J'ai 28 ans et je suis cadre commercial dans un hôtel de
luxe qui se trouve au bord de la mer et il faut dire que
j'ai de la chance de faire un métier me permettant de rencontrer
des gens de différentes origines à chaque fois. Etant métissé
de peau il faut dire que cela attire pas mal la gente féminine.
Il m'arrive des fois d'avoir quelques amourettes par ci
par là avec certaines des employées ou clientes mais bon,
rien que des histoires d'une nuit sans plus. Cependant l'aventure
qui m'est arrivée il y a tout juste une semaine reste quand
même inoubliable.
Mon directeur est un homme qui voyage beaucoup et habitant
non loin de chez moi ce dernier m'avait gentiment demandé
de ramener son épouse à leur demeure vue qu'il devait d'urgence
se rendre dans une île avoisinante rencontrer le directeur
d'une grande chaîne de tour opérateur. Pris de court et
ne voulant absolument pas lui déplaire j'acceptais volontiers
de raccompagner sa femme. De toute façon je n'avais rien
prévu pour la soirée.
Il faut dire que cette dernière était une fort belle créature.
La quarantaine, quelques rides à peine visibles et du haut
de son mètre soixante-dix, on pouvait deviner ses formes
généreuses tant au niveau des ses seins que de son joli
petit cul. D'ailleurs, à chaque fois qu'elle se présentait
à l'hôtel durant les soirées, presque tous les employés
se retournaient pour admirer furtivement son cul rebondi
dans ses robes moulantes.
Vers 18 heures, alors que j'avais terminé mon service, Béatrice
(c'est son prénom) était en salle de massage et vue que
son traitement durait plus longtemps que prévu je laissais
un message à une des réceptionnistes pour lui faire part
du fait que je l'attendrai et de me rejoindre directement
au parking.
Une dizaine de minutes après, cette dernière se présenta
hâtivement à la voiture, revêtue d'un simple peignoir qu'elle
avait emprunté et entrouvert. Je pouvais distinguer les
formes de ses magnifiques seins. Elle prit place à bord
en me priant de l'excuser pour son retard.
Nous quittâmes l'enceinte de l'hôtel et avions une bonne
heure de route avant d'arriver à destination. La conversation
s'engagea et de temps en temps je jetais un coup d'œil vers
elle pour garder un contact visuel et ne pouvais à chaque
fois m'empêcher de plonger mon regard vers le peignoir entrouvert.
Comme elle était également venue pour bronzer il y avait
une forte odeur d'huile au lait de coco qui se dégageait
à chaque fois qu'elle faisait un geste de la main en me
parlant. Cela m'excitait énormément et je ne pus contenir
mon érection plus longtemps. Une énorme bosse se forma dans
mon pantalon et je me sentis inconfortable quant à l'idée
qu'elle puisse remarquer cela.
Nous roulions déjà depuis une bonne demie-heure quand soudain
elle me lança ceci :
- Est-ce que c'est moi qui vous fais cet effet ?
Surpris par cette question je fis mine de ne rien comprendre
et lui demandai ce qu'elle voulait insinuer par-là.
Elle baissa lentement ses verres de soleil et regardant
vers mon pantalon elle me dit avec un sourire moqueur :
- Ca, c'est à cause de moi ou ça vous arrive souvent de
bander pour un rien ?
Je ne su quoi répondre et mon sang ne fit qu'un tour. Je
lui lançai un sourire timide mais ne répondit pas. Plus
un mot jusqu'à que nous arrivions près d'un centre commercial
où elle me demanda gentiment de m'arrêter ayant quelques
achats rapides à faire. Je me garai dans un des blocs de
stationnement. C'est alors qu'elle réalisa qu'elle était
en peignoir et que vraisemblablement elle ne pourrait faire
des courses dans pareil vêtement. Elle jeta un rapide coup
d'œil aux alentours et ouvrit subitement et sans aucune
gêne son peignoir. Devant moi se dressait la plus belle
paire de seins qu'il m'était donné de voir. Au bout on distinguait
facilement des aréoles très foncées et des tétons pointus.
Mon regard se dirigea vers le bas de son ventre et je découvris
avec merveille qu'elle portait un tanga transparent. Je
pus facilement deviner la raie de son pubis. Elle mis un
simple débardeur, s'enroula d'un paréo et descendit de voiture.
A ce moment précis je n'avais qu'une seule envie, me prendre
la queue et me branler en pensant au spectacle que je venais
de voir mais me dis que ce n'était certes pas prudent.
Elle revint une vingtaine de minutes plus tard avec quelques
sacs d'achats et une boîte qui de par la forme me laissa
deviner que c'était une pizza. Je descendis pour ouvrir
le coffre afin de ranger ses commissions et nous reprîmes
la route.
On arriva bientôt à sa demeure et avec son "Bip" elle ouvrit
le portail. Je roulais lentement le long de l'allée bordée
de cocotiers. Il faut dire que j'avais devant moi une superbe
villa avec un magnifique jardin, une belle fontaine juste
au milieu d'un gazon bien entretenu. Nous descendîmes de
la voiture, j'ouvris le coffre, pris ses achats et lui proposai
de les porter à l'intérieur. Je déposai ses affaires sur
une commode et m'accompagnant vers la porte de sortie, elle
me lança d'un air désireux.
- Restez prendre un verre Julien ! Pizza au dîner ça vous
dit ? A moins que vous n'ayez déjà prévu quelque chose et
que…
Je ne lui laissai point terminer sa phrase et lui répondis
affirmativement. Je voulais encore regarder les pointes
de ses seins cachées par le léger débardeur.
Elle était ravie et nous nous dirigeâmes vers la terrasse.
Elle me proposa un Whisky tandis qu'elle se servait une
coupe de vin rouge. Nous engageâmes une conversation sur
ses activités professionnelles, son fils qui était en voyage
d'étude. Bref plus détendu et à l'aise je lui fis part d'une
anecdote qui la fit éclater de rire. Puis, un long silence
régna et en me regardant malicieusement et comme pour s'élancer,
elle me dit avec assurance :
- Vous savez Julien tout à l'heure dans la voiture j'avais
vraiment envie de vous ouvrir la braguette et de vous sucer
pendant que vous conduisiez.
Je ne pouvais croire ce que je venais d'entendre. La femme
de mon patron me dévoile avec simplicité qu'elle voulait
me faire une pipe ! Incroyable ! Je décidais de jouer au
jeu et lui répondis qu'elle pouvait le faire tout de suite
si elle le voulait. Elle sourit et après un air d'hésitation
se mit debout et s'approcha de moi. Elle enleva lentement
son débardeur et se mit à caresser la pointe de ses seins
avec le bout de son doigt. Je bandais comme un fou. Elle
s'agenouilla devant moi, dégrafa ma ceinture, descendit
lentement mon pantalon tout en me regardant dans les yeux
et me chuchota vicieusement :
- Tu as envie, hein ?
Elle fit jaillir mon membre de mon boxer, l'observa avec
appétit en se mordillant les lèvres puis me branla lentement
et commença à me titiller le gland avec sa langue. Elle
le happa d'un seul trait et commença un long va et vient.
Je mourrais de plaisir sous ses coups de langue. Elle descendit
le long de ma verge et me suçait de temps en temps les graines
ce qui me faisait pousser des petits cris d'encouragement.
Après m'avoir bien savouré, elle se redressa et m'embrassa
dans le cou en remontant pour me lécher les oreilles. Elle
enfouit sa langue dans ma bouche en la faisant tournoyer
avec la mienne. Pendant ce temps mes mains agrippaient son
joli petit cul bien ferme. Je fis glisser deux doigts à
l'intérieur de son tanga. Je pouvais sentir toute sa mouille
collante. Je lui écartai ses deux lèvres et titillai frénétiquement
son clitoris déjà bien enflé par le désir. Elle poussa un
long soupir comme pour me demander de ne pas arrêter.
J'enlevai mon pantalon et mon boxer et restai avec chemise
et cravate. Je me positionnai à l'arrière de son cul bien
rebondi et frottai ma tige contre la raie de son cul. Je
me mis à genoux et lui demandai de se recourber sur un fauteuil.
J'enlevai délicatement sa culotte et enfouis avec fougue
mon visage dans sa chatte toute mouillée. Je lui enfonçai
ma langue tout à l'intérieur et introduisit mon pouce à
l'entrée de son anus. Elle eut l'air d'adorer cela et me
demanda de ne pas m'arrêter. Je me mis sous sa chatte pour
bien lui lécher le clito et elle ne tarda pas à jouir. Elle
poussa de longs gémissements et je pouvais ressentir comme
des petits tremblements dans ses jambes.
Pour ne pas s'arrêter en si bon chemin je la retournai et
l'invitai à se mettre à califourchon sur moi. Elle dirigea
ma queue vers l'entrée de sa chatte et s'empala d'un seul
coup. Elle était brûlante, un vrai fourneau qui s'agitait
dans tous les sens en poussant des cris de plaisirs. Je
m'empressai de lui saisir son sein droit que je me mis à
lécher. Je mordillais avec délicatesse son mamelon. Je la
traitais de salope et elle me traitait de cochon en précisant
que je la remplissais bien.
Elle se leva brusquement en me disant :
- Tu me prends en levrette mon chéri ? Elle se retourna
à quatre pattes sur la moquette et hâtivement j'enfonçai
mon pieu au plus profond de son vagin tout trempé. Elle
semblait adorer cela et se mit à crier comme une chienne.
Au passage je fis résonner quelques belles paires de claques
sur son beau fessier où des traces apparurent quelques secondes
après.
Pendant que je la limais, je jouais avec son petit trou
et lui fis part de mon intention de la sodomiser. Elle n'émit
aucune objection mais me demanda cependant d'y aller lentement.
J'écartai bien ses fesses et laissai échapper une belle
et longue salive gluante qui tomba juste sur son anus. Je
frottai ma bite lentement contre son petit trou et poussai
doucement. Elle lâcha un soupir de douleur et me demanda
d'arrêter, ayant trop mal. Mais je la reteins et lui demandai
de patienter. Dès que mon gland pénétra entièrement à l'intérieur
je donnai un vif coup de bassin ce qui la fit crier. Je
commençai un long et profond va et vient en allant toujours
plus vite. De par ses cris je comprenais que la douleur
était devenue plaisir et ma maîtresse me demanda de la baiser
de plus en plus fort. Elle se mit à se masturber et bientôt
un râle de plaisir s'enchaîna. Elle venait de jouir pour
la deuxième fois.
J'étais sur le point de jouir moi aussi. Au bord du plaisir
absolu je me suis retiré d'elle et me suis mis à la hauteur
de son visage en y giclant toute ma semence sous des ondes
de plaisir. Je suis convaincu que jamais je n'avais joui
autant Elle me branla un instant et me suça comme pour lécher
les dernières gouttes qui traînaient sur mon gland.
Après cela elle s'est relevée pour aller se doucher et me
demanda de bien vouloir patienter un instant le temps qu'elle
revienne. Je me r'habillai et, assis sur le fauteuil, j'allumais
une cigarette. Tout en repensant à ce qui venait de m'arriver,
je réalisai que je venais de baiser la femme de mon directeur.
On s'est promis de ne pas en parler. Elle d'une part ne
voulait pas détruire son couple et moi, de l'autre, perdre
mon boulot. Mais au prochain voyage de mon patron on s'est
également promis de se revoir !
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