Luc s'avance dans le fond du magasin pour rejoindre sa femme Jade, aux
cabines d'essayages. Il se renseigne auprès de la responsable.
-La belle blonde, dit l'employée. Elle est vers le fond, vous
l'entendrez.
En effet, en s'approchant des cabines, Luc entend des soupirs.
-Ha..ha..ha..
Il tire le rideau et là, il reste figé devant la scène. La jupe et le
string de sa femme gisent à ses pieds. Son chemisier est ouvert,
découvrant sa superbe poitrine. Elle n'a pas de soutien gorge. Elle a un
pied sur un tabouret pour mieux écarter ses jambes. Une vendeuse a sa tête
entre ses cuisses. Jade a la bouche entre ouverte, les yeux mi-clos.
-Qu'est-ce-qu'il se passe? demande Luc.
-Tu vois pas que cette pute est en train de me chatter, gémit Jade. Si tu
voyais les coups de langues qu'elle met à mon clitoris. Elle l'a tout
décalotté. Elle doigte mon petit trou aussi.
Jade tient la tête de la vendeuse appuyée contre sa chatte et de l'autre
main, se caresse le bout des seins. Des râles de plaisir sortent de sa
bouche.
-Tu te régales, petite catin, dit la vendeuse. C'est pour ça que tu m'as
appelée. Pour t'aider. Regardez votre femme comme elle mouille. C'est
bon, hein?
-Si, c'est bon. Oh Luc mon chéri, je jouis, ha...ha. Oui, comme elle me chatte, vas-y, branle. Mon
petit trou aussi, et mon bouton, oui..ouiiiii.
Luc pose vite sa main sur la bouche de sa femme, pour étouffer les cris.
-Pardonne moi mon chéri, s'excuse Jade. Je sais pas ce qu'il m'a pris.
Je voulais tellement essayer avec une fille, j'ai craqué. Puis
l'endroit... S'il te plait, ne m'en veut pas. tu sais que je t'aime.
-Mais Jade, répond Luc, si ça t'a plu, tant mieux pour toi. Mais enfin,
vous auriez pu vous faire surprendre.
-Elle en avait tellement envie, poursuit la vendeuse. Je pouvais pas la
laisser dans cet état. Voyez comme elle est belle.
-Tu as trouvé ce que tu voulais au moins, dit Luc.
-Je finissais juste d'essayer quand tu es arrivé.
-Bon, je t'attend à la caisse, dit-il.
Luc quitte la cabine sous l'oeil complice des deux femmes. À peine sorti,
la vendeuse prend la bouche de Jade et l'embrasse à lui mordre les
lèvres.
-Tu veux que je te chatte encore, dit la vendeuse. Ton bouton est toujours décalotté. Et tu mouilles,
hein? Tu aimes comme je te gratte.
-Non, arrête, supplie Jade. Passe à la maison un soir, on sera plus
tranquille. Tiens, voilà mes coordonnées.
-Et ton mari, demande la vendeuse.
-Je m'en charge, répond Jade en se rhabillant.
Elle sort de la cabine, et s'avance vers les caisses.
-C'est de voir ta femme se faire gouiner qui t'a excité. Ta queue est
toute raide. Tu bandes, salaud.
-Vas-y, soupire Luc, taille-moi une pipe.
Jade s'arrête net. Elle passe sa tête à la porte entrouverte et
surprend l'autre vendeuse en train de sucer son mari.
-Tu m'as décalotté le gland, petite pute, gémit Luc. Caresse moi les
couilles. Allez, obéis. Et tâche de tout avaler, vas-y, han.. tiens, prend ça.
-Je t'ai vidé mon bébé, c'était bon. Tu en trouveras des vendeuses comme
nous. Prêtes à tout.
-Si tu passais à la maison un soir avec ta copine, propose Luc.
-Pourquoi pas, si ta femme est d'accord.
-Je m'en charge, répond Luc.
Jade met une main devant sa bouche pour ne pas éclater de rire. Les deux
époux se retrouvent à la caisse, un sourire aux coins des lèvres.
La première vendeuse prend sa collègue par l'oreille et l'entraîne dans
la salle de pause.
-À nous deux, dit-elle, on l'a mérité.
En un tour de main, les deux filles sont nues et entament un corps à corps
érotique.
-Tu es toute mouillée, salope. Viens que je te doigte. Et toi, vas-y, mange
ma minette, décalotte mon bouton comme il faut. Oh, mais le tien l'est
déjà, petite vicieuse.
-Oh oui, mon amour, insulte moi, j'aime. Encule moi, vas-y. Toi aussi tu
mouilles. Tu veux que je te prenne ton bouton avec ma langue ?
Deux jours après, un soir, on sonne à la porte de Jade et de Luc. Ils sont
tous les deux en peignoir.
-Qui cela peut-il être, demande Jade.
Luc va ouvrir.
-Oh, mais bonsoir mesdemoiselles. Devine qui est là, chérie? Nos chères
vendeuses.
-C'est pas vrai, répond Jade.
-On avait envie de s'amuser ce soir, dit l'une d'elles. Alors, on a
pensé à vous.
-Vous avez bien fait, sourit Jade.
Les vendeuses s'avancent et dénouent les peignoirs. Luc se fait prendre
par les couilles.
-Oh, mais les coucouilles sont pleines, dit une vendeuse. Il va falloir les
vider.
Elle mouille ses doigts et caresse le gland de Luc entièrement
décalotté.
-Salope, gémit-il.
-Haaa, ouiiii, hurle jade.
-Allez, petite chatte, dit l'autre vendeuse, crache. Tu es toute
mouillée, sale pute. Que tu es belle toute épilée. On peut mieux doigter
ton petit bouton comme ça.
Luc est vite épuisé. Par contre, les deux vendeuses vont faire hurler Jade
une bonne partie de la nuit.
Au petit matin, les deux jeunes filles quittent la villa, en promettant de
revenir.
Frankie
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