Vous devez tous connaître celles qu'on appelle
les femmes troncs, ces hôtesses d'accueil dans les entreprises
qui, assisent derrières leur desk, ne nous montrent jamais
que le haut de leur personne. J'ai sympathisé avec l'une
d'elles. Une brune, 1m75 avec une belle poitrine, qu'elle
met d'ailleurs parfaitement en valeur. On a commencé par
s'envoyer par mail les conneries et blagues qui traînent
sur Internet et qui circulent dans toutes les boîtes de
France. Et puis un jour, elle a m'a envoyé des photos de
femmes nues. Puis, il y a quelques jours, la vidéo d'une
femme faisant une fellation et se délectant de la semence
de son compagnon. Je lui répondis que cette femme avait
l'air d'être une experte dans l'art de la fellation et qu'une
pipe par elle devait être un vrai régal. Elle me proposa
alors d'aller prendre un café à l'un des étages de la tour
quasi déserte à 16H30 les vendredis. Nous discutâmes ainsi
autour de la machine à café de choses grivoises sur le net.
D'en parler et de voir sa poitrine, le désir monta en moi
et cela dû se voir dans le jean. En quittant la machine
à café, elle m'entraîna dans les toilettes et nous y enferma.
- Ce serait bête de ne pas en profiter, ne trouves-tu pas
???
Qu'elle me dit en déboutonnant mon jean. Je ne me fis pas
prier, celà faisait déjà quelque temps que je fantasmais
sur elle. Elle ferma le couvercle des toilettes, me fit
asseoir, ma verge pointant vers le plafond. Elle s'agenouilla
entre mes jambes et commença à m'embrasser le gland. Puis
elle avala complétement ma queue en jouant avec mes couilles.
Elle s'arrêtait de temps en temps pour me gober les couilles
ou me lécher sur toute la longueur de la verge. Elle n'en
était pas à sa première pipe et elle savait ce que c'était
que de donner du plaisir à un homme. Elle se rendit compte
que j'allais éjaculer, elle ramena ses lèvres à la naissance
de mon gland. Mon sperme ne montait pas, il était totalement
aspiré par cette goule, c'était à en hurler de plaisir !
Elle avala toute ma semence avant de me nettoyer le gland
avec sa langue experte. Ensuite, elle se releva, me laissant
là KO, en me promettant qu'il y aurait d'autres pauses cafés
coquines. Je n'avais qu'à surveiller mes mails avec une
photo ou une vidéo pour invitation.
Après cette première expérience, j'attendis avec impatience
qu'elle redonne de ses nouvelles. Cela ne tarda pas puisque
quelques jours après, elle m'invita à prendre un café. J'étais
comme fou, en la rejoigneant je me demandai ce qu'elle allait
me réserver. Elle m'attendait à l'ascenceur et me mena directement
dans les toilettes. Elle remonta alors sa jupe sur ses reins
et pivota sur elle-même. Elle était magnifique, ne portant
qu'une culotte en dentelle et des bas tenus par un porte-jarretelles.
Je sortis ma verge en l'observant retirer sa petite culotte
doucement, dévoilant un sexe parfaitement épilé. Elle mit
sa culotte dans ma poche et s'agenouilla devant moi pour
commencer à me sucer.
Elle prit son temps, faisant des mouvements très lents,
jouant avec mon gland et mes testicules. Elle sortit de
la poche de sa veste un tube de lubrifiant, m'annoncant
qu'aujourd'hui, elle voulait se faire sodomiser. Elle m'enduisit
la verge de crème et l'étala uniformément avant de se retourner
pour me présenter ses fesses. J'écartai ses fesses pour
déposer sur sa rondelle une noix de lubrifiant. Je l'étalai
délicatement en jouant avec son orifice, avant d'y faire
pénétrer un doigt doucement. Je la vis se cambrer suivant
les mouvements de mon doigt en elle. N'y tenant plus, j'approchai
mon gland de son orifice, c'était ma première sodomie. Mon
gland entra doucement avec un peu de difficulté. Puis, son
orifice s'ouvrant sur le passage de mon gland, je la vis
grimacer. Je voulus m'arrêter mais elle me demanda de continuer.
Je repris ma progression en elle, c'était bon, son anus
épousait la forme de mon sexe, ça devait être une première
aussi pour elle. Une fois rentré en entier, je commençai
un mouvement de va-et-vient, elle geignit doucement. Elle
avait l'air de prendre du plaisir. Il ne me fallut pas longtemps
pour sentir le plaisir monter en moi. Je me vidai au plus
profond d'elle. Elle avait l'air épuisée. Elle prit plusieurs
minutes pour se remettre. Elle se réajusta puis m'embrassa,
en me demandant si ça m'avait plu, avant de me quitter pour
retourner bosser.
Une demi-heure plus tard je descendis à l'accueil chercher
un client. Elle était là, comme si de rien n'était. Et la
voir ainsi en plus de sentir dans ma poche sa petite culotte,
m'excita à nouveau. Je crois qu'elle s'en amusa beaucoup
!
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