TITRE : L'inconnue de la gare
Catégorie : 
Histoire avec un e inconnu e
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Cela commence mal : mon train a eu une panne de loco, j'ai raté ma correspondance et je n'ai plus qu'à attendre 3 heures dans cette gare. Quelle plaie !

Alors que je cherche où prendre un café, mon regard est attiré comme un aimant par une belle femme à la silhouette si harmonieuse. Irrésistiblement, je ne peux m'empêcher de la suivre du regard. Ses jolies jambes sont gainées d'un collant soyeux vert avec une succession de motifs jaunes en formes de « ^ » qui forment comme des flèches invitant le regard à monter, à monter jusque sous sa robe ! Je dois avoir l'air bête à la regarder comme un collégien, la trouvant désirable, mais craignant d'être découvert.

Cela faisait bien un quart d'heure que ce petit jeu dure, quand une sonnerie retentit, la belle inconnue sort son portable. Son sourire se fige peu à peu. Puis elle prend un air vivement contrarié avant de raccrocher. À ma grande surprise, elle s'approche alors de moi en me disant :

- Depuis tout à l'heure, je vous vois tourner en rond. Vous cherchez quelque chose ? Je peux vous renseigner ?

- Euh, je cherche simplement où prendre un café !

- Si vous m'en offrez un, je vous montre un endroit bien plus confortable que cette gare...

- Euh, c'est gentil, mais je ne voudrais pas vous déranger !

- Alors c'est oui ou c'est non ?

- Alors c'est oui !

Dis donc, cette fille, non seulement elle est belle, mais en plus, elle n'a pas froid aux yeux. Elle m'emmène alors dans un hôtel luxueux à 10 minutes de marche. En chemin, elle m'explique qu'elle habite dans cette ville, qu'elle était venue chercher un ami à la gare, mais que celui-ci a eu un empêchement de dernière minute.

Nous nous installons sur les hauts tabourets de bar, tandis que je commande les deux cafés. Nous parlons de tout et de rien, elle m'explique ce qu'il y a à visiter dans cette ville. Je lui parle de mon boulot et des multiples déplacements qu'il nécessite. Puis, une fois encore, c'est elle qui prend les devants :

- Si je ne me trompe, à la gare, vous n'arrêtiez pas de regarder mes jambes ?

Gêné, je réponds d'une voix peu assurée :

- Euh oui, je trouve que les motifs de vos collants sont très originaux... et très esthétiques !

- Mais qu'est-ce qui vous dit que ce sont des collants ?

Tout en parlant, elle pivote sur le tabouret et rapproche ses jambes contre les miennes comme une invite. Je baisse les yeux, j'hésite, puis je finis enfin par poser ma main sur son genou en bafouillant :

- Quoi qu'il en soit, ils sont aussi doux au toucher qu'agréables à regarder !

- C'est aussi très agréable quand des mains douces caressent mes jambes au travers !

Ainsi encouragé, je n'écoute plus vraiment ses commentaires sur les musées de la ville, me concentrant sur mes caresses sur ses genoux. Elle continue à parler en me souriant. Mes doigts remontent alors peu à peu sur ses cuisses, suivent l'invitation des motifs jusque sous sa robe, progressent encore plus haut. C'est ainsi que ma main atteint la lisière des bas.

- Je vous l'avais bien dit, non ? jubile-t-elle alors avec un regard coquin !

Mais elle écarte alors que mes mains, descend du tabouret et tout en me priant de l'excuser, elle part aux toilettes. Je ne sais plus quoi penser ! Est-ce que je suis allé trop loin ? Ou alors n'est-elle qu'une allumeuse ? Quoi qu'il en soit, je ne regrette plus cette panne de train !

Tout à ces pensées, je ne l'ai pas entendu revenir, passer derrière moi et me glisser discrètement quelque chose dans la poche de ma veste.

- Cadeau ! me dit-elle.

Ma main tâte le fond de ma poche et y trouve un bout d'étoffe qui, vu le contexte, ne pouvait être que...

- Si, si, vous ne rêvez pas, me glisse-t-elle à l'oreille, c'est bien de mon string qu'il s'agit !

D'un coup, toutes mes craintes s'évanouissent. Je ne peux cependant m'empêcher de rougir légèrement, pris de court par la tournure des évènements qui dépasse mes rêves les plus fous !

- Vous savez, ajoute-t-elle, dans ma description touristique de la ville, j'ai oublié de signaler que les sanitaires de cet hôtel méritent le détour : spacieux, propres, tout de marbre et de cuivre, un éclairage tamisé des plus agréables !

Puis elle se relève et y retourne !

Très excité, je paie alors les consommations, puis, le plus discrètement possible, je vais rejoindre cette inconnue si sensuelle. Heureusement, au milieu de la matinée le hall de l'hôtel est presque vide et les toilettes inoccupées !

En entrant dans les sanitaires femmes, aussi luxueuse que la description qu'elle m'en avait faite, je ne vois qu'une seule cabine allumée, la porte entrouverte. J'entre, ferme le verrou et cherche une réplique intelligente à dire. Mais, elle me fait signe de me taire, et de m'agenouiller devant elle, assise sur le couvercle des toilettes.

Mes mains retrouvent le chemin des bas et les caressent avec tendresse, bientôt suivies par ma bouche qui les couvre de baisers. La belle écarte peu à peu les cuisses, m'invitant à continuer ma progression. Caresses et baisers atteignent bientôt la peau nue, chaude et douce du haut des cuisses... Son odeur intime est envoûtante, signe de son excitation ! D'ailleurs quand mes doigts arrivent aux lèvres de son sexe, celles-ci s'entrouvrent aussitôt, laissant le chemin libre pour ma langue qui lèche ce doux nectar. Puis, du bout de la langue, je débusque son bouton d'amour et le tête doucement, provoquant quelques doux gémissements.

Elle se relève alors et pose un pied sur le couvercle tout en tenant sa robe relevée sur son ventre, cuisses bien écartées. Le ballet de ma langue et de mes doigts se poursuit ainsi un bon moment entre son clito, sa chatte dégoulinante et la raie de ses fesses... Elle est tout offerte à mes caresses, son bassin ondule et m'encourage à aller toujours plus loin. J'ose alors caresser plus franchement la « porte de derrière ». Elle est tant excitée que son anus me paraît souple et élastique, aspirant sans difficulté le bout de mon doigt luisant de sa liqueur. Elle jouit bientôt ainsi, deux dans sa chatte, un derrière et ma langue sur son clito... J'avale sa liqueur avec délice.

Quelques instants plus tard, elle me déshabille puis retire sa robe, découvrant une splendide guêpière mettant bien en valeur la finesse de son corps et la beauté de sa poitrine. Comme je m'extasie sur la beauté de sa lingerie, elle se livre un peu plus :

- Je m'étais préparée pour un ami très cher.

- Celui que vous cherchiez à la gare ?

- Oui.

- Vous ne regrettez pas ce que nous venons de faire ?

Elle me sourit :

- Non, pas du tout, il ne mérite pas que je m'intéresse à lui. J'ai compris tout à l'heure que pour lui, je ne suis qu'un « extra », du bon temps qu'il prend quand il est loin de sa femme, rien de plus !

Je ne sais plus quoi dire devant ces confidences. Mais elle enchaîne :

- Et dire que je m'étais habillée ainsi rien que pour lui ! Autant que quelqu'un en profite ! Je crois que j'avais très envie de me venger de lui, de le tromper à mon tour... Et puis j'ai très envie de faire l'amour !

Elle me fait asseoir à mon tour sur le couvercle des toilettes, puis viens à califourchon sur moi en guidant mon sexe dans sa chatte tellement lubrifiée que je la pénètre bien au fond. Elle commence alors son va-et-vient sur moi à son rythme, sa poitrine juste au niveau de mon visage. Je caresse ses seins, les faisant rapidement glisser hors de la guêpière. Je n'ai plus alors qu'à ouvrir la bouche pour que ma langue lèche ou tète ses tétons déjà bien durs et gonflés. Réceptive à mes caresses, elle se cambre un peu plus pour que je puisse encore mieux goûter à ses seins. J'aime les sentir aussi sensibles, réactifs à mes caresses.

Je passe les mains sous ses fesses pour accompagner ses mouvements. Mon doigt retrouve progressivement le chemin de son anus. Elle semble apprécier le traitement, car elle ajoute peu après !

- Mon pauvre ami, ma chatte est tellement trempée que tu ne dois pas sentir grand-chose. Attends un peu, je vais arranger cela !

Je crois alors rêver : elle se relève, se retourne dos à moi et reviens à califourchon, mais en guidant cette fois-ci mon pieu sur la rondelle de son petit orifice. Le gland trouve son chemin, puis elle se laisse aller de tout son poids le faisant glisser centimètre après centimètre. Une fois bien au fond, elle reste ainsi un moment, mes bras contournent ses hanches pour pénétrer son vagin de deux doigts de ma main droite tandis que ma main gauche caresse ses seins. Lorsque je sens ses doigts contre les miens, je comprends qu'elle s'occupe elle-même de son clito.

Au bout de quelques minutes, elle reprend son délicieux va-et-vient s'empalant et se réempalant sur mon pieu. Elle accélère peu à peu le rythme de ses va-et-vient et mes doigts dans sa chatte et sur sa poitrine accélèrent en cadence. Sa respiration se fait de plus en plus rapide jusqu'au moment où elle se tend de tout son corps, son orgasme comprimant un peu plus ma verge. Je ne peux plus me retenir et lâche alors ma semence tout au fond de son séant !

Quelques minutes plus tard, elle se relève, remet sa robe sans prendre soin de remettre en place sa poitrine dans la guêpière et me tend mes habits. Comme si de rien était, nous sortons, nous nous lavons les mains et reprenons le chemin de la gare.

En route, elle me dit :

- Merci, c'était génial ! Quand tu auras repris ton train, je crois que je vais me promener ainsi longuement en ville. Mes tétons continueront à être excités par les mouvements de la robe et je sentirai l'air sur mon sexe et mes fesses nues... tandis que je garde précieusement ton sperme au fond de mon cul !

- C'est moi qui doit te remercier ! On se reverra ?

- Qui sait ! En attendant, tu n'auras qu'à me suivre par la pensée dans ma ballade érotique ! À propos, je m'appelle Aurore

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