Un jour, alors que je rentrais du travail, je trouvai Cécile
dans la cuisine, penchée en avant, ramassant les morceaux
d'un verre qu'elle venait de laisser tomber. Elle était
vêtue d'un chemisier et d'une jupe courte qui, dans la position
où elle était, laissait entrevoir le début de ses fesses,
ce qui me donna des idées on ne peut plus salaces. M'approchant
d'elle, alors qu'elle venait de se redresser, je l'embrassai
légèrement sur ses lèvres et, tout en caressant ses fesses,
je lui dis en souriant :
- Cela mérite au moins une fessée.
Me prenant au mot, elle me répondit :
- Si tu penses que je le mérite, alors punis-moi !
Cet accord tacite me fit brutalement bander et, la penchant
en avant pour bien dégager ses fesses, je soulevai sa jupe
et commençai à la fesser, d'abord doucement et en me limitant
aux zones recouvertes par le slip. Progressivement, j'appuyai
mes coups en commençant à claquer la peau nue. À un moment,
Cécile poussa un cri et je lui demandai si je devais m'arrêter.
Elle me répondit :
- Non, au contraire, vas-y plus fort.
Je baissai alors sa culotte et frappai alternativement,
de plus en plus fort ses fesses qui, sous les coups, devenaient
cramoisies. À chaque coup, Cécile poussais un cri mais ne
voulais toujours pas refuser la correction. M'arrêtant,
je passai mes doigts dans sa fente et me rendis compte qu'elle
était toute mouillée, témoignant de son excitation. Je décidai
d'aller plus loin dans la correction. Je redressai Cécile
et lui demandai de maintenir sa jupe soulevée. Puis j'enlevai
ma ceinture et commençai à la fouetter, d'abord doucement,
puis de plus en plus fort, jusqu'à ce que chaque coup de
ceinture marque ses fesses d'une traînée rouge, accompagnée
d'un cri et d'un mouvement de recul. Je m'arrêtai, vérifiai
que sa fente étais toujours aussi émoustillée, puis enlevai
sa culotte que j'enfonçai dans sa bouche afin que ses cris
ne réveillent pas tout le quartier.
Puis je dégrafai sa jupe et lui demandai d'écarter les jambes.
Je recommençai alors à la fouetter, en accentuant bien mes
coups, d'abord sur ses fesses déjà bien striées, puis sur
ses cuisses. Pour chaque nouveau coup, elle poussait un
gémissement étouffé par le bâillon, et je lui demandais
si elle voulait que je m'arrête. Devant son mouvement de
tête négatif, je continuai la correction en portant mes
coups, d'abord à l'intérieur de ses cuisses, puis sur son
sexe, la ceinture allant claquer son pubis. Au premier coup,
elle resserra ses jambes, puis les écarta à nouveau, encore
plus qu'auparavant, m'invitant à continuer, ce que je fis
de bon cœur. À mesure que les coups pleuvaient, elle faisait
un bond mais maintenait ses jambes écartées, attendant les
prochains coups.
Après avoir fouetté son entrejambe pendant plusieurs minutes,
je stoppai et lui enlevai son bâillon, puis baissant mon
pantalon, je pénétrai sa chatte toute humide, ce qui la
fit gémir, non plus de douleur, mais de plaisir. Après quelques
mouvements de va-et-vient profonds et amples, je la penchai
en avant et, me positionnant devant son anus, je la sodomisai
brutalement et m'enfonçai jusqu'à la garde dans son cul.
Elle poussa un cri puis commença à bouger d'avant en arrière,
pendant que ma main, tenant toujours sa culotte humidifiée
par ses sécrétions vaginales et sa salive, alla branler
son clitoris. Je la pistonnai de plus en plus rapidement,
réveillant des cris mêlés de plaisir et de douleur, alors
que j'enfonçai toute sa culotte puis quatre doigts dans
son vagin largement ouvert. Brutalement je déchargeai dans
son cul, alors qu'elle atteignais l'orgasme en poussant
un long gémissement et en plaquant ma main aussi loin que
possible dans sa chatte.
Une fois calmée, je me retirai et, alors qu'elle était toujours
penchée en avant, je la contournai et lui donnai ma queue
encore raide et pleine de foutre et de trace de merde à
nettoyer, ce qu'elle fit sans recul. Parallèlement, je retirai
sa culotte de sa chatte et nettoyai son anus largement ouvert
qui laissa échapper quelques traces de foutre.
Brutalement, je quittai sa bouche et, m'agenouillant derrière
elle, je commençai à lécher son trou du cul, ma langue pénétrant
aussi loin que possible son rectum. À un moment, Cécile
me demanda d'arrêter car la présence de mon sperme, de ma
langue et certainement de selles, comme l'avais montré ma
queue souillée, lui donna envie de chier. Cette idée me
fit bander à nouveau, et, voulant voir jusqu'où Cécile était
prête à aller, et, surtout, envisageant la réalisation d'un
fantasme on ne peut plus dégradant, à savoir, lécher et
pénétrer avec sa langue le cul d'une fille qui vient de
se soulager, je plongeai mon index profondément dans son
rectum, rencontrant rapidement une masse souple, que je
malaxai légèrement avant de retirer mon doigt. Ce dernier
était effectivement couvert de merde, ce que je montrai
à Cécile qui, semblant lire dans mes pensées, me demanda
avec un sourire espiègle de le lécher, ce que je fis sans
hésitation, permettant ainsi de connaître le goût particulier,
gras et musqué de la merde. Une fois nettoyé, je replongeai
mon index dans ses entrailles à la recherche du cadeau qui
nous attendait. Puis, je le retirai, à nouveau couvert de
merde, et je le présentai à Cécile qui, sans plus d'hésitation
que moi, le lécha avidement. À l'évidence, la soirée s'annonçait
chaude et odorante. Toutefois, par acquis de conscience,
je lui demandai si la suite du programme, c'est-à-dire jouer
avec sa propre merde, lui posais un problème. Devant sa
réponse négative, nous nous déshabillâmes complètement puis
j'allai chercher une grande serviette de toilette que j'étendis
dans la salle de bain. Notre salle de jeux était prête...
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