La soirée était organisée dans une belle maison bourgeoise,
de style néo-classique, isolée dans une bourgade paisible
située à une trentaine de kilomètres de Tours. Bref, le
lieu idéal pour une partouze de bon ton pour personnes bien
sous tout rapport. Nous y avions été invités, Caroline et
moi, par un couple d'amis rencontrés lors de nos dernières
vacances à Cap d'Adge dans une boîte échangiste. Ils étaient
originaires de Tours et nous n'avions pas manqué de leur
indiquer qu'il était probable que, prochainement, nos destins
se croisent, dans la mesure où un déménagement en Touraine
se précisait pour nous. Sitôt aménagés dans une confortable
maison de banlieue, nous avions décidé rapidement de contacter
les M*** afin de se revoir et de pimenter quelques-unes
de nos soirées d'automne. Même si les parties à quatre peuvent
être sympathiques, d'autant que nous étions dans la même
tranche d'âge, celle de ceux qui approchent de la quarantaine,
elles ne pouvaient nous satisfaire pleinement. Notre préférence
allait vers ces soirées-partouzes où la convivialité apparaissait
un peu plus présente. Ainsi les M... nous introduisirent-ils
rapidement là où il faut être pour participer à ce genre
de fête. Ils nous présentèrent à Cora et Steeve, les deux
gentils organisateurs, et nous fîmes bonne impression. Quelques
semaines plus tard, nous roulions, plan en main et mot de
passe dans la tête, en direction de la charmante bâtisse
où la partie allait se dérouler. J'étais parfaitement décontracté.
Caroline était particulièrement belle, ce soir. Elle portait
un ensemble tailleur plutôt sobre et ajusté, des bas résille,
et un petit string particulièrement original, car constitué
d'un mince tissu noir agrémenté de vraies perles comme incrustées
entre les fibres. Nous avions acheté ce string lors de vacances
au Maroc et Caroline l'aimait beaucoup. Et, bien sûr, pas
de soutien-gorge, trop long et trop fastidieux à retirer.
Caroline savait que, pour ce type de soirées, il valait
mieux pouvoir se déshabiller rapidement sans être embêté
par du superflu compliqué.
J'avais, de mon côté, opté pour une tenue simple et décontractée,
un peu sportive : chemisette blanche, pantalon de toile
crème, chaussures de style tennis mais habillées, et shorty
de couleur gris clair. En arrivant, nous sommes passés sous
un magnifique porche en pierre avant de pénétrer dans une
grande cour où une quinzaine de véhicules étaient déjà stationnés.
Après avoir garé la voiture là où il se doit, nous nous
sommes approchés de la porte d'entrée. Un homme, qui devait
faire office de majordome, nous demanda notre nom ainsi
que le précieux sésame. Il prit ensuite nos vêtements et
nous invita à entrer dans la demeure.
Pour pouvoir correctement participer à une partouze, il
faut déjà bien repérer les lieux. Nous avons pénétré dans
un premier temps dans la pièce à droite du vestibule. C'était
un vaste salon où des canapés étaient disposés d'une façon
qui, dans un premier temps, apparaissait anarchique, mais
qui obéissait à la règle fondamentale du « voir-vu ». Quelques
couples commençaient à se bécoter çà et là, mais la soirée
n'était pas encore vraiment lancée. Au bout de cette pièce,
au prix d'un cheminement subtilement tracé entre les canapés,
nous atteignons une nouvelle pièce qui se révèle être le
bar. C'est pour beaucoup un lieu fondamental dans la mesure
où une dose d'alcool non négligeable reste nécessaire pour
beaucoup afin de rester « zen » en toutes circonstances
(notamment quand on voit sa femme en charmante compagnie).
Trois autres pièces étaient accessibles au rez-de-chaussée,
trois petits salons semblables (en plus petit) à celui que
nous venions de traverser et une pièce, pourtant indiscutablement
de grande taille, semblait inaccessible aux convives. Étrange.
À l'étage, une douzaine de chambres étaient destinées aux
envies plus personnalisées ou aux fantasmes peu propices
à l'exhibition. Caroline et moi, nous avons commencé à boire
chacun un bon whisky-coca en observant ce qui se passait.
Nous cherchions nos amis, mais cela devenait de plus en
plus difficile, car les couples arrivaient en masse. J'aperçus
un moment Mme M***, mais elle était déjà en train de s'occuper
d'un monsieur qui, visiblement, n'était pas son mari. Trop
tard pour les formalités d'usage. Je regardais Caroline
et, sans même se parler, on convînt tacitement que c'était
le moment de se séparer et de partir à l'aventure. Je fis
à Caroline un petit bisou dans le cou, et elle s'éloigna
en se faufilant entre les groupes plus ou moins bien formés.
Je décidai de mon côté de retourner prendre un petit « drink
» au bar.
Mon histoire
Après avoir un ou deux petits whiskies bien tassés, je
commençais à me sentir dans un état serein, préalable en
général à l'ivresse. J'avais décidé, avant de consommer
un peu plus, de me balader de salon en salon et d'observer
les coutumes locales. Dans le premier salon, juste à côté
du bar, l'ambiance était très dominant-dominé. Une jeune
femme, vingt-cinq ans peut-être, était fessée par un homme
athlétique pendant qu'elle suçait un autre homme. Je remarquais
un homme un peu l'écart qui observait la scène et qui, visiblement,
avait beaucoup de mal à retenir son envie de se caresser.
Les pièces étaient suffisamment vastes pour que de petits
groupes puissent « s'éclater » de façon quasi indépendante.
Dans l'entrée, j'aperçus une très belle métisse qui léchait
les couilles de Mr M***. Tout se passait donc bien pour
lui. Entrant dans un petit salon près de l'entrée, j'aperçus
ma femme qui s'occupait d'un superbe mec de type latino.
Elle le suçait avec ce mélange de douceur et de détermination
qui, au lit, faisait tout son charme. Caroline avait toujours
eu un faible pour les sud-américains machos, elle n'avait
pas raté l'occasion de combler l'un de ses plus vieux fantasmes.
Je m'éclipsai rapidement. Bien qu'habitué aux partouzes,
il n'est pas forcément agréable de voir sa femme se faire
baiser, surtout par un hidalgo beau, jeune et sûrement bien
plus performant que moi.
J'entrai dans un nouveau salon à la décoration baroque
: velours rouges et meubles en bois vernis. Je m'assis sur
une banquette inoccupée, observant çà et là les couples
se caresser et s'embrasser. Une fille blonde vint se pelotonner
à côté de moi. J'étais surpris : c'était quand même assez
rare, même dans ce genre d'endroit qu'une femme aborde aussi
ouvertement un inconnu. Elle portait une robe rouge très
courte, qui laissait apparaître un string-ficelle de la
même couleur. Mes yeux se fixèrent un moment sur son décolleté
laissant apparaître une poitrine généreuse.
- Je suis une amie de Mme M***. Elle m'a beaucoup parlé
de vous.
Vu que je connaissais essentiellement le derrière de notre
connaissance commune, j'imaginais assez bien quel pouvait
être le sujet de conversation à mon sujet.
- Comment t'appelles-tu ? dis-je, me permettant le tutoiement.
- Je m'appelle Véronique, me répondit-elle en se glissant
entre mes jambes.
Elle baissa la fermeture Éclair de mon pantalon, dégagea
mon sexe, puis s'agenouilla et le prit immédiatement en
bouche. J'étais stupéfié par cette spontanéité, mais également
pas malheureux de ne pas avoir à chercher de partenaire,
vu mon début d'ébriété. Pendant que la jolie blonde me suçait
la queue, j'essayais le plus possible de reprendre mes esprits
pour ne pas donner une trop mauvaise impression. Interrompant
un instant sa merveilleuse caresse, Véronique leva les yeux
vers moi et dit, tout doucement :
- Tu aimes ?
Qui n'aimerait pas cela ? Elle me pompait avidement tout
en me jetant de petits regards lubriques.
- Oui, réussis-je à prononcer en articulant le plus possible.
- Moi aussi, répondit-elle. J'aime le goût de ta queue.
Avec de reprendre ma queue en bouche, elle me gratifia
d'un sourire enjôleur, montrant par là qu'elle maîtrisait
la situation. Sentant mon désir monter à vue d'œil,
Véronique interrompit un instant sa caresse, se leva du
canapé, puis retira sa petite robe rouge tout en m'interrogeant
du regard.
- Alors, comment tu me trouves ? dit-elle tout en me présentant
son corps dénudé.
- Tu es magnifique. J'ai terriblement envie de toi.
Comme réponse, elle me chevaucha et prit mon sexe dans
sa main de façon à le diriger vers sa fente. Puis elle plia
les genoux et s'assit sur moi. Je sentais ma queue pénétrer
à l'intérieur de son sexe brûlant. Elle commença sur moi
un va-et-vient très agréable. Il faut bien l'admettre, mon
état ne me permettait pas de faire grand-chose et je me
laissais complètement aller, laissant ma compagne entièrement
libre de faire ce que bon lui semblait. Quelle chance d'avoir
pu trouver une maîtresse aussi entreprenante ! Elle posa
sur ma bouche un petit baiser, puis approcha ses lèvres
de mon oreille et me chuchota :
- Tu aimes baiser une jolie blonde comme moi ?
- Oui, murmurai-je. Oui, j'adore te baiser.
- Tu sais, on se connaît déjà un petit peu...
Sa phrase me fit sursauter. Elle souriait avec malice,
je regardais son visage tout en me scrutant la mémoire pour
savoir si je l'avais déjà vu. Se cambrant un peu plus, elle
ondulait de plus en plus violemment sur ma queue. Elle me
regarda de nouveau tout en se caressant les seins d'une
façon particulièrement érotique.
- Non, non, ne cherche pas vers Mme M***. Tu ne te souviens
pas de moi, hein. Mon visage ne te dit rien ? Je pensais
que tu étais plus sensible aux charmes féminins.
Elle ferma les yeux et continua à remuer sur moi. Je sentais
que ma jouissance n'allait plus tarder, maintenant. Elle
passa sa main droite derrière elle, puis vint tout doucement
me caresser les couilles. Ce geste fut comme un coup de
grâce. Ne pouvant retenir un léger râle, je jouis au fond
d'elle avec une intensité que je n'avais pas connue depuis
longtemps. Elle vint s'asseoir tout près de moi pendant
que j'essayais de retrouver mes esprits.
- Tu ne te rappelles pas. Pourtant, j'ai postulé récemment
à un poste de secrétaire dans ton agence. Tu m'as reçue
en entretien.
Elle approcha son visage à quelques centimètres du mien
puis posa un doigt sur ma bouche, tout en me chuchotant
à l'oreille :
- Tu m'as dit que je n'avais pas assez d'expérience pour
ce poste. Je crois que tu n'as pas été très malin, sur ce
coup-là.
Elle se blottit contre moi. Je restais un peu interloqué
par ce qu'elle venait de me dire. J'observais, avec toute
l'attention que j'étais capable de fournir, le visage de
Véronique et, effectivement, je reconnus celle qui était
venue, il y a quelques semaines dans les bureaux de l'agence..
Elle leva, de nouveau, les yeux vers moi, puis me dit :
- Maintenant que tu as bien joui et que tu es un peu reposé,
tu devrais peut-être t'occuper de moi. J'adore jouir sous
la langue d'un homme comme toi.
Elle pivota sur le canapé et s'installa à genoux, cambrée,
dans l'attente de la caresse. L'idée de lécher cette ravissante
croupe m'excitait beaucoup, et je sentais mon sexe reprendre
de la vigueur après l'assaut furieux de tout à l'heure.
Me sentant encore passablement éméché, je fis un gros effort
pour me lever puis pour me positionner derrière elle, genoux
à terre, prêt à combler son désir. Sa chatte était gluante
de sperme ; heureusement, en parfait connaisseur, j'avais,
dans la poche arrière de mon pantalon, quelques mouchoirs
en papier toujours utiles dans ces soirées. Avec délicatesse,
j'essuyai les traces de nos ébats précédents. Puis, de mes
deux mains, j'écartai ces deux fesses magnifiques, révélant
son intimité, puis je plongeai ma langue dans sa fente détrempée.
Elle tremblait légèrement, de plaisir. J'enfonçai ma langue
au plus profond d'elle-même, goûtant toutes les saveurs
mélangées. Je me doutais bien qu'elle souhaitait également
que j'aille titiller son petit cul, mais auparavant ma langue
s'attarda sur la petite surface entre sa chatte et son cul.
Par moments j'essayais de la regarder, et je voyais bien
qu'elle gardait les yeux fermés afin de profiter au maximum
du plaisir offert. Sentant son désir monter, je me jetai
avec avidité sur son cul, léchant son petit œillet,
forçant ses défenses avec ma langue. Elle jouit en se tortillant
violemment, s'affaissant sur le canapé comme si ses jambes
ne pouvaient plus la porter. À peine remise de ses émotions,
elle me dit :
- Tu m'as bien léché le cul, petit salaud. Je considère
que c'est ma petite vengeance personnelle.
- Tu sais, le poste est toujours disponible ; je pourrais,
peut-être, revoir ma décision.
Elle me regarda en souriant :
- Ne t'inquiète pas pour moi, j'ai trouvé un nouveau boulot
et je ne pense pas que mon chef souhaite que je parte rapidement.
Elle se rhabilla, me posa un petit bisou sur le front,
me chuchota un « au revoir », puis disparut sans que j'aie
le temps de réagir. Je restai pendant quelques instants
à méditer sur le canapé avant de prendre la direction du
bar : l'amour donne soif.
En m'asseyant sur l'une des chaises hautes, je remarquai
en jetant un coup d'œil à la pendule surplombant le
bar que mes escapades avec la jolie Véronique avaient duré
fort longtemps. Je jetai quelques regards çà et là sans
apercevoir Caroline : elle devait folâtrer quelque part
dans cette grande maison. Je commandai un cognac au barman.
J'avais à peine bu quelques gorgées du précieux nectar qu'un
majordome s'approcha du comptoir et, s'adressant aux quelques
soiffards qui trônaient près du bar, dit :
- Messieurs, la foire va bientôt débuter.
Puis il répéta son invitation aux autres groupes plus ou
moins formés de la pièce. N'ayant aucune idée de ce que
pouvait être cette foire, j'interrogeai mon voisin de droite.
- Excusez-moi, mais de quoi s'agit-il ?
- C'est votre première soirée ? répondit en ricanant l'alcoolo.
Puis il porta à sa bouche le verre qu'il tenait et ajouta,
le gosier de nouveau opérationnel :
- Je suis désolé. Pour les nouveaux, c'est une surprise.
C'est un peu la spécialité de la maison. Je vous conseille
d'y assister, c'est quelque chose de très "spécial", comment
dire...
Il éclata d'un rire gras. Je décidai de m'éclipser rapidement
et de suivre les participants à cette étrange manifestation.
En atteignant le hall d'entrée, je vis que la porte de la
pièce qui était fermée tout à l'heure était maintenant ouverte.
Deux majordomes, à droite et à gauche de l'encadrement,
semblaient contrôler l'entrée des participants. J'essayai
de repérer si je voyais Caroline dans la masse de personnes
qui entraient dans cette pièce, mais je ne la vis pas. À
mon tour, en suivant un petit groupe de personnes, j'entrai
dans la salle. J'eus l'impression que l'un des majordomes
m'avait fait un clin d'œil, mais c'était peut-être
une illusion due à l'alcool.
Comme je l'avais remarqué lors de ma première visite, en
début de soirée, la pièce était très grande et avait une
configuration étrange. Elle avait, en quelque sorte, la
forme d'un immense fer à cheval. Le long de la bordure extérieure
étaient installés de nombreux canapés où, déjà, nombre de
convives étaient assis. Mais mon attention fut plutôt focalisée
sur l'intérieur du fer de cheval qui était aménagé de façon
très surprenante. Des sortes de petites stalles, environ
une vingtaine, avaient été aménagées en demi-cercle et,
à l'intérieur de celles-ci, se trouvaient des sortes de
bancs assez étroits qui tous s'orientaient vers le centre
du « fer à cheval ». Une mince barrière en fer forgé séparait
les stalles et l'espace extérieur de la pièce. Un petit
couloir étroit le long de celle-ci permettait d'accéder
aux stalles. Manifestement, la foire n'était pas une immense
partouze entre un grand nombre de convives, comme je l'avais
d'abord imaginé. L'ensemble de la pièce, peu éclairée, baignait
dans une atmosphère un peu surréaliste avec sa décoration
feutrée et chargée, faite de rouge et de vert, et son aménagement
si particulier.
J'aperçus une place sur un canapé, il n'en restait plus
beaucoup et, profitant de l'aubaine, je m'assis pour attendre
la suite des évènements. Il ne restait plus beaucoup de
places dans l'espace réservé aux convives quand les deux
majordomes fermèrent la porte d'accès. J'étais vraiment
intrigué par ces stalles qui étaient vraiment de petite
taille, notamment pour faire l'amour, et je me demandais
ce qui allait se passer maintenant. Nous fûmes d'un coup
plongés dans la quasi-obscurité et une voix sortant d'un
haut-parleur interpella les invités. Le silence se fit dans
l'assistance.
- Mesdames, Messieurs. Vous allez assister à la foire,
petite spécialité de la maison. Nous vous demandons de rester
silencieux pendant la représentation. Et bonne soirée...
J'entendais des mouvements dans le couloir près des stalles,
des participants semblaient se positionner, puis la lumière
revint brusquement, éclairant assez fortement le petit couloir
d'accès. Ce que je vis à ce moment était particulièrement
excitant. Sur chacun des bancs était installée une femme
qui s'était installée à genoux, en levrette, les jambes
légèrement écartées. La lumière, sous la forme de spots
judicieusement placés, ainsi que l'étroitesse des stalles
ne permettait d'apercevoir que les jambes, les fesses et
le bas du dos des participantes. De même, elles ne pouvaient
à priori se retourner, laissant ainsi leur sexe à la merci
d'éventuels prétendants.
Je voyais donc devant moi un alignement de culs nus ou
à peine revêtus d'un string. Parmi ceux que j'apercevais,
il y en avait pour tous les goûts : de beaux culs ronds
à la peau mate, d'autres plus fins, plus clairs ; certains
étaient en forme de poire, d'autres assez musclés, comme
la fille qui s'exhibait juste en face de moi. L'ensemble
du tableau était étonnant et un peu fascinant. Le spectacle
n'avait rien de statique : autour de chaque femme, un ou
plusieurs hommes s'activaient, comblaient leurs désirs avec
toute l'attention possible. Mon regard s'arrêta un moment
sur le cul d'une femme à la peau blanche comme du lait,
qui se faisait lécher le sexe par un bel apollon. Un deuxième
homme s'approcha d'elle et lui inséra dans l'anus un godemiché
de fort belle taille. Elle ondulait de plaisir.
Mon regard se posait çà et là sur ces culs exhibés et je
me laissais envahir pour une autre forme d'ivresse, celle
du regard. Juste en face du canapé où j'étais assis, une
femme se faisait prendre avec douceur par son chevalier
servant. Puis une pointe d'angoisse me figea : le string
de la femme qui était baisée sous mes yeux était celui de
Caroline : cette femme, c'était la mienne. J'essayais de
rester serein, tranquille, mais voir ma femme ainsi exhibée
devant tout le monde me gênait sans que je puisse contrôler
mes émotions. Certes, nous avions l'habitude de ce genre
de soirée, je savais qu'elle allait prendre son pied tout
comme moi. Mais, devant cette mise en scène extraordinaire
où elle se donnait d'une façon peu commune, je n'arrivais
pas à me calmer.
Quelques minutes passèrent. J'essayais de ne pas trop fixer
mon regard sur Caroline, mais c'était très difficile. Au
moment où je m'évertuais à reprendre tout mon flegme (si
j'ose dire), le bellâtre sortit son membre vigoureux du
sexe de ma femme, donna deux ou trois petits coups de queue
sur ses fesses et planta sa queue dans l'anus offert. C'était
la première fois que je voyais Caroline se faire enculer
par un autre homme, et mon émotion, que je ne saurais décrire,
était à son comble. Je tentais de me lever pour quitter
la salle quand, brusquement, au moment où on percevait des
petits cris de jouissance, l'obscurité envahit de nouveau
la pièce, interrompant l'exhibition charnelle. Une nouvelle
fois, la voix métallique annonça :
- Mesdames, Messieurs. Maintenant que vous avez pu observer
les courbes de toutes nos participantes, l'heure du choix
est venue...
On ralluma le couloir et le silence se fit dans l'assistance.
Pendant quelques instants, rien ne se passa : la tension
était palpable. Puis j'entendis le bruit d'une porte qui
grince et un homme pénétra dans le petit couloir qui reliait
les stalles. De la foule se firent entendre quelques murmures
d'étonnement. Ma voisine de droite poussa un petit cri de
stupéfaction. L'homme en question ressemblait à certaines
sculptures grecques. Il était entièrement nu. Son corps
était incroyablement musclé, laissant présager une force
étonnante. Sa peau était très mate mais pas totalement noire,
un peu dans le style de certains hindous. Il me semblait
gigantesque, probablement plus de deux mètres, avec de longues
mains et des jambes interminables.
Mais, plus que son corps parfait, ce qui avait impressionné
l'assistance était son sexe, totalement en érection, qui
nous apparaissait dans toute sa splendeur. Il était énorme,
d'une longueur incroyable et d'une taille imposante. Des
veines saillantes en renforçaient l'aspect bestial. Face
à ce spectacle, mon émotion se transformait en une espèce
d'angoisse et j'étais figé sur le canapé, tétanisé par la
tension. Mon érection me faisait mal. L'homme marchait doucement
le long des stalles et observait ces corps de femme offerts
à son désir. Il s'approchait parfois, posait son immense
main sur l'une des femmes puis repartait.
Il passa devant Caroline, toucha son corps, approcha son
énorme sexe de sa fente puis continua. Il ne semblait pas
pressé de faire son choix. Il disparut de mon champ de vision.
Une rumeur commençait à monter dans l'assistance. Puis il
réapparut, toujours impressionnant, revint sur ses pas puis
s'arrêta devant le box de Caroline. Il leva un doigt vers
le ciel comme pour montrer que son choix était fait. J'étais
pétrifié par ce que je voyais. Cet homme au corps de pierre,
si beau qu'il en paraissait effrayant, allait baiser ma
femme ! Toutes les stalles s'étaient subitement éteintes,
sauf celle de Caroline. La foule commençait à réagir, ne
parvenant pas à maintenir le silence. On attendait fuser
des « baise-la », des « défonce-la » étouffés. L'homme se
plaça derrière Caroline, écarta de ses deux grandes mains
les fesses offertes, arracha le string et planta sa queue
dans la fente trempée de ma femme. Il la baisait à fond
et je l'entendais gémir de plaisir. La foule était redevenue
silencieuse, ce qui augmentait mon angoisse. Caroline paraissait
minuscule sous cette montagne de muscles. J'étais fasciné
par ce spectacle, par la vision de ce sexe mat qui entrait
et sortait de la fente rasée que je connaissais si bien.
Les muscles des fesses tendus, il ne modérait pas ses coups
de reins tout en augmentant la cadence. Puis il se retira.
L'homme se retourna vers les spectateurs, tenant son sexe
tendu par la main, défiant l'assistance. Et la foule, pas
encore rassasiée du spectacle, l'exhortait avec force.
- Dans le cul, dans le cul, entendait-on partout.
L'homme se retourna et se replaça en levrette au-dessus
de Caroline. Il écarta de ses mains le cul de ma femme et
cracha sur son oeillet déjà malmené lors du précédent assaut.
D'une main, je le voyais placer sa queue sur la rondelle
offerte... Je ne pouvais plus regarder. Presque par instinct,
je fermai les yeux le plus fort possible. La foule était
maintenant totalement surexcitée et criait dans tous les
sens, encourageant l'homme. Malgré le brouhaha d'ambiance,
j'entendais parfaitement les petites claques que l'homme
administrait aux fesses de Caroline qui réagissait maintenant
par des cris de douleur ou de plaisir.
- Encule-la, défonce-la, hurlaient les spectateurs.
Entendre sans voir est pire que tout et je ne pus résister
au désir de voir. Quand j'ouvris les yeux, je vis le bellâtre
sodomiser ma femme avec une intensité incroyable. Son sexe
allait et venait de toute sa longueur à l'intérieur de son
cul. Elle poussait des râles de douleur, de jouissance ou
des deux, si forts que toute l'assistance, pourtant bruyante,
l'entendait. Elle se caressait intensément la chatte, accompagnant
parfois de la main le sexe de son amant. Puis elle jouit
avec force, hurlant son plaisir, et s'affaissa sur le banc,
ses jambes ne la portant plus. Fier d'avoir provoqué un
si violent orgasme, l'homme arrêta ses va-et-vient. Il enfonça
une dernière fois son vit tout au fond du cul dilaté, puis
se retira. Il se mit debout et, de ses bras puissants, il
souleva le corps de Caroline, l'obligea à écarter les jambes
et à montrer son sexe et son cul au public. La vision de
ce cul béant était à la fois une vision horrible et terriblement
excitante. L'homme se plaça juste derrière elle, se masturba
puis jouit intensément, barbouillant les fesses, la chatte
et le cul de Caroline de son jus abondant. L'assistance
applaudit à sa juste valeur cette performance. L'homme salua
la foule puis se retira par la même petite porte par laquelle
il était venu. Le spot éclairant le box de Caroline s'éteignit
et la voix métallique demanda aux gens de quitter la pièce.
Je profitai de l'obscurité pour me glisser vers les portes
d'accès et quitter cette maudite pièce.
Complètement désespéré, je me dirigeai vers le bar où je
repris un double cognac puis, ne trouvant rien de mieux
à faire, je m'écroulais sans force sur le premier divan
libre qui accrocha mon regard. Je m'endormis avec la vision
de ce cul offert accompagné par le cri de jouissance de
Caroline qui, comme un disque rayé, repassait indéfiniment
dans mon esprit.
Son histoire
Ce soir, je me sentais bien, prête à toutes les extravagances.
Je venais juste de quitter Pierre et me dirigeais vers un
petit salon près de l'entrée où j'avais repéré tout à l'heure
un groupe de jeunes hommes plutôt sexy. J'entrai dans un
petit salon et j'aperçus cinq ou six hommes, tous plus mignons
les uns que les autres. Ils avaient trois ou quatre minettes
assez aguicheuses qui tentaient de s'incruster. Et puis
je tombai sur lui, l'homme mes fantasmes, un magnifique
hidalgo péruvien aux cheveux longs. Il était beau comme
un dieu avec sa peau mate et ses yeux noirs. Je sentis mon
cœur battre la chamade et mon désir grimper en flèche.
Je m'approchai de lui et attaquai la conversation bille
en tête. Il s'appelait Diego et était originaire du Costa
Rica. Il parlait mal le français et notre conversation paraissait
bien étrange dans cette salle où l'ambiance commençait à
surchauffer. Mes yeux se fixèrent sur son regard de braise
et je me collai contre son corps. Il me prit entre ses bras
et posa sa main sur mes fesses. À ce moment-là, je sus que
c'était gagné, que j'avais su capter son désir. Juste à
notre droite, une jeune demoiselle, de vingt ans peut-être,
se faisait caresser par deux gaillards particulièrement
déterminés.
Il commença à jouer avec ma jupe et mon string, exhibant
mon cul à tous, tout en m'embrassant. Je n'étais pas gênée,
au contraire : quand ma libido est décuplée comme à ce moment-là,
j'adore montrer mon corps au plus grand nombre. Diego était
tellement grand qu'il devait se courber un peu pour se mettre
à mon niveau et me caresser les fesses. Il prononçait des
petits mots en espagnol que je ne comprenais pas mais, à
son ton, j'imaginais que c'était un peu plus cru que des
mots tendres. La façon dont il posa la main sur ma nuque,
appuyant avec force, indiquait qu'il voulait que je passe
à la vitesse supérieure, ce qui était, de toute façon, mon
intention. J'imaginais que nous allions nous isoler dans
une des nombreuses chambres de la maison, mais Diego ne
semblait pas vouloir bouger.
Je me mis à genoux devant lui et commençai à défaire son
pantalon pour atteindre son sexe. Sa main droite était toujours
posée sur ma nuque avec une légère pression incitative :
cette approche « macho » n'était pas, à cet instant précis,
pour me déplaire et correspondait bien à l'image de mon
fantasme. Je préférai retirer complètement son pantalon,
pour qu'il soit plus à l'aise. Il portait un boxer-short
sexy qui moulait parfaitement ses formes. La « bosse »,
qui était maintenant à hauteur de son visage, m'apparaissait
énorme, ce qui augmenta encore mon excitation. Je le caressai
de mes doigts à travers le tissu : son sexe me semblait
déjà gonflé, énorme. Je baissai d'un geste assez vif son
boxer-short et je découvris sa queue qui était plus belle
que tout ce que j'aurais pu imaginer. Elle était grosse,
longue, toute mate... le rêve. Je commençai par donner quelques
petits coups de langue sur le bout de son gland, avant d'engager
ce membre tout chaud au fond de ma bouche. C'était bon de
découvrir une nouvelle queue, un nouveau goût. Diego se
laissait complètement faire, c'était divin. Pendant quelques
instants, je sortis de l'état second où m'avait entraînée
mon désir pour regarder un peu autour de moi. Une dizaine
de personnes, surtout des hommes, nous regardait et cela
décupla mon énergie.
C'était la première fois que je faisais l'amour devant
autant de monde : les fois précédentes, nous allions systématiquement,
mon amant d'un soir et moi, nous réfugier dans une chambre
privée. Cette situation me donnait la chair de poule. Je
sentais aux petits mouvements de sa queue que sa jouissance
était proche. Je me relevai et me blottis contre lui. Dans
un mouvement incroyablement érotique, il posa ses mains
sur mes fesses et me souleva sans difficulté. J'entourais
mes jambes autour de sa taille. Il me porta jusqu'au canapé
le plus proche et m'allongea dessus. Je retirai rapidement
le peu de fringues que je portais, à l'exception des chaussures,
pendant qu'il enfilait un préservatif. Mon désir de lui
était intense. Il se plaça à genoux devant moi, prit entre
ses mains mes deux jambes qu'il écarta avec vigueur et me
pénétra. La seule sensation de sa queue en moi provoqua
un premier orgasme. Puis il entra au plus profond de moi.
Je regardais ses yeux bruns pendant qu'il me baisait. Lui
aussi me provoquait du regard semblant me dire « Tu es à
moi maintenant. Je peux faire de toi ce que je veux. » Rien
qu'en pensant à cela, j'eus un second orgasme. D'un petit
geste sur une cuisse, Diego me fit comprendre qu'il souhaitait
maintenant voir ma croupe. Je me retournai et m'installai
à genoux sur le canapé dans une position un peu acrobatique.
Il me prit vigoureusement en levrette, position que j'affectionnais
particulièrement. Autour de nous, une pléiade de personnes
nous regardait, j'aperçus même un homme qui commençait à
se caresser. Diego me prenait violemment de toute la longueur
de sa queue. Puis il se retira de moi, arracha son préservatif
et posa sa queue toute raide sur mon cul. Un homme s'approcha
de moi et me chuchota à l'oreille :
- Ecarte tes fesses, poupée.
Dans une position de soumission que j'appréciais, surtout
là, je posai mes mains sur mes fesses et les écartai au
maximum. Montrer mon intimité à tous était pour moi une
source d'excitation incroyable. Diego ne tarda pas à déverser
sa semence sur mon cul, barbouillant de son jus ma rondelle.
Je jouis une nouvelle foi de façon violente. Je mis plusieurs
secondes à retrouver mes esprits. En me retournant, je vis
que Diego avait déjà disparu et que l'assistance se dispersait
rapidement. Je pris mes vêtements qui traînaient sur le
canapé et entrepris de me trouver un coin calme pour me
reposer. Une fois rhabillée, je montai à l'étage et m'assoupis
sur un des lits mis à la disposition des participants. Une
voix féminine me réveilla :
- Alors, on fait des folies de son corps...
Je repris doucement mes esprits. Cette voix ne m'était
pas inconnue. J'eus la stupéfaction de reconnaître Carine,
ma patronne.
- Tu as vraiment un beau corps, ma petite Caroline. Je
l'ai observé à maintes reprises, au bureau.
- Qu'est-ce que vous faites là ? murmurai-je.
- La même chose que toi, Caroline. Je viens prendre mon
pied...
Mes rapports avec Carine avaient toujours été tendus. Je
l'ai toujours trouvée arrogante et prétentieuse, mais je
reconnaissais volontiers qu'elle était très intelligente
et qu'elle savait parfaitement mener son équipe.
- J'espère que tu vas me donner beaucoup de plaisir.
Elle retira sa jupe et son petit chemisier. Je regardai
son corps qui était superbe : des hanches fines à la courbure
parfaite et des petits seins ronds tout mignons. Néanmoins,
toute engourdie, je ne me sentais pas la force de me lancer
dans une nouvelle étreinte. Mais Caroline savait forcer
les choses et, sans même que je m'en rende compte, nous
nous retrouvâmes enlacées. Je sentais ses doigts caresser
délicatement mon sexe, entraînant un premier effluve de
plaisir. Confortablement installée en soixante-neuf, je
posai également mes doigts sur elle, découvrant toutes les
facettes de son intimité. Je goûtai ensuite à son sexe tout
fin, épilé. Je n'avais pas trop l'habitude des relations
homosexuelles, mais j'appréciais ici la douceur et la simplicité
de son étreinte. Après avoir goûté à toutes nos intimités,
nous eûmes ensemble un orgasme assez fulgurant. Carine se
releva la première.
- Eh bien, je vois que tu sais t'occuper aussi bien des
femmes que des hommes.
- Je te renvoie le compliment : je ne savais pas que l'on
pouvait jouir autant sous les caresses d'une femme...
Un homme entra soudain dans la chambre, interrompant la
discussion. Il nous toisa du regard.
- Voulez-vous participer à la foire, Mesdames ?
J'interrogeai Carine du regard. Elle sourit et dit :
- Cher monsieur, je viens de prendre mon pied et je n'ai
qu'une envie, le reprendre de nouveau. Je vais participer
pour la première fois.
L'homme tourna la tête vers moi.
- Je ne sais pas, dis-je, ne sachant pas très bien de quoi
il parlait.
Il ajouta en franchissant le seuil de la porte :
- De toute façon, on vous attend à la grande salle ronde
dans dix minutes pour les préparatifs. À tout à l'heure.
Il disparut, refermant la porte derrière lui.
- Qu'est-ce que la foire ? demandai-je à Carine.
- C'est une surprise, me répondit-elle tout en se rhabillant.
Elle ajouta :
- Je te laisse. Si tu veux participer à la foire, dépêche-toi
de te rhabiller. Seules les premières ont droit à une place.
Carine sortit de la chambre. Je restais songeuse, tentant
de remettre de l'ordre dans mes idées, puis je décidai d'aller
voir ce qui se passait dans la grande salle. En cherchant
dans mes affaires, une surprise un peu désagréable m'attendait
: mon beau string avait disparu. Carine l'avait probablement
trouvé à son goût. Par contre, la garce avait également
emporté le sien : me voilà donc obligée de faire du « cul
nu » le reste de la soirée, ce qui ne m'enchantait pas beaucoup.
En me levant, je sentis une grande fatigue m'envahir et,
finalement, je décidai de me reposer quelques instants avant
de descendre. Je m'assoupis au moins une bonne heure. Réveillée,
j'avais vraiment l'impression de m'être reposée. Je n'entendais
plus beaucoup de bruit. La soirée devait se terminer et
un grand nombre de convives était probablement parti. Je
sortis de la chambre et partis à la recherche de Stéphane.
Je le trouvai allongé sur l'un des canapés des salons, dans
un demi-sommeil. Il me fit une moue un peu bizarre. Nous
partîmes rapidement, il ne restait de toute façon plus beaucoup
de monde.
Nous deux
Je n'avais rien dit à Caroline depuis que nous avions quitté
la maison. Je m'efforçais de fixer, dans les faisceaux des
phares du véhicule, les petites lignes blanches du bord
de route. Je la regardais du coin de l'œil, troublé
par l'idée de cet énorme sexe lui pénétrant le cul. C'est
elle qui rompit le silence.
- Tu as passé une bonne soirée, mon chéri ?
- Oui, oui, répondis-je, sans donner plus de détails.
Puis j'ajoutai, d'une voie étouffée :
- Et toi ?
- Oui, c'était bon. Tu ne devineras jamais avec qui j'ai
fait l'amour.
Je ne répondis rien, fixant toujours la route pour éviter
de croiser son regard.
- Avec Carine, ma patronne. J'ai jamais pu l'encadrer mais,
tu vois, ça s'est vraiment bien passé. J'aime finalement
beaucoup faire l'amour avec une femme. Par contre, la salope,
elle m'a piqué mon string avant d'aller à un truc organisé,
une foire je crois... Qu'est-ce c'était, ce truc ? Je me
suis endormie, j'ai tout raté...
La foire... son string... ? Qu'est ce que... ?
Un fluide réconfortant a irradié tout mon corps. J'ai posé
ma main droite sur sa cuisse.
- Je te raconterai un petit peu plus tard, mon amour.
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