Le Camayenne est le nom d'un hôtel situé à Conakry,
capitale de la Guinée et c'est là que je suis envoyé en
mission pour 3 jours. Notre groupe se compose de 12 personnes,
7 femmes et 5 hommes.
Mais je me sens un peu à l'écart ; je ne connais pas trop
bien mes collègues et je n'ai pas beaucoup d'affinités avec
certains. Pour être franc, je n'avais pas vraiment envie
de partir. Il fait chaud et très humide et encore, on a
de la chance, début mars c'est la fin de la belle saison
; après cela devient carrément invivable avec des averses
quotidiennes, des routes impraticables, mais aussi des coupures
d'eau, des pannes de courant fréquentes.
Premier soir.
Notre groupe arrive le soir après un vol sans histoires
sauf à la fin. Un orage sévissait à proximité de l'aéroport
et nous avons droit à une approche chahutée et un atterrissage
un peu dur. Quelques passagers sont blêmes, d'autres franchement
malades mais malgré tout : chapeau aux pilotes car les conditions
étaient difficiles. Collecte des bagages, passage des formalités
d'entrée, traquenard habituel des petits mendiants locaux
ou des porteurs et le bus de l'hôtel nous emmène à travers
la ville. Il est 21h00, la pluie vient de cesser ; le trafic
est dense car Conakry est situé à la pointe d'une étroite
péninsule et la ville est étirée tout en longueur. La population
reprend possession des trottoirs dès qu'il ne pleut plus
et allume des braseros pour cuire je ne sais quelles nourritures.
Il fait étouffant avec une humidité proche des 100%. D'après
ce que l'on m'a dit, le pays est pauvre, avec peu de ressources
minières, mais la pêche et l'agriculture fonctionnent bien.
Les Guinéens sont réputés être doux et accueillants. Arrivés
à l'hôtel la plupart décident d'aller dormir, prétextant
la fatigue du voyage. Moi je craque pour le bar en plein
air au bord de la piscine et je descends quelques bières
en compagnie des deux derniers courageux. A part un couple
de libanais qui a l'air de se disputer, nous sommes seuls
à bavarder et à refaire le monde. J'aurais bien aimé la
présence de l'une ou l'autre " étudiante " locale, mais
je sais qu'elles ne rentrent pas facilement un hôtel de
cette classe. Dommage car j'ai vraiment envie d'une présence
câline pour la nuit et les femmes de notre groupe ne m'attirent
pas du tout. De plus je fuis comme la peste les aventures
furtives avec des collègues.
Deuxième soir
Après une journée sans trop d'intérêt, je propose à qui
veut l'entendre d'aller manger à la Paillote ; bon restaurant,
mais situé à l'autre bout de la ville. Mon idée est d'un
peu décoincer cette triste bande et de terminer la soirée
dans un bar ou une boite du cru. Et peut-être qu'une rencontre
d'agréable facture assouvira ma libido. Arrivée la fin du
repas, la moitié (triste) décide de rentrer à l'hôtel pendant
que les autres consentent à m'accompagner. On aboutit dans
une boite, mais il est encore trop tôt, nous sommes quasi
seuls, de plus la sono va trop fort et est de piètre qualité.
Quelques hôtesses locales dansent langoureusement, mais
l'ambiance n'y est pas. Après quelques verres nous quittons
cet endroit misérable qui nous avait pourtant été chaudement
recommandé. Et puis c'est la galère du retour ; pour retraverser
la ville nous avons droit à pas moins de cinq contrôles.
Papiers, visa, autorisation de séjour, carnet de vaccination,
tout y passe et en prime les militaires exigent un peu d'argent
- la dîme disent-ils - pour nous laisser passer. Du véritable
racket ! Enfin arrivé à l'hôtel, je me laisse faire par
deux habitués pour boire le dernier dans un petit bar très
couleur locale, situé sur le trottoir d'en face. A peine
arrivés, les filles se jettent sur nous ; j'ai des mains
partout, sous ma chemise, dans mon pantalon et aussi une
qui essaye de faucher mon pognon. En fin de compte cet endroit
est sordide et crasseux ; il y règne une odeur de corps
qui n'ont plus vu une bonne douche depuis belle lurette.
On me murmure des mots salaces à l'oreille, on tente de
me faire bander par des caresses sans équivoques, on me
promet une nuit d'extase pour 20 dollars. Je finis par être
dégoûter, ce n'est pas vraiment ce que je cherchais ; ici
il n'y a que de pauvres putes de bas étage, même pas gentilles.
J'ai connu des coins d'Afrique ou les filles avaient plus
de classe même si le but final est toujours de se faire
inviter à passer la nuit dans un bon lit et glaner quelques
billets. Finalement, je quitte ce trou ; je devrai me satisfaire
d'une " veuve poignet "... .
Dernier soir.
Après le flop d'hier soir, je laisse le soin à quelqu'un
d'autre d'organiser la soirée. Il prend contact avec le
cuistot de l'hôtel (un Belge, Le Camayenne appartient à
la - aujourd'hui défunte - Sabena) et opte pour un BBQ.
C'est bon, même copieux, tandis que je me réfugie dans mes
pintes de bière ; les conversations ternes, j'essaie une
blague légère qui aussitôt tombe à plat. Je me serai vraiment
fait chier pendant ces trois jours ! Le repas à peine terminé
et les premiers (toujours les mêmes tristes) lèvent la séance
pour déjà regagner leurs chambres.
Je décide d'aller boire l'avant-dernière au bar de la piscine.
L'orchestre local continue de jouer sa musique énervante.
Décidément, vulgairement dit, tout m'emmerde : ce pays avec
son humidité, les militaires avec leurs controles absurdes,
le groupe hétéroclite qui m'accompagne et mon envie de sexe
qui n'est toujours pas satisfaite. Ce soir je suis parti
pour une bonne cuite... . A mon arrivée, une fille, assise
sur un tabouret, est en train d'achever son assiette sur
le comptoir. La fourchette dans une main, une cigarette
dans l'autre, elle a l'air bien nerveux. Je m'approche,
elle tourne la tête et je découvre un magnifique visage,
les trais fins et la peau assez claire. Elle est vêtue d'un
top et d'un pantalon synthétique de couleur fauve. Un rapide
échange de sourire et elle continue de chipoter avec sa
nourriture. Je voudrais bien l'aborder, mais je ne suis
pas seul et surtout je veux éviter les cancaneries ou une
dénonciation anonyme à ma femme.
Les musiciens font une pose et elle se lève pour aller les
rejoindre. Au passage elle me décoche une œillade sans équivoque.
Je la suis des yeux, je la vois enfin debout et de face
; elle est assez petite, pas plus d'1m60, très mince et
plutôt taillée comme un garçon, des seins minuscules flottent
librement et ses tétons pointes outrageusement à travers
le tissu. J'essaie de contrôler un début d'érection et nos
sourires se croisent à nouveau. J'ai envie d'elle mais c'est
probablement la groupie du chanteur ; pas de chance.
Les musiciens sont retournés à leurs instruments et ma belle
panthère est revenue sur son tabouret. Elle fume cigarette
sur cigarette et moi je descends mon jus de houblon. Je
ne parviens pas à détacher mon regard d'elle, j'essaie d'élaborer
un plan, mais je n'ose toujours pas bouger. Après toutes
ces bières, ma vessie est pleine comme un ballon de football
et je m'en vais me soulager. Les toilettes sont toutes proches.
Arrivé devant les urinoirs un collègue qui achevait de se
laver les mains me dit :
- Toi tu as un ticket ce soir.
- Ah ! Oui ?
- Oh ! Tu sais, moi les black ce n'est pas mon truc ; les
odeurs, sans compter les risques... . Mais cette fille te
regardait comme si elle allait te dévorer.
- Tu serais pas un peu raciste ?
- Ça ne me tente pas, c'est tout !
- Je plaisantais.
J'ai envie de lui dire combien leur peau est douce, de lui
expliquer leur gentillesse, leur amour du sexe, toutes ces
choses que l'on ne peut pas comprendre tant que l'on a pas
essayé. Mais égoïstement, je me garde cela.
Je suis en train d'uriner ; j'en ai au moins pour cinq minutes
avec tout ce que j'ai ingurgité. Je secoue les dernières
gouttes quand je sens une présence dans mon dos. Je tourne
la tête et je L'aperçois entrer furtivement dans les toilettes
Homme.
- Hello !
- Bonsoir.
- You speak English ?
- Euh ! Yes, mais je croyais que l'on parlait le français
en Guinée.
- I am from Sierra Leone mais je parle un peu le français
aussi.
- Bien.
- Tu veux de moi ce soir ?
Présenté comme cela, c'est sûr que je ne vais pas refuser.
- Attends-moi près de la réception, je ne serai pas long.
- Don't be long, I am horny ! (Traînes pas, je suis excitée)
Je retourne au bar, prétexte un problème intestinal soudain
pour m'éclipser au plus vite. Ma Belle est déjà à l'intérieur
; je la prends par la main, file un pourboire au gardien
qui lui demande ses papiers et nous voilà dans l'ascenseur.
Je m'approche d'elle pour l'embrasser, ses mamelons pointent
à travers son chemisier et je ne résiste pas à l'envie de
les toucher. Elle a un mouvement de recul comme si une décharge
électrique l'avait traversée.
- Je t'ai fait mal ?
- Non ! Tu m'as surprise... . Ils sont très sensibles.
Voilà qui promet... . Elle se colle à moi, m'embrassant
tendrement. J'ai une érection instantanée et j'espère ne
rencontrer personne dans le couloir. Enfin arrivé à mon
étage, elle passe une main délicate dans mon dos, déclenchant
un long frisson et contente du résultat, on marche vers
la chambre. - Comment t'appelles-tu ?
- Luc. Et toi ?
- Cécilia.
La Nuit.
J'ouvre la porte et à peine à l'intérieur, elle me demande
:
- Je peux fumer ?
Je n'aime pas la cigarette, ni cette impression d'embrasser
un cendrier. - Tu as déjà beaucoup fumé ce soir, mais si
tu veux on peut aller sur le balcon. - Excuses-moi, je suis
assez nerveuse ; tu es mon premier Européen. Je l'accompagne
dehors pendant qu'elle tire quelques bouffées rapides. Je
n'en peux plus d'attendre, je passe ma main sur ses seins
que je sens fermes sous son chemisier. Je fais rouler ses
mamelons sous mes doigts, ils sont tout dur et gros, presque
disproportionnés par rapport à sa poitrine menue. Sa main
s'attaque à mon entrejambe à travers mon pantalon et je
ne reste pas insensible. - Mmmm ! Pas mal ; j'ai hâte de
l'essayer.
- Viens rentrons.
- Je te prendrai partout ; même dans mon cul.
- Shhhh ! On a toute la nuit.
Je la déshabille - il n'y a pas grand chose à enlever -
un petit top, un pantalon qui glisse sur ses chevilles,
un string blanc déjà légèrement humide sur le devant et
je découvre un corps parfait. Elle est plutôt petite par
rapport à mon 1m90. Son visage est souriant, des yeux marrons
en amandes, ses lèvres pleines mais pas à l'excès et son
nez petit et droit. Ses bras et ses jambes sont fins et
les attaches délicates. Les hanches sont étroites et les
fesses, fermes, gentiment rebondies. Ses seins sont tout
petits, les aréoles, noires, forment un petit cône surmonté
par un mamelon cylindrique, érigé en permanence. Rien à
voir avec un 95C mais elle me convient comme cela... . Elle
déboutonne ma chemise, excite mes mamelons du bout de ses
doigts, les mordille un peu, ensuite c'est le tour de mon
pantalon et de mes boxers. Le bout de sa langue court sur
mon gland, titille la fente et le frein, puis elle m'engloutit
pour me donner un avant goût de ce qui m'attend.
Je l'emmène sur le lit et je commence à l'embrasser, mes
mains parcourent son corps à la recherche des endroits sensibles.
Je goûte à sa peau de velours et le contact de ses doigts
m'électrise. J'adore cette peau africaine, son odeur, les
sensations que tout cela me procure, cela m'excite au plus
haut point. D'une main délicate elle emprisonne ma verge
et me masturbe lentement. Moi je tourne autour d'elle, je
caresse ses seins, je suce ses tétons et elle réagit instantanément
; elle gémit et se tortille dans tous sens, une vraie pile
électrique. Je veux la faire jouir sous mes caresses et
ma main se pose sur sa toison. Elle est drue comme de bien
entendu, mais elle l'a taillée et s'est épilée les lèvres
si bien qu'il ne reste qu'un petit triangle. Je descends
encore un peu et elle m'ouvre grand les jambes ; sa chatte
est trempée de désir alors que je passe lentement à l'intérieur
des grandes lèvres. Je glisse un, puis deux doigts dans
son puits d'amour et sa respiration s'affole. Je fais quelques
va et vient, je sors complètement mes doigts, puis les rerentre
profondément. Ensuite, je remonte pour toucher son clitoris.
Je ne le trouve pas ! Je cherche un peu plus et elle perçoit
mon trouble. - Je n'ai plus de petit bouton ! .... . Mets
tes doigts à l'intérieur de ma fente et branles-moi, mon
chéri.
J'en ai la parole coupée, et même je débande. Merde ! C'est
la première fois que je fais l'amour avec une femme excisée
(3). Je croyais que cette barbarie n'avait court qu'en Afrique
de l'Est. Je suis sur le point de tout arrêter et de la
chasser, mais dans le fond Elle n'y peut rien.
Je reprends mes caresses comme si de rien n'était. Je m'applique
pour oublier ma funeste découverte et bien vite son excitation
revient. De petits râles s'échappent de sa gorge. Sa poitrine
monte et descend de manière saccadée et ses mouvements sur
ma verge sont désordonnés. Elle pousse son pubis pour faire
entrer mes doigts au plus profond de sa fente. Je la sens
toute proche et je continue mes caresses de plus belle.
Je lèche ses seins, ma bouche s'arrondit autour d'un téton.
Elle tremble de tout son être, des petits 'oh !'s'échappent
du plus profond de sa gorge. Elle m'offre son premier orgasme.
Son corps s'est complètement arqué et je sens les contractions
rapides de son vagin ; sa chatte dégouline sur mes doigts.
Elle crie son plaisir sans aucune retenue et puis referme
ses jambes tremblantes sur ma main.
Nos bouches se rejoignent et sa langue fougueuse tourne
autour de la mienne. Lentement elle s'apaise et d'une main,
elle reprend possession de mon membre.
- Viens, baises-moi... fourres moi ta grosse bite dans ma
fente... .
- Oh ! Je n'ai pas besoin de vocabulaire ordurier pour être
exciter.
- M'en fous, moi j'aime çà.
J'enfile un préservatif et je viens sur elle. Elle plie
et relève ses jambes, les tenant des ses mains dans le creux
du genou. Elle est complètement ouverte et m'offre une belle
vue de sa vulve suintante d'envie. Je guide ma queue gainée
de latex à l'entrée de sa chatte et d'une poussée, je la
pénètre profondément, lui arrachant un petit cri. Je commence
mes va et vient, ressortant presque ma verge, pour ensuite
la repousser jusqu'au bout de son vagin. Cécilia me prend
en ciseau avec ses jambes et ses mains passent sur ma nuque,
mon dos, mes fesses. Ses doigts pétrissent ma peau, ses
ongles me griffent au rythme des mes aller-retour. Au fur
et à mesure que son plaisir monte, brutalement elle pousse
son pubis contre le mien engloutissant tout mon sexe jusqu'à
la garde. Nous bougeons à l'unisson, de plus en plus vite,
sa chatte trempée fait des bruits de succion. Enfin tout
son corps se tend et un long feulement s'échappe de sa gorge,
son vagin se contracte brutalement et je la laisse tout
à sa jouissance. Je plaque mes lèvres sur les siennes pour
arrêter ses cris et puis je reprends ma besogne... .
Je lime mais rien ne vient ; inconsciemment, je repense
à sa mutilation et puis aussi je commence à regretter d'avoir
bu toutes ces bières. Je suis en nage et toujours rien.
Compréhensive, elle me repousse, je me retrouve sur mon
dos, à moitié débandé. - C'est rien... . Je vais te sucer...
. Tu vas pas regretter... .
- Oui ! Suces-moi à fond... . J'ai trop envie d'éjaculer.
Elle commence d'abord à lécher le préservatif, goûtant à
son propre jus ; ensuite elle me l'enlève et me fait une
des meilleures fellations que je n'ai jamais eues. D'une
main Cécilia enserre la base de mon membre et pompant doucement
vers le haut, mon gland se retrouve bien vite turgescent
et violacé. A petits coups de langue, elle en fait le pourtour,
insistant sur le frein. Je la gratifie d'une belle érection
soudainement revenue et elle me lèche sur toute la longueur,
descendant jusqu'à mon anus qu'elle mouille et puis pénètre
de sa langue. Elle alterne toute sa panoplie de caresses,
me suçant, me léchant, me pompant. Sa langue, tantôt plate,
tantôt pointue s'active sur mon gland. Parfois elle m'aspire
jusqu'au fond de sa gorge, mais la plupart du temps, elle
ne garde en bouche que l'extrémité sensible. J'ai des frissons
dans tout le bas ventre, je suis en train de jouir sans
éjaculer, j'ai conscience qu'un fin filet doit perler de
mon bout. Je me retiens pour prolonger mon plaisir à l'infini.
J'ai une main sur sa nuque, accompagnant ses mouvements,
l'autre caresse ses fesses charnues. Mon index glisse dans
la raie, fait plusieurs aller retour, je pousse un peu sur
sa rosette et constate qu'elle a du offrir cette entrée-là
plus d'une fois. J'ai une belle vue sur son intimité ; ses
lèvres sont presque noires et en les écartant, je découvre
sa conque toute rose et luisante. Le contraste violent des
couleurs m'excite encore un peu plus. Je vais mouiller mes
doigts dans sa chatte pour d'abord goûter son jus intime.
Ensuite, je pousse avec mon majeur sur sa pastille, elle
ouvre ses fesses, reculant son bassin et je glisse en elle.
J'élargis progressivement son petit trou pour y introduire
un deuxième doigt. Elle se laisse envahir par le plaisir
que je lui offre et du coup me suce avec moins d'ardeur.
Je lui donne des idées et après avoir mouiller un doigt,
elle me l'enfonce d'un trait dans mon anus, m'arrachant
un grognement de surprise. Son doigt est long et tout fin,
de sa paume elle malaxe délicatement mes bijoux de famille,
une sensation brûlante m'envahit. Pendant ce temps, je le
lui mets mon pouce dans la chatte et je frotte entre mes
doigts la membrane épaisse qui sépare ses deux orifices.
Je sens son plaisir monter à grands pas. Je lui arrache
un nouvel orgasme violent et un filet de cyprine s'écoule
le long de mon poignet et de ses cuisses de velours. Je
reste fichée en elle sans bouger, ses spasmes se calment
progressivement. De mon coté, je me retrouve tendu et gonflé
au maximum, Cécilia reprend sa fellation divine. - Oh !
C'est bon, continue... . Je suis tout proche... .
Elle continue de plus belle, ne gardant que mon gland. Sa
main glissant rapidement sur la hampe, tandis que son doigt
me sodomise de plus belle. Je tremble de partout, me tends,
me contracte et puis, j'explose. De longs jets de semence
emplissent sa bouche pendant que je pousse un râle de bonheur.
Elle caresse encore un peu mon membre endolori... .
Finalement elle lâche mon sexe pour venir tout recracher
sur ma poitrine ; à grand coup de langue, elle étale mon
jus puis vient s'allonger sur moi. Sa bouche se colle sur
la mienne et je goûte à ce qu'il reste de mes secrétions.
Les mouvements de son corps, collé au mien, finissent par
former un mousse poisseuse entre nous. Nous restons ainsi
un long moment à glisser l'un contre l'autre, vaincus par
nos orgasmes respectifs... .
- Ca t'a gêné pour mon petit bouton !
- Oui, je trouve cela une mutilation barbare et en plus
je croyais que du coup tu ne jouirais pas. - T'as bien vu
le contraire et puis aussi, tout mon corps est très sensible.
- Je ne comprends pas pourquoi on continue à faire cela.
- La famille, les traditions. Je suis Peul.
- Et si tu as une fille plus tard.
- On verra. J'essaierai que non, mais je devrai obéir à
la famille.
On en reste là, je ne vais pas partir en croisade.
- Viens prendre une bonne douche... .
- Oui ! Et puis après je t'offrirai autre chose... .
Je tire le rideau de la baignoire, je saisis le pommeau
de la douche et je règle le jet à une température agréable.
Je vois Cécilia s'accroupir, écarter les cuisses et un long
filet doré abouti sur mes pieds. A cette vue, l'envie d'uriner
à mon tour me prend et je dirige mon jet à coté d'elle,
mais sa main prend mon sexe tout mou et le guide vers sa
poitrine. Je l'inonde copieusement avant qu'elle ne se relève.
Je ne sais pas ce qui m'a pris, je ne suis pas du tout 'uro'
(enfin, jamais eu l'occasion). Puis elle me dit :
- Allonge-toi, il m'en reste encore un peu... .
De bonne grace, je lui obéis pour ma première expérience
du genre. Elle se place en équilibre au-dessus de moi et
vide complètement sa vessie. D'accord, c'est spécial, mais
je ne deviendrai pas un fanatique... . Je rince nos deux
corps et je lui tends une des savonnettes. Je ne dirai pas
qu'un nettoyage systématique s'ensuivit ; c'est finalement
plutôt un prétexte à des caresses de plus en plus intimes.
En astiquant ma verge plus qu'il n'est nécessaire, Cécilia
lui redonne forme et vigueur. J'ai une folle envie de la
prendre, là tout de suite, debout. Mais j'ai peur de glisser
dans la baignoire et nous sortons encore trempés et plein
de savon.
Je l'assieds sur le meuble du lavabo, ses fesses bien au
bord. J'approche mon dard, elle remonte ses jambes et je
passe mes bras en dessous de ses cuisses pour aller nouer
mes mains dans son dos. D'une main, elle s'agrippe à mon
cou et de l'autre, elle me guide d'abord dans sa chatte.
Après quelques va et vient délicieux, elle ressort mon membre
luisant de cyprine et le pose sur sa rosette. Je rentre
mon gland, j'attends un peu que son sphincter se relâche
et progressivement je m'enfonce dans sa caverne. Elle gémit.
- Oh ! Doucement ça brûle un peu... . Oui ! Comme çà, continue...
. Ah ! C'est bon vas-y à fond maintenant... . J'y suis jusqu'à
la garde. Commencent alors de longs et lents va et vient,
puis elle me demande d'accélérer le rythme. Qu'est-ce que
c'est bon, je suis bien enserrer dans son petit trou. Je
ne vais pas tarder à décharger ma semence, mais je veux
qu'elle jouisse aussi. Je libère une main pour introduire
deux doigts dans sa chatte. Ce n'est pas très pratique,
mais j'y arrive et je vais ainsi toucher ma verge de l'autre
coté de la paroi. Je continue de la manualiser et la sodomiser
en même temps, son plaisir est long à venir. J'embrasse
sa bouche, je descends un peu pour attraper un mamelon entre
mes lèvres, je pince un peu, je suce son petit bout tout
dur et progressivement, je l'amène au bord de l'extase.
Soudainement, elle s'agite, râle, des cris de plus en plus
aigus sortent de ses lèvres. Je retire mes doigts de son
puits d'amour pour les lui mettre en bouche. Deux Trois
coups bien profonds dans son petit cul, je l'accompagne
dans son orgasme, de longs jets brûlants sortants de mon
membre maintenant douloureux. Je me retire lentement, les
jambes tremblantes, comblé par ma belle panthère. Du sperme
s'écoule de son petit trou dilaté, se mélangeant à sa cyprine,
formant une coulée gluante le long de ses cuisses.
Cette fois-ci la douche est plus rapide. Nous rejoignons
le lit, un dernier câlin, je réalise un peu tard que j'ai
oublié de me protéger. Me voilà mûr pour un test de dépistage
dans 6 semaines. Je finis par m'endormir, à mon avis en
ronflant bruyamment. Le soleil se lève toujours à la même
heure en Afrique et il doit être 6h30 quand un rayon sauvage
me frappe le visage.
Le réveil.
J'ai le bois du matin, la trique et au lieu de l'empoigner
comme je fais d'habitude, je me tourne vers la forme qui
est allongée à côté de moi. Le drap a glissé, elle me tourne
le dos, mais sa silhouette me fait toujours autant d'effet.
Je me rapproche d'elle, pose une main délicate sur son épaule
pendant que mon gland appuie légèrement sur le bas de son
dos. Cécilia s'étire doucement comme la féline qu'elle est,
lentement se réveille et réveille en moi le désir. Pour
peu je l'entendrais ronronner. Elle vient saisir le membre
à pleine main et le frotte d'abord le long de sa raie, puis
le guide vers son puits d'amour. Je la prive brièvement
de son jouet pour vite enfiler un préservatif et je le lui
rends. Elle arrondit ses fesses, me guide dans sa grotte
déjà humide de désir. Je l'empale profondément, je veux
la posséder pleinement, j'ai récupéré de ma nuit et me sens
frais comme un jeune gardon.
- Mets-toi à quatre pattes !
- Mmmmmm... . Je suis bien comme çà ! Mais si tu veux...
.
Je la prends en levrette, je m'agrippe à ses hanches, je
veux lui défoncer la chatte à grand coup de buttoir. Je
ressors complètement ma verge, pour aussitôt la lui réenfiler
jusqu'à la garde. Je suis excité comme rarement et je me
mets à ahaner de plus belle. Cécilia y prend du plaisir
et me déferle une tirade d'encouragement on ne peut plus
salace. Je veux profiter de sa porte arrière une dernière
fois, je sors mon attribut pour poser le bout sur sa rosette
et sans crier gare, je m'enfonce en elle. Je lui arrache
un cri de surprise et un peu de douleur aussi. Égoïstement,
ce matin je n'en veux que pour moi, presque brutalement
je lui défonce son petit cul. Je finis par abandonner son
fondement pour d'abord passer mon gland entre ses lèvres,
puis je reprends possession de son intimité. J'accélère
le rythme, je nage en elle tellement elle mouille. Sa tête
enfoncée dans l'oreiller, elle finit par grogner, puis crier
de plaisir. Je me lâche complètement, des frissons courent
de mon gland aux testicules, je sens la sève qui monte brutalement
et enfin j'explose dans un grand râle de bête sauvage.
Je me retire, elle s'effondre sur le lit et je m'en vais
jeter le préservatif dans la cuvette.
- Tu veux prendre un petit déjeuner ?
- Merci, avec plaisir ; thé, jus d'ananas et pas d'œufs.
Je passe la commande au service d'étage.
- On en a pour 20 minutes à attendre. Juste le temps de
se débarbouiller et passer un vêtement.
- Tu peux me passer un t-shirt ?
- Viens choisir si tu veux !
Son choix se porte rapidement sur mon polo Glenmuir jaune
paille ; elle a du goût, la vache.
- Celui-là tu me le donnes hein !
J'aurais mauvaise grace a le lui refuser.
Vite à la salle de bain, une douche bien sage et elle enfile
mon polo deux fois trop grand qui lui descend jusqu'à mi-cuisse.
Je passe des boxers au moment ou l'on frappe à la porte
pour nous servir le petit dej. La serveuse nous regarde
l'un et l'autre d'un petit air entendu. Cécilia engage la
conversation dans je ne sais quel dialecte, puis elle s'en
va avec son pourboire.
- Qu'est-ce que tu lui as dit ?
- Je lui ai demandé si elle ne voulait pas rester un peu
avec nous... .
- Tu es folle... . Et ?
- Elle a encore du boulot pour 3 heures et je lui ai dit
qu'alors je serai déjà partie.
- Bien... . Installes-toi et bon appétit.
On commence à manger et à bavarder. Elle me parle de son
pays, de la guerre qu'elle a du fuir, de son oncle qui l'héberge
et qui lui a pris son pucelage il y a six mois, de ses 20
ans, de ses projets. - Je veux passer quelques mois en France
et c'est pour çà que j'ai besoin d'argent.
- Donc tu vends ton corps.
- C'est un moyen rapide, en plus je choisis avec qui et
ce n'est pas désagréable.
- Tu viens à peine de commencer ! De plus tu vaux mieux
que cela.
- Si tu connais un peu l'Afrique tu sais bien comment cela
se passe !
- ... .
- Tu reviens quand ?
- Je ne sais pas encore... . Mais je me porterai volontaire
pour revenir ici.
- Mmmmmm. Merci ! Je te donnerai un numéro ou tu pourras
me joindre.
Pendant ce temps elle s'est assise en tailleur sur sa chaise,
a remonté un peu le polo et, impudique, me laisse voir sa
chatte. Elle voit mon regard fixé sur son entre jambe, du
coup, en me regardant droit dans les yeux, de ses doigts
elle écarte ses lèvres me montrant son corail rose et luisant.
Comme un diable surgi de sa boite, ma verge fièrement dressée
sort de l'entrebâillement de mes boxers. Contente d'elle,
un sourire épanoui sur ses lèvres, elle trifouille son intimité
et me demande :
- T'as encore envie ?
- Oui ! Mais là on a plus le temps si je veux être à l'heure
pour ma réunion !
- Dommage ! Tant pis pour toi !
Et de refermer ses jambes et porter ses doigts luisants
de mouille à sa bouche... .
Il est temps que je la renvoie. Il faut réussir sa sortie
; je vais chercher 100 dollars dans mon portefeuille (c'est
loin au-dessus du tarif local, mais, bon, à nuit exceptionnelle...).
Elle me remercie, me gratifie d'un long baiser, garde mon
polo - trésor de guerre - et s'en va sans se retourner.
Si cela vous plait, je raconterai d'autres rencontres exotiques...
.
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