TITRE : La femme de mon directeur
Catégorie : 
Histoire Extra conjugale
Histoire érotique sponsorisée par :Video erotique
Cliquez ici pour L'Histoire du jour

GRATUIT !! Indiquez votre adresse email pour être informé des mises à jour :
Accueil Histoire érotique Photos Erotiques Vidéos X Vidéos amateurs Histoires Extra conjugale

J'ai 28 ans et je suis cadre commercial dans un hôtel de luxe qui se trouve au bord de la mer et il faut dire que j'ai de la chance de faire un métier me permettant de rencontrer des gens de différentes origines à chaque fois. Etant métissé de peau il faut dire que cela attire pas mal la gente féminine. Il m'arrive des fois d'avoir quelques amourettes par ci par là avec certaines des employées ou clientes mais bon, rien que des histoires d'une nuit sans plus. Cependant l'aventure qui m'est arrivée il y a tout juste une semaine reste quand même inoubliable.

Mon directeur est un homme qui voyage beaucoup et habitant non loin de chez moi ce dernier m'avait gentiment demandé de ramener son épouse à leur demeure vue qu'il devait d'urgence se rendre dans une île avoisinante rencontrer le directeur d'une grande chaîne de tour opérateur. Pris de court et ne voulant absolument pas lui déplaire j'acceptais volontiers de raccompagner sa femme. De toute façon je n'avais rien prévu pour la soirée.

Il faut dire que cette dernière était une fort belle créature. La quarantaine, quelques rides à peine visibles et du haut de son mètre soixante-dix, on pouvait deviner ses formes généreuses tant au niveau des ses seins que de son joli petit cul. D'ailleurs, à chaque fois qu'elle se présentait à l'hôtel durant les soirées, presque tous les employés se retournaient pour admirer furtivement son cul rebondi dans ses robes moulantes.

Vers 18 heures, alors que j'avais terminé mon service, Béatrice (c'est son prénom) était en salle de massage et vue que son traitement durait plus longtemps que prévu je laissais un message à une des réceptionnistes pour lui faire part du fait que je l'attendrai et de me rejoindre directement au parking.

Une dizaine de minutes après, cette dernière se présenta hâtivement à la voiture, revêtue d'un simple peignoir qu'elle avait emprunté et entrouvert. Je pouvais distinguer les formes de ses magnifiques seins. Elle prit place à bord en me priant de l'excuser pour son retard.

Nous quittâmes l'enceinte de l'hôtel et avions une bonne heure de route avant d'arriver à destination. La conversation s'engagea et de temps en temps je jetais un coup d'œil vers elle pour garder un contact visuel et ne pouvais à chaque fois m'empêcher de plonger mon regard vers le peignoir entrouvert. Comme elle était également venue pour bronzer il y avait une forte odeur d'huile au lait de coco qui se dégageait à chaque fois qu'elle faisait un geste de la main en me parlant. Cela m'excitait énormément et je ne pus contenir mon érection plus longtemps. Une énorme bosse se forma dans mon pantalon et je me sentis inconfortable quant à l'idée qu'elle puisse remarquer cela.

Nous roulions déjà depuis une bonne demie-heure quand soudain elle me lança ceci :

- Est-ce que c'est moi qui vous fais cet effet ?

Surpris par cette question je fis mine de ne rien comprendre et lui demandai ce qu'elle voulait insinuer par-là.

Elle baissa lentement ses verres de soleil et regardant vers mon pantalon elle me dit avec un sourire moqueur :

- Ca, c'est à cause de moi ou ça vous arrive souvent de bander pour un rien ?

Je ne su quoi répondre et mon sang ne fit qu'un tour. Je lui lançai un sourire timide mais ne répondit pas. Plus un mot jusqu'à que nous arrivions près d'un centre commercial où elle me demanda gentiment de m'arrêter ayant quelques achats rapides à faire. Je me garai dans un des blocs de stationnement. C'est alors qu'elle réalisa qu'elle était en peignoir et que vraisemblablement elle ne pourrait faire des courses dans pareil vêtement. Elle jeta un rapide coup d'œil aux alentours et ouvrit subitement et sans aucune gêne son peignoir. Devant moi se dressait la plus belle paire de seins qu'il m'était donné de voir. Au bout on distinguait facilement des aréoles très foncées et des tétons pointus. Mon regard se dirigea vers le bas de son ventre et je découvris avec merveille qu'elle portait un tanga transparent. Je pus facilement deviner la raie de son pubis. Elle mis un simple débardeur, s'enroula d'un paréo et descendit de voiture.

A ce moment précis je n'avais qu'une seule envie, me prendre la queue et me branler en pensant au spectacle que je venais de voir mais me dis que ce n'était certes pas prudent.

Elle revint une vingtaine de minutes plus tard avec quelques sacs d'achats et une boîte qui de par la forme me laissa deviner que c'était une pizza. Je descendis pour ouvrir le coffre afin de ranger ses commissions et nous reprîmes la route.

On arriva bientôt à sa demeure et avec son "Bip" elle ouvrit le portail. Je roulais lentement le long de l'allée bordée de cocotiers. Il faut dire que j'avais devant moi une superbe villa avec un magnifique jardin, une belle fontaine juste au milieu d'un gazon bien entretenu. Nous descendîmes de la voiture, j'ouvris le coffre, pris ses achats et lui proposai de les porter à l'intérieur. Je déposai ses affaires sur une commode et m'accompagnant vers la porte de sortie, elle me lança d'un air désireux.

- Restez prendre un verre Julien ! Pizza au dîner ça vous dit ? A moins que vous n'ayez déjà prévu quelque chose et que…

Je ne lui laissai point terminer sa phrase et lui répondis affirmativement. Je voulais encore regarder les pointes de ses seins cachées par le léger débardeur.

Elle était ravie et nous nous dirigeâmes vers la terrasse. Elle me proposa un Whisky tandis qu'elle se servait une coupe de vin rouge. Nous engageâmes une conversation sur ses activités professionnelles, son fils qui était en voyage d'étude. Bref plus détendu et à l'aise je lui fis part d'une anecdote qui la fit éclater de rire. Puis, un long silence régna et en me regardant malicieusement et comme pour s'élancer, elle me dit avec assurance :

- Vous savez Julien tout à l'heure dans la voiture j'avais vraiment envie de vous ouvrir la braguette et de vous sucer pendant que vous conduisiez.

Je ne pouvais croire ce que je venais d'entendre. La femme de mon patron me dévoile avec simplicité qu'elle voulait me faire une pipe ! Incroyable ! Je décidais de jouer au jeu et lui répondis qu'elle pouvait le faire tout de suite si elle le voulait. Elle sourit et après un air d'hésitation se mit debout et s'approcha de moi. Elle enleva lentement son débardeur et se mit à caresser la pointe de ses seins avec le bout de son doigt. Je bandais comme un fou. Elle s'agenouilla devant moi, dégrafa ma ceinture, descendit lentement mon pantalon tout en me regardant dans les yeux et me chuchota vicieusement :

- Tu as envie, hein ?

Elle fit jaillir mon membre de mon boxer, l'observa avec appétit en se mordillant les lèvres puis me branla lentement et commença à me titiller le gland avec sa langue. Elle le happa d'un seul trait et commença un long va et vient. Je mourrais de plaisir sous ses coups de langue. Elle descendit le long de ma verge et me suçait de temps en temps les graines ce qui me faisait pousser des petits cris d'encouragement. Après m'avoir bien savouré, elle se redressa et m'embrassa dans le cou en remontant pour me lécher les oreilles. Elle enfouit sa langue dans ma bouche en la faisant tournoyer avec la mienne. Pendant ce temps mes mains agrippaient son joli petit cul bien ferme. Je fis glisser deux doigts à l'intérieur de son tanga. Je pouvais sentir toute sa mouille collante. Je lui écartai ses deux lèvres et titillai frénétiquement son clitoris déjà bien enflé par le désir. Elle poussa un long soupir comme pour me demander de ne pas arrêter.

J'enlevai mon pantalon et mon boxer et restai avec chemise et cravate. Je me positionnai à l'arrière de son cul bien rebondi et frottai ma tige contre la raie de son cul. Je me mis à genoux et lui demandai de se recourber sur un fauteuil. J'enlevai délicatement sa culotte et enfouis avec fougue mon visage dans sa chatte toute mouillée. Je lui enfonçai ma langue tout à l'intérieur et introduisit mon pouce à l'entrée de son anus. Elle eut l'air d'adorer cela et me demanda de ne pas m'arrêter. Je me mis sous sa chatte pour bien lui lécher le clito et elle ne tarda pas à jouir. Elle poussa de longs gémissements et je pouvais ressentir comme des petits tremblements dans ses jambes.

Pour ne pas s'arrêter en si bon chemin je la retournai et l'invitai à se mettre à califourchon sur moi. Elle dirigea ma queue vers l'entrée de sa chatte et s'empala d'un seul coup. Elle était brûlante, un vrai fourneau qui s'agitait dans tous les sens en poussant des cris de plaisirs. Je m'empressai de lui saisir son sein droit que je me mis à lécher. Je mordillais avec délicatesse son mamelon. Je la traitais de salope et elle me traitait de cochon en précisant que je la remplissais bien.

Elle se leva brusquement en me disant :

- Tu me prends en levrette mon chéri ? Elle se retourna à quatre pattes sur la moquette et hâtivement j'enfonçai mon pieu au plus profond de son vagin tout trempé. Elle semblait adorer cela et se mit à crier comme une chienne. Au passage je fis résonner quelques belles paires de claques sur son beau fessier où des traces apparurent quelques secondes après.

Pendant que je la limais, je jouais avec son petit trou et lui fis part de mon intention de la sodomiser. Elle n'émit aucune objection mais me demanda cependant d'y aller lentement.

J'écartai bien ses fesses et laissai échapper une belle et longue salive gluante qui tomba juste sur son anus. Je frottai ma bite lentement contre son petit trou et poussai doucement. Elle lâcha un soupir de douleur et me demanda d'arrêter, ayant trop mal. Mais je la reteins et lui demandai de patienter. Dès que mon gland pénétra entièrement à l'intérieur je donnai un vif coup de bassin ce qui la fit crier. Je commençai un long et profond va et vient en allant toujours plus vite. De par ses cris je comprenais que la douleur était devenue plaisir et ma maîtresse me demanda de la baiser de plus en plus fort. Elle se mit à se masturber et bientôt un râle de plaisir s'enchaîna. Elle venait de jouir pour la deuxième fois.

J'étais sur le point de jouir moi aussi. Au bord du plaisir absolu je me suis retiré d'elle et me suis mis à la hauteur de son visage en y giclant toute ma semence sous des ondes de plaisir. Je suis convaincu que jamais je n'avais joui autant Elle me branla un instant et me suça comme pour lécher les dernières gouttes qui traînaient sur mon gland.

Après cela elle s'est relevée pour aller se doucher et me demanda de bien vouloir patienter un instant le temps qu'elle revienne. Je me r'habillai et, assis sur le fauteuil, j'allumais une cigarette. Tout en repensant à ce qui venait de m'arriver, je réalisai que je venais de baiser la femme de mon directeur.

On s'est promis de ne pas en parler. Elle d'une part ne voulait pas détruire son couple et moi, de l'autre, perdre mon boulot. Mais au prochain voyage de mon patron on s'est également promis de se revoir !

Auteur

Accueil Histoire érotique Photos Erotiques Vidéos X Vidéos amateurs Histoires Extra conjugale