TITRE : La commission des finances
Catégorie : 
Histoire au bureau

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La commission des finances, dans ma boîte, on appelle ça la « grand-messe ». Tous les mois je me retrouve pour ce marathon de réunionite en compagnie de toute la crème de l'entreprise. Il y a là l'équipe de direction au complet, et les petites mains comme moi : les assistants de direction.

Tour à tour, chaque directeur présente son bilan du mois et ses grands projets, puis laisse la parole à son collaborateur ou à sa secrétaire de direction pour les aspects plus techniques.

Il y a un an que je travaille dans ce holding franco-britannique au service des statistiques. Je connais maintenant à peu près tous les hommes et toutes les femmes qui composent cette assemblée. La dernière arrivée est Claudia, à la comptabilité. Aujourd'hui elle est un peu tendue mais c'est une fille qui en veut, sûre d'elle et compétente.

Claudia est originaire des Antilles, c'est une belle femme qui, comme moi a tout juste passé la quarantaine. Elle a des formes généreuses qu'elle sait, avec bon goût, parfaitement mettre en valeur. Ses cheveux noirs de jais coupés plutôt courts sont bouclés et reviennent en mèches sur son front et sur les côtés de son visage. J'ai remarqué que, lorsqu'elle est stressée, ses yeux pétillent d'un éclat particulier et qui paraît presque aguicheur derrière ses fines petites lunettes. Ses traits sont assez doux et sa peau d'un sombre café au lait. Elle a un belle bouche avec des lèvres parfaites, et sa voix est rieuse et chaude.

Nos services collaborent très souvent, ce qui m'a donné l'occasion de faire sa connaissance, et le courant passe merveilleusement entre nous. En fait, je l'ai tout de suite trouvée très attirante.

Elle travaille avec Stéphanie, une jeune comptable que je connais depuis le début et avec qui il est agréable de travailler, tant elle est efficace.

Mais revenons à notre réunion. J'ai terminé de présenter mes courbes et mes chiffres qui ont suscité un bref débat sur l'efficacité de la stratégie publicitaire de l'entreprise. Claudia est maintenant invitée à prendre la parole.

Pour l'occasion elle a mis le paquet. Elle porte un ample chemisier blanc à large col, boutonné haut mais qui reste ouvert sur son cou et le haut du décolleté. Ses mains sont, comme toujours, parfaites, ses ongles fuselés portent un vernis satiné à peine visible. Sa jupe mi-longue vert sombre est cintrée jusqu'à mi-cuisse. À partir de là, elle est fendue sur le côté et s'évase jusqu'à mi-mollet. Cet ensemble met sa silhouette en valeur en soulignant ses hanches pleines, trahissant le petit ventre qui vient équilibrer son généreux fessier. On devine juste derrière les replis du chemisier un 95 D qu'elle a pris soin de ne pas rendre trop provocant.

Avant de se jeter à l'eau, elle me fixe un instant avec une intensité inhabituelle, ce qui me fait frissonner d'émotion. C'est comme un appel au secours silencieux. Je lui réponds d'un sourire appuyé et d'un discret hochement de tête. On a tout vérifié ensemble par téléphone, il n'y a aucune raison pour qu'elle se plante.

Son exposé achevé, les questions pleuvent et je la sens aux abois, mais elle se bat comme une lionne, ré-explique, précise, illustre... À deux reprises elle me prend à témoin et j'interviens pour abonder dans son sens.

Finalement le DG prend la parole et conclut :

- Eh bien, merci à tous, et maintenant : au travail !

La tension est retombée dans la grande salle et, dans la cohue de fin de séance, je me dirige vers la sortie de la salle. Claudia m'interpelle de l'autre côté de la table.

- Nicolas !

Je fais volte-face et attends qu'elle arrive à ma hauteur.

- Tu les as finalement convaincus. Tu vois ! lui dis-je.

- Merci de m'avoir soutenue.

- Normal, on a pas mal coopéré sur ce coup-là, tu crois pas ? Et puis tu n'as pas négligé l'effet d'image... rétorqué-je en la déshabillant du regard.

- Eh oui... Elle acquiesce avec une lueur de défi dans le regard. Quelle équipe on fait tous les deux, hein ! répond-elle avec un clin d'œil et un sourire désarmant.

Son chef approche et la congratule à son tour mais avec plus d'économie et de réserve, même si je suis convaincu qu'il n'a rien manqué du spectacle. La directrice des ressources humaines l'entraîne dans une discussion apparemment "boulot", mais je crois savoir qu'elle a d'autres projets en tête pour la fin de la journée...

Je fais un salut de la main à Claudia et me dirige vers mon service qui est de l'autre côté du bâtiment.

- Non, Nicolas, attends ! s'écrie t elle.

- Oui ?

- Tu sais, il y a, enfin je voudrais que tu... (elle paraît embarrassée).

- Ben, vas-y, quoi ?

- Heu... le logiciel ! tente-t-elle tout à coup. Tu sais bien, on avait dit que tu nous installerais ce logiciel pour faire les statistiques.

- Vraiment ?

Elle se comportait bizarrement.

- Oui, enfin, Stéphanie m'avait demandé, si je te voyais...

- Tu veux qu'on fasse ça maintenant ? Il est cinq heures, la journée est finie.

- Oui mais, s'il te plaît, ou alors passe juste prendre un café et on s'organise pour que tu viennes lundi.

- Va pour le café...

Le bureau est à deux pas, c'est une vaste pièce avec deux bureaux, trois ordinateurs et des tonnes de dossiers. En chemin, Claudia est toute excitée, elle rit et parle en même temps. Je lui demande si elle a le disque du logiciel. Elle dit qu'elle ne sait pas, qu'on verra ça plus tard.

Elle referme soigneusement la porte du bureau et fait volte-face.

Elle recule d'un pas en me regardant droit dans les yeux puis, d'un geste de la main, elle mime une révérence.

-Alors, il te plaît mon... « effet d'image » ? demande-t-elle, faisant allusion à ma remarque de tout à l'heure.

Ca y est, nous y voilà. Je n'aurais pas pu espérer meilleure ouverture de sa part. Toujours cet humour, même dans la drague.

- J'ai plaisir à croire que c'est plus qu'une image... mais, pour un début, tu es très à mon goût.

Ce disant, je me suis rapproché et lui prend le menton en approchant mes lèvres.

Elle esquive le baiser avec un petit rire et s'éloigne au fond de la pièce en ondulant les hanches. Elle s'assied sur le coin d'un bureau et rabat le pan de sa jupe pour dévoiler ses jambes nues. Elle se déchausse et déboutonne lentement un puis deux puis trois boutons de son chemisier...

Je reviens vers elle...

- Attends un peu... regarde d'abord. Tu devrais t'installer dans mon fauteuil.

J'obtempère. Elle se lève, remonte doucement sa jupe fendue et d'un geste souple saisit sa petite culotte noire qu'elle fait descendre prestement.

Elle se penche alors pour la retirer et dans ce mouvement son opulente poitrine apparaît dans le décolleté ouvert.

Elle me lance sa culotte.

- Vas-y, goûte-moi un peu ça. Cette réunion, tu ne peux pas imaginer ce que ça m'a fait mouiller, tous ces mecs qui me mataient. Et toi ! J'aurais voulu que tu me baises sur-le-champ sur la table du conseil !

- J'ai pas débandé depuis le début de cette foutue réunion. Tu m'avais déjà convaincu, avec tes regards électriques. Je me suis régalé à mater ton gros cul serré dans ta jupe et à deviner tes gros nibards, à vouloir te les bouffer et te faire sucer ma queue sous la table.

Elle s'avance avec un regard de braise, remonte sa jupe au-dessus de ses cuisses et vient s'asseoir sur le bureau à côté de moi.

Puis elle écarte les cuisses et me laisse voir sa chatte épilée et humide.

- Le dîner est servi, mon chéri ! lance-t-elle, amusée. À toi l'honneur...

Ne me faisant pas prier, je plonge entre ces deux belles cuisses brunes. Je lèche et j'aspire le jus abondant de Claudia qui avait posé un pied sur chaque accoudoir de mon fauteuil. Sa chatte est profonde et je dois l'ouvrir avant d'y glisser ma langue plus avant. Je l'explore sous ses gémissement approbateurs, je suce ses petites lèvres, je taquine son clito tuméfié, lui arrachant des râles.

- Vas y, bouffe-moi, hum... comme j'ai attendu ce moment. N'oublie pas mon cul, tant que tu y es.

En même temps elle bascule le bassin pour me présenter sa rondelle.

Il ne m'en fallait pas plus pour repartir en exploration. Je toilette d'abord l'orifice bien clos et résistant aux assauts de ma langue. Puis, retournant me barbouiller le museau de sa mouille, je glisse l'index dans son vagin afin de le lubrifier.

Mon doigt gluant du jus de Claudia entre facilement dans l'anus de la belle métisse.

N'y tenant plus, elle avait déjà extrait ses énormes mamelles de son soutif noir et se pinçait les tétons en râlant.

Mon doigt entier était dans son cul quand elle en réclame un deuxième.

Mieux que ça, je glisse mon médius à la rescousse et mon autre main vient doigter son vagin à trois doigts. Elle est large et souple et j'entre en elle tout ce que je veux.

- Tu es bien ouverte, à présent, ma belle... tu en veux encore...

Elle haletait sous le travail combiné de mes deux mains dans ses trous, surtout que mon pouce continuait à martyriser son gros clito.

-Oui, vas-y, défonce-moi, prends-moi, c'est bon. Plus fort. Vas-y plus fort, Nicolas !

Elle explose en quelques secondes, tremblant de tous ses membres, puis retombe épuisée sur le bureau dévasté.

Je retire mes mains et me lève, contemplant le corps abandonné de mon amante. Ma trique me torturait mais je voulais qu'elle revienne à elle pour un nouvel assaut. Je me mets à la caresser, découvrant son ventre souple et ses gros seins, dont la fermeté me surprend pour une femme déjà mûre, et je prends plaisir à y étaler les restes de ses secrétions anales et vaginales qui me parfumaient les mains.

Elle ouvre les yeux, comme une "belle au bois" qui se réveille et me dit dans un souffle.

- Merci, mon amour.

Puis, tournant la tête, elle s'aperçoit qu'il lui reste une belle bite en réserve.

- J'ai envie que tu me baises avec ça maintenant. Je peux goûter d'abord ?

Et la ronde reprend de plus belle, mais je vous conterai cela une prochaine fois.

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