Jérémy, vingt huit ans, doit partir en déplacement une semaine pour sa société. Il hésite à laisser Lucie, son épouse depuis un mois, âgée de vingt deux ans , seule à la maison. Aussi, demande-t-il a ses parents s'ils peuvent l'héberger. Fernand et Paulette, un couple de cinquante ans n'y voient pas d'inconvénient, bien au contraire. Damien, le frère de Jérémy, âgé de seize ans, sera là, lui aussi.

-Mais bien sur, mon chéri, répond Paulette , pas de problème.

C'est réglé, Jérémy emmène Lucie chez ses parents.

-Tu fais comme chez toi, le rassure Fernand. Ne te gène pas.

Lucie s'installe dans la chambre d'ami, et, petit à petit, prend ses aises. Un matin, Paulette, en passant devant la salle de bains , surprend une conversation téléphonique.

-Mais non, mon chéri, dit Lucie, c'est juste pour une semaine. Je te promet un après midi de feu.

"Aurait-elle un amant, pense Paulette"

Paulette s'assied, et entreprend de ranger des papiers. Elle a une idée derrière la tête. Lucie sort de la salle de bains, vêtue d'une veste peignoir.

-Alors, ma chérie, dit Paulette, bien dormi toute seule?
-Cà fait bizarre, mais bon, une semaine c'est vite passé, répond Lucie.
-Pour mon fils, pour ton amant, ou bien pour toi ? demande Paulette.
-Mon dieu, rougit Lucie, vous m'avez entendu. Vous allez tout dire à Jérémy.
-Si tu es sage et obéissante avec moi, poursuit Paulette, çà restera entre nous.
-Et que dois-je faire? demande Lucie
-Quitte ton peignoir, et viens t'asseoir sur mes genoux. J'ai envie de jouer à la poupée avec toi.
-Mais, belle maman....

N'ayant pas le choix, Lucie obéit. A peine assise, Paulette caresse la poitrine de Lucie. Maintenant, elle s'attaque à l'entre jambe de sa belle fille.

-Que tu es belle, dit Paulette.

Non seulement Lucie accepte les caresses , mais çà n'a pas l'air de lui déplaire. Elle ne tarde pas à manifesté le plaisir que lui procure sa belle mère.

-Oh mon dieu, belle maman, comme vous faites du bien à ma petite chatte. Mon petit bouton doit être tout décalotté.
-Mais oui, ma chérie, dit Paulette, qu'il est beau, il est tout rouge ce vilain. Tu te régale là, tu es toute mouillée. Tu veux que beau papa te mette un coup de queue ce soir? Tu verras comme elle est belle.
-Oui, oui, je suis en chaleur, il faut me calmer. Ha..ha..oui, je joui hou..hou.ouiiii.
-Laisse toi aller, ma chérie,vas-y, écarte bien tes cuisses. Tu en veux encore.
-Oui, s'il vous plait, je suis jeune, j'aime çà vous savez. Voyez comme je mouille.


-Si tu es sage, poursuit Paulette, on va te baiser toute la semaine. Tu vas te le faire mettre toute les nuits. Regarde tes lèvres comme elles sont ouvertes. Elles sont pleines de mouille.

Paulette s'éclipse pour aller chercher Fernand. En revenant, elle entend des cris provenant de la chambre de Damien. Elle ouvre brusquement.

-Oh la, qu'est-ce-que tu fais à la femme de ton frère.
-Elle a voulu que je la tringle maman, répond Damien. Vois comme je la régale cette pute, bien empalée sur ma queue.
-Belle maman, comme il me nique, gémit Lucie. Il est bien mieux monté que Jérémy.

Paulette monte sur le lit, se met à genoux dans le dos de sa belle fille. Elle lui saisit les seins, et fait rouler les bouts entre ses doigts.

-Je jouit, hurle Lucie, que c'est bon, regardez comme vous faites couler la chatte. Vous me la videz, bande de salauds.
-Et moi, tu sent comme mes couilles se vident dans ta chatte, tu sent mon sperme qui coule en toi.
-Tu te fais prendre par ta belle mère et ton beau frère. Tu sais que j'ai planqué tes habits. Tu auras juste une chemise à te mettre. Il faut que tu soit prête si on a envie de te caresser.

Pauvre Lucie, la chemise est tellement courte, qu'on peut apercevoir sa fente. Fernand s'approche d'elle.

-Pendant qu'ils regardent la télé, tu veux pas que je te sodomise? Tu aimes j'espère?

Lucie ne répond pas, mais elle demande à apprendre Jérémy ne lui a jamais fait çà. Arrivé sur le lit, Lucie se met en place. Fernand s'avance, la queue en érection, et pénètre Lucie par le petit trou. Lucie hurle de plaisir.

-Comme vous m'enculez, s'il vous plait, régalez moi. Pardon Jérémy, mais si tu voyais ce que ton père m'a mis dans le cul. Quelle bite, mon dieu. Vous voulez que je vous taille une pipe après?
-Je crache, soupire Fernand, que tu es bonne, tu sent comme je me vide, hein? Salope. Bien sur que je veux que tu me suce, quelle question.

Après avoir tout avalé, et bien nettoyé le gland de Fernand, Lucie regagne le salon, et y retrouve Paulette.

-Je peux passer la nuit avec Damien? Demande Lucie
-A bon, et ton mari, tu y pense?
-Oui, mais j'aimerai profiter de sa grosse queue.
-Pourquoi, il est pas bien monté Jérémy, dit Paulette. Fallait pas l'épouser.
-C'est lui qui a insisté, répond Lucie. Mon amant, c'est lui qui me la trouvé. Pour pas me perdre. Il m'a trouvé un beau black, avec un sexe énorme. Trois fois par semaine, il passe chez nous. Il me nique toute la nuit. Si vous m'entendiez crier, Jérémy nous regarde en branlant son petit sifflet. Un jour, je l'obligerai à sucer mon amant.
-Comme je te comprend, dit Paulette, avoir une femme comme çà, et pas pouvoir la satisfaire. Bien sur, ma chérie, tu peux coucher avec Damien, s'il t'apporte du plaisir. Par contre, j'aimerai bien que tu me rejoignes demain matin. J'aime te gratter la chatte.


A suivre...



Frankie