J'avais fait la connaissance à l'université d'une superbe
fille nommée Camille. Elle était blonde, cheveux courts,
24 ans. Camille me faisait souvent bander lorsque je matais
son beau cul de salope et ses beaux magnifiques. Elle était
super sympa avec moi et nous avions un bon feeling ensemble.
Un après-midi, elle m'invita dans son studio. Je devais
ainsi la rejoindre chez elle vers 14h00. Arrivant à sa porte,
je sonnai. Là, je l'entendis me demander d'entrer. Ce que
je fis. Je ne la voyais toujours pas. J'enlevai malgré tout
mes chaussures pour ne pas salir la moquette. L'unique porte
était entrouverte.
L'ouvrant entièrement pour rentrer dans la pièce, je crus
que j'allais tomber dans les pommes. Camille était allongée
sur le canapé, en sous-vêtements. Elle n'avait que son body
blanc qui lui couvrait le corps. Elle avait les cuisses
bien décalées pour que je puisse voir son beau cul et sa
jolie chatte. Elle avait retroussé sa culotte de façon à
ce qu'elle fasse comme un string. Putain quelle nana !!!
Je sentis dès lors ma bite gonfler dans mon pantalon, prête
à jouir. Camille me regardait avec un sourire malicieux,
contente de l'effet qu'elle me faisait. Elle me demanda
alors, de sa douce voix, de me déshabiller. En moins de
deux, je me foutais à poil. Je tenais désormais ma bite
à pleine main et je me masturbais délicatement pour la gonfler
au maximum. Je voyais entre les cuisses de Camille les poils
noirs et frisés de sa belle chatte sous sa culotte blanche.
La dentelle avait de larges trous, ce qui laissait apparaître
la vulve. Camille me demanda alors d'approcher. Ayant ma
bite à côté d'elle, elle la prit à pleines mains et me fit
approcher de sa bouche. Elle commença alors à me masturber
très lentement pour sentir toute la grosseur et la longueur
de mon sexe entre ses doigts. Sentant ainsi sa main remuer
sur le manche de ma queue, je crus un instant que j'allais
lui décharger dessus. Camille avait les yeux levés vers
moi, lisant sur mon visage l'excitation qu'elle me procurait.
Puis les baissant vers ma queue, elle me décalotta tout
en douceur. Sentant la peau de ma bite s'écarter et glisser
le long de mon gland rose, Camille me fit gémir de jouissance.
Je mouillais déjà énormément. Camille ouvrit ses lèvres
sensuelle et avala ma queue. Je m'engouffrai dans sa bouche
et glissai le long de sa langue, je ne pus m'empêcher de
gémir :
- Oh ouiiii ! C'est bon !
Camille gémit à son tour pour m'exciter encore plus, montrant
qu'elle aimait ma queue. Elle tenait mon manche à pleines
mains et, l'agitant lentement, elle me suçait le gland qui
gonflait de plus en plus. Je sentais ce gland s'attendrir
à son passage entre les lèvres de Camille, qui fermait les
yeux pour mieux déguster la friandise. Jamais je n'aurais
pensé que cette fille, semblant si sage, était si chaude
au lit. Elle savait sucer les hommes et cela se voyait.
Elle me dégustait en douceur pour ne pas me faire jouir.
Je sentais mon prépuce glisser merveilleusement le long
de sa langue. Une fois ma bite bien gonflée et bien dure,
Camille me demanda de la baiser. Elle dégrafa alors son
soutif dans le dos pour que ses beaux seins me soient plus
accessibles pendant l'amour. Me mettant derrière elle, je
passai ma main sous sa culotte pour lui caresser la chatte.
Camille avait le pubis complètement poilu, ce qui retenait
la chaleur et l'humidité de sa belle chatte. En effet, Camille
mouillait abondamment. En la caressant, je faisais clapoter
ses petites lèvres, que j'écartais en y passant mon majeur.
Je glissais mes doigts de long de sa fente, sans la pénétrer.
En quelques secondes, ils furent trempés de cyprine. Camille
me redemanda alors de la baiser. Je me mis au-dessus d'elle.
Prenant ma queue entre mes doigts, je la rapprochai de sa
fente. Je sentis alors contre mon gland les lèvres de son
vagin s'écraser et s'écarter. Mon gland glissa alors contre
sa vulve trempée de mouille, l'inondant au passage. Puis,
continuant d'appuyer, je m'insérai centimètre par centimètre
dans son vagin humide et brûlant. Sentant mabite entrer
en elle, je me pus m'empêcher de lâcher un grand râle de
jouissance. C'était une sensation unique et merveilleuse.
Camille aussi gémît très profondément, sentant mon pieu
jusqu'au plus profond d'elle. Une fois ma queue entièrement
insérée en elle, je me couchai sur elle pour la baiser.
Passant mon bras gauche sous son body, je me mis à lui peloter
les seins. Elle avait de beaux seins aux tétons qui durcissaient
et le fait de caresser une si belle paire de nibards m'excitait
énormément. Je commençai alors à aller et venir en elle
très délicatement. Sa petite fente clapotait à chaque pénétration,
car elle était tendre et inondée de mouille. À chaque entrée,
je sentais le beau cul de Camille s'écraser et frotter contre
mon bassin, ce qui m'excitait plus que tout. Je réalisai
que j'étais en train de baiser une superbe femme. Elle en
voulait plus que jamais. Mon pieu lui pilonnait délicatement
la fente, la faisant mouiller toujours plus. L'odeur de
sa chatte envahissait peu à peu la pièce, ce qui m'excitait
plus encore. Camille, dans un gémissement profond, me dit
alors :
- Ouiii ! Défonce-moi le minou ! J'adore ça !
Ses dires m'excitaient encore plus, m'incitant à la pénétrer
plus violemment. Alors, j'augmentai mes coups de reins,
de façon à ce que ma queue lui pilonne la fente plus violemment
et rentre plus profondément en elle. Je continuai de lui
peloter ses beaux seins à pleines paumes. Ils balançaient
légèrement à chaque pénétration. Le beau cul de Camille
me tentait de plus en plus. Alors, me redressant légèrement,
je me mis à la culbuter plus fort. Camille remuait au rythme
de mes coups de queue pour se faire jouir elle aussi. Par
moment, ses fesses fermes claquaient contre mon bassin.
Sa belle chatte clapotait de plus en plus, la cyprine m'inondant
de part en part. je sentais ma bite trempée de mouille,
ce qui facilitait les pénétrations puissantes et profondes.
Camille fermait les yeux de jouissance, tellement sa chatte
lui faisait du bien. Je sentais mon gland lui écarteler
les parois du vagin humide à chaque pénétration, glissant
merveilleusement entre celles-ci. Camille cambrait de plus
en plus son bassin pour accueillir mes puissants coups de
pieu. J'étais désormais sur le point de jouir. Je sentais,
contre mes grosses couilles pleine de sperme, sa culotte
trempée de cyprine. Cela me donna l'envie d'éjaculer entre
sa chatte et son slip, car je ne savais pas si Camille avait
pris la pilule et il me sembla irrévérencieux de lui demander
à cet instant précis. Alors, la pénétrant une ultime fois,
je sentis ma bite se raidir et être parcourue de violents
spasmes de jouissance. Je sortis alors mon canon de sa chatte
et un puissant jet de sperme vînt lui inonder la fente.
Je râlai de jouissance. Camille, pour me faire jouir encore
plus fort, passa sa main le long de ma verge. Je sentis
ainsi ses doigts me caresser le prépuce au-dessus de sa
culotte que j'inondais de sperme, ce qui me faisait
jouir et râler de plus belle. Je déchargeai comme un taureau,
me vidant littéralement les couilles.
Une fois l'éjaculation terminée, je me laissai reprendre
mes forces, allongé sur Camille. Elle continua de me caresser
la bite pour garder mon excitation et profiter des dimensions
de mon sexe. Sa culotte était archi trempée de sperme et
de mouille. Il en coulait même sur son canapé. Nous restâmes
ainsi un long moment, dégustant le moment délicieux que
nous venions de passer.
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