TITRE : L'inconnue aux bas à couture
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Histoire avec un e inconnu e
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Cette histoire se passe quelque part en France, un soir dans un hôtel, disons un hôtel de voyageurs de commerce.

J'étais en reportage dans la ville pour deux jours et je dînais seul ce soir-là au restaurant de l'hôtel. Nous étions peu nombreux dans cette salle triste et mal éclairée, mais «Elle» était là. Elle semblait égarée dans ce restaurant sans éclat, sorte de pension de famille à la splendeur passée. Elle ne me jeta pas un regard de tout le repas, ni à personne d'autre d'ailleurs. Moi je la dévorais des yeux, tant elle était attirante avec ses longs cheveux noirs et sa silhouette élancée dans sa robe noire à pois blancs.

Quand elle était venue s'asseoir, j'avais remarqué qu'elle portait des chaussures à talons très hauts, ouvertes derrière et attachées autour de la cheville ; leur couleur rouge contrastait avec le noir de ses bas très fins à couture.

Les bas à couture me font craquer ; je suis capable de savoir si une femme porte des bas ou des collants sans pour autant regarder sous sa jupe, bien sûr. Certains petits détails ne trompent pas. Mais les vrais bas à couture, très fins, avec une diminution sur le haut de la cheville sont vraiment faciles à repérer d'autant que peu de femmes en portent de nos jours, sauf pour sortir.

Là, j'en étais sûr, en suivant la ligne de ces bas, on tombait sur des jarretelles sans doute en dentelle, qui tenaient aussi tendus que possible ces fins voiles de nylon.

J'en suis fou : une femme qui porte des bas peut tout me demander ; je suis à ses pieds et j'ai envie de lui donner du plaisir autant qu'elle en voudra.

Je suppose que mes regards étaient un peu trop appuyés car, lorsqu'elle quitta la table, elle eut à peine un petit regard amusé avec une ébauche de sourire sur les lèvres. Pour regagner sa chambre, elle passa à coté de moi et dit seulement « 23 » en plongeant un instant son regard dans le mien. Je restai estomaqué : avais-je bien entendu ? m'avait-elle parlé et bien dit un nombre ? Oui, j'avais bien entendu « 23 ».

Je me retournai mais elle avait déjà disparu.

Que faire ? Je pouvais supposer qu'elle m'avait glissé le numéro de sa chambre et qu'elle m'y attendait, offerte. Trop beau pour être vrai !

Bon, deux choses : d'une part, je ne risquais rien d'y aller voir. En général, avec les femmes, on a toujours intérêt à tenter sa chance. Elles aiment ceux qui osent et puis sinon, que risque-t-on ? Une gifle ? Chaque fois que j'ai tenté, ça a marché ; alors pourquoi pas ce soir ?

D'autre part, je suis sûr qu'elle avait très bien perçu le petit manège de mes regards ; une femme qui porte des bas, même si elle le fait souvent pour son propre plaisir, s'en sert aussi comme des filets pour y attraper des hommes. En général, les femmes qui aiment porter des bas sont des femmes qui aiment les plaisirs de l'érotisme et de l'amour.

Après être passé à ma chambre pour me rafraîchir, je me dirigeai donc vers le deuxième étage et cette chambre « 23 », tout tremblant, comme un adolescent à son premier rendez-vous Personne dans le couloir, j'avançais vers la porte de tous mes désirs, hésitant entre le canular et la proposition inespérée.

Mais la porte de la chambre « 23 » était très légèrement entrebâillée. J'hésitai. J'écoutais un moment à la porte : un très léger gémissement me parvenait. Je poussai la porte doucement mais le petit couloir qui menait à la chambre ne me laissa rien découvrir ; un peu de lumière venait de l'endroit d'où provenaient les sons. Je refermai tout doucement la porte et je m'avançai comme un collégien pris en faute ; je dépassai le coin et là, une vision plus forte que tous mes rêves les plus fous s'offrit à moi.

Elle était assise dans un fauteuil, les cuisses très ouvertes et les pieds posés sur les accoudoirs ; elle avait glissé une main dans son string en tulle noir et se doigtait méthodiquement le clitoris. Elle fermait les yeux et remuait doucement le bassin au rythme de la caresse ; de temps à autre elle poussait un petit cri de plaisir ; sa main gauche massait doucement ses seins à travers le tissu léger de sa robe noire à pois blancs remontée haut sur ses cuisses ; on voyait ses jarretelles en dentelle noire tendues sur ses cuisses écartées.

Elle accéléra doucement la cadence et commença à se doigter plus profondément, aidée en cela par son jus intime qui mouillait le tissu transparent de son string.

Je sortis ma queue de mon pantalon et je me branlais doucement.

Elle releva bien haut les jambes en se calant plus profondément dans le fauteuil, pour s'ouvrir encore plus à la caresse ; elle haletait et se doigtait maintenant furieusement avec l'index et l'annulaire tandis que son pouce massait son clitoris durci et dressé.

C'était plus que je n'aurais pu en rêver et mon sexe était tout gonflé de désir. De temps à autre, elle sortait ses doigts de sa chatte et les portait goulûment à sa bouche : elle les suçait l'un après l'autre, se délectant du goût de sa mouille ; puis elle reprenait sa masturbation, ouvrant toujours plus les cuisses, s'enfonçant un peu plus dans le fauteuil.

Les deux doigts furent bientôt rejoints par un troisième puis un quatrième, tant sa chatte s'ouvrait grande à la caresse ; elle dégoulinait et la mouille qui s'insinuait entre ses fesses, lui chatouillait l'anus ; elle ressortit son majeur de sa chatte et commença à s'en caresser l'entrée du cul. Le doigt trempé de son jus intime fut vite absorbé par le petit trou et elle se tortilla de plus belle sous cette nouvelle caresse.

J'étais debout devant elle, et je bandais comme un fou en me branlant. Elle ne m'avait pas dit un mot. Je m'allongeai sur le tapis, juste au dessous de son fauteuil et je me branlais, tout en la regardant par en dessous ; j'avais une vue privilégiée sur ses doigts entrant et sortant de sa chatte dégoulinante et de son anus dilaté.

Mais bientôt, elle s'aperçut de ma position et, se levant d'un bond, elle vint se placer au-dessus de moi ; je pouvais voir sous sa robe, elle avait gardé une main dans sa culotte. Elle fit sortir un de ses seins et commença à en agacer le téton entre deux doigts. La vue d'en dessous était extraordinaire.

Je me branlais de plus en plus fort ; au bout de mon gland un peu de jus perlait déjà. Face à moi, elle s'excita quelques instants comme cela, puis, écartant largement les cuisses, elle engloutit ma tête sous sa robe en s'accroupissant doucement au dessus de ma bouche.

La légèreté du tissu laissait passer peu de clarté, mais je fus bien vite guidé par l'odeur forte de sa chatte et surtout par la précision de son geste : elle posa son sexe sur ma bouche puis ne bougea plus ; je sortis ma langue qui se glissa facilement entre ses lèvres et je commençai à la lécher doucement.

Elle sentit la douce pénétration et y répondit par une sorte de feulement long, venant de la gorge, puis elle se mit à remuer doucement le bassin d'avant en arrière.

Je sentais sa mouille qui coulait dans ma bouche, de plus en plus abondante.

Elle saisit ma tête entre ses mains et la pressa fortement contre sa chatte en augmentant la pression de ses reins : j'étais collé contre elle, pouvant à peine respirer et je l'entendais qui ahanait au dessus de moi.

Ma langue ne s'arrêta pas pour autant et je trouvai son bouton d'amour ; je refermai mes lèvres autour de son clito tout gonflé de désir et elle eut alors un instant d'arrêt, comme pour mieux apprécier la caresse. J'en profitai pour saisir ses fesses par-dessous et je la soulevai légèrement pour respirer un peu.

La coquine le sentit et elle entreprit un lent mouvement rotatif, son clito aspiré par mes lèvres ; j'en profitai pour introduire un doigt dans le bas de sa chatte et j'en mis aussitôt un autre, puis encore un autre, tant sa mouille était abondante et sa chatte dilatée. Mon index resté libre partit à l'exploration de son anus, la mouille inondait tout. Et je le glissai dans son cul sans aucun effort. Elle se cabra un peu en sentant l'intrusion, mais très vite, reprit son mouvement du bassin, en le ponctuant de râles de gorge de plus en plus rapprochés.

Durant tout ce temps ma queue était restée bien raide, tant la situation était excitante mais là, je n'avais même pas une main de libre pour me branler un peu. Mes doigts allaient et venaient dans sa chatte et dans son cul sans effort et mes lèvres aspiraient goulûment son clitoris durci à l'extrême. Sous sa jupe je ne voyais pas grand-chose mais je l'entendais gémir de plus en plus fort et les bruits mouillés de sa chatte m'excitaient encore plus.

Elle accéléra le rythme, se mettant à pousser des râles de plus en plus rauques. Brusquement elle s'arracha à ma caresse, roula prestement sa jupe, me laissant apercevoir deux seins aux tétons turgescents sortis du soutien gorge ; restant accroupie, elle recula rapidement sur ses talons et, saisissant mon sexe tout gonflé, elle s'empala dessus d'un seul mouvement des reins.

J'étais estomaqué. Ma bitte, laissée à l'abandon tout ce temps, se retrouva butant contre sa matrice, un peu perdue dans sa chatte tellement dilatée. Mais elle ne me laissa pas le temps de réfléchir et, toujours accroupie, elle commença à me pomper la queue avec frénésie.

À ce rythme, je ne tiendrais pas longtemps et elle non plus ; mais elle était arrivée au bout de son plaisir et elle cherchait la jouissance suprême.

Elle prit appui sur mes jambes avec ses mains et soulevant et abaissant ses fesses de plus en plus vite, elle enfonçait et ressortait ma queue de sa chatte à une allure folle. À chaque fois, le bout de ma verge butait contre sa matrice et je sentais comme une bouche qui m'aspirait au fond de son sexe.

Je ne pus tenir bien longtemps et mon sperme jaillit en saccades, se mêlant au flot de son jus intime qui se répandait sur mes cuisses : elle était une « femme fontaine » et son orgasme la faisait réellement éjaculer en un jet puissant de son liquide intime. Un dernier cri rauque se termina en un râle qui la fit s'écrouler vers moi, mon sexe toujours en elle.

Tout son corps frissonnait et je la caressai doucement pour l'apaiser.

Elle me sourit, puis, reprenant ses esprits, elle se releva, quitta sa jupe et vint se mettre sur moi à califourchon, me présentant son sexe ruisselant de mouille ; je sentis aussitôt sa langue qui s'emparait de mon sexe et qui le nettoyait consciencieusement.

De mon coté, je léchai sa chatte largement béante, ses lèvres encore toutes gonflées de désir et je lui caressai tendrement les fesses. Elle se blottit contre mes jambes, massant doucement mes couilles, remuant déjà le bassin sous mes coups de langue.

Mon sexe avait, bien sûr, perdu de sa vigueur, mais elle en voulait encore.

J'enfonçai aussitôt deux doigts dans sa chatte, vite aspirés, et je la doigtai doucement ; les mouvements de ses fesses me firent comprendre qu'elle appréciait. Je glissai encore deux autres doigts qui entrèrent sans problème. Seul mon pouce restait dehors ; je les ressortis et glissai doucement toute ma main, que j'ai assez fine, à l'intérieur de sa chatte, en un lent mouvement tournant, mes doigts explorant ces tissus humains pareils à de la soie mouillée.

Elle avait bien senti mon intrusion et son bassin se mit à bouger d'avant en arrière, enfonçant toujours plus ma main dans sa chatte. Elle était dilatée à l'extrême et sa mouille ruisselait sur mon avant bras. Je me mis à la branler méthodiquement avec toute ma main, en malaxant l'intérieur, je la tenais à ma merci au bout de mes doigts.

Elle se mit à hurler de plaisir et une vague de frissons la submergea bientôt, la laissant pantelante au bout de mon bras ; je retirai doucement mes doigts gluants que je ne pus m'empêcher de renifler et de lécher : c'était exquis, du vrai jus de femme.

J'étais épuisé et je m'endormis. À mon réveil, elle était partie, je ne la revis jamais.

Elle avait laissé pour moi comme unique trace de son passage, une paire de bas noirs, sans doute ceux qu'elle avait portés. Je les conserve précieusement au fond d'un tiroir et de temps à autre, je les sens. Et toute cette soirée me revient en mémoire, comme si c'était hier.


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