En me réveillant, je me suis d'abord demandé ce que je
pouvais bien foutre dans cette putain de grange ! J'étais
complètement à poil dans la paille avec un mal de crâne
pas possible. J'ai senti un corps collé contre le mien.
C'était celui de Fred. Complètement à poil, lui aussi. Puis,
je me suis rappelé. Des images un peu floues, d'abord. La
bringue de la veille, chez une copine. Tout le monde avait
picolé sec. Moi, pour commencer. Sono à fond mais pas beaucoup
de gonzesses. Vers une heure du mat, Fred me propose de
bouger et de partir en stop jusqu'à Apt terminer la soirée
dans une boîte de nuit.
Nous étions en pleine campagne, un endroit désert, perdu
dans le Lubéron. Il nous a fallu marcher un quart d'heure
sur un chemin de terre avant d'atteindre la petite départementale.
On se dirigeait comme on pouvait tellement la nuit était
noire. Une heure après, on était toujours comme deux cons,
plantés sur le bord de la route. C'était en plein été mais
il n'y avait pas un chat. Fred était prêt à aller à pied
jusqu'à Apt. Ça faisait pas loin de dix bornes.
Tandis que le jour commence à arriver, les choses me reviennent
un peu mieux. Fred dort comme un vrai bébé, à plat ventre,
les cuisses écartées, un bras replié sous sa tête. Non,
ce n'était pas un rêve. J'ai baisé avec lui. Je me suis
fais enculer par l'un de mes meilleurs amis ! Et je me souviens
avoir beaucoup aimer. Comme lorsque j'ai pris sa queue dans
ma bouche pour la pomper. C'était la première fois que je
suçais un mec.
Maintenant, mes souvenirs sont plus clairs dans ma tête.
Nous n'en pouvions plus de marcher, aussi Fred m'a proposé
de passer la nuit à la belle étoile. Il faisait doux, il
nous suffisait de trouver un champ ou un coin tranquille.
C'est en nous écartant de la route que nous sommes tombés
sur cette grange. On n'y voyait rien à l'intérieur mais
on a tout de suite senti de la paille sous nos pieds. On
s'est allongé mais impossible d'arriver à s'endormir. Fred
était près de moi. Il m'a lancé :
- Pas de chance, ce soir ! Ni l'un, ni l'autre n'aura tiré
son coup ! Pourtant, j'en avais une super envie, pas toi
?
Moi aussi, je comptais bien terminer ma soirée autre part
que dans cette grange. On a continué à parler de cul. J'étais
toujours aussi ivre mais cette discussion s'est mise à me
faire bander. Fred ne pouvait pas voir, à cause de l'obscurité,
ce que j'étais en train de faire. Je lui parlais, la main
glissée sous mon froc, mes doigts palpant ma tige et mes
couilles. Faute de fille, j'avais envie de me branler, de
sortir ma queue et de l'astiquer. Elle était hyper raide.
Soudain, Fred s'est jeté sur moi en me disant :
- Et si tu me servais de nana ! Je trique trop, je n'arrive
jamais à m'endormir !
Je me suis débattu pour lui résister, pensant qu'il plaisantait.
Comme lorsque nous étions internes au lycée et que nous
nous amusions à nous battre dans le dortoir, Fred a eu le
dessus. C'est un mec musclé, hyper sportif. Il fait du tennis,
du foot et pas mal d'escalade. Il est grand, brun, beau
gosse. Après le lycée, nous nous étions un peu perdus de
vue. Lui était parti faire ses études à Marseille et moi
à Avignon. Puis, nous sommes redevenus copains en fréquentant
le même bar d'Apt. Nous avons 24 ans, tous les deux.
Il a réussi à m'immobiliser sur la paille. Il était sur
moi, coinçant mon corps entre ses cuisses et tenant fermement
mes poignets. Il a continué en me demandant :
- Tu n'as jamais baisé avec un mec ?
J'ai répondu que non. Il a ajouté :
- Même pas une petite pipe ?
À cause de l'alcool, je n'arrivais plus à lui résister,
j'étais persuadé qu'il s'agissait d'un jeu. Une chose était
sûre, je n'aurais jamais osé lui avouer que cela m'arrivait,
de temps en temps, de me branler en fantasmant sur des trucs
entre mecs. J'ai senti soudain qu'il cherchait ma bouche
pour m'embrasser. Cette fois, j'ai compris qu'il était sérieux.
J'ai détourné mon visage. J'avais l'impression de lutter
contre en fantôme dans cette grange obscure. Fred riait.
- Baiser entre mecs, c'est meilleur qu'avec une nana, crois-moi
! Tu préfères quoi ? Que je t'encule ou que tu m'encules
?
Moi, je lui répétais toujours la même phrase :
- Arrête ! Déconne pas !
Tout en me maintenant immobilisé, il a lâché l'un de mes
poignets pour plaquer sa main entre mes cuisses. Il m'a
tout de suite traité de salopard en trouvant ma bite raide
sous ma braguette. Je n'avais pas débandé et il s'est mis
à me palper les couilles et le manche avant d'entreprendre
de défaire mon froc. En fait, je n'étais pas mécontent qu'il
me mette la bite à l'air. J'avais envie de baiser et l'alcool
allait m'aider à réaliser ma première expérience homo. Sans
la moindre culpabilité. La culpabilité n'est arrivé que
ce lendemain quand j'ai vu Fred, allongé nu dans la paille,
et que j'ai réalisé que je m'étais envoyé en l'air avec
lui.
Mais sur le moment, j'étais prêt à tout. Mes dernières résistances
ont sombré quand sa main s'est mis à faire coulisser ma
pine entre ses doigts. Dés lors, je me suis laissé faire.
Il s'est déshabillé et m'a aidé à me foutre complètement
à poil. Cette fois, je n'ai pas refusé sa bouche quand il
a cherché à m'embrasser. Il a pris ma main pour la diriger
vers sa queue. J'ai senti sous mes doigts une bite tiède,
assez épaisse et qui me paraissait bien plus longue que
la mienne. Cela m'a excité de branler sa tige. Lui, il s'occupait
de la mienne. C'était étrange comme sensation. On ne se
voyait pas, on s'entendait seulement respirer et gémir.
J'ai entendu Fred me murmurer :
- Suce-moi, j'en ai très envie.
J'ai gardé sa queue dans ma main tout en me glissant entre
ses cuisses. Le gland dégageait une légère odeur épicée.
J'ai commencé par passer ma langue dessus puis, à faire
glisser son manche entre mes lèvres. J'ai léché ses couilles
et j'ai encore pompé sa queue. Fred me guidait, il me disait
comment il aimait qu'on lui fasse les choses. Je l'écoutais
et je m'efforçais de m'appliquer. Il m'a demandé de lui
passer ma langue sur le cul et je n'ai pas hésité à écarter
ses fesses pour le lécher bien au milieu. Je me laissais
aller complètement mais j'ai pris encore plus de plaisir
quand je me suis retrouvé en 69 sur lui. Fred m'a sucé encore
mieux qu'une nana. Il me prenait tout entier entre ses lèvres
et me pompait en malaxant mes burnes. Puis, il s'est occupé
de mon cul, le mouillant de salive, dardant sa langue à
l'intérieur, enfonçant un premier doigt puis un second.
C'était si puissant comme sensation que je me suis redressé
et que j'ai empoigné mes fesses pour bien les lui écarter
et pour qu'il puisse me doigter encore plus.
Quand il m'a demandé pour m'enculer, j'ai répondu oui, sans
réfléchir. Il m'avait tellement bien chauffé le trou du
cul que je me sentais prêt à recevoir sa grosse bite. Il
m'a demandé de me placer à quatre pattes et il s'est posté,
à genoux derrière moi. J'étais hors de moi. Il m'a encore
léché l'anus, le lubrifiant abondamment. J'avais hâte de
me faire sauter, de me faire élargir encore plus par sa
belle lime. Il s'est amusé à glisser son gland dans ma raie
avant de l'immobiliser sur ma pastille. Je n'ai pas pu m'empêcher
de crier quand il a commencé à me forcer. Ça brûlait. Fred
a attendu quelques secondes avant de s'introduire plus en
avant. J'avais très mal, je pensais que je ne serais pas
capable d'en supporter plus. Je lui ai demandé de se retirer
mais Fred m'a répondu :
- Aide-moi ! Ouvre-moi ton cul ! Comme quand tu es aux chiottes.
Pousse avec ton cul !
J'ai fait ce qu'il m'a demandé et il s'est enfoncé plus
en avant. La sensation cuisante était toujours là mais Fred
a réussi à m'emmancher complètement. Il ne s'est pas mis
à bouger tout de suite. Il s'est penché sur moi, a glissé
sa main entre mes cuisses et s'est mis à me branler. Le
plaisir que me procurait ses doigts m'a permis d'oublier
aussitôt les premiers inconforts que je ressentais par derrière.
Peu à peu, il a commencé à aller et venir. D'abord, avec
douceur. Il a attendu que je gémisse, que je lui dise que
c'était très bon pour m'enculer plus sèchement. Au bout
d'un moment, il s'est complètement déchaîné entre mes fesses
et j'ai vraiment eu l'impression de jouir avec ma bite et
mon trou du cul quand j'ai déchargé sur la paille. Fred,
lui, a crié en jutant, puis il est retombé sur moi. Nous
avons fumé une cigarette. J'étais bien, j'avais un peu mal
entre les fesses mais je ne regrettais pas du tout d'avoir
baiser avec lui. On s'est achevé dans un dernier 69 et,
épuisés, nous nous sommes enfin endormi.
Voilà ce que j'avais fait cette nuit ! Les images se bousculaient
comme des petits flashs. Fred s'est réveillé au moment où
je cherchais mes vêtements pour me rhabiller. Je me suis
senti très mal à l'aise, lui me souriait. Il m'a demandé
:
- Tu ne veux pas remettre ça, avant de passer ton slip ?
J'ai toujours une super trique quand je me réveille.
Il s'est tourné et m'a montré sa queue raide, plaquée sur
son ventre. Je l'avais branlée cette nuit, sucée, prise
dans le fion mais je ne l'avais encore jamais vue. Je lui
réponds que non, que j'avais vraiment trop bu hier soir,
qu'il fallait oublier tout ce qui s'était passé entre nous.
Fred a insisté. De voir sa queue aussi raide avec le gland
bien décalotté, j'ai eu encore envie de la sucer. Je me
suis mis à bander, moi aussi et, bien que dans un état très
vaseux, nous nous sommes payé un nouveau 69 avant de quitter
la grange. Putain, les mecs c'est bien plus hot que les
nanas !!!
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