Chaque samedi je la rencontre au supermarché. Elle ne passe
pas inaperçue, c'est une vraie perruche (c'est ainsi que
j'appelle les femmes très apprêtées, à l'image de cet oiseau).
La quarantaine Beau Cul Belle Gueule, elle est toujours
en jupe ou en robe, maquillée, aucun cheveu qui ne dépasse,
le genre de femme qui ne m'attire pas vraiment. Ce matin-là,
je ne sais pas pourquoi, j'ai tout de suite remarqué les
plis que faisait le voile sur ses chevilles. De toute évidence,
Madame porte un porte-jarretelles et des bas. À cette idée,
une légère érection envahit mon pantalon. J'ai instantanément
décidé de la suivre pour tenter de vérifier mon hypothèse-constat
et essayer de répondre à cette question essentielle en ce
début de journée : mais que fait cette bourge en bas et
sans doute en porte-jarretelles ce samedi, de bon matin
?
Oubliant ma liste de courses, je la suis à distance, ce
qui me permet de la détailler plus qu'à l'habitude. De taille
moyenne, elle est mince et élégante, elle porte une jupe
au-dessus du genou et un chemisier de soie blanche qui laisse
deviner une poitrine ni petite ni grosse mais dont le léger
balancement n'est pas sans effet sur mon sexe. Elle porte
un imperméable beige fendu derrière qu'elle a rapidement
ouvert du fait de la température agréable du magasin. Je
la suis dans les différents rayons en chargeant mon caddie
avec tout ce qui me tombe sous la main. Au détour d'un rayon
je rencontre Jacques, un ami que je n'ai pas vu depuis quelques
semaines. J'essaie vainement d'abréger notre conversation,
lui faisant comprendre que je suis pressé, trop tard je
l'ai perdue ! ! !
Le magasin est vaste et ma recherche risque de prendre
du temps. Au détour d'une allée je décide de couper au plus
court, et c'est à ce moment que nos caddies se heurtent,
nos regards se croisent et, après avoir présenté mes excuses
je file le plus naturellement possible ; j'ai eu le temps
de remarquer son sourire et le fait qu'elle ait posé son
imper sur le chariot. Un peu plus loin je me retourne et
mes yeux restent posés sur cette silhouette dont la vue
est très agréable. Je fais immédiatement demi-tour et décide
de trouver réponse à ma question. En me rapprochant, je
remarque que sa jupe noire est assez fluide, croisée devant,
et les petites déformations sur les côtés me confirment
qu'elle est en porte-jarretelles. Un coup d'œil à sa
croupe m'informe que, soit elle porte un string, soit elle
ne porte rien ! ! ! !
C'est au moment où mon imagination fertile balançait entre
string et nudité que ma petite bourgeoise, voulant attraper
un paquet de pâtes, faillit faire tomber toute la rangée.
Elle restait là sur la pointe des pieds, essayant d'éviter
la chute des boîtes. Immédiatement je m'approchai et, prenant
bien soin de me coller derrière elle, je l'aidai à ranger.
À cet instant mon sexe en érection était appuyé contre le
galbe de ses fesses, elle ne pouvait pas ignorer l'effet
qu'elle me produisait. Les pâtes rangées, elle me remercia
en jetant rapidement un oeil à la bosse de mon pantalon.
Un échange banal de remerciements s'en suivit et elle poursuivit
ses achats. Mais, dans la seconde suivante, une boîte chuta
de son chariot et, prenant soin de ne pas plier les genoux,
elle se pencha pour la ramasser. Le spectacle qu'elle m'offrit
était très agréable. Par son geste, la jupe, en remontant,
dévoilait le haut de ses bas, les jarretelles et la naissance
de ses petites fesses. Nos regards se croisèrent et c'est
à ce moment-là que je décidai de ne plus la lâcher.
Elle le comprit très vite et se dirigea vers le rayon des
sous-vêtements féminins. Elle prit soin de choisir dans
la lingerie la plus sexy quelques strings, une guêpière,
un porte-jarretelles. À une ou deux occasions sa maladresse
me permit d'assister au même spectacle de ses cuisses dénudées.
Soudain elle fit demi-tour dans ma direction et me demanda
:
- Voulez-vous me donner votre avis sur mon choix ?
Imaginant qu'elle voulait que je lui réponde, je m'apprêtai
à le faire quand elle me dit :
- Venez avec moi !
Et elle se dirigea vers les cabines d'essayage.
Après avoir laissé mon chariot, je la suivis. À cette heure
matinale, les cabines étaient désertes et l'employée préposée
au rayon s'affairait à ranger les vêtements abandonnés la
veille par les clients. Ma petite bourgeoise s'engouffra
dans une cabine et, quelques instants plus tard, sa tête
apparut entre les rideaux. Elle me fit signe d'approcher.
Je n'en pouvais plus et, lorsque je passai la tête pour
la voir, mon sexe était au plus fort de son érection et
mon string avait beaucoup de mal à le contenir. Le spectacle
que je découvris allait au-delà de ce que j'avais pu imaginer
quelques instants avant. Elle avait ôté sa jupe et son chemisier
et enfilé la guêpière rouge et noire. Elle était là devant
moi, face à moi, resplendissante de provocation. La guêpière
soutenait sa poitrine qui n'en avait certainement pas besoin,
ses tétons dressés pointaient fièrement dans ma direction.
Ce vêtement lui faisait une taille fine au dessus d'une
chatte complètement épilée et dont les lèvres gonflées avaient
du mal à cacher le plaisir et le désir. Les jarretelles
tombaient sur de longues jambes et ses chaussures hautes
leur donnaient encore plus de finesse. Je n'en pouvais plus
! ! ! !
- Qu'en penses-tu ? me demanda-t-elle.
Déconcerté par le ton familier et parfaitement neutre de
sa question, je ne trouvais d'autre réponse que de pénétrer
dans la cabine pour l'embrasser fougueusement. Elle approuva
visiblement cette initiative et profita de cette étreinte
pour promener ses mains sur la bosse proéminente de mon
pantalon. Mes mains n'arrêtaient plus de parcourir son corps,
de lui peloter les seins, de fouiller sa chatte dont l'humidité
confirma l'état de son désir.
En quelques secondes elle m'ôta mon pantalon et, après
avoir découvert le string que je portais, elle commença
à masturber mon membre qui, à l'étroit dans le tissu, commençait
à bouillir. Elle s'agenouilla et écarta le tissu, libérant
mon sexe. Sa langue commença des allers et retours sur ma
hampe et, alors qu'elle découvrait mon gland de sa main
experte, elle engloutit la totalité de mon sexe dans sa
bouche. Elle prit très rapidement un rythme soutenu et en
quelques minutes je sentis le plaisir envahir ma chair.
D'un geste expert elle tira mes testicules vers le bas,
provoquant une légère douleur, mais surtout l'arrêt net
d'une éjaculation qui allait devenir inévitable.
Elle se redressa et, me posant les mains sur les épaules,
m'indiqua ouvertement que mon tour était venu de lui procurer
du plaisir. Je posai ma langue sur son sexe imberbe et commençai
par de petits coups à titiller ses lèvres puis son clitoris
qui, bien que déjà gonflé de plaisir, se raidit encore.
Elle enfouit ma tête entre ses cuisses et sa respiration
devint plus haletante.
Alors que je la sentais au bord de l'orgasme, elle s'allongea
sur le sol étroit de la cabine d'essayage, m'invitant à
la pénétrer. Je présentai mon sexe sur sa vulve chaude et
humide et la pénétrai par petites saccades. Soudain, alors
que m'étais complètement retiré, je la défonçai d'un seul
coup, provoquant un cri de surprise et de plaisir. À partir
de cet instant il n'a fallu que quelques secondes pour qu'après
de grands coups au plus profond de son sexe nous éclations
ensemble dans un orgasme monstrueux qui nous avait fait
oublier où nous nous trouvions.
Après quelques instants, ayant repris nos esprits et réajusté
notre tenue, nous avons quitté ensemble la cabine. Elle
a nonchalamment remis à la vendeuse la lingerie lui précisant
:
- Ce n'est pas tout à fait mon style.
Je l'ai laissée sur le parking du supermarché ; en cadeau
d'adieu elle m'a gratifié d'une vue unique sur son joli
petit cul en se penchant gracieusement pour charger son
coffre. Je ne sais rien d'elle, ni son prénom, ni son adresse,
rien ......
J'avais simplement obtenu la réponse à ma question :
Mais que fait cette bourge en bas et porte-jarretelles
ce samedi, de bon matin ?
Elle chasse le mâle ! ! ! !
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