L'histoire que je vais vous raconter est strictement véridique
et s'est passée voilà de cela deux ans pendant l'été 2003
en pleine canicule.
Marc, mon mari, et moi avons vécu une superbe aventure.
Mais, d'abord, je vais nous décrire.
Commençons par Jérôme. 24 ans, 1 m 8O, cheveux bruns, belle
musculature, et surtout une bite épaisse et longue qui me
donne, à chaque fois que nous faisons l'amour, beaucoup
de plaisir. Il adore me lécher la chatte. Il me dit que
c'est le meilleur des plats au monde. C'est un amant formidable
qui sait, toujours, me faire jouir.
Quant à moi, Sabine, 23 ans, cheveux bruns, poitrine assez
volumineuse, chatte, entièrement épilée (pour le plus grand
plaisir de mon homme) et piercée sur le clitoris. Je suis
une adepte de la fellation, j'adore accomplir cette pratique
et, de temps en temps, ne rechigne pas, au contraire, à
faire une totale à mon chéri. Je peux dire que j'aime sa
bite.
Nous avons pratiqué plusieurs expériences sexuelles à plusieurs
(voir Découverte du pluralisme).
Venons en à notre histoire.
Patrick et Nathalie, des amis de longue date (La Fac), nous
ont téléphoné, un soir de février, pour nous demander si
nous étions d'accord pour passer nos vacances avec eux,
dans la maison de leurs parents vacante au mois d'août suivant.
Cette maison se situait sur les hauteurs de Toulon et je
savais, pour l'avoir, déjà visitée, qu'elle était spacieuse,
bénéficiait d'une grande piscine et était à l'abri des regards
indiscrets grâce à de grandes haies qui faisaient tout le
tour de la propriété.
C'est donc avec joie qu'on acceptait l'invitation.
Le temps me paru très long entre le mois de février et le
moment de nous retrouver avec nos amis. Il faut dire que
j'ai, toujours eu un penchant pour Patrick et je savais
bien que Nathalie ne laissait pas Jérôme indifférent. Mais
il ne s'était, jamais rien passé entre nous quatre jusqu'à
présent.
L'idée de savoir que Jérôme et Nathalie pourraient baiser
ensemble faisait son chemin dans ma tête, mais sans dissocier
le fait que, si tel était le cas, il en serait de même pour
Patrick et moi. Des images s'entrechoquaient dans mon esprit.
J'y voyais Marc enfoncer son chibre dans la bouche puis
dans la chatte de Nathalie. Cela me troublait énormément.
Nathalie est une belle brune avec des yeux bleu clair qui
pénètrent votre regard d'une manière, presque indécente.
Elle est comme cela et je ne pense pas qu'elle le fasse
exprès.
Patrick, lui, est un grand blond, bien musclé, sportif,
le visage carré, bref, un beau mec.
Voilà le jour fatidique de notre départ de Reims pour Toulon,
le 9 août. Heureusement que la voiture est climatisée.
Il faisait une chaleur pas possible. Je vous passe les détails
du voyage, car ce qui importe c'est notre séjour avec nos
amis.
Arrivés sur place, on est mis, aussitôt, dans l'ambiance.
Nathalie et Patrick nous reçoivent entièrement nus. Ils
nous disent pratiquer le naturisme dés qu'ils le peuvent,
nous demandent si cela ne nous dérangent pas mais, en aucun
cas, ne se rhabillent.
Je ne peux m'empêcher de regarder le sexe de Patrick. Bien
qu'au repos, celui-ci est épais et long, le gland, bien
rouge, décalotté et la hampe bien veinée, comme celui de
Jérôme.
Nathalie a la chatte entièrement lisse, tout comme la mienne,
les lèvres bien dessinées. On devine un renflement au sommet
de celle-ci, laissant présager un clitoris prohiminent.
Je vois bien que Jérôme regarde cette belle fente avec insistance.
A ce moment là j'ai senti que quelque chose aller se passer
et que je ne ferais rien pour que cela ne se passe pas.
Après une douche en commun bien méritée, pendant laquelle
je ne me suis pas gênée de titiller le sexe de mon amour,
nous avons décidé de rejoindre nos amis autour de la piscine,
mais nus, aussi, pour qu'il n'y aie pas de différence.
Nathalie et Patrick nageaient, joyeusement, dans la piscine.
Apparemment cela leur faisait plaisir de nous voir arriver
dans le plus simple appareil.
On s'allongea sur les transats en attendant qu'ils sortent
de l'eau. Ils prirent place sur les deux transats restants,
face aux notres, pour se sécher au soleil. C'était agréable
de sentir la chaleur sur nos corps mais encore plus la légère
brise sur nos sexes.
Au bout de quelques instants, je vis Nathalie se pencher
vers Patrick au niveau de ses hanches. Elle commença par
se saisir de la bite de son mari et se mis à le masturber.
Ce dernier ne fut pas long à bander. Son sexe avait des
proportions bien plus qu'honorables. Nathalie jugea satisfaisante
la forme de Patrick et se pencha encore plus pour prendre
son chibre en bouche.
Sa langue passait sur toute la longueur de la bite et s'attardait
sur ses couilles bien pleines, qui, soit dit en passant,
étaient parfaitement rasées. Je ne pouvais m'empêcher d'avoir
un picotement caractéristique entre les jambes. Je remarquais,
immédiatement, que Jérôme avait une superbe érection.
Je me décidais à faire comme ma congénère et me mettais
à genoux pour prendre en bouche ce que j'aime tant. Je m'appliquais
à lécher, sur toute sa longueur, son sexe devenu, à présent,
dur comme du bois.
Nous voilà toutes deux à sucer nos hommes en nous regardant
droit dans les yeux. Je ne sais pas c'est qui c\'est passé
à ce moment là dans ma tête, mais j'ai eu, soudainement,
envie de changer les rôles et de lécher la chatte de Nathalie.
Depuis le temps que j'avais envie de tenter une expérience
lesbienne, je n'allais pas laisser passer cette occasion.
J'ai eu l'impression qu'elle avait compris ma pensée car
elle a écarté, au maximum, les cuisses nous laissant une
superbe vue de sa vulve. On pouvait distinguer le bout de
son clitoris libéré de son capuchon. Ses lèvres étaient
épaisses et gonflées de désir.
Je laissais Jérôme et plongeais ma bouche vers cet antre
brûlant. Son abricot était doux et chaud J'aspirais son
clitoris tout gonflé par l'excitation. Ma langue parcourait
son sillon, de l'anus au sommet de celui-ci, et je ne put
m'empêcher de l'enfoncer dans son vagin. Enfin, pour la
première fois, je goûtais le jus d'une femme et, je dois
dire, que cela m'a, beaucoup, plu. Nathalie semblait apprécier
le traitement que je lui prodiguais. J'entendais ses gémissements
étouffés par la pipe qu'elle prodiguait à son homme et son
jus coulait de plus en plus. Je m'abreuvais de cette liqueur
avec beaucoup de plaisir.
Marc, nous regardant, se masturbait comme un malade.
C'est à ce moment là que tout a basculé.
Patrick demanda à Nathalie de sucer Marc. Il lui dit qu'il
aimerait la voir sucer un autre que lui. Après un cours
regard vers moi, comme pour avoir mon aprobation, celle-ci
ne se fit pas prier et se précipita sur l'objet de mon désir.
Pour la première fois je voyais une autre bouche que la
mienne sucer la bite de Marc. Je remarquais que Nathalie
y prenait un plaisir évident.
Je ne sais pas ce qui se passait mais j'aimais voir cela.
Pendant que sa bouche faisait des vas et viens, sa main
branlait la hampe, devenue énorme. J'étais sidérée par le
spectacle. C'est à ce moment que Patrick présenta sa queue
à mes lèvres.
J'hésitais et regardais Marc, qui dans un signe de paupières,
me fit signe d'y aller. Je gobais le sexe gonflé de Patrick,
ne cachant pas mon excitation.
Marc me regardait faire et cela avait l'air de lui plaire.
Je suçais ce sexe comme une malade, j'ai adoré lécher cette
grosse bite généreuse. Je ne me reconnaissais pas. Etait-ce
la chaleur qui me mettait dans cet état ou bien la situation
provoquée par nos amis ? Toujours est-il que j'étais déchaînée.
Je sentais, à ce moment là, ma chatte brûlante, couler comme
jamais.
J'avais envie que Patrick me prenne, devant Marc. L'idée
qu'une autre bite que celle de mon homme me pénètre me procurait
des sensations étranges, partagée entre gène et excitation.
Je lâchais la hampe et écartais les cuisses au maximum,
mais au lieu de me prendre directement, Patrick regarda,
longuement et avec un plaisir évident, ma fente et posa
sa langue sur celle-ci commençant un savant cunnilingus.
Sa langue tournoyait sur mes lèvres et mon clitoris, s'insinuant,
parfois à l'intérieur de mon vagin et me rendant folle-dingue.
Je sentais mon jus couler et Patrick s'en abreuver. Il savait
très bien s'y prendre. Au bout de quelques instants, le
plaisir m'envahi, me foudroyant. Mon bassin se leva, automatiquement,
vers cette bouche qui me faisait tant de bien. Je jouissais
très fort en criant. Je sentais qu'un flot de cipryne giclais
dans la bouche de Patrick. Cela m'arrivait rarement, surtout
lorsque j'étais en manque de sexe.
Je n'avais pas, encore, remarqué que Marc venait de jouir
dans la bouche de Nathalie qui avait tout avalé. J'ai su,
après, que c'était en me voyant prendre mon pied sous les
caresses de Patrick qu'il n'avait pu se retenir.
Il avait bien voulu se retirer pour ne pas lui infliger
sa semence, mais celle-ci la retenu en bouche et a bu toute
sa liqueur.
Nous avons découvert, tous les deux, qu'en nous voyant,
mutuellement, prendre du plaisir avec un ou une autre, décuplait
notre propre plaisir.
Pour ma part, je n'en pouvais plus. Je me souviens avoir
dit à Patrick quelque chose que je n'aie, jamais, oser dire
à Marc :
« Viens ! Mets ta grosse bite dans ma chatte. J'ai envie
de la sentir en moi»
Cela ne me ressemblait pas, jamais je n'avais dit des mots
pareils, mais j'avais envie d'être obscène. J'étais excitée
comme jamais. Je regardais Marc qui, malgré sa jouissance,
gardait une forme olympique. Sa queue était bien raide,
tendue vers le ciel, le gland bien rouge et les veines de
sa hampe bien gonflées, ce qui m'excitait encore plus.
J'aime regarder son sexe que je trouve magnifique. Je ne
manque pas, encore aujourd'hui de lui demander de rester
nu à la maison, comme cela je peux m'amuser avec sa bite
quand je le veux. Je la branle ou la suce au gré de mes
envies. J'avoue, bien volontiers, préférer la sucer. Parfois
il jouit dans ma bouche et parfois asperge mes seins. C'est,
toujours, excitant, pour moi, de lui donner tant de plaisir.
Nathalie l'avait repris dans sa bouche et, pendant ce temps
là, Patrick avait enfourné son chibre bien gonflé dans ma
chatte suintante. J'étais complètement remplie et cela me
faisait un bien immense. Il me pilonna pendant de longs
moments pendant lesquels j'ai dû jouir 3 ou 4 fois, je ne
m'en souviens plus. Marc avait fait mettre Nathalie à quatre
pattes et l'avait pénétrée sans difficulté. Elle, aussi,
jouie plusieurs fois en criant que c'était bon et qu'elle
aimait sa queue.
C'est en écoutant sa compagne que Patrick atteignit le point
de non-retour. Il sortit très vite de mon vagin et présenta
sa queue devant ma bouche que j'ouvris bien grand pour recevoir
une quantité de sperme incroyable. Il m'aspergea de quatre
giclées puissantes et j'avalais ce que je pouvais. Le goût
de son sperme était bien différent de celui de mon homme,
sucré et acidulé à la fois, mais très agréable. Je nettoyais
son vit de mieux que je pouvais, tout en regardant Marc
pilonner Nathalie avec vigueur. Je voyais sa bite entrer
et sortir de cette chatte accueillante, luisante de mouille
et cela m'excitais au plus haut point.
Nathalie lui demanda de la sodomiser, chose que je ne lui
avais, jamais, accordé.
Tout bascula, à ce moment là, dans ma tête. Si elle lui
accordait ce que je lui ais, toujours, refusé, comment allait-il
réagir ? Allait-il me désirer comme avant ? Tout un tas
de questions fusaient dans ma tête.
-« Non ! Non ! Pas ça !»
Il me regardèrent, tous les trois, interloqués par ma réaction.
Je lançais à Marc :
-« Pas par-là »
-« Mais chérie ça sera une première expérience pour moi
». Marc semblait très déçu mais, aussi, irrité par ma réaction.
Mes préjugés tombaient soudainement :
-« Si tu veux avoir une première expérience en ce domaine,
alors fait là avec moi »
-« Mais tu ma, toujours, refusé cette voie »
-« Et bien, maintenant je te l'accorde »
Patrick s'en mêla alors :
-« Elle a peut-être raison. Il faut que ce que nous venons
de vivre reste un moment agréable et si elle ne veut pas
que tu encule Nathalie et qu'elle seule t'offre ce passage,
respecte sa décision »
-« D'accord, mais quelle me le demande »
Mon excitation étant, un peu, retombée, mes inhibitions
refaisaient surface. Pendant que j'hésitais, Patrick s'était
rapproché de Nathalie et s'apprêtait à continuer ce que
Marc avait arrêté brusquement au grand dam de celle-ci qui
paraissait déçue. Elle fut vite consolée par la bite de
Patrick qui, maintenant, lui pilonnait l'anus avec ferveur.
Je voyais son chibre aller et venir dans son fondement,
ce qui eu pour effet de me galvaniser pour ce qui allait
être ma première expérience anale. Je me lâchais :
-« Marc, encules moi vite ! »
J'avais presque crié ces mots. Marc se positionna devant
Nathalie pour qu'elle lui mouille la bite avec sa langue
experte puis me fit mettre à quatre pattes et après avoir
mouillé mon anus avec ses doigts, lentement s'enfonça dedans.
A ma grande surprise, je ne ressentais aucune douleur. Marc
progressait très lentement jusqu'à ce qu'il bute contre
mes fesses, se cambrant pour s'enfoncer au maximum. Après
quelques instants d'immobilité, afin que je m'habitue à
la présence de sa queue, il entama des vas et viens de plus
en plus rapides. Marc ayant joui une première fois dans
la bouche de Nathalie, me pilonna longtemps et je commençais
à ressentir un plaisir méconnu pour moi jusqu'à présent.
Je me sentais, complètement, remplie par cette bite que
j'aimais tant. Je me faisais enculer et j'aimais cela. Je
remarquais que Nathalie et Patrick avaient terminé leur
joute anale et nous regardaient faire avec un plaisir évident.
Enfin Marc se lâcha et je sentais un liquide brûlant envahir
mon antre provoquant en moi un plaisir inouï que j'exprimais
bruyamment.
Marc se retira et je sentis le fruit de son plaisir sortir
de mon anus. J'étais fourbue et, en même temps, je me sentais
bien dans mon corps mais aussi dans ma tête. J'avais accordé
à Marc ce que, je crois, je ne lui aurais jamais permis
dans d'autres circonstances. Nos amis, sans le savoir au
départ, avaient été les instigateurs de cette nouvelle expérience
pour nous deux. Je savais, dors et déjà, que je lui permettrai,
à l'avenir, cette façon de me faire l'amour. J'en serais
même demandeuse. Cette aventure à été, pour moi, une révélation
: j'adore le sexe sous toutes ses formes et que, certainement,
nous aurions, à l'avenir, d'autres occasions de faire l'amour
à plusieurs.
Mais cela sera l'objet d'un autre récit.
Auteur
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