TITRE : La femme mystérieuse
Catégorie : 
Histoire érotique
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Ce vendredi de mai, le temps est doux et les premiers rayons du soleil. Je regarde une belle jeune femme qui porte une robe très simple, très courte, mais aussi très moulante, de ma couleur favorite. Je me retourne et la déshabille du regard. Je sens son regard se poser sur moi quelques secondes. Je suis sûr qu'elle n'a rien mis en dessous, son décolleté laisse entrevoir deux beaux seins qui m'excitent déjà. Elle est très sensuelle et vraiment sexy ! Ses formes me rappelle une fleur. Elle a dans les yeux une tristesse que je voudrais consoler. Dès cet instant, mon imagination s'évade et je ne pense plus qu'à elle. Je sens mon sexe se durcir rien qu'à l'idée de ses formes généreuses. Elle se nomme Selene !!


Elle est assise sur le canapé. Et elle offre une image absolument adorable sous cette lumière venue de la voûte céleste, qui rend plus pâle encore son joli visage encadré de boucles d'or ; si adorable et exquise que je dois me retenir pour ne pas m'approcher d'elle. Mais une intuition me dit que je ne dois pas commettre une pareille erreur. Je l'observe un long moment. Je ne fais pas un geste. Elle a soudain le sentiment de ma présence. Elle me sourit, se lève et se dirige vers la fenêtre pour observer le jardin. Les jonquilles forment un ruban doré sous les arbres, les fleurs des amandiers sont sur le point d'éclore, l'herbe des pelouses tourne au vert, le soleil brille. La jeune femme ouvre la croisée. Elle entend le chant des oiseaux et le bourdonnement des abeilles butinant les fleurs. Au bout de quelques secondes ; elle se rend compte que je la regarde encore une fois, comme si je devinais sans peine ce qui la tourmente. Elle est d'une beauté irréelle. Ses mains fines aux longs doigts se croisent sous son menton, elle m'observe avec une étrange intensité. Elle a cet air grave et supérieur qu'ont les femmes nobles sur les gravures des siècles passés. Puis Selene me regarde dans le yeux. Nous restons figés quelque secondes avant que je ne me décide à agir.

- Bonjour, j'espérais vous voir car je me demande...
- Je sais ce que tu vas dire, c'est inutile. Voici mon adresse, à un de ces jours ou plutôt, une de ces nuits.

Mon petit bout de papier à la main, je reste pétrifié, encore sous le charme de sa voix chaude et envoûtante, me demandant si je dois la suivre ou non. Chez moi, une excitation grandissante fait accélérer mon rythme cardiaque et monter inexorablement une érection. J'ai envie de me branler, il fait presque nuit et il n'y a plus beaucoup de circulation, je me dit qu'à cette heure, il y a peu de chance que quelqu'un me remarque. Ça fait cinq minutes que j'ai la bite à l'air et que je me branle doucement en conduisant d'une main, voilà un des avantages de la boîte automatique auquel on ne pense pas assez souvent, on peut se branler en conduisant ! Je prends un Kleenex sur le siège à côté de moi, au cas ou... Je me masturbe en fantasmant sur elle !

- Ah, quelle belle femme ! Oh, la salope ! Ah ! Oh ! Ouiii...

Je traverse la ville quasi déserte en me faisant reluire à petites touches et comme je ne veux pas risquer le moindre problème, je respecte scrupuleusement les limitations de vitesse et les feux tricolores. J'ai verrouillé de l'intérieur les portes de la voiture et c'est en toute sécurité que je savoure mon onanisme. Je me branle doucement, je caresse ma bite, je vire, je freine, j'accélère et je me branle, je décide de faire durer la chose jusqu'à ce que je sois arrivé chez moi. Cinq kilomètres pour me branler, c'est bien plus qu'il n'en faut, mais je prends mon temps.


Les jours passent et je pense à elle de plus en plus souvent. Bien qu'elle ne m'ait pas donné de rendez-vous, je me promets d'aller chez elle le soir même, bien décidé à savoir qui elle est. L'adresse qu'elle m'a filé correspond à un vieil immeuble, une maison de briques grises sur le bord de la mer. Le lendemain, j'arrive dans la rue de la villa. La voiture entre dans le parc et je la gare à côté des autres véhicules. Je me rends sur le bord de la mer. C'est marée haute. La plage est déserte. Un escalier me conduit sur le sable. Soudain un frisson glacé me parcourt, elle est là ! Nous avons envie l'un de l'autre, mais qui fera les premiers pas ? Elle jète un oeil autour d'elle et constate qu'elle se trouve parfaitement seule avec moi. Je suis d'un caractère assez renfrogné, la timidité me submerge. Selene s'approche rapidement de moi, passe un bras autour de mon cou et m'embrasse. J'ai un petit geste de recul, un réflexe, puis je me détends à mesure que je sens sa langue passer entre mes lèvres et chercher la mienne. Elle alterne les petits bécots tendres, rapides et les baisers voraces, goulus, de ceux qui vous donnent l'impression que l'on cherche à vous dévorer tout cru, ce que j'accepterais sans problème. Alors, je m'installe presque contre sa cuisse, laissant juste ce qu'il faut pour qu'elle passe l'avant-bras entre nous deux. Je sens mon coeur s'accélérer. L'endroit est très isolé. Du coin de l'oeil, je la vois déboucher un tube de crème et s'en étaler lentement sur les cuisses. Sa chair pleine tremble, elle insiste comme pour un massage. Elle prend son temps en regardant régulièrement dans ma direction. Elle reprend un peu de crème, l'étale entre ses paumes avant d'écarter les deux pans de sa chemisette. Pour la première fois, je vois ses seins : pâles, ils sont assez gros et tombent un peu. Les mamelons sont larges, à peine colorés. Je suis de plus en plus mal à l'aise. Impossible de ne pas la voir. Lentement, du bout des doigts, elle flatte la chair molle de ses seins. Puis je la vois appuyer sur ses mamelons, avant de les parcourir de petits cercles délicats. C'en est trop pour moi. Spontanément, je lui dis qu'elle a de très beaux seins et qu'elle devrait se méfier, je ne résisterai pas longtemps...


Elle me regarde, complice, et me déclare que je n'ai qu'à lui montrer ce qu'elle risque. Elle est d'un sans-gêne incroyable. Je pense à me lever, à partir, mais une curiosité masculine me retient. Les yeux fermés, comme indifférente à ma présence, elle se chatouille le bout des seins très lentement. Deux minuscules boutons se forment au centre. Je la vois avaler sa salive, avant de refermer les pans de sa chemisette. Elle ouvre brusquement les yeux et me sourit. Elle me sourit d'un air affable. Je sens le feu de l'excitation envahir mes joues et le tranquille bonheur de la communion dans une même passion commence à poindre. Profitant du soleil de plomb, elle ôte son short et me demande malicieusement, de lui passer de l'huile solaire sur le dos. Je n'ai aucune hésitation. Sa beauté est irrésistible. C'est très excitant pour elle de me voir timidement lui caresser les épaules, le dos, mes mains s'égarant sur ses flancs. Elle ressent dans ses seins l'effet de mes caresses et progressivement son abricot devient très mouillé. Derrière ses lunettes, elle m'observe et elle voit mon sexe enfler de plus en plus sous son maillot. Je lui demande alors si elle en veut sur les fesses, elle répond, amusée :

- Bien sûr, sur tout mon corps !

Alors je commence à descendre progressivement vers ses fesses, mes mains tremblent en les massant. Comme elle ne veut pas que je huile son petit string, elle l'enlève, simplement. Je bande comme un fou. J'ose à peine regarder son minou épilé ou ses seins. Elle se lève et s'étend sur le ventre à mes pieds pour que je continus à l'enduire de lotion. Selene ronronne malicieusement sous mes doigts, ne cachant plus le plaisir que je lui procure et elle m'avoue que je la masse à la perfection, que je suis très sensuel, que les filles doivent adorer mes massages. Je ne réponds pas. Ses jambes sont légèrement écartées et ses fesses cambrées, et je vois parfaitement son abricot tout lisse, quoique je n'ose pas l'effleurer en remontant mes doigts le long de ses cuisses. Je m'arrête juste quelques millimètres avant, hésitant réellement, ne sachant pas si je dois oser... Comme elle me propose le même traitement, j'accepte avec plaisir et voilà qu'elle se met à califourchon sur mes jambes pour huiler mon dos, passant avec innocence ses seins sur ma peau, ses mains caressant longuement mes fesses. Involontairement, entre mes cuisses écartées, elle effleure mes couilles de la pointe de ses ongles, son petit abricot est trempé, son ventre repose sur ma jambe, son petit clito frémit au contact de ma peau. Je deviens fou, je dois me calmer ou la violer sur le sable chaud. Elle a envie de se frotter contre mon corps, de sentir ma queue raide contre son ventre et contre ses fesses. Envie de m'embrasser, de me sucer, de me manger. Elle me dit que cela lui plaît qu'un homme soit en érection pour elle, tout en glissant rapidement sa main le long sur ma verge, une fraction de seconde. N'y tenant plus, je lui enlève une de ses sandales et je me mets à lui caresser doucement le contour du pied, puis le dessous. Son pied est chaud, doux, souple, moelleux. À force de passer des heures dans cette prison de cuir, il est légèrement rosé. Je lui masse doucement la plante du pied avec mes mains, puis je le couvre de petits baisers. J'approche son pied de mon visage et je remarque la légère odeur qu'il dégage et ça m'excite. Alors je passe ma langue sous ses orteils, puis entre eux, les décollant les uns des autres, puis, pour varier, je les lèche à grands coups de langue. Alors je lui dit :

- Tu es sensible à ce point ?
- Oui ! Continue...

Appréciant visiblement ma démarche et n'y tenant plus elle-même, elle déchausse son autre pied et cela ravive mon excitation. Je regarde le visage de Selene : elle est complètement allongée sur la sable, les yeux fermés et met une main sur son minou, et l'autre main sur un de ses seins qu'elle commence à caresser. Je l'embrasse spontanément et tendrement. Elle conduit tout droit ma queue à sa chatte. Elle a trop besoin de queue. C'est une urgence. Dès que mon gland est en contact avec la toison de Selene, je prends de l'assurance et met mes mains sur ses hanches. Elle écarte les cuisses pour faciliter l'entrée de mon sexe en elle. Elle met ses mains sur mes épaules et soulève une cuisse. Je n'ai qu'à pousser pour entrer ma queue raide dans son vagin mouillé. Selene s'accroche à mes épaules solides et se cambre en arrière à la fois pour être mieux saillie et pour me voir.

- Vas-y !! Baise-moi !! Défonce-moi avec ta grosse queue !!

Je me mets à jouir dans la chatte de Selene. J'ai effectivement beaucoup de semence et Selene sent mon gland, dur comme de la pierre, s'agiter en tous sens. Nos deux corps sont imbriqués l'un dans l'autre. Selene essait d'imaginer, de voir dans sa tête, mon gland au fond de son vagin. Selene passe ses mains sous mes couilles pour les presser et s'assurer que tout le foutre sort bien. Quand je n'ai plus de foutre à gicler, je sors ma queue de la chatte trempée et je demande à Selene de se mettre à genoux. Elle se questionne mais s'exécute. Elle est à genoux, le cul bien en l'air comme je le souhaite. Je lui souris et Selene écarte ses fesses avec les deux mains. J'ai une folle envie de l'enculer, mon excitation est énorme... Je lui force un peu la rosette puis m'enfonce doucement en prenant plusieurs temps d'arrêt dans son cul si accueillant. Ma bite s'enfonce, centimètre après centimètre, dans cette anus dilaté avant de s'y engloutir complètement. J'insère ma bite de force et je continue à faire glisser ma verge à l'intérieur de son rectum. Je reprends mes esprits pendant quelques secondes. Elle est vraiment en extase et gueule qu'elle en veut toujours davantage. Selene jouit. Après ce petit instant de répit, j'introduis la totalité de mon sexe dans son cul. Elle hurla encore plus fort. Une fois de plus, je commence un mouvement de va-et-vient avec mon engin. Je pilonne Selene sans relâche. Nous éprouvons tous les deux un plaisir intense. Cette sodomie n'en finit pas, Selene en veut encore et encore. À mon tour, pour la troisième fois, l'orgasme arrive. Le soleil tape. J'éjacule dans son cul, elle hurle encore une fois. Jamais une sodomie ne m'aura fait autant de bien. Je lève ma tête au ciel. Je voudrais que ce moment dure toute la vie.

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