui..., hésitais-je alors.
La situation devenait très étrange, l'atmosphère électrique, et je me demandais vraiment comment je devais réagir à toute cette mise en scène. Carmen commença alors à déplacer lentement la main vers moi. Elle releva légèrement ma chemise pour me déboutonner, puis plongea la main dans mon caleçon d'où elle resortit avec sexe complètement gonflé de désir. Elle le passa alors sa copine, qui commença à descendre, très lentement, et avec beaucoup de doigté, la peau qui entourait ma verge. Le geste était insupportablement bon, et je me trémoussais de plus en plus.
- Es-tu vraiment sûr?, insista María.
Je n'en pouvais vraiment, je craquais devant une si agréable séance de torture.
- Oui, je vous suivez!, balbutiai-je.
- Et pourquoi?, demanda à son tour Carmen.
- Pour profiter... plus longtemps... de votre vue..., haletai-je.
María relacha sa prise, et je ne pus m'empêcher de pousser un soupir de soulagement. Les deux amies se lancèrent un regard de connivence, et Carmen s'exclama :
- Et bien, nous allons essayer de te contenter.
Elles descendirent mon pantalon jusqu'à mes chevilles, puis ouvrir ma chemise complètement, en me caressant sensuellement le torse. Elles se levèrent ensuite, pour se rejoindre au pied du lit. Elles commencèrent par s'embrasser tout en se caressant l'une l'autre. Elles retirèrent chacune le T-shirt de l'autre, avant de continuer à s'embrasser et à se caresser. Elles étaient superbes, avec une jolie peau mate et légèrement brune, et des seins magnifiques, gros comme des demi-melons pour Carmen, comme des melons entiers pour María. Leurs gestes descendaient progressivement et, bientôt, María fit tomber la mini-jupe de Carmen, tandis que cette dernière enlevait le pantalon de María. Elles restèrent encore quelques instants ainsi, en string, rouge pour Carmen, bleu par María, puis elles revinrent lentement vers moi, et reprirent leur place sur les bords de lit. Ce fut María qui prit la parole.
- Donc tu voulais profiter de notre vue. Et qu'aimais-tu regarder? Nos fesses je suppose... Et bien, tu vas les voir de près...
Carmen se leva alors et vint poser son délicieux arrière-train sur mon visage. Je n'attendis pas que l'on me le demande et je me mis à embrasser cette délicieuse chair qui m'était offerte. Elle écarta alors légèrement son string pour me permettre d'embrasser et de lécher son petit trou, pendant que María me branlait doucement. Après quelques minutes de ce traitement, María demanda à échanger les places, ce que les deux filles firent immédiatement. J'appréciais encore plus la forme et la douceur du corps de María, alors que les caresses que me prodigait Carmen étaient tout simplement divines. María semblait assez apprécier le nettoyage que j'effectuais, et glissa deux doigts sous son string. Carmen décida de changer de technique et engloutit mon sexe dans sa bouche. J'étais tout simplement aux anges, je n'avais jamais connu pareilles sensations de toute ma vie. Mais ce n'était pas encore fini. Elles se relevèrent simultanément pour retirer le dernier morceau de tissu qu'elles portaient encore. Elles s'accroupirent alors sur le lit, autour de mon pieu dressé. Elles se rapprochèrent jusqu'à ce que leurs sexes se touchent, seulement séparés par le mien, et se mirent à onduler du bassin, tout en s'embrassant à pleine bouche. La caresse de ces deux pubis complètement trempés, électrisé par le contact de leurs poils, eut rapidement raison de moi. Toute pensée me quitta, pendant quelques secondes, et je jouis trois fois d'affilée.
Lorsque je me fus vidé entre leurs corps, elles s'écartèrent pour me nettoyer à coup de langue de toute la semence dont je m'étais maculé. Elles s'essuyèrent ensuite elles-mêmes avec des serviettes de bains. María prit un air faussement fachée :
- Je vois que tu penses beaucoup à ton plaisir, mais pas à celui des autres.
Carmen prit mon sexe en main, qui ressemblait alors plus à une limace molle et baveuse, et déclara d'un air faussement déçu :
- Et ce n'est pas cette chose qui va pouvoir nous satisfaire...
- Il va falloir trouver quelque chose d'autre, renchérit María.
Elle ouvrit alors un tiroir et en sortit un godemiché dont chaque bout représentait un sexe masculin assez imposant.
- On doit toujours tout faire soi-même, continua María.
Elles se mirent alors chacune à quatre pattes, le derrière juste au-dessus de mon nez, et s'enfoncèrent chacune un des bouts de l'ustensile dans le vagin. Elles se mirent alors à onduler du bassin pour faire rentrer et sortir l'engin de leur corps. Après peu de temps, j'entendais les premiers gémissements, d'abord de María, puis de Carmen. Elles appréciaient tellement leur petit jeu que je sentais bientôt des gouttes tomber de leur vagin sur mon visage. Je m'efforçai alors de recueillir le précieux liquide dans ma bouche. Carmen s'en rendit compte :
- Mais on dirait que notre petit invité à soif...
María se retourna et acquiesça :
- Nous allons satisfaire le monsieur...
Elles se dégagèrent et s'accroupirent au-dessus de ma tête, en se caressant mutuellement le clitoris. Tour à tour, elles approchèrent leur vagin de ma bouche. Je m'efforçais alors de goûter le plus possible de leur précieux liquide. Lorsque l'une d'elle restait plus longtemps à portée de bouche, j'en profitais pour sucer son clitoris ou pour insérer ma langue dans leur vagin. Ce petit jeu eut tôt fait de rendre toute sa vigueur à mon membre. Carmen s'en rendit compte et, pendant que María restait à profiter des bienfaits que lui produigait ma bouche, vint s'empaler sur ma verge. Elle resta un moment immobile, et je savourais la douceur de la chaude humidité de sa petite grotte. Ensuite, elle se mit à bouger le bassin divinement d'avant en arrière. Elle jouit au moment même où je libérais ma semence en elle. Elle se retira, laissant mon membre, encore raide malgré l'effort, pour son amie qui s'y empala. María effectua quelques coups de bassins, mais, trouvant probablement que cela n'était pas suffisant, elle se désengagea, présenta son autre orifice, et y introduisit lentement mon sexe. La sensation à l'intérieur de ce conduit étroit était insoutenable. Nous jouîmes tout deux très rapidement.
Après cela, les deux filles se retirèrent et je les entendis prendre une douche. Complètement exténué par les événements, je m'endormis rapidement...

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Je me réveillais difficilement. Ma tête me faisait mal et tournait. Quelqu'un me soutenait par le dos, mais je ne réalisais pas bien où j'étais. Une voix me demandait si j'allais bien. Emergeant péniblement, je vis un homme, type méditerranéen, espagnol peut-être, m'expliquer qu'il m'avait vu, soudain, à la sortie du tournant, trébucher et me claquer la tête contre le sol. J'avais alors perdu connaissance pendant un temps assez important. L'homme avait voulu alerter les secours, mais, étant étudiant étranger, il ne connaissait le numéro d'urgence dans mon pays. Je me trouvais à l'endroit même où j'avais perdu de vue mes deux anges, mais aucune trâce d'elles. Je rassurai l'homme et lui demandai s'il avait aperçu deux jolies demoiselles. Il me répondit négativement, et je vis dans son visage une lueur d'inquiétude qui me fit comprendre que j'avais dû les rêver. En tout cas, c'était un rêve très agréable et qui paraissait très réel.

Le temps de retrouver mes esprits, je remerciai l'homme et retournai, encore légèrement sonné, chez moi. J'étais bouleversé d'avoir fait un tel rêve qui, s'il aurait comblé Freud, me dérangeait légèrement tellement il était réel. Je me demandai si j'avais rêvé à voix haute, ou si autre chose avait pu, extérieurement, laissé transparaître ce qui m'arrivait en rêve. C'était la première fois que cela m'arrivait, et l'idée que cet homme ait pu seulement voir une gêne dans mon pantalon pendant que j'étais évanoui me perturbait énormément. Perdu dans mes pensées, j'arrivai devant chez moi et fouillai machinalement ma poche pour y chercher mes clefs. Je fus tiré de ma reflexion par le contact avec un morceau de tissu inhabituel dans ma poche. Je plongeais la main, et sortis un magnifique string rouge. Je fouillai alors ma deuxième poche, en y découvrit un string bleu, encore légèrement humide...

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