TITRE : La belle du train
Catégorie : 
Histoire dans des lieux insolites

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La semaine dernière, alors que je rentrais du boulot vers 23h30, j'ai pris le train à Paris-Est. Je monte dans un wagon totalement désert à cette heure tardive. Juste avant le départ du train, une femme monte et s'assied sur une banquette qui me fait face en diagonale. Elle est brune, la quarantaine (comme moi), mince et plutôt mignonne. Il fait encore très chaud à cette heure là et elle porte une jupe droite au dessus du genou et un chemisier jaune clair assez transparent. Je ne peux m'empêcher de la regarder et elle me fait un sourire.

Elle sort une revue et commence à lire. Nous sommes seuls dans le wagon et elle en profite pour retirer ses chaussures et mine de rien, en continuant à lire, elle pose ses pieds sur la banquette face à elle. Bien que ses jambes soient serrées, je peux voir jusqu'au haut de ses cuisses et je trouve ça très excitant. J'ai mon regard plongé sur ses cuisses quand je relève les yeux et je m'aperçois qu'elle me regarde en souriant, car elle s'est aperçue de ce que je regardais. Je suis très gêné et je dois rougir. Elle se replonge dans sa lecture et 2 minutes plus tard, ses cuisses s'écartent doucement, imperceptiblement, mais sûrement. Je ne peux plus décoller mes yeux de ce spectacle qui commence à s'offrir à moi. Je n'ose pas y croire. Je pensais que ce genre d'histoire n'arrivait que dans les bouquins de cul. Je ne rêve pas. Plus les cuisses s'ouvrent et plus je suis certain de voir, non pas une culotte, mais les poils de son pubis. Oui c'est bien ça, elle ne porte rien dessous et maintenant je suis sûr qu'elle laisse ses cuisses s'ouvrir volontairement. Elle pose sa revue à ses côtés et me regarde droit dans les yeux en souriant. Ses cuisses sont maintenant bien écartées et sa main se pose sur sa cuisse pour remonter doucement vers son entrejambe.

Ça y est, elle a sa main sur sa chatte et me regarde toujours outrageusement. Je n'en peux plus et je me lève pour venir vers elle. Elle me fait signe que non et que je dois rester à ma place. Je me rassieds, ma main sur ma queue qui fait une grosse bosse sous mon pantalon d'été. Avec sa tête et ses yeux, elle me fait comprendre qu'elle désire en voir autant que moi. Je défais ma braquette, baisse mon slip et sort ma queue qui est gonflée de désir. Elle me dit : "Tout !" Je comprends qu'elle veux que je baisse mon pantalon. Je me lève, défait ma ceinture et baisses mon froc ainsi que mon slip. Elle se caresse carément, un doigt sur le clito, et me dit : "Enlève tout..." J'hésite un instant mais je suis tellement excité que j'obéis et enlève ma chemise et tout le reste. Je suis nu comme un ver, la queue au garde à vous. Je me caresse la queue et les couilles. Elle ouvre son chemisier et dégrafe son soutien-gorge qui s'ouvre devant. Ses seins sont petits mais bien ronds et magnifiques. Là elle me fait signe d'approcher. Je ne me fais pas prier et je me plante devant elle. Elle me caresse un peu et écarte les cuisses et me fait signe de la lécher. Je m'agenouille et lui fourre ma langue au fond de sa chatte trempée. Elle commence à gémir et je lui caresse l'anus avec un doigt. Elle a l'air d'apprécier alors, je mouille mon index et je lui enfonce doucement dans son petit trou. Cette fois elle crie et elle jouit comme une folle. Elle se caresse les seins d'une main et me tient la tête de l'autre. Elle me tire par les cheveux pour me relever et attrape ma queue pour la diriger vers sa chatte. Je ne peux plus attendre et je la pénètre d'un coup. Je la bourre jusqu'au fond de sa chatte en chaleur et cinq minutes plus tard, je lui décharge tout mon foutre. Elle me repousse et se penche pour prendre ma queue dans sa bouche. Elle lèche tout le mélange de nos jouissances et à l'air de se régaler.

Le temps à passé et le train approche de la gare où elle doit sûrement descendre. Elle remet vite fait les boutons de son soutien-gorge et sort du wagon sans avoir dit plus de 5 ou 6 mots. Je me rends compte que le train est à quai et que je suis complètement à poil, la queue encore un peu raide. Je me dépêche de me rhabiller. Heureusement il n'y a personne à cette heure sur un quai de banlieue. Je réalise seulement que, dans l'excitation, je n'ai pas utilisé de capote et je suis inquiet.

Honnêtement, j'ai très mal dormi cette nuit là et le lendemain, j'ai pris contact avec un centre de dépistage du SIDA. Ils m'ont dit qu'il fallait attendre une semaine pour être sûr. Après une très mauvaise semaine, j'ai passé avec succès mon examen de dépistage. Ouf je n'avais rien. Quel plaisir et quelle peur. Depuis quand je rentre très tard comme ce jour là, je cherche dans tous les wagons si ma belle n'est pas là.

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