TITRE : La colonie
Catégorie : 
Histoire Gay

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Je suis Ted Bank mais les copains me nomment TB.
Pour mon age qui reste secret, je suis bien trop petit, 1M 55 pour 52 kilo, châtain clair aux cheveux un peu longs.
J'ai eu la chance d'être envoyé dans une espèce de colonie de vacances ; à la place de la maison de redressement, car j'avais piqué quelques BD chez un marchand.
Bref, je devais me tenir a carreau, sous peine de deux mois de maisons dure !

C'était l'été, le camp était en montagne, il ne devait recevoir que trente personnes environs.
Nous avions de grandes tentes comme à l'armé, mais pour quatre par tente. Nos journée se ressemblaient toutes, promenades des heures dans les bois, activités du genre peinture ou film dans une grande salle.

C'est au quatorzième jour que tout changeât, après qu'un gars qui devait inspecter la bonne tenu de nos tentes, trouva une BD porno sous mon matelas !
Il me pris à part, il m'enguelait, je l'insultais un peu, puis il partit. Le soir après le repas, je fus conduit par un surveillant dans la maison toute proche qu'occupait le directeur.
Cet homme physiquement faisait un bon mètre de plus que moi, avait du ventre et des cheveux gris avec un front dégarni sur le milieu.
Ces yeux aussi étaient gris et bizarres, il me fixait de sa hauteur. Je ne portais qu'un jeans coupé en haut des cuisses et des baskets.
Il me fit assoire à son bureau et me fit écrire une lettre ou je disais avoir le livre confisqué et avoir insulté un surveillant.
Puis il me renvoya par le petit bois vers ma tente. Je dormais mal et attendais toute la journée du lendemain, que quelqu'un vienne me chercher pour me virer.

Le soir après le repas le surveillant m'emmena de nouveau chez le directeur. Celui me regardait en souriant :
« Alors ? J'envoie la lettre d'hier, ou alors j'ai une autre solution, tu deviens ma bonne à tout faire ! »
Je lui demandais ce qu'il voulait dire.
« C'est simple, quand tu viendras me voir tu devras faire tout ce que je te dis sans discuter. Tu n'as le droit de dire que deux choses, oui monsieur et merci monsieur, rien d'autre. Qu'en dis tu ? »
Je lui dis que je voulais bien essayer !
« Tu veux un exemple ? »
Je fis signe que oui.
« Enlève ton short, met toi tout nu devant moi »
Je ne sais pas pourquoi j'ai obéis. Il pris une règle en bois sur son bureau.
« Mains sur la tête »
Il passa la règle sur mon cul, de haut en bas, plusieurs fois. «Maintenant tu va te mètre à quatre pattes et tu fais le tour de la pièce, lentement, salope »
J'obéissais sans réfléchir.
Quand je revis devant lui il me tendit mon short et me renvoya en disant :
« Demain ce sera plus dur, réfléchie, quand tu viendras, je veux juste un signe de tête oui ou non, si c'est non j'envois le lettre, si c'est oui. tu verras »
Je rentrais à ma tente et pensait à ce que pourrait être demain si je faisait oui.
Bizarrement, pendant les activités du lendemain, je me surpris à regarder l'heure et attendre le soir.
Plus tard que les autres fois, le surveillant me fit signe du menton, m'indiquant la direction et j'allais chez le directeur, enfin dans l'aile ou ils y avait l'entré de son bureau.
Celui-ci était appuyé devant son bureau.
Je me postais devant lui et fit signe de la tête.
« Déshabille toi »
Quand je fus nu, il mis devant,t mes yeux ma BD qui était sur son bureau. « Tu es un petit cochon et tu mérite une petite punition non ?? »
« Oui monsieur »
« Bien ! A genoux et les mains dans ton dos »
Quand je fus ainsi, il ouvrit son pantalon, sortant vite un sexe dur et capuchonné, de taille moyenne je pense. Je fus surpris.
Il avança vers moi :
« Allé, dans ta bouche et tu la suce »
Son sexe se décalottait dans ma bouche.
« Mieux que ça et je dois sentir ta langue me lécher aussi, tète plus fort »
Je suivais ses ordres au mieux.
« Tu aime ça hein salope, va plus doucement ça doit durer longtemps, très longtemps »
En effet cela dura un certains temps !
« C'est bien salope, tu suce bien, je vais gicler dans ta bouche, tu dois tout avaler »
Il se cambrât d'un coup, son foutre giclât sur ma langue et dans ma gorge. Il me tenait la nuque.
« Tien bouffe salope, allé avale tout »
Il me jeta ensuite mon short et je parti vite.
J'avais entendu dire par l'inspecteur de tente que le directeur partait souvent, car il avait deux autres camps à s'occuper. Aussi je ne fus pas surpris de ne pas être appelé les trois soirs suivants.
Au quatrième jour, tout le camp partis en camping pour deux jours et deux nuits. Sauf moi au prétexte de punition.
Le midi, je mangeais presque seul dans la petite cantine. Il y avait à une table au fond trois gars d'à peu près mon age et que je connaissais pas. Je demandais des informations à la serveuse.
Ils venaient d'un autre camp mais elle ne savait pas pourquoi ils étaient là.
Ils faisaient un peu voyous et n'arrêtaient pas de s'insulter en riant. Le directeur vint lui-même me chercher dans le camp en fin d'après midi.
« Ton lit n'est jamais fait ! Donc tu mérite une punition, n'est ce pas ? »
« Oui monsieur »
Il me fit signe du menton de quitter mon vêtement. Dés que ce fut fait il empoigna mon bras et s'assis sur un lit, me faisant tomber sur ses genoux. Il tenait fermement mes mains et me fessait :
« Tu va bien faire ce que te dis hein salope ? »
« Oui, oui !! »
Il sortis de sa poche des menottes entourées de velours noir et m'attacha les mains dans le dos.
« Avance »
Il indiquait le petit bois proche qui allait vers la rivière. Nous marchâmes dix minutes environs.

Au bord de la rivière, les trois mecs de la cantine somnolaient, un gros pack de bière près d'eux, nus sur des couvertures.
Le directeur pris une couverture encore plié et la jeta par terre, il appuya sur mes épaules pour me mettre à genoux
« Ce sont des vieux amis, je leur avais promis une récompense s'il me rendaient service, tu va leur donner »
Il ramassa une longue branche fine et m'en donna un coup sur le cul :
« Tu va les satisfaire avec ta petite bouche de salope et pendant deux heures entières, si ça ne va pas je te fouetterais le cul »
Le plus grand s'avança vers moi son sexe raide et long, la branche me frappa le cul, le directeur dirigeait:
« Allé suce la comme chez moi »
Il me donnait un coup de baguette de temps en temps
« Tu aime ça hein salope ! Suce le, suce et bien sure tu dois tout avaler »
Un des jeunes hommes, le plus petit des trois vint dire quelque chose à l'oreille du directeur.
Celui-ci rit et caressa mon cul avec sa baguette. Le sucé émit des gémissements
« Prend lui tout mais n'avale pas tout de suite, garde le dans la bouche »
Il gicla pas mal de sperme, il s'enleva laissant couler une goutte au bord de mes lèvres.
Le directeur l'essaya avec un mouchoir. Le gars qui lui avait parlé ramassa un paquet de cigarette et en offrit à ces deux copains, tout deux en érection.
Le directeur passa son fouet improvisé sur mon torse :
« Tu avaleras quand je te le dirais pas avant »
Les garçons prirent le temps de finir leurs cigarettes.
« Va y maintenant, avale son jus salope »
Le second garçon passa dans ma bouche pour le même scénario, puis le troisième.
Dés que je faiblissais, le directeur me donnait trois coups de baguette sur le cul, me forçant à continuer.
Il me força à les sucer deux fois chacun, pendant deux heures, comme dit. Le directeur me détacha et me raccompagnât par le bois.
« Tu es une vrai petite salope hein toi ? répond !! »
« Oui Monsieur »
« T'aime ça hein les punitions ? Tu en auras une autre bientôt, tu veux ? »
« Oui Monsieur. Merci monsieur»

Les trois soirs suivants le directeur participait avec nous à des repas en plein air. Je m'arrangeais pour faire comme si je ne le voyais pas trop. Lui par contre avait bien repéré un groupe de cinq jeunes qui aimaient me chahuter. Parfois il se posté bien au milieu d'eux et me donner des ordres, comme souffler sur le feu ou servir à boire, leur montrant bien comment il me détestait.
Le dernier soir il nous présentât un ami, le garde forestier, qui allait nous aider pour le jeu du lendemain.
Le jeu concernait toute la colo, la plupart partaient deux jours à plusieurs kilomètres en montagne avec des tentes, afin de trouver un trésor caché.
Les autres, en fait les cinq et moi, devions rester au camps pour mener une enquête et trouve le code qui ouvrirait un coffre éventuellement trouvé par les autres.
En de matinée les mini bus étaient partis. Ne restais que mes ennemis et moi plus le garde et le directeur.
Sous prétexte de jeu de rôle, le garde par les ordres du directeur avait exigé que je fasse des nattes avec mes cheveux et que je porte une jupe au raz du cul nu !!
Les autres passèrent un long moment à rire de moi ! Puis le jeu commença : Nous devions chercher des indices.
Nous avions fouillé le camp sans rien trouver. Le garde me bloqua dans la cuisine en disant vouloir nous aider.
Il me montrât un papier sur le quel était indiqué un code en trois chiffres.
Je retrouvais les autres tout content et le leur donnais.
Eux avaient trouvé une mallette justement à code !
Ils essayèrent mais le code n'était pas le bon. Le directeur arrivait, il m'accusa :
« Je suis sure que tu as le bon code et que tu ne veux pas le donner ! »
Un des jeunes me donna un léger coup de pied ; le directeur se fâcha
« Ha non ! Un coup et je ferme le jeu !! »
Le jeune Fred s'excusa ; le directeur sourit.
« Pas de coups ; mais la traîtresse doit payer on aime pas les traîtres ici ! Vous pouvez la torturer pour la faire parler »
Il sourit et ajouta :
« Toute la journée et tout la nuit, on a tout le temps »
L'imagination des jeunes et d'une grande perversité lorsqu 'il s'agit de torturer sont prochain avec la bénédiction d'un chef !!
Après avoir devisé cinq minutes ils m'emmenèrent devant la cantine, la où il y avait des balançoires.
Une corde fut utilisée pour y passer mes mains et tirée vers le haut jusqu'à être bien tendue :
Puis Thomas aux cheveux très courts s'approcha de moi en souriant.
Il sorti de sa poche un sachet de poudre à gratter et en versa un peu dans ma jupe sur mon sexe, en riant. Ca brûlait un peu et me tortillais. Il dit aux autres :
« On va manger le dirlo nous attend, il veut savoir ce qu'on va lui faire. On va réfléchir, on la laisse comme ça pendant le repas »
Je restais ainsi environs une heure. Le petit groupe revint en souriant, annonçant :
«Le directeur a dit que tu été une chienne de traîtresse et qu'on dois s'occuper de toi, il a donné des idées mais on en a aussi ! »
Comme je me tortillais encore l'un d'eux enleva ma jupe, ils rirent de mon petit sexe, mais pas trop.
Il secoua la jupe et allait me la remettre, mais un autre la pris et la jeta dans l'herbe.
Le directeur arriva un sac dans une main et une chaise dans l'autre. Il sorti du sac deux lanières de cuir noires et les donnât à deux garçons. J'ouvrais de grands yeux !
« Allé, fouettez la et deux par deux mais pas trop fort pour les marques ! »
Fred sourit et demanda :
« Monsieur je peux lui fouettez les seins ? J'aimerais bien »
Le directeur assis sur la chaise sourit aussi :
« Oui là et le cul c'est ou ça fait le plus mal »
Les coups commençaient a pleuvoir, Fred essayant de viser mes tétons en souriant. Les garçons ne se lassaient pas de ce plaisir !
Quand les deux en eurent mare ils allèrent donner les lanières à deux autres. Le directeur en profita pour m'approcher et chuchoter :
« T'aime ça hein la salope ? Je vais les faire durer longtemps, tu va voir, très longtemps »
Pendant presque une heure les lanières claquaient sur mon cul et mes seins, ailleurs aussi :
Puis le directeur sorti un tube de son sac, il désigna deux personnes pour me l'appliquer :
« Voila, comme ça tes marques vont partir vite ! »

On me détacha, le directeur déclara que je devais me reposer et réfléchir :
« Tu va nous faire perdre le jeu !! Mais ce soir si tu n'as pas parlé tu auras une vrais punition ! On va voir ça en faisant les course, hein les gars ? »
Pour le repas du soir pris dehors, on m'avait attaché les mains dans le dos, je devais le regarder manger debout a coté de la table. De temps en temps le directeur me tendait un bout de viande ou une chips que je devais attraper comme je pouvais.
En fin du repas, ils allumèrent un feu et disposèrent leurs chaises autour. Je fus détaché et charger de distribuer des boissons, puis le directeur déclara :
« Alors, on s'est mis d'accords sur toi. Puisque ça manque de fille ici, tu fera la fille » il rit.
Puis il ouvrit et descendit son pantalon, son sexe tendu bien en vu :
« Allé, à genoux et suce là et mains dans le dos, comme une vrai chienne ! »
Comme avant je prenais son sexe en bouche.
« Tu aime ça hein cochonne, après tu fera pareil à tes copains hein ! A partir de maintenant tu leur feras ça tous les jours, tu entends, tous les jours ! »
Fred avait déjà enlevé son short et sorti sa queue en érection, il posa une bonne question :
« Monsieur vous croyez qu'elle avale ? »
Le directeur gémit avant de dire :
« Oui, elle doit tout avaler et à chaque fois »
Les jeunes ricanèrent. Le directeur se cambrât et joui :
« Tien salope, bouffe allé avale ça »
Je me retirais le directeur me poussa sur le coté :
« Allé, au suivant et qu'est ce qu'on dit ? »
« Merci monsieur »
Je passais à Fred qui préféra se mettre debout. Il gémit dés le début ! Puceau peut être ??
Il joui assez vite :
« Tien bouffe mon jus »
Je fini de vider les jeunes hommes, ils étaient contents !
Le directeur exigeât que je me mettre à quatre devant eux pour me rappeler :

« Si quelqu'un vous voit, je m'en occuperais, mais soyez discrets !! Toi tu dois les vider tout les jours, comme une bonne chienne, plus tout ceux qui voudront parce que tes copains la vont sûrement en parler ! » Le jeu pris fin par égalité trichée, chacun ayant trouver son trésor au matin !
Les deux jours suivants, chacun des cinq trouva un moment et un endroit, soit une cabine de douche ou un petit coin de bois pour se faire sucer. Le troisième jour je m'étonnais que personne d'autre ne fut volontaire ! Après le dîner, je vie deux de « mes amis » monter vers chez le directeur, un truc devait se préparer !
Le jours suivant, bien que je croisais les copains personne ne demandât rien ! Je remarquais seulement des jeunes d'autre parti du camp qui me regardaient passer.
A la tombée du jour, Fred et Thomas vinrent me chercher, je les suivais dans les bois en demandant ce qu'avait dit le dirlo. Fred sortit une corde et m'attacha les mains dans le dos en disant :
« Putin ça m'excite ça, je te le ferais demain. Je le regardais en biais. « Tu va bien voir ce qu'il a dit le dirlo ! »
Nous arrivâmes près de la rivière, un feu de camps éclairait faiblement les alentour ; Certains étaient allongés sur des sac de couchage, d'autres discutaient debout.
Fred m'indiqua un coin d'herbe et appuyât sur mes épaules :
« A genoux, je vais te dire ce qu'il a dit ; Tu va faire dix pipes sans t'arrêter et bien sure tu avale tout à chaque fois »
Un inconnu s'approcha de moi la bite à l'air d'autres aussi pour voir :
« Suce la, lui il éjacule en masse salope tète le bien ; suce »
Lorsque j'eu fini tout ça, j'avais mal aux genoux et un peu la nausée !

Fred m'aida à me relever, me détacha et m'amena chez le directeur. Celui-ci, était très occupé.
« Je dois partir pour un autre camps, pour les quinze derniers jours. Toi auras de quoi faire ici !!
Je vais donner des ordres pour que tu face les corvées du matin dans l'autres camp.
Comme ça les garçons de ce soir pourront abuser de toi, quand ils voudront et tous les jours, tu entends ?? »
Il pointait le doigt sur moi :
« Tu devras les satisfaire tout les jours n' importe où et n'importe quand »
« Oui Monsieur le directeur »

Il nous fis signe de sortir, ajoutant .

Bonnes vacances !



Ted.

 

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